Keelala Chapitre II : Apprendre

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Hibernia

. . . J’ouvris les yeux sur un mur de larges pierres taillées. Me retournant, je vis que je me trouvais dans un fort aux hautes murailles. Mavelle et moi étions sur un large cercle pavé. En lieu et place du roi se tenait une elfe aux longs cheveux blancs et tout autour de nous, là où se trouvaient des elfes auparavant, il y avait d’étranges créatures humanoïdes trapues et au teint rose. J’eut un mouvement de recul vers Mavelle lorsque l’un d’entre eux s’approcha de nous. Elle posa doucement ses mains sur mes épaules.

- Il s’agit là d’êtres humains, Keelala. N’ait crainte car ce sont nos courageux alliés dans la défense d’Hibernia.
- Ce… ce sont des… mortels ?
Balbutiais-je.
- Oui, mais leurs courtes vies n’en sont pas moins investit des pouvoirs de la Nature et de l’Essence. De ce coté du Voile la mort est notre lot à tous et elle nous guette à chaque instant. Il te faudra apprendre à les connaître et à leur accorder ta confiance. Ta survie en dépend.

. . . Sans m’en rendre compte, j’avais effrontément dévisagé l’humain pendant notre discussion. Détaillant son visage, j’y cherchais les signes de sa nature humaine et éphémère. Il m’adressa un sourire qui me fit l’effet d’un coup de fouet et je détournais brusquement les yeux en rougissant.

. . . Mavelle le salua de la tête puis se dirigea vers deux lourdes portes de bois. Je la suivit en trottinant, inquiète de perdre sa présence rassurante. Nous sortîmes du fort et nous dirigeâmes vers une étable. Un humain nous y attendait, tenant par la bride un cheval et un poney. J’attachais mes affaires sur le dos du poney et y grimpais prestement. Mavelle enfourcha sa monture, un cheval épais et vigoureux, puis elle s’engagea sur la route qui mourrait au pied du fort.

- Il existe sur Hibernia, une autre race de mortels. Ce sont les firbolgs. Ils sont beaucoup plus grand et leur force physique est sans égale. Mais méfie-toi des a priori que leur aspect primitif pourrait te donner. Ce sont des créatures dont la communion avec la nature reste mystérieuse même pour nous autres elfes. Ils ont appris bien des secrets aux humains que nous ne savons maîtriser nous même.

. . . J’écoutais Mavelle tout en scrutant le paysage. Nous longions une rivière aux flots clairs. Partout, une herbe verte et fraîche recouvrait le sol. La route sur laquelle nous avancions était droite et son dessin net me fit deviner qu’elle était souvent utilisée.

- Je vais te conduire à ton nouveau logis, dans la ville de Ardee. Puis je devrais te laisser pour me rendre à Tir Na Nog, notre capitale. Brigit m’y attend. Prend du repos, car dès demain, je viendrais te chercher pour commencer ton apprentissage.

. . . Elle éperonna son cheval et je lançais mon poney dans un petit galop pour la suivre. Nous passâmes rapidement dans un hameau que Mavelle désigna du nom de Basar. Puis nous traversâmes la rivière et après ce que j’estimais être une heure pleine nous pénétrâmes dans une ville. Mavelle me conduisit devant une maison d’un étage aux proportions impressionnantes. Les murs étaient fait de pierres blanches et régulières et un escalier courrait le long du mur droit jusqu’au premier étage.

- Tu logeras à l’étage qui est indépendant du rez-de-chaussée. Derrière il y a une étable où tu pourras installer ton poney. Je dois te laisser à présent.

. . . Elle fit tourner son cheval et disparut rapidement au coin de la rue. Je descendit de mon poney et fit le tour de la maison. Une petite écurie se tenait au fond d’une cour propre et ordonnée. Je souris en voyant une forge soigneusement entretenue dans l’un des coins. Je descellais ma monture et la fit entrer dans l’une des stalles. Dans le box voisin, un immense cheval nous observait d’un œil calme. Je prit mes affaires et me dirigeais vers l’escalier. Les marches étaient hautes et larges. La porte au sommet était deux fois plus grandes que celle d’une habitation de lurikeen. Tendant le bras, je saisis la poignée et l’ouvris. J’entrais dans ce qui me semblait être un petit salon. Une table et deux chaises ainsi qu’une cheminée en composaient le seul ameublement. Deux ouvertures se découpaient dans les murs. L’une d’elle menait à une cuisine tout aussi sobrement équipée et l’autre à une chambre contenant un lit et une armoire immenses. Je déposais mes affaires sur le lit puis restais immobile dans le silence de ma nouvelle demeure.

