[Ys] [hib] Pour ma petite princesse....

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Message hors-roleplay
Citation :
Je comprends mieux pourquoi Dean râme pour leveler, il écrit des poèmes...
*hmmm...en peu de finesse dans un univer de brutes ne fait pas de mal *

d'accord je sort pas taper

Peut-il entrouvrir la porte secrète ?
A-t-il le droit de violer son sanctuaire
De la voler, afin de se satisfaire
Et d'accomplir la douce quète ?

Pénétrant la chambre de dentelles
Draps de soie roses pour la jouvencelle
L'être de chair avance doucement
Ses pas caressent l'air, survolant

Elle... elle sait, ne dort pas, elle attend
Elle...elle ne sait, elle écoute, elle entend
Dans la pénombre, distingue la silhoouette
Tel un vampire s'approchant de la couette

Elle sent son parfum caliner ses pensées
Une légère saveur qui provoque ses sens
Elle resent ce qu'elle n'aurait pu imaginer
Ses songes l'emportent dans la décadence

Pourtant, c'est elle qui lui a donné la clef
Dit, de venir la rejoindre au zénith lunaire
Pourtant, elle a peur de ce premier baiser
De se laisser emmener dans un désert

Il est maintenant assis tout pres d'Eve
Juste à coté de la poupée d'enfant
Il la touche tendrement et la prend
Glisse un baiser à la belle de ses rèves

Et repars....


quel charmeur ce Dean mais il suffit de grper une fois avec lui pour rompre ce charme
Ouaip... aprés avoir groupé, certains me trouveront "vulgaire" peut être. Hors la vrai vulgarité se trouve dans les actes et les pensées. Les mots ne sont utilisés que pour protéger les âmes
Message roleplay
petits vers en attendant le retour de la belle... Les pages du recueil se remplissent comme mon esprit se nourrit de son amour


Le mont, sur une pente enneigée
Je me laisse glissé à tes pieds
La rivière, mon corps suit le lit
Je me laisse couler, évanoui

Anaphia, Anaphia ou es-tu ?
Anaphia, Anaphia je ne vis plus
J'ai tout quitté de désespoir
Aveuglé par une tristesse noire

Mes amis ne me suffisent plus
Et le panache que j'ai perdu
J'ère dans un monde d'ombres
Où tout chemin est sombre

Je suis un mort-vivant souriant
Dont le regard bleu est fuyant
Ma pierre d'âme s'est décomposée
Depuis que ta lumière s'en est allée

Tous les soirs sur la table napée
Je dépose ton bole ébréché
Je le remplis de baies sauvages
Récoltée en retour de voyage

Je te parle comme si tu étais là
Te sers du vin, une coupe, et bois
Parfois, je danse en fermant les yeux
M'excuse d'écraser tes pieds silencieux

Je me couche en découvrant ton coté
En priant, à l aube, t'y trouver...
Absente...mais cela ne fait rien
Car ton esprit abite le mien

Je t'aime
A bientot

Dean





L'enchanteur découvrit la douce lumière
Qui se cachait au plus profond d'une ombre
L'homme oublie ses années les plus sombres
Tristesses et peines qu'il laissa derrière

L'ombre vit en cet être toute sa magie
Celle d'un noble coeur et d'une âme pure
Et malgré les mauvais regards et les injures
Ils se promirent de s'aimer pour la vie...

Belle femme cachée à l'allure guerrière
Quand tu apparais pour lui vient le soleil
Son visage s'éblouit, sourit, s'émerveille
Il est joyeux, content, prend ton bras, fier

Il ne faut pas être grand devin pour savoir
Combien il est heureux de l'avoir rencontrer
Certains jalousent les fleurs ramassées
Par ce qu'il n'en froleront jamais l'espoir.


A Beladonia et mon ami Zerus.

Dean
Si Monsieur Dean arreterait de draguer tout ce qui bogue .... je croirait pt a tosu c poemes

*pense qu'elle vient de faire une bourde*

*pas taper j'ai dit*
Je ne crois pas avoir écris pour une autre que ma femme... un sourire adressé à une fillette, n'est point un coeur offert à celle-ci.
Heu..Pink, c'est quand ton mariage avec Yuk ???

