[Concours RP] 10 Clés Open Bêta à gagner!

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Amis retardataires, tout espoir n'est pas perdu!

En effet, 10 Clés pour l'Open Bêta attendent patiemment leurs heureux propriétaires!

Afin de récompenser ceux qui sont trop souvent mis à l'écart, ceux qui sont la proie aux moqueries et aux pouffements de la masse ignorante, ceux qui osent rajouter à leur périple la complexité d'une vie à leur avatar, ces clés trouveront acquéreur uniquement chez les Rôlistes.

Pour gagner leur précieux sésame, il leur faudra convaincre Aion d'ouvrir les portes sacrées d'Asmodea ou d'Elyséa. Une prière, un récit, qu'importe du moment qu'il puisse juger si vous êtes dignes de devenir des Daevas!

A vos plumes, et bonne chance à tous!



Règlement:

1°) Seuls les texte RP seront pris en compte. Et non, "J'suis 1 tu3ur senginair analfabête" n'est pas du RP.
2°) Date limite: Samedi 5 septembre 10h00. ( faut avoir le temps de télécharger le client quand même :P )
3°) Les meilleurs textes seront récompensés, quelle que soit le moment où ils sont soumis. Pas de presse! =)
4°) Une langue irréprochable fera grandement pencher la balance en votre faveur. Le langage SMS sera d'office éliminé. ( Vous n'êtes pas obligé de pratiquer que le français )
5°) Texte court ou non, pas de soucis de ce coté là non plus.
6°) Pas de crevettes, ou seulement avec sauce mayo-ketchup

PS: Si vous êtes surs de vous, hésitez pas à lancer le téléchargement du client dès maintenant
"Se tu peuz muer et changier l’air de la terre et
l’eaue et l’ordonnance des citéz, accompliz tout
ton desir. Et se tu ne le peulz faire, cesse et n’en faiz
riens mais le gouverne en ta bonté et les essauce en
ta benignité. Et se ainsi le faiz, j’ay esperance que
tous seront tes bons subgetz a tous tes bons plaisirs
et commandemens. Et pour l’amour que ilz aront en
toy, tu regneras sur eulx paisiblement en grant victoire."

un texte en SMS du XVe
siecle, qui colle parfaitement avec le background d'AION

(c'est du vieux francais bien sur, pas du sms...juste pour dire que la langue evolue
et que le sms en est une derivation)


et je suis pas hors sujet, ce texte est totalement role play !

http://www.uhb.fr/alc/medieval/S2.htm
Rp dans l'âme je me lance

*L'histoire se passe avant l'explosion de la tour d'Aion*

Darfanda Dragonbreath, est la dernière et seul héritière de la famille Dragonbreath, une famille au sang noble mais éteinte depuis des années, cette jeune magicienne au teint pale, au traits maline et fier vivais dans un petit village reculé des terre humaine d'Atreya.
Se petit village était que très peut attaquer et donc faiblement gardé, Darfanda et sa magie était comme une sorte d'attraction, faut dire que le village était couper du reste du monde et donc la magie n'était que peut courante, elle appris a maitrisé la magie parmi les grimoire que gardé la famille Dragonbreath, vestige de leur gloire passer.

Elle était fier et n'hésite pas a faire usage de sa magie contre moult Gobelins et autre créature de type mineurs qui pouvais entouré le village, mais cette force lui monta vite a la tête et elle se mit en tête qu'elle était la meilleur et voulus partir a l'aventure, parcourir les donjons, récupérer les trésor, défaire les pire créature d'Atreya et même défié les Balaurs et donc par se bié récupérer la gloire des Dragonbreath.

Mais se que cette jeune enfant ignoré c'est que le monde était pas aussi facile que se qu'elle pouvais en voir aux village, son grand-père ancien héros des Dragonbreath et fier chevalier qui parcourus le monde d'Atreya, la mis en garde que le monde n'était pas aussi simple qu'elle n'y croyez et que seul elle n'irais pas loin, qu'elle devrais rester a l'abri dans le village, mais elle ne l'écouta pas et partie a l'aventure bien décidé a parcourir Aion.

