aaaaah je suis mort(e)!!!

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Hop hop hop, c’est l’été, vous profitez de votre jeu favoris (si si), vous passez d’agréables moments quand soudain l’ombre de la mort passe… une chute mortelle ? Un ennemi qui vous a réduit à l’impuissance ? Une aggro de pnj un poil prétentieuse ? Un one shot ?

Dans le cadre d'animations sur le forum, nous lançons donc un nouveau sujet…morbide !


Quelles sont vos morts les plus belles/originales/ridicules/agaçantes...

en pve ET en pvMp


Donc, que faire, comment orienter le sujet ?
Partagez votre expérience de trépas, celles qui vous ont marquées, la première après votre titre l’immortel par ex, un passage de bus en pvp, un sacrifice pour sauver votre groupe etc etc
N'hésitez pas à partager vos screens

A proscrire, sous peine de flagellation publique au FJV 2010!!
1. Le flood ou autre taunt/troll. On va essayer de garder un fil propre.
2. Toutes réactions ou avis peuvent se faire dans un autre fil. Nous souhaitons que la discussion ici reste sur de bons rails.
Jouez le jeu /incliner.

Merci chers JoLiens !
Bonjour !

alors la plus belle mort qui m'ait été offerte fût la suivante :

Après la sortie de la Moria, je fais Fil Gashan avec mon chasseur fraichement 60. On était 6 à vouloir les gants !
On se tape donc le Général Talug, galère avec ses pièges, poing de feu, etc. (sans GdR à l'époque).
On arrive en 3ème phase, enfin ! le général retire son armure et là c'est free DPS dessus.
A 10-15k le groupe wipe, il ne reste plus que moi le chasseur, seul face au Général (qui tape plus fort sans son armure je crois ?) au Poing-de-feu et au Lance-crocs.

Ne perdant pas espoir, je cours dans un coin, je me retourne et je fais le combo suivant :
Hate nécessaire, Vive flamme, Grâce des Eldars, DPS max.

J'ai descendu les 10k du général tout seul, avec les 3 sur moi. Une seconde après le down du boss, je suis mort .

Et pour finir ce magnifique combat, j'ai gagné ma pair de gants avec les félicitations du groupe qui tremblait encore ^^

(La belle époque du chasseur cheaté ! )

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La seconde anecdote assez drôle dont je me souviens (il y en a eu bcp en 3ans!) ca s'est passé l'autre jour dans les Landes :

On se fight contre les monstres dans Luga, belle baston etc.
Je replie avec mon chasseur, je monte à cheval puis je me précipite vers le fort pour retourner dans la baston.
Je longe à cheval la falaise qui monte sur le fort, et là un warg R7 (je crois) me pop dessus. Il commence à me démonter comme il faut (snare, conj, stun, dots, etc.), j'essaye de le fear, snare, root mais ca ne passe pas bien sûr (les resist monstre...).

A 200pv, je saute de la falaise, loooooonnnnnngue chutte, j'ai les pattes casséespendant 30s je me précipite vers le point de rez, sans aucun espoir.

Le warg me suit, il saute full vie derrière moi.....et là : Vous avez gagné 130 points de renommée
Le pauvre a fait une chutte trop longue

Il me restait quelque chose comme 50pv mais je n'étais plus doté, Dieu merci et je m'en suis sorti vivant !
Je salue au passage ce warg ! il méritait plus que moi les points.
__________________
Second Maréchal Deelah Blaast, Runekeeper @Estel >>> Sirannon
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Video PvP : Runekeeper Deelah lvl65-75
Asylum Gaming
C'est les vacances, je recycle, et je vais vous raconter (de façon très légèrement romancée) comment je suis mort en héros pour la première fois (oui, parfaitement, en héros !)

La première fois où je suis allé dans les Landes, c’était il y a bien des Lunes. Comme je le disais il y a peu sur le fil Pvp, les Landes, je pensais alors que c’était du sable, des pins,et des camps de naturistes . C'est donc avec des envies de vacances au soleil que j’ai pris ma serviette de plage, ma feuille de vigne et ma crème solaire et que je suis parti vers Glain avec mon Gueudeureu (ou Air Ka, en anglais, ça fait plus cool).