Bon, ne nous laissons pas distraire...
Ana, je t'aimeeeeeeeeeee !!!



Il y en a qui en rêvent toutes les nuits
Il y en a qui l'espèrent toute leur vie
Il y en a qui croiront l'avoir connu
D'autre ne l'auront qu'entre-apperçu

Heureux moi qui le touche chaque jour
Cet incorporel que l'on nomme "Amour"
Représenté sur cette terre, par elle
Inimaginable grâce, belle demoiselle

Qui êtes-vous vraiment, joli oisillon
Pour avoir tracé dans ma tête un sillon ?
Qui êtes vous vraiment, frêle fleur de l'été
Pour retourner le champs de mes pensées ?

J'ai détruit le mur de mes incertitudes
Enlevé les briques de mes inquiétudes
Pour laisser rentrer dans le jardin proscrit
Cette jeune Demoiselle pour laquelle j'écris


Finn béni tous les poètes celtes dés leur naissance
Leur offrant un don suplémentaire à la poèsie
Certains sont devins, d'autres ont la connaissance
Votre serviteur était paré d'une éternelle vie...

Toutes les bénédictions ont leurs contraintes
La mienne était de ne point connaître l'amour
De ne point embrasser la peau d'une sainte
Proscription charnelle et mentale pour toujours

Des femmes j'en connus tant que je ne me rappelle...
L'acte physique sans amour n'était qu'un loisir
Je n'avais pas à vieillir dans les bras d'une d'elle
Le moment ne dépassait pas l'instant de plaisir

Mais, un beau jour, je la vis... lui chantais ma poésie
Elle était si pure que mon doigt se brula au contact
Le réflexe fut de le porter à ma bouche raffraichie
Je devins "homme" heureux, qui ne regrètera jamais cet acte...


Message roleplay

Le mur n'est pas assez large et haut
Pour emprisonner les deux oiseaux
Telle la narration du plus beau passage
Notre histoire n'a pas de dernière page

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Comment ne pourrais-je te revoir
D'au moins pour te rendre ce mouchoir
La séparation est synonyme de regrets
La notre est celle d'une passion à jamais

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Mon coeur est tombé dans une litargie
Mes peurs d'enfant se sont évanouies
Mon étoile s'est partiellement éteinte
Mon corps attend la prochaine étreinte

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Je ne me suis jamais senti abandonné
Je suis la plume tombée de l'envolée
Planante au gré des quatre vents
Se couche lentement sur ce papier

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Hier, j'ai prié et j'ai apperçu un ange
Il m'a dit que j'étais homme étrange
Que les douze dieux étaient cruels
Que mon âme n'avait plus de chapelle


Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Que m'importe les sceaux du destin
Mon esprit survole l'horrible chagrin
Mes songes se nourissent de souvenirs
Et mes pensées vont te faire revenir


Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Tu n'es pas parti dans la détresse
Car je t'avais fait une seule promesse
Celle tenue de ne jamais t'oublier
Malgré le temps qui se sera écoulé

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Dans les eaux du temps,
C'est noyé une douce dame,
Et son ami, son amant,
La pleure à chaude larme.

Le courrant tumultueux,
A emporté son ravissant corps,
A emporté un passé heureux
Dans les méandres de la mort.

Mais un amour si beau, si fort,
Résistera à toutes les tempêtes,
Résistera même à cette mort,
Et de nouveau vos coeurs seront en fête.

Mon ami toi qui regarde tristement,
L'eau déchaînée de ce triste torrent,
Tu sais que quelque part dans le ciel,
Une étoile veille sur ton sommeil.

Et sur les rives de l'éternité,
Vous vous retrouverez tous deux,
Mon ami, toi et ta belle à tes côtés,
Vous vivrez enfin votre amour heureux.