. . . Cédant à une impulsion soudaine, je me précipitais à l’extérieur et dévalais les escaliers. Puis, après une courte hésitation, je m’engageais dans la rue. Au bout de celle-ci, je débouchais dans une autre plus animée. Je m’arrêtais et observais. Peu d’elfes, quelques lurikeens à l’air hautain malgré le contraste de leur petite taille dans cet environnement disproportionné, beaucoup d’humains et…d’immenses créatures que je devinais être des firbolgs. La description sommaire que m’en avait faite Mavelle ne pouvait me préparer à leur vision. Ils avançaient lentement, le regard lointain et échangeait de temps à autres un signe de tête avec l’un d’entre eux ou avec un humain. Lorsque l’un d’eux passa près de moi, je m’aperçut que le sommet de mon crane ne dépassait guère son genou. Et je restais bouche-bée, le nez en l’air.

. . . Précautionneusement, je m’avançais dans la rue. Je marchais, observant tout ce qui m’entourait jusqu’à ce que j’arrivas devant un étal tenu par une lurikeen. Son air revêche s’effaça lorsqu’elle me vit approcher.

- Bonjour jeune lurikeen ! Que puis-je faire pour toi ? Clamat-elle.
- Bonjour. Répondis-je en m’inclinant. Je souhaite acheter quelques nourritures et comme je viens d’arriver…
- N’en dis pas plus mon amie ! Tout ce qu’un compatriote peut désirer, il le trouvera dans ma boutique ! Je vais te préparer un panier. Alors tu viens d’arriver ?
- Oui, il y a deux heures tout au plus que j’ai traversé Le Voile…
- Ah ! Mais tu dois être affamée mon enfant ? Tiens prend ceci, je te l’offre pour te souhaiter la bienvenue dans ces terres hostiles.
Dit-elle en me tendant une poignée de fruits secs.

. . . A dire vrai, je n’avais guère faim et je m’étais adresser à elle plus pour parler à un être familier que pour acheter quoi que ce soit. Mais je n’osais refuser et mordais dans l’un des fruits.

- Les temps son rudes mon enfant et il ne faut pas perdre une occasion de prendre des forces. Qui sait de quoi la minute suivante sera faite ? Avec ces barbares à nos portes, même notre puissant peuple craint pour sa sécurité . Notre alliance avec les Celtes et les Firbolgs est bien la preuve de la gravité de la situation ! Mais quoique l’avenir nous réserve, Elle se pencha vers moi et murmura. Je n’oublis pas qu’ils furent nos ennemis et je continuerais de me méfier d’eux… Elle reprit un ton normal et continua. Enfin ! Le danger immédiat vient de ces deux royaumes belliqueux, Albion et Midgard.
- Albion et Midgard…
- Oh oui ! L’arrogance des humains d’Albion n’a d’égal que leur incroyable ignorance. J’ai entendu dire qu’ils nous appellent barbares ! Les sots ! Eux qui ne savent rien de l’Essence et dont le plus âgé est né alors que j’étais déjà vieille ! Mais ce n’est rien en comparaison des créatures qui peuplent Midgard. Les humains de cette terre se sont alliés aux pires démons qu’il puisse exister. Des trolls, ces créatures sauvages et sanguinaires et même des kobolds, ce vilain peuple dont les infamies ne sont plus à prouver. Et les nains ! Ah ces difformes gratteurs de cailloux ! Il paraît même que…
Elle s’interrompit brusquement. Mais je parle, je parle et j’en oublis les bonnes manières ! Tant de paroles dessèchent le gosier ! Entre donc, nous allons parler plus à l’aise autour d’une table et d’un jus de fruit…

. . . Sachant qu’essayer de décliner une telle invitation serait comme tenter de faire pousser des cailloux, je la suivit dans l’arrière boutique. Je passais l’après-midi en sa compagnie à l’écouter me dépeindre la situation d’Hibernia depuis la mort d’un roi humain appelé Arthur Pendragon.

. . . Je rentrais chez moi le ventre et les oreilles pleins. A peine déshabillée et allongée sur mon lit démesuré, je sombrais dans le sommeil.

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SHCLAP SHCLAP ( bruit du fouet au cas ou vous auriez pas compris )

TIC TAC TIC TAC ( ben la c'est le métronome )

/em Transpire

Voila chef.....
__________________
Citation :
Provient du message de Ihria PHILOS
SHCLAP SHCLAP ( bruit du fouet au cas ou vous auriez pas compris )

TIC TAC TIC TAC ( ben la c'est le métronome )

/em Transpire

Voila chef.....
Héhéhéhéhé c'est un bon gars ce Breiht, je vais bien finir par lui donner une promotion

Entre deux coups de fouet hesite pas a lui faire un petit massage des épaules, ça detend et ça motive autant qu'un coup de fouet

Jaha Effect
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Mavelle

. . . Je m’éveillais avant l’aube et me préparais. Je rangeais soigneusement dans l’armoire l’armure et les armes donnés par Keemoma. Puis, j’ouvris le sachet contenant le cadeau de Keeroro. Il s’agissait d’un lourd pendentif fait d’une pierre noire. Je le passais autour du cou et attendis. Malgré ma concentration, je ne ressentis absolument rien. Je haussais les épaules et souris. Les enchantements de mon frère n’étaient peut-être pas au point mais j’étais heureuse de porter son présent. J’enfilais ensuite une tenue de cuir léger et déjeunait légèrement debout dans la cuisine. A peine avais-je fini que l’on frappait à ma porte.