A peine arrivé, je sens que quelque chose cloche. Déjà, il flotte dans l'air comme une vieille odeur de mort, un peu comme des chaussettes de nains mais en encore plus piquant (un truc à vous tirer des larmes, j'vous jure). Je jette un œil sur mon équipement et là, horreur : je suis en tenue de carnaval. On dira ce qu’on voudra, la désactivation des tenues, parfois, c’est quand même bien la honte. Je porte donc un truc entre la robe de chambre et les vieux rideaux de Mémé, collection automne/hiver 64. Je rase les murs sur quelques mètres et heureusement, je me rends compte que mes collègues ont l’air aussi grotesques que moi.

On forme une petite troupe de clowns et on s’avance au mépris de toute prudence dans un champ, loin des PNJ qui glandent près de l’entrée du camping. Notre guide autoproclamé– je ne sais même pas d’où il sortait celui-là - nous fait de grands signes étranges en désignant un vilain tout seul en contre-bas. Au bout de quelques minutes, emportés par notre fougue, nous nous jetons tous sur le malheureux en hurlant "Pour Frodon !" avec ordre et méthode (c'est à dire que les buissons sont mezzés, les arbres criblés de flèches, que le méné mène la charge en discours de guerre. Normal).

Le monstre, accueille avec le sourire nos efforts désordonnés visant à le pulvériser. Attrapant à la volée un collègue, il le plaque au sol, puis se retourne en une microseconde tel un ninja pour contrer l'attaque du suivant, tout en écartant la charge d'un troisième en baillant. Costaud le monstre. C'est alors qu'il maîtrisait en ricanant une demi-douzaine d’entre nous que je choisis de placer mon attaque, celle-là même qui m'avait permis de one-shoter la redoutable belette de Bourg de Touque, lors d'un duel de légende encore présent dans toutes les mémoires.

Prenant mon élan tout en souplesse, je bondis vers lui comme j'avais vu si souvent Chuck Norris le faire dans des films, en hurlant « Concluuuuuuusion Epiiiiiiiiiique ! ». En plein vol, je le vois se libérer de l'étreinte de mes comparses et se préparer à me réceptionner. Trop tard pour réagir. J’ai vu tout noir, puis tout blanc, puis re-tout noir. J’apprenais douloureusement le sens du mot « wipe ».

J’ai levé les yeux. L’orque, une lueur sadique dans les yeux, était en train d'assommer notre tank à grands coups de gourdin, tout en enfonçant son pied griffu dans la bouche de notre ménestrel. Les autres étaient accrochés à lui en grappes ce qui semblait à peine le gêner. J'attirais l’attention du lead qui traquait du ouargue à quelques pas de là d'un sonore: "Houston, nous avons un problème!" en constatant que l'orque, loin d'être seul, était en fait l'avant-garde d'une meute de pas beaux, qui nous toisait en ricanant.
Notre chef et guide d'un soir écarquilla les yeux et je vis dans son regard s'allumer comme .... comme une lueur de détresse et de panique à l'instant où il évaluait le désastre : « Retraaaaaaiiiite ! » hurla-t-il d’une voix brisée par la honte.

Avec ordre et méthode, nous traversâmes Les Landes à toute berzingue, comme si nous étions poursuivi par le T-Rex dans Jurassik Park. Chacun pour soi et courage, fuyons.

Je sortais du chaos quelques minutes plus tard, un peu sonné : alors c’est ça, être un héros ?
Un truc qui m'a bien agacé et je dois pas être un cas unique :

Je commence en solo un combat dans le camp des gobelins près de l'auberge abandonnée. Tout est géré comme il faut, quand d'un coup mon perso se bloque et je ne peux plus rien faire... et le message du genre "liaison interrompue avec le serveur"

Ma capi est morte à 800 points du titre "immortel" à cause de ma box internet.
Citation :
Publié par Tholuel
Quel talent Rin ...