PS: désolé, je ne peux me résoudre à laisser sombre d'aussi beaux poèmes
lut..mon ami


Si, sur les sentiers d'Hibernia
Vous croisez la belle Anaphia
Dites lui que son mari pleure
De chagrin et de déshonneur

Si, sur une colline d'Hibernia
Vous croisez la belle Anaphia
Dites lui que son mari attend
Qu'il ne compte plus le temps

Si, prés d'une rivière d'Hibernia
Vous croisez la belle Anaphia
Dites lui que son mari vit
Mieux le jour que la nuit

Si, dans un bois d'Hibernia
Vous croisez la belle Anaphia
Dites lui que son mari n'est plus
L'homme qu'elle a connu

Si, dans une ville d'Hibernia
Je suis avec la belle Anaphia
Que ma main tient sa main
Surtout ne lui dites rien...
Depuis quand le cc guilde est rp ?
Allez un ptit poème pour tous les GB.....


Beau et fort, tu te prends pour un super mâle
Là où tu passes, pousse les pierres tombale
Tu traites les midgardiens comme des chiens
Regardes les avaloniens tels des vauriens
Les gens croivent que tu te bats pour "Hibernia"
Alors qu'en vérité tu ne sais penser qu'à toi

Tes enfants que tu n'as pas vu depuis longtemps
Dans les tavernes tu ne trouves pas ça génant
Comme cette femme qui t'as dit trop vite oui
Sans savoir ce que finirait par devenir sa vie
Tu ne reviens chez toi que pour une nuit ou deux
Et entendre les pleures, au départ du valeureux


Au sein de ta guilde, tu penses avoir des amis
Ceux-ci te quitteront quand tes os auront vieilli
Ils sont autour de toi seulement pour ton arme
Mais quand tu mouriras ils ne verserons de larmes
Tu te croyais le prince charmant, un être flamboyant
Tu n'es en fait qu'un pauvre homme écoeurant

Rassure-toi j'ai bientot fini de peindre ton portrait
Tableau de l'immondité que je ne vendrai jamais
Tu peux espérer que ma langue est celle du serpent
Que ma plume ne vole que des vers rebutants
Mais la seule vérité est que déjà tu te reconnais
Que Ton âme moisira souillée par les regrets.




Dean
Ys/Millenium

Mouaip.... suis vraiment mauvaise langue, je ne connais pas de tels êtres.... et vous ?
Citation :
Provient du message de Dean

Le mur n'est pas assez large et haut
Pour emprisonner les deux oiseaux
Telle la narration du plus beau passage
Notre histoire n'a pas de dernière page

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Comment ne pourrais-je te revoir
D'au moins pour te rendre ce mouchoir
La séparation est synonyme de regrets
La notre est celle d'une passion à jamais

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Mon coeur est tombé dans une litargie
Mes peurs d'enfant se sont évanouies
Mon étoile s'est partiellement éteinte
Mon corps attend la prochaine étreinte

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Je ne me suis jamais senti abandonné
Je suis la plume tombée de l'envolée
Planante au gré des quatre vents
Se couche lentement sur ce papier

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Hier, j'ai prié et j'ai apperçu un ange
Il m'a dit que j'étais homme étrange
Que les douze dieux étaient cruels
Que mon âme n'avait plus de chapelle


Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Que m'importe les sceaux du destin
Mon esprit survole l'horrible chagrin
Mes songes se nourissent de souvenirs
Et mes pensées vont te faire revenir


Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

Tu n'es pas parti dans la détresse
Car je t'avais fait une seule promesse
Celle tenue de ne jamais t'oublier
Malgré le temps qui se sera écoulé

Je crois que je t'aimerai toujours
Je veux encore croire en cet amour

voila celui que je t'emprunte si tu m'en veux pas trop

P.S. vi le chefnainkigole a dit : guilde millenium n'est pas RP

Pink : prend ce qu'il te plaira... sinon Mille n'est pas RP, moi non plus dailleurs
Colombe : Bah...viens sur Hib

Poème tiré de nostalgie....