Son histoire commence dans une grande ville éloigné de son village ou comme d'habitude se démarqua des autre via sa magie, elle eu aucune pêne a se défaire des soit disant ennemis de la ville qui était d'ailleurs les même que sont village ces fameux gobelins et même de quelque personnes avide de sang et d'or qui essaya de la détroussé ou d'autre attention beaucoup moin noble, elle commença donc a se faire un nom parmi cette nouvelle ville, quelque marchand lui appris même a faire usage de ces dons de couturière qui lui avais était enseigné par sa mère pour crée des robe enchanté lui offrent de meilleur capacité dans sa magie.
L'aventure commencer si bien qu'elle rigola en pensent a son grand-père, jusqu'au jour ou le concilié de la ville lui demanda de défaire la reine dragon qui détenais un marais non loin de la ville pour pouvoir stoppé leurs attaques, sur d'elle elle accepta sans hésité.

Arriver dans le marais des dragon elle commença par défaire le premier garde mais cette fois si avec beaucoup de fil a retordre, puis d'autre garde vain, elle eu de plus en plus de mal, faut dire aussi qu'elle n'avais réussi a apprendre beaucoup de sortilège, et plus elle en tuer plus il en venez elle fini par être déborder et finalement vaincue par les garde et fut laisser a l'agonie dans se marée,
Quelque minute après elle avais trouver les force d'ouvrir les yeux, c'est alors qu'elle vis un groupe d'héros venue pour le même raison qu'elle, en groupe il parvint a défaire tout les garde avec grande facilité, et tua même la rêne, elle vis que certain d'entre eux soigné les autre, d'autre plus costaud essayer d'empêcher l'ennemi d'attaquer le reste du groupe, un vrai travail d'équipe. Puis le groupe arriva vers elle, l'un d'entre eu se pencha sur elle pour voir comment elle aller et la réanima, une fois qu'elle était sur pied il reparti vainqueur du combat contre la rêne.

Elle compris donc se que voulais lui dire son grand-père, il ne voulais pas la garder au village mais il savais que son égo l'empêcherais de s'allié avec d'autre pour parcourir le monde d'Atreya, une fois rentré a la ville elle se décida donc a trouver une compagnie, mais malheureusement pour elle toute les communauté ne correspondais pas a se qu'elle chercher, tous était des brigand, des voyous, des voleurs, il y eu même un groupe de personne qui voulais qu'elle les aide a attaquer la ville, bien sur elles les dénonça et ils sont maintenant en train de croupir au fond d'un cachot, désespéré elle fini par baissé les bras et se dit qu'elle ne deviendrais jamais la grande mage dont elle rêvé.

Récit de Darfanda Dragonbreath, Plus communément appeler Darfanda La Froide.
__________________
http://i.imgur.com/gBqGQ.jpg
Citation :
Publié par looktaar
"Se tu peuz muer et changier l’air de la terre et
l’eaue et l’ordonnance des citéz, accompliz tout
ton desir. Et se tu ne le peulz faire, cesse et n’en faiz
riens mais le gouverne en ta bonté et les essauce en
ta benignité. Et se ainsi le faiz, j’ay esperance que
tous seront tes bons subgetz a tous tes bons plaisirs
et commandemens. Et pour l’amour que ilz aront en
toy, tu regneras sur eulx paisiblement en grant victoire."

un texte en SMS du XVe siecle, qui colle parfaitement avec le background d'AION
je n'ai rien compris . . .
Je ne suis pas bien certain de l'opportunité de créer ce type de concours non officiel, mais si ça part en "flamme" et "troll", cela ne va plus le faire du tout.

Je vous demande donc au minimum de jouer le jeu et de ne pas faire dériver le fil.

