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Faire une analyse génomique personnelle, prestataires, tarifs, résultats
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https://www.23andme.com/ancestry/deep/ Par contre le shipment a l'international fait mal, 80$ pour la France Et on peut pas payer par Paypal grrrrrrr. Dernière modification par Itne ; 19/06/2013 à 18h06. |
19/06/2013, 18h00 |
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je viens de découvrir qu'en France, il est illégal de demander à connaitre son propre génome... En France, il est illégal pour un particulier de demander son séquençage génomique. Le code civil, modifié par la loi de bioéthique de 2004, stipule que « l’'examen des caractéristiques génétiques d'une personne ne peut être entrepris qu'à des fins médicales ou de recherche scientifique » |
19/08/2014, 10h43 |
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19/08/2014, 10h54 |
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Dans la police, il l'examine pas, il le prenne, le stock et il le compare au cas ou
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19/08/2014, 10h57 |
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19/08/2014, 11h04 |
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Si on le replace dans le contexte de son chapitre (ici) pour moi ça veut pas dire grand chose, mais bon. De toute façon le service qui permettrait ce type d'analyse pour les particuliers n'existe pas en France. |
19/08/2014, 11h14 |
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Une copine avait testé ce truc, ça me bottait bien, mon principal frein, c'est sur la confidentialité du truc. Et puis, 200$ juste pour te dire "ha lol, j'ai 20% de mon ADN qui vient de Russie orientale", ça fait un peu cher le délire. |
19/08/2014, 12h54 |
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19/08/2014, 13h02 |
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Sauf que sur le net, tu trouves tout et n'importe quoi pour tous les prix (souvent exorbitants), et aucune garantie de sérieux/confiance. Du coup t'es passé par où, t'as contacté qui ? MP si tu veux, mais ça m'intéresse fortement... |
19/08/2014, 14h06 |
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Certaines entreprises proposent d'étudier les origines en génotypant le génome, c'est déjà plus fiable, même pas fiable à 100%. Citation :
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Par contre, je te conseille avant cet article. http://www.nytimes.com/2013/12/31/sc...pagewanted=all On en est qu'aux balbutiements de la compréhension du génome. On sait maintenant très bien séquencer. Par contre l'interprétation, c'est pas encore ça. Enfin, on sait interpréter les grosses anomalies, celles qui donnent des maladies génétiques. Mais les traits de caractère, où les facteurs de risque au maladies fréquentes c'est pas encore ça. Dernière modification par Borh ; 19/08/2014 à 15h01. |
19/08/2014, 14h54 |
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Demander, savoir, diffuser ou même vendre des caractéristique génétiques est légal. C'est juste l'examen à proprement parler qui est limité à des fins médicales ou scientifiques.
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19/08/2014, 15h08 |
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Je vais probablement le faire, je me dis que c'est intéressant et pas si cher. Les risques pour la vie privée me paraissent acceptables.
Je me demande que choisir https://www.23andme.com/ = USD99, mais pas d'analyse médicale https://www.23andme.com/en-ça/ = $CAD199 .. mais le problème c'est l'adresse postale, apparemment on ne peut pas commander de France Our EU product is in English only, and due to applicable regulations it is only available for customers with a shipping address in Denmark, Finland, Ireland, Sweden and the Netherlands. If you are shipping to one of these countries continue to the: EU site → If you are shipping to England, Scotland or Wales visit the: UK site → For other countries, the US product is available and can be shipped internationally from the: US site → quelques extraits d'un article qui m'a relancé là-dessus En 2010, vous avez fait faire l’analyse de votre génotype par la société 23andMe. Quelles étaient vos motivations ? En tant que généticien, je voulais me rendre compte par moi-même de la qualité et des limites des tests réalisés, des données fournies et des explications qui les accompagnaient. Je ne comprenais pas la violente opposition de l’immense majorité de mes collègues à leur égard, ni d’ailleurs certaines positions du Comité consultatif national d’éthique (CCNE). Pourquoi fallait-il juger a priori abominable cette démarche ? En France, on refuse un débat sur le sujet. Il faudrait s’interroger sans