Mais pour la belette de Bourg-de-Touque, il se murmure que tu n'étais pas seul...
D'accord, d'accord.

Alors j'avoue tout : pendant que je frappais, Tholuel lui tenait les pattes.

(Voilà, tu as eu ta part de gloire)
Citation :
Publié par Rinmoth
C'est les vacances, je recycle, et je vais vous raconter (de façon très légèrement romancée) comment je suis mort en héros pour la première fois (oui, parfaitement, en héros !)

La première fois où je suis allé dans les Landes, c’était il y a bien des Lunes. Comme je le disais il y a peu sur le fil Pvp, les Landes, je pensais alors que c’était du sable, des pins,et des camps de naturistes . C'est donc avec des envies de vacances au soleil que j’ai pris ma serviette de plage, ma feuille de vigne et ma crème solaire et que je suis parti vers Glain avec mon Gueudeureu (ou Air Ka, en anglais, ça fait plus cool).

A peine arrivé, je sens que quelque chose cloche. Déjà, il flotte dans l'air comme une vieille odeur de mort, un peu comme des chaussettes de nains mais en encore plus piquant (un truc à vous tirer des larmes, j'vous jure). Je jette un œil sur mon équipement et là, horreur : je suis en tenue de carnaval. On dira ce qu’on voudra, la désactivation des tenues, parfois, c’est quand même bien la honte. Je porte donc un truc entre la robe de chambre et les vieux rideaux de Mémé, collection automne/hiver 64. Je rase les murs sur quelques mètres et heureusement, je me rends compte que mes collègues ont l’air aussi grotesques que moi.

On forme une petite troupe de clowns et on s’avance au mépris de toute prudence dans un champ, loin des PNJ qui glandent près de l’entrée du camping. Notre guide autoproclamé– je ne sais même pas d’où il sortait celui-là - nous fait de grands signes étranges en désignant un vilain tout seul en contre-bas. Au bout de quelques minutes, emportés par notre fougue, nous nous jetons tous sur le malheureux en hurlant "Pour Frodon !" avec ordre et méthode (c'est à dire que les buissons sont mezzés, les arbres criblés de flèches, que le méné mène la charge en discours de guerre. Normal).

Le monstre, accueille avec le sourire nos efforts désordonnés visant à le pulvériser. Attrapant à la volée un collègue, il le plaque au sol, puis se retourne en une microseconde tel un ninja pour contrer l'attaque du suivant, tout en écartant la charge d'un troisième en baillant. Costaud le monstre. C'est alors qu'il maîtrisait en ricanant une demi-douzaine d’entre nous que je choisis de placer mon attaque, celle-là même qui m'avait permis de one-shoter la redoutable belette de Bourg de Touque, lors d'un duel de légende encore présent dans toutes les mémoires.

Prenant mon élan tout en souplesse, je bondis vers lui comme j'avais vu si souvent Chuck Norris le faire dans des films, en hurlant « Concluuuuuuusion Epiiiiiiiiiique ! ». En plein vol, je le vois se libérer de l'étreinte de mes comparses et se préparer à me réceptionner. Trop tard pour réagir. J’ai vu tout noir, puis tout blanc, puis re-tout noir. J’apprenais douloureusement le sens du mot « wipe ».

J’ai levé les yeux. L’orque, une lueur sadique dans les yeux, était en train d'assommer notre tank à grands coups de gourdin, tout en enfonçant son pied griffu dans la bouche de notre ménestrel. Les autres étaient accrochés à lui en grappes ce qui semblait à peine le gêner. J'attirais l’attention du lead qui traquait du ouargue à quelques pas de là d'un sonore: "Houston, nous avons un problème!" en constatant que l'orque, loin d'être seul, était en fait l'avant-garde d'une meute de pas beaux, qui nous toisait en ricanant.
Notre chef et guide d'un soir écarquilla les yeux et je vis dans son regard s'allumer comme .... comme une lueur de détresse et de panique à l'instant où il évaluait le désastre : « Retraaaaaaiiiite ! » hurla-t-il d’une voix brisée par la honte.