. . . Mavelle se tenait sur le seuil. Elle portait une armure de cuir épais teintée d’un vert sombre. Une cape noire tombait de ses épaules. Ses yeux violets posés sur moi, semblaient plus sombres dans la faible lumière matinale.

- Salutations, Keelala. Suis-moi. Annonça-t-elle simplement.

. . . Je fermais la porte de mon logis et descendis l’escalier à sa suite. Nous allâmes chercher mon poney puis nous traversâmes la ville encore partiellement endormie. Suivant une route différente de celle de la veille, nous arrivâmes rapidement dans une autre ville. Mavelle sauta de son cheval devant une échoppe qui ouvrait ses portes et je fis de même. Elle pénétra à l’intérieur et me fit signe de la suivre. Un lurikeen d’un certain âge époussetait les nombreuses armes disposées sur les étagères. Des poignards, des dagues, des stylets et d’étranges couteaux à la lames ondulées brillaient nonchalamment dans la pénombre de la boutique.

- Salutations, Fripon. Mon élève a besoin de ta science des armes. Il lui faut un poignard d’entraînement.

. . . Le lurikeen sourit et s’approcha de Mavelle.

- Bonjour Dame elfe. Votre confiance en mes connaissances m’honore et je tacherais de me montrer à la hauteur de vos attentes.

. . . Il se tourna vers moi.

- Bonjour jeune lurikeen. Mon nom est Fripon et je vends des armes que j’espère de qualité. Comment vous nommez-vous ?
- Bonjour, maître, mon nom est Keelala, fille de Keemoma et Keepopa.
- Keemoma ! Quelle coïncidence ! Elle fut mon maître forgeron, il y a de cela bien longtemps ! C’est un double honneur que de servir sa fille ! Comment se porte-t-elle ? A-t-elle aussi traversé Le Voile ? En ce cas, il faut que j’aille vite lui rendre mes hommages !
- Hélas, ma famille est encore de l’autre coté. Mais ils doivent bientôt me rejoindre et votre visite sera un plaisir pour ma mère.
- C’est dit, donc ! Mais en attendant, je vais m’efforcer de faire honneur à son enseignement et vous offrir une arme digne de la fille de mon maître. Ne bougez pas !
Dit-il avec un clin d’œil.

. . . Il se précipita vers l’arrière de sa boutique et fouilla un coffre en marmonnant. Au bout de quelques minutes, il se redressa brusquement avec une exclamation étouffée et brandit à mon intention un morceau de tissu roulé sur lui-même.

- Le voilà ! J’ai bien cru l’avoir perdu mais il se tapissait simplement au fond de mon coffre en attendant le maître adéquat ! Et le ou plutôt la voici !

. . . Il posa le tissu sur le comptoir et le déroula lentement. Me penchant, je vis un poignard à la lame étincelante. L’expérience du travail de Keemoma me donnait l’œil assez sur pour reconnaître là une arme de belle facture. La garde était finement travaillée et le tranchant de la lame affûté à la perfection. Je le saisis et le soupesant estimait son poids très réduit.

- Vous convient-il ?
- Il est parfait ! C’est une très belle arme et j’aurais presque peur de l’utiliser !
- Je suis flatté ! Mais n’ayez aucune crainte. Ce poignard a trouvé son destinataire. Il attend maintenant que vous lui traciez son destin.
- Combien vous dois-je, Maître ?
- Le simple coût du matériel. Car la fille de mon maître est de mes amis et il n’est point question de bénéfice dans ces circonstances. 20 pièces d’argent et nous serons quittes.


. . . Je le payais et le remerciais. Mavelle le salua en silence et nous sortîmes de l’échoppe. Nous remontâmes à cheval et repartîmes. Quittant la route, Mavelle nous fit traverser une vaste plaine et contourner un lac. Arrivée à l’orée d’une forêt, elle s’arrêta et descendit de cheval. Je sautais à terre à mon tour et m’approchais d’elle. Elle détacha du dos de sa monture un petit arc qu’elle me tendit. Malgré mon impatience, je le saisis avec tout le calme dont j’étais capable.

. . . J’avais cru ressentir quelque chose au contact de cette nouvelle arme, mais il ne se passa rien. Je fis vibrer sa corde qui me paru trop tendue. Je changeais de main et tentais d’apprivoiser l’objet, attendant toujours un signe quelconque.