Merci.
Pour la traduction approximative du texte (du vieux français mal orthographié car je ne suis pas sur pour la multitude de z)

Citation :
Si tu peux convertir et changer l’air, la terre, l’eau et la position des cités, accomplie tes désir. Et si tu ne le peux point, cesse de ne rien faire et continue de gouverner avec bonté et droiture. Si tu agis ainsi, j’ai espoir que tous seront de bons sujets et obéiront à tes bons plaisirs et commandements. Et pour l’amour qu’ils te témoigneront, tu régneras sur eux paisiblement et glorieusement.
Edit bis : auto nettoyage car grillé par Le Saint
L'ombre se tient calmement sous les branches d'un grand arbre. Elle reste debout là et observe les restes de la tour ; un sourire effleure son visage... les souvenirs de ce qu'elle fut, l'appréhension de ce qu'elle est devenue et les possibilités de ce dont elle sera la cause; à tout cela l'ombre songe.
A l'heure entre les heures, ce sont les souvenirs qui remontent à ses lèvres. Sa voix s'élève alors comme si elle avait été liée au vent, ... Comme si deux compagnons de route se retrouvaient pour une promenade afin de se remémorer les histoires de leurs temps.


J'aimais un haut pic proche, au bord de nos Terres.
Tout là-haut, au creux de la main des Quatre Vents,
Je n'étais plus ni homme, ni femme en ces temps.
Je croyais que j'étais un enfant du grand air.

Là-haut, le Cataclysme quittait mes pensées.
Je sentais l'Aether qui m'ouvrait grand ses bras,
J'observais de nobles oiseaux volant vers moi
Je n'étais qu'un morceau de l'Astre qui riait.

J'aime un haut Pic en bordure de nos Terres.
Tout là-haut, je fuis quand mon coeur s'engourdit;
Quand les Ombres grandissantes me terrifient
J'y vais bien avant que je ne désespère...

Là-haut, je pense à mes espoirs et à mes Vents,
En essayant d'oublier ces carnassières,
Je tente d'ouvrir plus mon coeur à leurs doux chants;
Cela fait, je vois à nouveau la Lumière.

J'aimerai ce haut pic aux confins de nos Terres.
Là-haut, Je serai toujours maître de ma voie.
A jamais hors d'atteinte des briseurs de foi,
Je resterai à l'abri des mauvaises ères.

Tout là-haut, j'attendrai le temps qui m'oublia.
Un jour, ils approcheront de mon beau repaire,
Alors, en un trop court instant, mon coeur ouvert
Soufflera son dernier chant aux Quatre Vents.

Le chant achevé, le vent reprend ses droits dans ses environs. L'ombre s'enroule plus fermement dans sa cape et se dirige à pas lent vers un autre endroit. Nul doute que le vent portera les mots comme il le voudra et à qui le pourra.

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Ca faisait longtemps que je n'avais pas ressorti quelque chose de mes vieilles notes. Enfin, c'est pour la bonne cause.
L’air résonnait d’un bruissement terrifiant... Presque un millier de dragons se dressaient sur leurs pattes postérieures, les naseaux dilatés, le regard froid du reptile aux aguets.

En face d’eux, sur les collines de l’autre côté de cette immense plaine, d’innombrables sorciers d'Asmodéa. D’aucuns les disaient milles, d’autres riaient fort en les prétendant cinq milles. Et c’est de l’ordre de la moitié de ce dernier chiffre qui se situaient là.

D’où venaient-ils ? Que voulaient-ils ? Pas plus que les dragons, personne sur notre île ne les avait jamais vus. Les intouchables, deux royaumes, frères et ennemis, Thaystun et Thaysteudeuh, étaient soudainement apparus.
Nul d’entre nous ne comprenait ce qui se passait. Nous ignorions même s’ils respecteraient la règle vis à vis des plus faibles. Cette règle si ténue, devions-nous compter dessus ?
Puis une soudaine rumeur. "Ils se sont pas là pour nous" se répandit dans toutes les contrées comme une traînée de nova. Mais alors pourquoi ?
Tous, nous l’ignorions. Même les plus fous n’auraient jamais inventé cela.

Car il semble à présent certain, au cœur de chacun ayant put les voir de loin rejoindre leurs positions de combats, qu’ils n’avaient d’autres buts que de s’entre déchirer.

Personne, personne n’osa y risquer un émissaire. Il est des tailles militaires qui font éviter certaines ingérences.

