Tous les autres articles que j'ai consulté parlent du problème du changement d'heure en lui-même (qui est le résultat d'une perte d'une heure de sommeil pour le passage à l'heure d'été), pas du tout du fait de vivre éternellement à l'heure d'été en elle-même (puisque le corps s'ajuste plus ou moins bien, certes, mais il finit par s'ajuster).
Oui c'est ca, en dehors de quelques interviews peu poussées, les sources fiables manquent quand meme, a priori. Les études / sources sont nombreuses concernant le changement d'heure, ou concernant un décallage fort avec le soleil (genre des études sur les travailleurs de nuit, ou sur le pole nord). Mais peu sur ce qui nous intéresse précisement, l'impact du décallage d'une heure.
Il est clair que vivre en décalage complet est mauvais, mais c'est pas le sujet, le sujet c'est l'impact de +2 au lieu de +1. Là dessus, oui il y a eu quelques phrases d'interview, mais elles ne paraissent pas très solides.
Les convictions du scientifique osef mais celle du péon moyen sont primordiale même si le scientifique venait a étayer son propos d'arguments scientifique. OK ok au moins ça éclairci la manière dont est et doit être mené le débat.
Sinon hormis des gens bossant devant un pc qui osef du soleil pour travailler ya pas de gens intéressés par la lumière quand ils sont dehors et qui on pas envie de finir leur journée deux heures après tout le monde après avoir été contraint de perdre deux heures le matin? Des gens pour qui il n'y a pas d'interrupteur pour éclairer leur labeur? Des gens qui font de travails suffisamment fatiguant pour pas leur laisser le choix d'avoir envie et le temps de faire un barbecue ou prendre lapero en terrasse le soir? ( moi aussi je vais jouer sur le pathos puisqu'il paraît que c'est la ligne d'argumentation validée).
Non, tu as raison, la conviction du péon moyen sur l'impact sur sa santé, on s'en fout bien plus.
Mais par contre, la manière dont vit le peon moyen en 2019, ben c'est un peu à lui de le dire, quand meme. Et s'il préfère, de manière totalement empirique, avoir du soleil le matin ou le soir, aussi. Et je vois pas en quoi ce n'est pas entendable.
Quant a la deuxième partie, il me semble que de toute facon, le mec qui a besoin du soleil pour éclairer son labeur, il est DEJA emmerdé en hiver, parce que les journées sont trop courtes. Si on prend les extremes, oui, ca fait chier de commencer a 10h mais sinon il doit arreter a 16h, ca fait pas chier ca ? S'il a pas de solutions pour travailler sans soleil au solstice, ben, 9h 16h ou 10h 17h cela fait il vraiment une différence ?
Et quand il y a plus de soleil, ben il pourra commencer rapidement à un horaire normal le matin. Il n'y a aucun moment dans l'année où il sera nécessaire d'avoir des horaires décallés par rapport aux horaires de bureaux normaux. Fatalement, il y a un moment dans l'année ou tu ne peux avoir l'amplitude horaire d'une journée ""normale"". Mais il ne faudra jamais faire 10h-20h, si les conditions ne sont bonnes qu'a 10h, ben ca fait longtemps qu'a 20h elles ne le sont plus. Du coup, j'ai du mal à voir en quoi ca peut avoir un impact (ou alors dans des cas très particuliers, auxquels on pourrait surement trouver des cas très particuliers inverses).