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La question du mariage et de l'adoption par les couples homosexuels
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Qu'a t-elle a gagner a autoriser le mariage des noirs?
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29/01/2008, 18h46 |
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Ben à offrir cette possibilité à tous les humains ?
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29/01/2008, 18h50 |
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Héros / Héroïne
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Si vous voulez parler de l'adoption en France, faites-le au moins en sachant de quoi il retourne. Pas en inventant les chiffres et les situations.
http://www.ined.fr/fichier/t_telecha...ier_fr_417.pdf |
29/01/2008, 19h18 |
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Drech[LostPassword] |
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Salut tous,
Eheh... J'étais un peu étonné de ne pas voir de fil s'ouvrir sur l'Agora après la décision de la cours européenne (voir le 1er message du fil. C'est chose faite, me voila rassuré. Toujours fort intéressant d'ailleurs. Merci. Il a peu été discuté jusqu'ici du fait que la décision de la cours européenne est une nouvelle susceptible de changer fondamentalement la donne. Que chacun présente ses opinions argumentés, mais.... finalement, ou en est l'adoption par les homos, suite à cette arrêt? Deux questions essentielles à mes yeux: L'un des éminent juriste Jolien sait-il jusqu'à quel point la décision de la cours européenne des droits de l'homme est contraignante ? De même, quelqu'un a-t-il une idée des recours en cours (appel...) ? Si la décision fait jurisprudence, alors effectivement, les services en charge de l'adoption ne pourront plus refuser l'agrément à un "célibataire" sur le prétexte de son homosexualité (que le prétexte soit avancé frontalement ou de façon cachée comme c'était le cas pour la jeune femme en question). Question suivante, alors: Qu'est ce qui s'oppose dès lors, aujourd'hui, à l'adoption par un homo ("célibataire") en France? Et une autre question encore : En France, un "célibraire" (hétéro jusqu'à aujourd'hui) peut se porter candidat à l'adoption en tant que seul futur parent. Mais que veut dire "célibataire" dans ce contexte ? Est-ce que qqu'un qui vit en couple (concubinage, PACS...) peut se porter candidat à l'adoption en tant qu'adoptant unique (en tant que parent unique) ? Ou faut il effectivement vivre seul ? Dans le premier cas (un / une personne homo vivant en couple peut adopter seule), le débat (ré-)ouvert sur l'agora n'a guère lieu d'être puisqu'un homo vivant en couple peut adopte en son nom propre (seul). Dès lors, l'impossibilité d'une adoption conjointe (par le couple) est une "position de principe" complètement hypocrite, qui de plus va à l'évidence à l'encontre de l'intérêt de l'enfant et de la stabilité cellule familiale (les deux papas ou les deux mamans "de fait" + le ou les bambins). Il devient alors urgent d'autoriser l'adoption par deux parents homos. Dans le second cas (il faut vivre seul pour se porter seul candidat à l'adoption), il me semble clair que le principal arguments que j'ai pu (re)lire sur le fil devient caduque, puisque
Merci beaucoup à ceux qui peuvent m'apporter quelques réponses précises ! |
29/01/2008, 23h05 |
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