Et ils se trouvaient là. Imaginez.

Imaginez deux telles armées ainsi rassemblées. Les cris explosifs de défis des dragons. Les psalmodies funèbres chargées de haine des sorciers.
Une atmosphère terrible. Deux sons discordants, ennemis jusque dans l’air, qui se marient en un oral combat pour venir en nos terres porter la nouvelle de ce fabuleux duel.

Tout à coup, le silence...

Puis, les craquements milles fois amplifiés du cuir reptilien qui se tend sur les muscles qui se bandent. Des mâchoires infernales, bouches de l’enfer pour le moins, qui s’ouvrent et se referment.
Et l’assaut !
Ils hurlent, ils courent, ils sautent, et à mi-chemin se stoppent comme un seul et lâchent un feu incommensurable. Une vague d’une densité inimaginable, de 3 âcres de largeurs, file vers leurs ennemis.
L’assaut fut si vif et rapide que les sorciers ne peuvent se protéger suffisamment. Les magies ne sont rien face à telle furie brûlante. Leurs rangs se clairsèment comme un champ de blé ravagé de vent sous la tempête . Les hommes se couchent, se calcinent, se meurent. Il est impossible de savoir combien rejoignirent ainsi leur Dieu. Mais plus d’un demi-millier, c’est une évidence. Cette vague, cette comète ardente, fut un tel prodige qu’il est impossible que jamais notre île n’ait connu cela.

Mais les sorciers, rompus à la guerre, en pleine maîtrise de leur art, d’immédiatement vouloir riposter. Et leur incantation, interrompue par la première vague, de reprendre de plus belle. En l’espace d’un instant, l’air vibre d’une pression comme si un Dieu mineur prenait la terre dans un étau et serrait. L’espace semblait rétrécir. Le temps s’arrêter.
Et cette bulle de non-temps tout à coup d’enfanter : une tornade de lumière et d’éclairs débouche du sommet de la sphère. Absorbant sa substance, elle s’étire en longueur vers les cieux, puis redescend vers les dragons alignés au fond de la cuvette. Et le choc.

Le choc phénoménal.

Comme un tremblement de terre de source surfacique. Les têtes sont arrachées par le souffle. Les corps des mastodontes vacillent sous la puissance. Mais c’est une incroyable résistance que représente ce front serré.

La boule se reforme autour des mages alors que les dragons reprennent leurs positions pour passer à l’attaque. Leurs mouvements entraînent la chute de leurs morts encore enchevêtrés, qui n’étaient soutenus uniquement que par la promiscuité. Ils se grimpent dessus pour se rassembler et refaire tonner leurs souffles unifiés. Ils semblent moins nombreux de près d’un quart des leurs, et c’est éberlués par leurs propres morts qu’ils font une erreur. Ils ne sont pas prêts. Ils se sont laissés surprendre. La boule en face déjà laisse échapper un second panache. Elle se vide pour le propulser aussi haut dans le ciel, puis il retombe.
Leurs cris d’effroi cette fois ont le temps de sortir. Ils savent leurs futurs incertains mais clament leur haine à cette mort qui file comme un cheval au galop à leur rencontre.

Et c’est le second choc dans les rangs de la vallée.

Dans cette épouvante de bruit d’os décharnés et projetés, les choses semblent ne plus exister. Et c’est un silence impénétrable qui recouvre les premiers instants après l’impact. Le cercle de la déflagration sonore est en train de disparaître que déjà ...

Que déjà on sent cette onde silencieuse d’un mouvement gracieux de près de cinq cent cous qui se cambrent d’un seul temps !
Et, sans un signal, sans aucun signe d’une coordination autre que surnaturelle, ou instinctive, toutes les têtes d’un coup se propulsent en avant et en bout de course, crachent à leur tour leur pouvoir de répandre la mort à distance.