tabou : pour l’individu, le système de santé et la société, ces tests sont-ils scandaleux, dangereux, ou sont-ils une liberté ? Les informations qu’ils fournissent sont-elles utiles ? Quels sont les éventuels avantages – ou les risques – d’une recherche médicale fondée sur la participation de patients volontaires et informés ? Que vous a appris l’analyse de votre génotype ? J’ai d’abord découvert que j’étais un porteur sain de la mutation la plus fréquente du gène de la mucoviscidose. Personne dans ma famille n’avait jamais été atteint. Etant porteur d’une seule copie mutée, j’avais une « chance » sur deux de transmettre cette mutation à mes enfants ; si mon épouse avait elle-même été porteuse d’une copie mutée, nos enfants auraient eu une probabilité de 25 % d’être touchés. Ma période reproductive est terminée, mais ma fille était désireuse d’avoir des enfants. Je lui ai conseillé de se faire tester : elle n’était pas porteuse de la mutation. Si elle l’avait été, sans doute son conjoint aurait-il pu faire ce test. La mucoviscidose reste une maladie très grave, même si de nombreux progrès ont été réalisés. Quid de vos prédispositions à des maladies communes ? Pour au moins une maladie, connaître mes prédispositions aurait pu avoir des vertus préventives. Par exemple, j’ai découvert que j’étais porteur de plusieurs variants prédisposant à une maladie oculaire : la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), première cause de cécité chez les plus de 60 ans dans les pays industrialisés. Je suis allé consulter mon ophtalmologue : elle m’a fait un examen de fond d’œil, qui était normal. Par ailleurs, on sait que le tabac augmente notablement le risque de DMLA. Je ne suis pas fumeur, mais si je l’avais été, connaître cette prédisposition aurait été un argument supplémentaire pour m’inciter à arrêter de fumer. Ce n’est déjà pas si mal ! Et je fais plus attention à limiter mon exposition à des lumières trop intenses, à l’effet délétère. Enfin, deux médicaments (Avastin et Lucentis) sont désormais disponibles contre certaines formes de DMLA. Et pour d’autres affections communes comme le diabète ? Il faut bien l’admettre : l’intérêt médical de la plupart des risques de maladies communes calculés par 23andMe était très faible. Pourquoi ? Parce que le déterminisme de ces maladies est généralement très complexe. Pour chaque maladie, l’effet de chaque variant génétique est généralement très faible. Chacun d’eux interagit avec de nombreux autres facteurs génétiques et environnementaux : modes de vie, alimentation, tabac, infections, pollution, stress… De plus, votre prédiction pouvait varier selon le nombre de variants testés. Et la liste des variants pris en compte, pour chaque maladie, n’était pas exhaustive. Pour le diabète de type 2, la valeur prédictive des analyses de 23andMe restait très faible. En réalité, ces prédictions n’ont de valeur que pour deux ou trois maladies où ne jouent qu’un petit nombre de facteurs génétiques au rôle majeur. C’est le cas pour la DMLA et la maladie d’Alzheimer. Dans la maladie d’Alzheimer, quel est l’intérêt de disposer de cette information ? On a découvert en 1993 un variant génétique, ApoE4, qui prédispose à cette maladie. Environ 25 % des gens en possèdent une copie : leur risque est multiplié par 3 ou 4. Pour les 2 % de gens qui ont les deux copies de ce variant, le risque est multiplié par 9 à 12. Sur son site, la société 23andMe délivrait ce message : « Ne regardez pas tout de suite vos résultats. Lisez d’abord nos informations : vous déciderez après si vous voulez connaître votre prédisposition. » J’avoue que j’ai eu deux minutes d’hésitation. Il se trouve que je n’ai aucune copie de ce variant, ce qui ne veut pas dire que je ne développerai pas la maladie. A quoi peut servir cette information, dans la mesure où la prévention reste limitée – même si l’activité intellectuelle ou physique semble bénéfique ? Je pense qu’une personne âgée de 20 à 30 ans n’a pas intérêt à connaître cette prédisposition. Mais pour une personne de 60 ans, pourquoi pas ? (...) Selon vous, les informations en ligne données par 23andMe avaient des vertus pédagogiques. Mais en tant que généticien, ne représentez-vous pas un public très averti ? De 2009 à fin 2013, la société 23andMe fournissait des informations très bien documentées. Pour chaque caractère ou chaque prédisposition calculée, elle livrait non seulement des renseignements sur les maladies concernées, leurs facteurs de risque et les éventuels moyens préventifs, mais elle hiérarchisait la confiance que l’on pouvait avoir dans les résultats. Elle analysait de façon critique la littérature scientifique sur laquelle se fondaient ses interprétations. Comme pour le Guide Michelin, elle attribuait des étoiles : une étoile pour