[Ys] [hib] Pour ma petite princesse....

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Regard vers la mer
Entre deux guerres
Qui a gagné la première ?
Qui a perdu la dernière ?

Regard vide et perdu
Pauvres gens que l'ont tue
Pauvre femme qui se rue
Au cou du soldat déchu

Regard vers l'horizon
La fin de la moisson
Souvenir d'un garçon
Qui écrivait des chansons

Regard vers le passé
Qu'est il donc arrivé
A l'homme qui t'a aimé
Celui qui te faisait réver

Regard sur la vie
Encore de la poésie
Pour enfin, qu'il oublie
Cet amour qu'il a détruit

Regard vers le ciel
Question à l'éternel
Pourquoi être immortel
Si ce n'est sans aile
....
Si ce n'est sans elle.






Je voudrais t'écrire la lune et la terre
Te parler d'autre chose que la misère
Te murmurer ce que je resens
Mais je n'ai pas assez de talent

Je voudrais t'écrire l'amour et la haine
Te montrer ce qui coule dans mes veines
Laisser exploser mes sentiments
Mais je n'ai pas assez de talent

Je voudrais t'écrire hier et demain
T'enlacer ou te tenir par la main
Rire avec toi comme un enfant
Mais je n'ai pas assez de talent

Je voudrais t'écrire la mort et la vie
Dormir prés de toi au dela de minuit
Ne plus me agir comme un survivant
Mais je n'ai pas assez de talent

Je voudrais t'écrire que je t'aime
Que je ne suis plus le même
Que je suis ton prince charmant
Et que tu es la source de mon talent....


Il n'est pas celui que tu espèrais
Regards croisés sur le chemin
Il n'est pas celui que tu attendais
Deux êtres rapprochés d'instinct

Naif, évasif, c'est un innocent
Dieu l'a sorti de sa pénitence
Pour qu'il ne soit plus cet enfant
Pour qu'il écrive cette romance

Comment peut il aimé "femme"
Car son coeur bat pour la nature
Souffre et meurt de tous les drames
Qui ensanglantent son âme pure

Fils des rivières et de la forêt
Il cueille avec passion une fleur
Déposera le brin en secret
Dans la chevelure qu'il effleure

Belle demoiselle pardonnez lui
Quand ses yeux bleus glissent
Sur les tentations de la vie
Et que sa bouche boit le calice

Lèvres s'imbibant de votre esprit
S'enlisant dans les abîmes du désir
S'évanouissant dans le paradis
Exotisme iréel, de l'éternel plaisir

Souviens toi, ensemble, nous étions vivants
Et nous glissions sur les avalanches
Nos poumons se remplissaient de poudres blanches
Graves, insolents, nous oublions nos tourments

Nous nous réveillions au coucher du soleil
La nuit nous n'arrivions pas à dormir
Alosrs nous ous tapions des délires
En inventant un pays de merveilles

Si jamais tu penses encore à moi
Que tu n'as pas dansé depuis un moment
Que tu crois avoir laissé filer le temps
Il se peut que je revienne auprés de toi

Es tu prête à me laisser ue chance,
A voir en moi plus que des souvenirs ?
Si dans tes yeux se lit notre avenir
Que l'amour n'a pas tiré sa révérence...

Hier, j'ai travaillé pour nous deux
Aujourd'hui tu n'ouvres plus les yeux
Hier, nous nous promettions la fidèlité
Aujourd'hui la mort nous a trompé

Feu mon amour, j'ai tant pleuré
Belle fille que j'avais rencontré
Belle page qui se tourne lentement
La vie continue pour le survivant

Aujourd'hui, j'ai fini mon deuil
Demain, je brulerai ton linceuil
Aujourd'hui, j'ai vu une femme
Demain, se rallumera la flamme

Comme toi auparavant, elle a sourit
Comme toi, ma bouche le lui rendit
Elle ne sera peut être qu'une amie
Ou bien reconstruira ma vie.....


Il a voulu écrire "je t'aime"
Au coeur d'un diadème
Il a voulu d'un amour
Qui ensoleille les jours

Il a voulu écrire ton nom
Sur les mur de la prison
Il a voulu écarter les barreaux
Pour se sortir du ghetto

Il a voulu être avec toi
Te serrer fort dans ses bras
Il a voulu te prendre la main
Partir vers le beau matin

Il a voulu la solitude
Pour vieillir sans inquiétude
Tu as voulu rester
Ne songeant qu'à l'amitié

Oki.. il fera semblant
De cet air indifférent
Qui te dit toujours : "jamais"
Sans émettre le ton du regret.