Une deuxième vague. Les mages s’y attendaient mais leur bulle en reconstruction ne peut plus assez pour eux. Et c’est horrifiés qu’ils revoient la même chose, qu’il n’y a qu’un instant, ils venaient de subir. Un mur. Un mur mobile et accourant vers eux. Un mur de feu.
La chaleur les prend de plein fouet. Elle les encercle et colle à la bulle. La boule d’énergie magique ne peut résister, et perdant du terrain, elle offre beaucoup des siens aux flammes mortelles. Tous ceux de la périphérie voient en un instant leurs moments se finir.
Et alors que la plupart des sorciers regardaient les leurs brûler autour d’eux. Un cri d’horreur naît de l’avant.

Les Dragons ont recommencé. Loin de se laisser impressionner par le double assaut qu’ils ont subi, ils ont relancé une de leurs attaques. La première n’était que riposte. Mais la précipitation leur donne un crucial manque de coordination. La seconde est de loin moins cruelle que la première. Ou sont-ce les mages de l’avant qui ont sut se reconcentrer pour mieux la force dans la bulle insuffler et les protéger ? Car cette fois la bulle se rétracte moins sous le poids des flammes. Plus petite, moins d’hommes se retrouvent à nu lorsqu’elle diminue.

Les survivants, entendent alors, du fond de leurs rangs, monter une complainte, un chant, une incantation. Les premiers rythmes, ils les reconnaissent tous.
Qui a lancé cette tactique ? Personne ne le saura jamais.

Ils vont tenter une chose incroyable. Ils le savent et en sont parfaitement conscients. Tout aussi conscients que ceux du bord de bulle se savent déjà morts si les dragons recommencent. Alors c’est d’un cœur sans remords, sans même peurs, qu’ils reprennent tous les battements de la psalmodie.

Et c’est interloqués que les dragons du fond de la vallée, voient doubler cette fois le diamètre de la bulle. Instinctivement ils savent que tout va se jouer.
Si les sorciers ratent ce sort là, ils n’auront plus d’énergie pour gonfler leur boule protectrice. Toute leur vitalité va passer dans cet assaut.

Tenir

Il faut tenir.

S’il n’en reste qu’un, qu’un seul d’entre eux, les sorciers ne pourront plus rien. Même courir leur sera impossible. Les dragons bavent à l’idée d’être ce dernier. Les muscles se bandent. Ils vont les massacrer dès que ce sera passé.

Et deux comètes commencent à grimper. Elles partent de droite et de gauche et grimpent en diagonales opposées. Les dragons les regardent. Ils savent leur destination. Ils savent qu’ils vont souffrir. Quelques-uns ont encore le temps de se resserrer au milieu de la troupe pour le devenir, ce dernier.

Et dans ce sifflement affolant de deux tornades magiques, les cœurs s’arrètent.

Les sorciers conduisent chaque projectile par la force de leurs pensées communes.
Ne pas les rater.
Nous n’aurons pas d’autre chance. Tout est fini après ça. Pour eux, ou pour nous.

Ils froncent d’un même geste les sourcils au moment de dérouter les comètes pour les faire redescendre.

Les troupes de la vallée se rassemblent insensiblement. Chaque flan fait face à la menace. Les griffes s’enfoncent en terre, les articulations craquent. Les dragons deviennent statues de fonte. Inébranlables.

Et les doubles chocs. Mariage de deux folies pour aucun meilleur mais seulement le pire.

Comment traduire cette furie de magie ? Comment expliquer ce terrifiant moment où les corps s’enfoncent les uns dans les autres ? Sans même un cri audible dans cette explosion de bruit ! Comment retracer le changement de regard de ces reptiles, passant de confiants à espérant, puis à mourants. Et ce bruit infecte de ces os broyés quand les deux comètes viennent à se fédérer ? Comment l’oublier ?



Le silence.


Tout était fini.
Plus rien. Strictement plus rien ne bougeait, ni en haut, ni en bas.

Les sorciers encore sous le choc ne comprenaient pas que ce qu’ils contemplaient était un tas d’ossements blanchâtre et informe, fondus soudés par leur énergie.

Plus rien. Plus trace de vie en bas.
Les mages d'Asmodéa avaient vaincu. Ils étaient survivants.




Voici, mes amis, la légende que l’on conte parfois à nos enfants, pendant les très longues soirées d’hiver.