Avec ordre et méthode, nous traversâmes Les Landes à toute berzingue, comme si nous étions poursuivi par le T-Rex dans Jurassik Park. Chacun pour soi et courage, fuyons.

Je sortais du chaos quelques minutes plus tard, un peu sonné : alors c’est ça, être un héros ?
Epic .
Le plus beau wipe auquel j'ai pu assister (en fait j'en suis sortit vivant) fut avec notre chère bande de bras casser au poulpe de la moria.

Tout le monde rentre dans l'instance, sauf un de nos champions et moi (petit afk téléphone) le lead crie après nous sur notre ts et je vois donc le champion devant moi s'élancer courageusement dans l'antre de la bête, moi le suivant a une dizaine de mètre.

Le champion rentre dans l'instance, je le suis, le champion passe devant l'endroit ou pop le coffre, je le suis toujours, le champion passe l'entrée avec la grille et arrivant devant la grille celle ci se referme juste devant moi et je vois ce cher champion passer dans le raid et continuer sa course vers l'infâme bête.

En fait celui ci était en course automatique et a donc déclenché le poulpe qui après lui avoir mis 2 claques à coup de tentacule pour le border a 'hurler de rage" sur le raid histoire de faire les comptes de tout le monde.

Quand a moi fier chassous, j'ai pu assister a ce sombre massacre écroulé de rire avec les autres sur notre ts, toujours derrière ma grille.

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Plus con, c'est d'avoir réussi le deuxième service (double wipe en peu de temps) lors d'une instance a dol guldur, ou tout les membres du raid tombe les uns après les autres et se retrouve a l'entrée, voyant que ça sentait vraiment le sapin, hop fuite éperdue pour rejoindre mes camarades.

Quelques instants plus tard, les différents gobelins, orcs et warg qui me ciblait encore eurent la bonne idée de venir m'achever a l'entrée et par la même en remettre une couche sur mes compagnons, comme quoi la lâcheté ne paie pas toujours son homme.
Une mort douloureuse, car répétée, c'est sur ce boss dans la forteresse des voleurs du bois de chet qui est dans un coin en haut a gauche avec 2 copains.
J'ai perdu l'invincibilité de 4 de mes persos sur lui. Top envie de lui régler son compte et toujours des aggros de trop.
En pvp 2 duels perdus de suite (enfin je les auraient peut être perdus quand même soyons franc) lorsque des poils de mon avant bras sont allés se perdre contre la bille de ma souris de l'époque (qui ne survécu pas à l'affaire d'ailleurs), m'empêchant un contrôle du curseur à un moment où ma vie était en danger.
Première instance de la Moria, Premier Grand Escalier.
Un rien nerveux quant à savoir si je serais à la hauteur de mes compagnons qui ont l'air bien plus expérimentés.

Ils entrent dans l'instance, j'ai un petit retard à l'allumage et je me rends compte en arrivant de l'autre côté de la porte qu'ils sont déjà en train de se battre.
Comme tout bon chasseur (enfin, comme à mon habitude plutôt), je garde bien la distance et je me décale vers la droite pour avoir une bonne ligne de visée.

La première fois qu'il m'arrive de mourir dans les 10 premières secondes d'une instance, sans même que les monstres n'aient remarqué ma présence.

Et j'aimerais bien savoir ce que les nains ont contre l'idée de rambarde ...