As tu vu la lune se coucher ?
As tu vu le soleil se lever ?
As tu juste pris le temps
De penser à ce combattant ?

Mes poings se sont dessérés
J'ai abandonné toute agressivité
J'ai fini mon dernier combat
En me demandant "pourquoi ?"

As tu déjà vu le démon ?
As tu oublié ce garçon ?
As tu relu ces écrits
Qui berçaient tes nuits ?

Mes bras sont fatigués
J'ai déposé la grande épée
Quitté le champs de bataille
Pour que tu ne t'en ailles...


..............................................................;

Ce qui suit est une dédicace à un ami sur une mlélodie que l'on apprécie...

Au revoir, créature immonde
Mon esprit quitte ce monde
Mon corps meurtri n'a plus de vie

Au revoir, au revoir, au revoir...

Au revoir, belles princesses
Mon âme est en détresses
Il n'y a plus d'amour, c'est fini

Au revoir.

Je suis né en te cherchant
J'ai vécu en t'attendant
J'avais ce rêve un peu fou
Dêtre devant toi à genou

Toute ma vie fut une leçon
Pour apprendre la façon
De te tenir et de t'enlacer
Toute une nuit ensoleillée

Quand les étoiles tombent
Telle pluie sur terre ronde
Je fais semblant de savoir
Où te trouver dans le noir

Parfois je voudrais renaître
Dans un reflets de fenêtres
Pour observer ton visage
Guêtant un large rivage

Face à une étendue d'eau
Peint du bout d'un pinceau
Le regard se perdant pensif
Voit mon ombre sur un récif
Nos chemins se sont croisés
Dans tes yeux, je me suis comtemplée
De tes regards, je fut faite femme
La fin en fait couler les larmes

Toi qui fut mon frère, mon ami
Tu es devenu mon sang
Je ne suis plus à présent
Tu m'oublie, me renie

Au delà de mon âme
Vois combien je me damne
Mille baisers ne sauront effacer
Cette douleur que tu as creusée

Parce que tu m'as désirée
Et par dessus tout aimée
En tant qu'épousée
Je n'ai pu me permettre d'aimer

Par delà mes sanglots
Je ne peux effacer les mots
Ton abscence est tant cruelle
Que par amour , elle brûle mes veines ...
" Elle s'est assise au bord de l'eau, son clapotis incessant la berce; autour d'elle, quelques oiseaux tourbilonnent, les cigales font entendre leur chant lancinant. seule, elle ecoute le vent, son grimoire entre ses jambes, la plume à la main.. "

Dites moi le nom de mes tourments
Nobles oiseaux d'Eole le vent
Racontez moi ce noble penchant
Pour qui s'envole mon coeur tourbillonant

Vous, si majestueux et si fragiles
Vous si sages et si habiles
Vous m'enveloppez de vos ailes agiles
Et je ressent un penchant subtil

Il est des coeurs qu'on ne peut toucher
Mais le mien fut durement frappé
Vous pourriez le rendre gai, ebourriffé
Aerien, léger, empli de volupté

Dites moi le nom de mes tourments
Nobles oiseaux d 'Eole le vent
Et je m'en irai en riant
De mes douleurs me detournant

"Les yeux tournés vers le firmament, sa tete a legerement basculee sur le cote, les larmes ont coulées, mais terrassee par la fatigue de l'avoir tant cherché, ils se ferment lentement."
Sur cette même plage, il est un homme qui aprés deux ans de deuil a retrouvé le gout pour la vie...
laissez moi vous présenter celle qui a su me donner encore envie :




Un merveilleux ouragan
S'est abattu sur mon coeur
Belle tornade de bonheur
M'emmène vers le couchant

Elle emporte tout sur son passage
Le passé tourbillonnant s'est envolé
Porté vers une mer oubliée
Pour s'échouer sur le rivage

Au centre du cyclone, un jardin
Calme, vert et fleuri de roses
Je recherche en vain cette chose
Le paradis de mes quatrains

Les vents se sont appaisés
Pour laisser place à l'amour
Comme cette fleur qui, un jour
Ne pourra plus jamais se faner...