De ce qu’il advint de ces gens, personne ne le sut jamais. La légende raconte que les terres s’avalèrent l’une l’autre. Certains dissidents conspuent le pouvoir de s’être joué une partie d’échecs pour son amusement. D’autres encore avancent que c’est leur Dieu qui voyant ce massacre sans nom, les punit d’une disparition immédiate dans les tréfonds. Mais cela ne se peut. L’enfer ne saurait être pour ces mages survivants, qu’un piètre châtiment. Ils l’avaient déjà vu, l’enfer, véritablement.

A présent de ceci, on dit aussi que si l’on creuse un peu la vallée dite de TristeThaystes, on tomberait sur une matière étrange et maléfique. Blanche ivoire. Une matière fondue il y a longtemps, par une force magique incroyablement puissante, et que le temps aurait fini par refroidir et recouvrir de terre.

Mais alors pourquoi ? Pourquoi entend-t-on parfois comme des hurlements ?



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Voilà. Du fait de ma participation, je m'arroge le droit le donner mon opinion, même si les lignes qui vont suivre me couperont sans doute tout espoir d'accession à une clef. J'ai joué le jeu, la modération laissera peut être passer ce qui n'est qu'une opinion.
Je trouves extraordinairement désagréable, voire insultant, d'apprendre que je n'ai pas put récupérer une des 4000 clefs libres à la loyale car des mecs se sont permis d'en roxer 10, 20 voire peut être même plus, pour ensuite édicter leurs propres règles de sélection. Que cette dernière se fasse sur du RP, sur de la qualité d'imagination ou de grammaire, sur les euros en crédit sur un compte ebay, sur le poids d'une amitié réelle ou virtuelle, sur la féminité d'une voix sur ventrilo, ou tout autre critère de vos centres d'intérêt, ne change rien au fait que ça me dégoûte profondément.
edit : vu que je viens de gagner une clé sur un autre concours via le forum de jol, j'edite laissant la chance à d'autres participants

Bonne chance aux autres
[...]
Vax était une fine-lame comme on n'en avait que très peu connus. Et peu de gens hormis les membres de la famille Loinvoyant connaissait l'origine de cet assassin. Mais l'histoire d'un de ces périples est connus presque dans toute les régions. Tellement connus que l'histoire est devenue compte qui est devenu légende puis mythe.
Après de nombreuses recherches et discussions j'ai du me résoudre à laisser planer des doutes quant à la véracité des informations que j'ai acquis. Mais je me permet de vous les transmettre sans oubliez de vous rappelez qu'il faudra garder votre esprit clair pour admettre mes dires.
Vax était apparu il y a maintenant plus de 100 ans, du moins la personne connue sous ce nom. Il est très probable qu'il utilisait un autre nom avant cela. Ces talents d'assassin n'était alors que peu connu et personne ne s'intéressait à lui.
A en croire par ces actions, il était satisfait de cet anonymat. Mais rapidement les bruits ont courus, et les ragots ce sont fait de plus en plus insistant sur les capacités de cet être.
A cette époque les grandes maisons étaient en froid et personne ne s'étonna de voir Vax rejoindre la maison des Loinvoyant. D'après certains récit trouvé dans les archives de cette même maison, il n'était guère enthousiaste à ce changement dans sa vie, mais s'était senti obligé d'accepter une requête parmi de nombreuses autres pour calmer l'engouement sur sa personne.
Certains membre de la famille était très réticent face à ce nouveau membre, mais il ne pouvait pas laisser leurs rivaux s'emparer de ses talents si peu ordinaires.

Puis plus personne n'entendit parler de lui, les rumeurs racontaient qu'il avait été envoyé tuer un chef de guerre Krall. La vérité est toute autre mais les registres des Loinvoyant ne contenaient aucune information à ce sujet, j'ai du user de mon influence sur la Matrone Iziza pour obtenir les récits secrets de la maison.