Les pieds nus sur le sable de connla
Je traverserai la plage avec Anaphia
J'irai avec elle au bout du monde
Là où la terre paraît moins ronde

Quand les grains de sables disparaissent
Quand les hautes herbes apparaîssent
A l'extréme Nord du grand estuaire
Où la respiration est un courant d'air

Je regarderai en te tenant la main
Le soleil disparaître jusqu'au matin
Voir se noyer l'astre de lumière
Dans l'horizon d'une mer légandaire

Oui..Douce connla, je t'aime tant
L'enfant celte est devenu grand
Mais n'oubli pas le pays qui l'a bercé
Quand il n'était pas encore guerrier

Dans un lieu plein de charme
Abrité par l'ombre d'un saule
Dans le creux d'une épaule
Il verse ses quelques larmes

Il n'a jamais su les retenir
Malgré l'amour qu'il leur portait
L'attention qu'il leur donnait
Elle finissait par se languir

Elle.. il la serre dans ses bras
Mais, jamais ses mains
Ne pourront être des liens
Alors, se déachant, elle s'en va...

Il voudrait lui dire de rester
Crier de lui revenir
Mais il ne plus se mentir
Seulement, un temps, pleurer.


Souffles violents d'un vent tourbillonnant
Il descend inexorabmlement le torrent
Une dorade, le poisson est malade
Stoppe sa ballade, au pied d'une cascade
Cruelle eau, lève ton véto !
Laisse ton marmot rejoindre son berceau.

Comme le nageur, il se meurt
Son amour est détenteur de ses peurs
Sa princesse ignore sa détresse
Le laisse supplier ses caresses
Ses yeux se tournent vers les cieux
Préfèrent le bleu à l'être hideux

Pauvre chien ne mérite un calîn
Ecrit en vain sur le parchemin
L'humilité d'un être rejeté
L'avidité de sa bien-aimée
Mais personne n'entend ce qui résonne
Ils s'étonnent mais jamais ne donnent
Pourquoi cette lueur au fond de ses yeux,
Me rend elle à ce point malheureux ?
Pourquoi cela me brise t il le coeur,
De voir celle que j'aime vivre le bonheur ?

Je l'aime, mais ma douce ne le sait pas,
Je l'aime, elle se réfugie dans ses bras,
Je meurt, me portera t elle un regard ?
Lèvera t elle les yeux sur un homme hagard ?

La voir avec celui qui fut mon meilleur ami,
Les voir ensemble s'éclipser dans la nuit,
Assombrit mon coeur, détruit toute mon âme,
Je désirais une chose, c'était cette dame.

Je ne demandait qu'une chose sur terre,
Connaitre ce bonheur, même éphémère,
Mais les dieux m'ont tracé un autre destin,
Encore une fois je vis sous la pluie, le chagrin.

Doucement mon coeur part à la dérive,
Lentement il s'éloigne de ces tristes rives,
Emportant avec lui sa livre de peines,
Mais, même pour lui je n'ai point de haine.

Ce matin, je part, je les voit au bout du chemin,
Innocents, ils me disent au revoir de la main,
Je part, le coeur chargé de tout un tas de remords,
Je part, car je n'ai qu'une idée en tête: la mort....


PS: Je me permet une petite prestation au milieu des vers céleste de mon cher ami.

Dans un royaume aux milles prairies
Une belle fille aux moindres habits
Se promène sur les sentiers fleuris
S'en aller rejoindre un inconnu
Pour ce jour, salir sa petite vertue
Sur la couche d'un homme éperdu

Petite femme au délicieux regard
Viens donc te perdre dans le noir
Rejoinds moi dans l'aire boisée
D'une jolie clairière abandonnée
Afin que renaisse l'espoir béni
Dans l'antre d'un coeur meurtri
........



Je ne sais pourquoi les souris dansent...
Je ne vois pas les oiseaux s'envoler...
Je ne sais pourquoi les loups beuglent...
Je ne sais ce que les voisins veulent...
Je ne sais ce que tes parents ont décidé...
Je me fiche de ce que les gens pensent...


PS : Tu seras toujours le bienvenue mon ami
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