- Cet arc n’est pas fait de vulgaire bois Keelala. Il n’en reste pas moins un outil que ta main et ton cœur doivent diriger. N’attend pas qu’il encoche lui-même une flèche et tende sa corde. Ton arc n’est que le prolongement de ta volonté. Et c’est ton doigt qui touchera ta cible par l’intermédiaire des flèches. C’est un arc elfique d’entraînement. Il est enchanté et donnera plus de précision à tes tirs. Cependant, il n’agira pas à ta place. Il n’est pas bien différent de ta fronde.

. . . Cette comparaison avec ma fronde, m’ouvrit les yeux et je compris que c’est à l’arc d’attendre mes actes et non le contraire. Je l’empoignais alors fermement et le tenant à la verticale, je tendis la corde avec difficulté. Mavelle passa derrière moi et corrigea doucement les défauts de ma position. Puis elle s’écarta et saisit une petite flèche de son carquois. Elle me la tendit. Je la pris et me remis en position, flèche encochée. Elle se pencha vers moi et repositionna fermement mes doigts.

- Les flèches sont destinées à voler. Il ne faut pas les maintenir trop fermement de peur de rompre leur élan et briser leurs ailes. Tu dois montrer la voie à tes flèches pas diriger leur destin.

. . . Je restais silencieuse et je tachais de me détendre et de rendre ma prise plus légère malgré mes muscles qui commençaient à s’ankyloser.

- Vise cet arbre. Dit-elle en me désignant un chêne vénérable.

. . . Je repérais un point plus foncé que le reste de l’écorce et me concentrais dessus. La flèche partit sans que j’en ais conscience et se planta brutalement dans le point. Je relâchais ma tension et souris à Mavelle. Ses yeux brillaient et elle me sourit aussi. Je laissais échapper un long soupir en regardant à nouveau ma flèche fermement fichée dans le tronc de l’arbre.

- Keepopa avait raison. Tu sais viser une cible.
- Merci.
Murmurais-je.
- Ton apprentissage ne fait que commencer et nul ne peux dire ce qu’il en sortira. Toutefois, je crois qu’un jour tu trouveras ton arc.
- Mon arc ?
- L’arc qui sera le parfait prolongement de ton cœur. Celui qui sera l’instrument de ta volonté. Cette arme portera un nom et deviendra une partie de toi. Mon arc s’appelle Victoire et voilà bien longtemps que ma main a épousé ses formes.


. . . Je savais par les légendes que me racontait Keemoma, que certaines armes aux forts pouvoirs étaient nommées par leurs possesseurs. Il ne m’était jamais venu à l’idée que je puis posséder un jour l’une d’entre elles. Sans oser l’avouer à Mavelle, j’écartais cette idée que je trouvais vaniteux de caresser.

. . . Mavelle m’enseigna les rudiments de son art pendant toute la journée, ne s’interrompant que pour un frugal déjeuner. Lorsque le soleil se coucha, que mon poney fut rentrer à l’étable et pansé, je montais lentement les hautes marches menant à ma demeure. Sans prendre le temps de manger, je bandais mes doigts et mes mains meurtries puis j’allais précautionneusement m’allonger sur mon lit. Chacun de mes muscles était douloureux, toutefois mon épuisement était tel que je m’endormit comme on tombe. Brusquement.




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Message hors-roleplay
Citation :
Provient du message de Jaha :
Héhéhéhéhé c'est un bon gars ce Breiht, je vais bien finir par lui donner une promotion
Eh bé..... c'est pas trop tôt ....

Avec tout le mal que je me donne ...

Faut dire aussi que le chef, whaou ce qu'il est fort, et beau et intelligent, et qui cours vite, et qu'il est excellent artisan....Il m'en reste encore plein, mais je garde pour le cc guilde )

Comment ca ? je suis rang Zéro!!!!! /em étonné

Quelle surprise !!!!!!!


....Aie, j'ai marché sur ma langue ...
__________________
Citation :
Provient du message de Breihtlag Philos


Eh bé..... c'est pas trop tôt ....

Avec tout le mal que je me donne ...

Faut dire aussi que le chef, whaou ce qu'il est fort, et beau et intelligent, et qui cours vite, et qu'il est excellent artisan....Il m'en reste encore plein, mais je garde pour le cc guilde )

Comment ca ? je suis rang Zéro!!!!! /em étonné

Quelle surprise !!!!!!!


....Aie, j'ai marché sur ma langue ...
Hum heu... rang 0 faut pas pousser c'est mon boulot ca...
On en rediscutera

Keekee je deviens franchement accro et Jattend la suite impatiement

Jaha Effect
Faut pas s'impatienter chef, elle arrive bientôt à la fin de se qui est déja écrit, ensuite....
Faut que ca vienne...

/em Remets le métronome en route tic tac tic tac
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