Vax avait été utilisé comme espion contre la maison Der Vor. Et ceci pendant quelques années. Après la dissolution de cette maison pour des raisons assez floues mais d'origine économique, Vax réapparu et c'est là qu'il connu la gloire après avoir réaliser ce que tout le monde raconte aujourd'hui.
Mais encore une fois, l'histoire a été tellement déformée et mystifiée qu'il est très dur de s'assurer des détails. Mais les grandes lignes doivent concorder.

Mon ami, je suis désolé de ne pas pouvoir plus vous aidez sur la quête de vos origines. Mais soyez assurer que je continuerai mes recherches et je tenterai d'éclaircir les origines de votre père.

Mes plus profondes amitiés


Cel Fur , votre ami de toujours.
Elop
La vie suivait son cours pour ce simple couturier qui effectuait tranquillement le travail dans l'atelier de son défunt père. Sa vie était paisible et lui paraissait totalement normale, il se contentait du peu de kinah qu'il gagnait et vivait seul. Il n'avait jamais songé à changer de vie ni à fonder de famille.

Lors d'un après-midi pluvieux, alors qu'il travaillait tranquillement à côté d'un feu qu'il avait allumé, un étranger vêtu d'une cape rentra dans l'atelier, et sonna la cloche, ce qui signifiait alors qu'il souhaitait passer une commande. Elop se dirigea donc vers le client et lui posa une question dans ces termes :
- Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ?

L'étranger, qui n'avait pas l'air très sociable, posa une grosse bourse sur la table, puis répondit d'une voix qui ne paraissait pas très naturelle quelque chose dans un charabia non compréhensible. Elop, paraissant intrigué, lui reposa la même question en parlant plus lentement. L'autre répondit alors :
- Un travail.

Elop, qui n'avait jamais rien fait d'autre que de passer sa vie à travailler dans son atelier, lui demanda alors qu'est-ce qu'il pouvait donc tailler pour ce monsieur. L'étranger lui chuchota quelque chose à l'oreille la chose suivante :
- J'aimerai que vous fassiez autre chose que de me tailler un vêtement.

La première envie d'Elop fut de lui dire qu'il ne savait faire que ça, mais les dents tranchantes de l'étranger l'en dissuadèrent et se demanda ce qu'il pouvait bien faire comme travail.

L'étranger reprit la parole en ces termes :
- Je voudrais que vous me donniez la relique que vous cachez dans la maison, si vous me la donnez maintenant, je vous donne cette bourse et vous n'aurez jamais entendu parler de moi, ni de cette relique.

Elop se mit à réfléchir, qu'est-ce que cette relique pouvait bien avoir de si important pour une telle somme d'argent. Au bout de 30 secondes, l'étranger dit :
- Faut-il que j'emploie les grands moyens ?

Il découvrit alors son visage, laissant d'abord penser à une bête immonde venant des sous-bois, puis sourit et s'emparit de l'arme accroché à sa ceinture. Elop prit la bourse, courut dans sa chambre et ferma la porte. Il prit une sorte de paquet puis sorti par la fenêtre. L'autre tambourinait la porte puis on entendit un grand fracas suivit d'un grognement et d'un coup de massue : le mur s'écroulit sous le poids du choc, le laissant passer afin de rattraper Elop. Ce dernier se mit à courir à toutes jambes en direction de la ville la plus proche, qui se trouvait à moins de 30 minutes d'ici.


Il n'avait plus aucun doute, l'étranger n'était pas humain. La bête s'approchait de plus en plus, abandonnant sa cape afin de laisser place à un corps noir dénoué de lumière. La bête fit un grand saut et se retrouva devant Elop. Elop fit un bond en arrière et décida de sauter sur le chemin en contrebas. Il se foula le poignet en atterrissant, mais ceci n'était pas important contrairement au danger que peut procurer la bête énervé. Il courut alors vers la ville, qui ne se trouvait plus très loin.

Soudain une autre bête surgit des fourrés, plus imposante que l'autre, et d'une couleur plus noire que noire. Elop s'arrêta soudain, contre sa volonté, comme si son esprit ne lui appartenait plus. Une lumière blanche explosa autour de lui, tuant les 2 monstres instantanément et revigorant Elop : un daeva apparut alors, s'empara de la relique et disparut.