Sinon, il m'arrive aussi de voir mes petits camarades mourir simplement parce que j'aime garder la distance ... et qu'une porte se ferme sous mon nez quand que le combat commence.
Les instances ne sont pas les amis de ceux qui aiment combattre à distance.
en ce moment ma mort préférée est celle du pied de gram là où il y a les pnj qui donnent popo, compétences, traits...une mort bien rigolote si on arrive a se bloquer entre l'échelle et le poteau. Ne fonctionne qu'avec les humano, pas vu réussir un warg ou une gnégné.

morts un poil agaçantes, celles juste avant les titre d'immortalité xD
mes morts preferees sont quand meme quand tout un raid attend pendant 20-30 secondes que je decide de sortir de mon FD avec mon mene ou de mon sanctuaire avec ma gnegne... D'ailleurs a part se faire desirer je crois que ces 2 competences ne m'ont que tres rarement sauve la vie...
témoin d une mort idiote sur le serveur estel on monte un couple de cambi avec mon cheri promenade dans la comté a trucider les chauve souris comme si on sucrais des fraises quand sautant d une colline pas plus haute que deux écureuils ce fessant la courte échelle mon cher et tendre ce retrouve coincée en pleins vole morte de rire devant le remake a la matrix lui peste contre ce serveur en mousse enfin après dix secondes il retombe enfin....en mourant ^^
Une mort vraiment ridicule ?

Je duel avec mon méné il y a quelques jours contre une senti. Je gagne le duel mais il ne me reste plus beaucoup de vie. Le duel s'arrete, la senti se releve, et la je creve comme un c.. a cause d'un Dot qu'elle m'avait laissé en cadeau ^^
Je viens de naître et m'éveille quelque part, entourée de montagnes totalement inconnues. J'ai huit pattes auxquelles je trouve sans me l'expliquer un étrange teint verdâtre. Autour de moi, quelques humanoïdes à l'air patibulaire arborent d'éclatantes auréoles dorées au dessus de leur tête, d'autres encore quelques bannières dont j'ignore la signification.

De toute façon, je n'en ai cure. En contrebas, une palissade trouée d'une porte me laisse entrevoir un paysage d'apparence infini. Mon impatience est grande. Sans plus me préoccuper de ce qui m'entoure, je cours vers la liberté ! Surtout ne plus entendre ces voix grasses et rauques me couvrant d'insanités !

De toutes les forces de mes petites pattes, je descend vers la vallée, laissant à ma droite une horrible fange grouillante d'immondes limaces puis une grande bâtisse de pierres. Je cours, je cours et descends encore. Un chemin, un pont garni d'étendards rouges qui claquent au vent, quelques formes qui dansent au loin, des éclairs.

Je cours, je cours, m'approche de la masse des danseurs multicolores qui grossit et s'agite. Derrière, un immense mur gris éventré et frappé de bannières bleues et blanches m'hypnotise. Je cours, je cours, je cours vers le mur ! Oui, c'est ça, je vais dans le mur, j'y vais tout droit !

Kwiiik !!!

... souhaitez vous vous replier ? Qu'est ce à dire ? Tout est soudainement gris ! Me replier ? oui... enfin, je ne sais pas... oui. Nouveau paysage, silhouettes massives d'archers qui m'entourent. Au loin, le pont. Je cours, je cours ! Le pont, à nouveau les danseurs, les éclairs et le mur, ah oui le mur ! Je finirai par y arriver, cette fois, j'irai tout droit, tout droit dans le mur !

"Hem... Faut pas foncer comme ça !" me crie quelqu'un...

Kwiiiik...

Toute première sortie pvp, quinze morts (au moins). Je ne savais pas... je ne savais rien... Je ne suis plus jamais sorti en gnégné. Quelle saloperie la guerre
lol ^^ bon , la première mort marrante qui me vient à l'esprit : dans la salle des coffres de la 21e salle , il y a avait un bug contre un mur , on sautait et ... on avait l'animation du gars qui tombe , sans tomber. par contre quand tu arrête d'avancer tu meurs très fort
Témoin d'une mort, disons... Poétique.

