En gros, toutouyoutou s'est fait déniaiser en mode étoile de mer par une cagole pas farouche, super. Ça ne nous dit pas l'âge du capitaine.
L'autre noie le poisson comme un rouget dans la bouillabaisse et y'en a pas un qui tilte.
Ah non non.. Je me suis fait déniaisé en Corse, dans la pinède de Calvi, à quelques pas du Sun Club, entre ma 3ème et ma Seconde, par une nana de Strasbourg nommée Cathy, qui était blonde aux yeux bleus et qui avait une fort belle poitrine.
Par contre, je l'avoue, je fus ce jour- là un peu bref, et effectivement, je n'ai pas bien compris ce qui était en train d'arriver. Du coup, je me suis laissé faire.
Et je me souviens très bien que les moniteurs (et oui, j'étais un ado en colo...) me cherchaient comme des fous parce qu'ils ne savaient pas si j'avais fugué ou si je m'étais fait enlever. Ce que je ne savais pas bien non plus, c'est que mon père était haut placé (du genre, bien haut...) dans l'organigramme de la grosse boîboîte internationale dont le CE nous faisait partir en colo, et que les mecs suintaient du fion à l'idée qu'il m'arrive un truc (d'ailleurs les années suivantes, j'ai été sous surveillance +++).
Du coup je me suis fait ramener au camp à coups de pieds au cul (et oui, ils me bottaient tous le cul) et avec des mandales derrière le crâne...
Arrivé dans le bungalow, où je dormais avec ma bande de potes des années passées, on a tenu deux minutes avant que je me mette à gueuler que j'étais enfin un homme un vrai (sous les yeux admiratifs de mes potes, qui m'ont soutenu par des beuglements d'ados débiles, prêts à sortir leurs chibres pour faire des concours d'hélicobite ou de pignolle). Du coup, les monos sont revenus bien véners et on a mangé des pompes et de la chaise pendant deux heures...
Ah... que de bons souvenirs...
Autre dernier détail. La nana me trouvait un peu "raide"... Je n'ai jamais vraiment osé lui avouer (et pis j'ai pas vraiment eu l'occasion non plus) que j'avais une pomme de pin qui tentait de me sodomiser, que j'avais un peu mal, et que je n'osais pas trop relâcher mes petits muscles du fion.
Voilà, tu sais tout. Nous sommes intimes désormais. Heureuse ?
Parle- moi de ta défloration, fais- moi rêver, coquine !