Depuis ce jour, Elop poursuit son rêve : devenir un sorcier.


C'est mon premier RP. Désolé des fautes ou autres problèmes.
Je me promène sur les rives d’une rivière, qui serpente petit à petit non loin de la Tour d’Eternité. Une tour brisée, un monde brisé. J’aurais tellement voulu voir les reflets de l’Astre dessiner les courbes tumultueuse de la rivière …
Je lève les yeux au ciel et je contemple jalousement son pâle éclat, seul reliquat de lumière que je peux recevoir. Je tends mon visage et ferme les yeux, et pourtant, la chaleur de l’Astre ne me caresse plus, comme tous les Asmodéens.

Me frayant un chemin à travers les branches craquelantes, j’imprègne la terre aujourd’hui noire, mais jadis si vivante, de mon empreinte. Je m’enfonce dans une forêt où les arbres cherchent péniblement le chemin vers un peu de clarté, dessinant avec leur tronc de sinueux chemins qui s’entremêlent. Les feuilles disparues, il ne reste plus que leur squelette.

Je sors de cette forêt aux allures de cathédrales oubliées pour me poser au bord d’une route. Je me pose sur le bord d’un rocher, m’éclairant grâce à une inerte et fade lanterne magique. C’est ici que la vue est la plus dégagée, devant moi un désert de rocs aux couleurs sombres, balayée par un vent glacé. Frissonnant, je me frotte les bras pour me réchauffer puis lève de nouveau les yeux au ciel qui ressemble tant à une peinture : un immense fond maculé de petites taches colorées, floues et difficilement discernables, mais qui dessinent en grandes lignes les contours du paysage lumineux où chaque jour les Elyséens se promènent. Qu’ont-ils fait pour mériter pareil cadeau ? Qu’avions-nous fait pour subir pareille malédiction ?
Quel que soit la réponse, nous reprendrons ce qui jadis fût également nôtre : la lumière, la chaleur, la Vie. Chaque jour, nous nous en rapprocherons, jusqu’à enfin pouvoir les forcer à partager. Les Elyséens ont peur de nous, mais nous ne les craignons pas, nous les envions. Vu cet avantage, nous ne pouvons que gagner.

Tiens, enfin, la voila. A quelques centaines de mètres d’ici, un tourbillon tranche avec le décor du désert désolé malgré sa couleur noire. J’empoigne mon épée et je m’en approche. L’air grésille autour de moi, et le vent qui soufflait jusqu’alors sur mon flanc semble irrémédiablement attiré par la faille. Je déploie mes ailes et prends mon élan pour m’y élancer, tenant fermement la garde de mon épée. Le même frisson parcourt mon échine à chaque fois alors que je contemple le néant crée par la faille. De l’autre côté m’attend mon champ de bataille, le monde en demi-teinte des Abysses. Ni ténèbres, ni lumières, un vide vertigineux peuplé de rochers virevoltant, instables, d’un bout à l’autre d’Atreia. Les Elyséens gardent bien leurs entrées, mais moi je n’ai rien à perdre : tout ce que je cherche, ce que je désire, ils l’ont. Il suffit de le prendre à la pointe de l’épée.

Aujourd’hui, je ferai un pas de plus vers la Lumière.

Un Asmodien

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Je n'ai jamais essayé Aion (sinon je serais pas là ), et je suis pas super informé d'à quoi ça ressemble. Je connais juste le BG général, et j'ai essayé d'imaginer l'état d'esprit d'un Asmodien et à quoi pourrait ressembler les paysages qu'il arpente. Pardonnez donc si les descriptions sont un peu en décalage avec le jeu
Bonjour.

Cela fait longtemps que j'essaye d'en obtenir une depuis les CBT, sois je suis malchanceux, soit pas doué (je penche plus pour le second cas).

Donc voila, il venu le temps pour moi du whine final, même si ce n'est sûrement pas le bon endroit, malgré que j'aurais bien tenté ma chance au concours.

Si jamais quelqu'un passe par la, qu'il pense a moi.

En vous remerciant.
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