Nous sommes 6 : un chasseur, un champion, un gardien, un ménestrel (un peu fan du Donjon de Naheulbeuk), un maître du savoir, un capitaine : le groupe presque parfait. Nous sommes dans l'instance Thadur. Tout se passe bien. Nous tranchons gorges et broyons os, parfois même pourfendons des lumières. La dernière lumière a été éliminée. La porte s'ouvre. Nous entrons. Une fois de plus, nous faisons goûter de notre épée, de nos flèches à ces êtres maudits.
Une nouvelle porte s'ouvre. C'est celle du Dépouilleur.
Avant d'attaquer, nous nous organisons. Le capitaine pose ses bannières, les autres se préparent, usent de sortilèges, enflamment leurs flèches, mangent un morceau.
Nous lançons le discours habituel avant d'attaquer ce Seigneur des Galgals : il ne peut mourir tant que ses sous-fifres sont en vie, quand soudain...
-Mais, mais... Qu'est-ce qu'il fout le ménestrel?
C'est sur ces paroles que nous voyons notre ami, la guitare en main, en train de faire une petite chanson à Thadur. Évidemment, il s'est fait pourrir. Au milieu des cris de guerre, nous vengeons notre musicien bien aimé, mais sans son soutien, Thadur étant un peu trop fort pour nous, nous sommes allés le rejoindre Là-Haut...
Ma mort la plus bizarre, c'était à la sortie du patch qui rajoutait le Haut Col Nord aux Monts brumeux.

Impatient de voir ce que cela donnait, surtout avec le fameux brouillard dont on parlait sur les forums, je chevauchais ma belle monture en zigzaguant dans les virages qui montent au sommet...

Lorsque soudain, sans crier gare, je me suis retrouvé catapulter dans les airs, toujours sur ma monture... puis, forcément, je pus profiter d'une chute d'au moins 20 secondes avant de retoucher le sol... bien évidemment, je n'étais plus en mesure de gravir le col
Il était une fois dans les Landes un gardien des runes qui , se faisant habituellement mâchouiller par les ouargues , décida de rester dans le camp sud jusqu'à ce qu'on lui saute dessus.Il repoussa quelques curieux qui essayaient de venir chercher le maréchal An ils se replièrent donc sur le pont et lui restait dans sa forteresse et soudainement alors qu'il avait les yeux rivés sur l'entrée il sentit la morsure de l'acier se faire ressentir et ce bruit d'arc pourtant aucun abominable flèchenoire en vue... il regardait ,affolé, autour de lui et s'aperçut que ses compagnons elfes le criblaient de flèches du haut de leurs palissades paniqué et ne pouvant pas se défendre il s'enfuit de ce camp de traitres dans un sale état!!Titubant il tente désespérement de s'enfuir mais les cruels monstres n'hésitent pas une seconde pour prendre leurs revanches!!!
Çà m'a couté pas mal de P.O., mais les elfes ont tenu leur parole, eheheh...
La mort la plus débile que j'ai eu était dans la beta : Prise du dada à Duillond pour Celondim ...

à cette époque là on pouvait pas vraiment dire que les trajectoires étaient le fort de ces canassons : je me suis retrouvé en bas d'une falaise le nez dans l'eau ... mon jeune chassou n'a pas apprécié et a templé direct ...
En instance dans la Moria ( Celle où on doit enlever l'eau avec des leviers etc ...), avec mon groupe, nous étions en train d'établir une stratégie pour la salle suivante, et après celà, je passa devant pour mettre le plan à exécution, mais qu'elle fut ma surprise quand je passe littéralement à travers le pont et viens m'écraser plus bas.

Et comme si ça ne suffisais pas les quelques monstres qu'il y avait eux ne passent pas à travers mais en plus dès qu'ils tombent reviennent en haut.

Mais j'adore ce jeu.


Ou alors, lors d'un RP, un de mes amis s'était jeté du pont de Duillond mais il survécut, le RP s'en suit et à 4h du matin, la fatigue et tout ça peut modifier le comportement et étant sur le bord du pont je voulais me retourner et j'ai eu peut d'un Hobbit qui faisait le trajet pour aller en compté via un voyage rapide et je tombe lamantablement du pont et là non plus je ne survécu pas.
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