PS : merci moorh...
<se demande si un jour on lui contera de beau poèmes comme ceux la>
<salut Aerandis au passage>
<se remémore les longs moments passés à écouter Aerandis>
<a une larme à l'oeil>
Tu viens quand sur Broc Dean?
<va motiver sont aimé à lui écrire des choses comme ça>
Thumbs up
ralala ce que c beau, ça me fait penser à mon beau guerrier celte que j'aime, un peu d'amour dans un monde de brute ça fait drolement du bien.

/clap dean pr ses beaux vers
Thumbs up
mon cher dean
j ai ete soufler par la grace de tes vers et je tient a te feleciter pour ces qlq mots qui on su me faire revivre en ces temps lointains ou j entendais la voie des bbarde de mon ile me soufler l espoir en la liberte et en l amour
respectueusement Olwaen
Merci de passer me saluer nobles seigneurs et belles inconnues... laissez moi vous conter, parfois avec joie, ironie, tristesse, indifférence, passion.... notre environnement, nos amours, nos cris... ceci sans prétention, sans technique, juste en laissant parler la plume.


Le coquin...

J'ai des mots dans le cerveau
Une petite fleur dans le coeur
Mais rassure moi mon agneau
Suis ton amour, ton honneur

Embrasse moi...
J'serai trés gentil...
Embrasse moi....
Et j'dirai rien à ton mari

J'ai la passion en carton
Des fiançailles en éventail
Mais dis moi que j'ai raison
Q'un baiser n'est une bataille

Embrasse moi....
J'serai trés poli...
Embrasse moi...
Et j'referai le lit...

J'ai un destin en chagrin
Un avenir à faire palir
Prends moi la main
Pour un jour, réussi

Embrasse moi...
T'es pas si jolie....
Embrasse moi...
Où retourne auprés d'lui.



...non j'déconnais..reste...reste... bah pars pas c'est idiot....




Attendre que la poussière se pose
Attendre le silence, les murmures
A moins que courageuse, elle n'ose
Franchir la verticale du grand mur

Pour un jour, elle oublie de partir
Rester auprés de son champion
Pour ne plus jamais le trahir
Pour un jour vivre en fusion

Comme soudain, se maudire
De gestes et moindre mouvements
Comme soudain, sans mot dire
Des maux d'un mâle repentant

Pour aller toucher, froler, un ange
Ou lui caresser les blanches ailles
Il faudrait que ce monde change
Et Qu'il gravite tout autour d'elle


Je suis venu porter les rimes
Du pauvre elfe en déprime,
Chargé de ces malheureux vers
Qui me me désespèrent.

Je suis venu des confins d'Althéa,
Pour fuire ce que je ne suis pas,
Pour fuir celui qui ne connait l'amour,
Et èrre dans le noir nuit et jour.

Et finalement, je suis arrivé ici,
Moi, le pauvre être maudit,
Espérant laissé loin derrière
Mon ancienne vie austère.

Mais mes rêves ne sont qu'illusions,
Car même ici je n'ai point oublier,
Le doux visage qui allait avec ce nom
Que j'ai tant voulu livrer au démon.

Arrivé ici doucement je me meurt,
Loin de la terre qui m'a vu naître,
Car là bas, j'ai abandonné mon coeur,
Pour voir mourir lentement mon être.
Si par delà l'éspérance
De me donner une chance
Tu acceptes mes absences
Alors tu auras ma confiance

Quelque soit le jour
Où je te dirai toujours
Pour la beauté de l'amour
Que tu m'as donné sans détours

A toi mon aimé
Que j'ai tant esperé
Par delà les vallées
En attente j'étais

Assise à tes cotés
Dans tes yeux contemplée
A présent rassurée
Je puis enfin t'aimer

Ouragan et torrent je suis
Celle de tes pensées
Qui aime plus que la vie
Celui dont mon coeur s'est epris



"Hurricane"

Attendons la fin de l'orage
Pour revêtir nos armures
Nous n'avons pas été sages
Partir, se quitter sera trés dur

La pluie pleure sur le bois
Des claquetants volets
Laissant tomber du toit
Une lune aux reflets violets

Attendons la fin des nuages
Pour rejoindre nos montures
Laisse-toi au caressage
Telle une toile de peinture

Le pinceau te dessinera
Comme l'artiste en rêvait
Du bouts de ses doigts
Qui brûleront... à jamais.