les études peu fiables, et jusqu’à quatre étoiles si l’on disposait de nombreuses études concordantes et très fiables. De plus, elle fournissait deux types d’explications : l’un pour un public non averti mais cultivé ; l’autre pour un lectorat de généticiens. Quid du volet « pharmacogénomique », qui analyse les réponses individuelles médicaments ? J’ai appris que j’avais une sensibilité accrue à un médicament très utilisé en cardiologie : la warfarine, un anticoagulant oral de la famille des « antivitamines K » (AVK). On sait que la réponse à la warfarine varie beaucoup selon les patients, ce qui a d’importantes répercussions sur l’efficacité et la sécurité de ce traitement – les risques d’hémorragies liés aux AVK sont en effet très importants. Le fait de savoir que je réponds mieux à cet AVK n’est pas anodin : si je devais suivre un tel traitement, il faudrait sans doute en diminuer le dosage initial. (..) Le volet sur les origines ethniques vous semble-t-il intéressant ? L’analyse de mon génotype a indiqué que 96 % de mon génome était d’origine juive ashkénaze. C’est parfaitement exact : originaires de Pologne, mes quatre grands-parents sont juifs ashkénazes. Tous mes « cousins potentiels » qui avaient accepté de donner leur origine ou leur nom de famille ont la même origine ; certains avaient comme moi des ancêtres dans la ville de Lodz. Par ailleurs, un de mes post-doctorants a pu retrouver ainsi trois de ses cousins au cinquième degré, issus d’une branche de la famille ayant émigré aux Etats-Unis au XIXe siècle. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/artic...4_1650684.html |
09/05/2015, 09h12 |
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Aux Etats-Unis, des profils ADN très peu confidentiels
Les résultats des tests « maison », dont raffolent les particuliers américains, forment de colossales bases de données génétiques. Si mal protégées que même la police s’en sert… Joseph James DeAngelo et William Earl Talbott II n’avaient sans doute jamais entendu parler de GEDmatch. Située en Floride, cette entreprise de taille modeste spécialisée dans les recherches généalogiques n’avait non plus jamais eu affaire à eux. A la surprise générale et à leur insu, leurs routes se sont pourtant croisées ces dernières semaines. GEDmatch s’est transformée en auxiliaire de police et l’ADN a parlé. (..) Les deux hommes, auteurs de crimes non résolus remontant aux années 1970 et 1980, ont été arrêtés à quelques jours d’intervalle. Dans les deux cas, des traces de leur ADN avaient été retrouvées sur les lieux de leurs forfaits. Restés inexploi tables pendant des décennies faute de correspondre à un profil répertorié dans les fichiers de la police, ces échantillons ont trouvé leur chemin dans les méandres de GEDmatch. Les clients de cette entreprise, détenteurs de leur profil ADN, peuvent en effet rechercher dans l’immense banque de données du site les profils relevant de la même branche généalogique qu’eux afin de retrouver des membres de leur famille. Les policiers ont livré anonymement le génotype des deux criminels à GEDmatch, sans mandat et en profitant d’une zone grise du droit sur ces questions encore inexplorées. Puis, aidés de spécialistes, ils ont reconstitué un arbre généalogique, qui les a menés à des parents éloignés des suspects. Ils ont ensuite cherché, dans ces familles, les profils (âge, domicile à l’époque des crimes…) proches de ceux des suspects. (..) Ces affaires mettent pourtant en lumière un phénomène déjà observé avec Facebook et l’aspiration des données de millions de ses comptes par la société Cambridge Analytica : les informations qu’un individu fournit librement sur un site ou un réseau social dépassent largement sa propre personne. Sur Facebook, les données des « amis » des comptes concernés ont été récupérées, à l’insu de tous. Avec l’ADN, c’est le patrimoine génétique de toute une lignée qui est ainsi dévoilée. Sans que les proches ou lointains cousins en soient ni conscients ni avisés. « L’ampleur des données génétiques aujour d’hui disponibles sur les sites rend quasiment impossible la protection des informations personnelles », estime Arthur Caplan, directeur du département de bioéthique à l’université de médecine de New York. Dans les affaires criminelles, il aimerait qu’au minimum la police agisse avec un mandat. (..) Aux Etats-Unis, des profils ADN très peu confidentiels https://www.lemonde.fr/idees/article...2037_3232.html |
09/06/2018, 11h53 |
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Alpha & Oméga
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https://www.express.co.uk/news/world...site-passwords
MyHeritage hackée: les données de 92 millions d'utilisateurs volées. |
09/06/2018, 12h33 |
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