Garde cette fleur des enfers, qui ne tombera en poussière
Siqne pudique que mon amour durera toujours
Tu es cet atole désert que j'acoste d'un pas, fier
Tel le troubadour, conquérant des plus beaux jours

Hurricane..Ô Belle Hurri... Douce femme de mes nuits
Le coeur que tu as enflammé, se consumera une éternité
Hurricane..Ô Belle Hurri... Douce femme qui m'a séduit
Tu fais plier le guerrier... Laisse le se prosterner

J'ai connu bien des maisons, qui m'ont fairt perdre la raison
Tant de temps sans saison... Deviens ma guérison
J'ai connu des histoires, qui ne créaient aucun espoir
Mais il n'est jamais trop tard... Pour encore y croire.
Elle caresse du bout des doigts
Le trace delicate du papier
Qui lui procure cet emoi
Et dont elle s'est ennivree

A son infinie douceur
Elle retiens quelques pleurs
A chaque pensees cette fleur
Lui ouvre d'avantage son coeur

Toi mon doux demon
A l'âme de troubadour
Dont parfois le courroux prompt
N'oublies pas mon amour

Chaque mot, chaque langueur
Chaque caresse, chaque baiser
A jamais dispenses
Ouvrent la voie au bonheur

<Déposant sur ses genoux plies la gazette de mots aimes, elle laisse ses doigts promener sur ses fines lignes encrees>

Hurricane
Les heures passées s'écoulent
D'eau les larmes coulent
De son départ
A retenu son regard

Mains liées par le destin
Le coeur entre ses mains
Sur lèvres les doux baisers
Il a déposés

Ses yeux l'ont vu partir
Sans pouvoir le retenir
Peau encore brulante
Des souvenirs d'amante

Le visage entre ses mains
Rêvant sa silhouette au loin
Corps sur le sable chaud
Ne trouvant pas le repos

Des jours infinis
Elle l'a recherché
Posant ses yeux bleu-gris
Par delà les vallées

Une aube , elle retrouvera
Celui qui lui donna la joie
En ses bras se jettera
Devant lui sourira........

Hurricane
<Au bord de l'abîme, elle s'est assise; le grimoire à ses pieds semble bien tentant.. l'appel se fait incessant; prenant plume et encre , elle s'y laisse aller. Sur une page un peu cornée , force d'avoir été malmenee, l'encre s'inscrit, violacée..>

A l'orée du soir,
Il me reste un espoir,
Celui de le revoir ,
Avant de ne choir...

Maintes fois, j'ai fuit,
Au delà du Paradis,
Cherchant par les vallées,
Celui que je nomme Aimé..

Mais Hibernia m'a rappelée,
Par ces tourmentes incessées,
Les âmes trop blessées,
De moi n'ont pu se passer..

Les guerres ont engloutit,
Ce qui coulait en moi .. la Vie
A trop aimer, j'ai donné,
Tout ce qu'elles pouvait esperer..

Tous ces êtres rencontrés,
Si tendrement aimés
Ne comprennent -ils pas,
Que mon coeur ne tiendra pas..

De mon Aimé, eperdue,
Privée ,je me sens perdue...

<Les mots ont cessés, la brise lui a amené quelques belles pensées. Delaissant ses tourments, elle rejoint le monde des vivants>


Hurricane
[I]..avançant lentement vers la jolie femme... doucement...lui prend la main...lui murmure :[I]


Je te ramènerai de mes voyages
Toutes les terres et tous les paysages
Je te ramènerai de ces nombreux chemins
Les fleurs qui parsèmeront notre destin

J'allumerai tous les grands feux
Pour voir ce qui brille dans tes yeux
Je t'emmènerai là-haut, dans le ciel
Afin que tu éteignes le bas soleil

J'entrouvrirai la cime des monts enneigés
Pour que rien ne t'empèche de passer
J'écarterai, d'une pensée, les mers
Afin que tu me rejoignes dans le désert

Je créerai un nouveau monde parallèle
Où chaque femme sera une hirondelle
Et ferai des homme, de merveilleux oiseaux
Afin que leurs chants bénissent nos anneaux


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