Pho bien vivre

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** Ceci est un post "semi" RP a suite ou l'écrivain suivant est choisis par le précédent (enfin celui que vous lisez quoi)**

- Votre café Contre-Amiral
- Merci

Kathryl pris la tasse et reporta son attention sur le datapad qui affichait l'état des réparations de son vaisseau mere, le StarBlade.
Cela n'avançais pas et il n'avais qu'une envie, aller dormir. Il pouvait déléguer les réparations mais c'était un peu tard pour ce faire à présent.
Appuyant tant bien que mal, avec sa tasse de café, sur une section de son datapad pour avoir un détail, toute les lumières du Starblade virèrent au rouge vif, et il cru avoir fait une connerie.

- Alerte Rouge ! Ceci n'est pas un exercice ! Tout le monde a son poste !

Kathryl se demanda si l'officier de quart était subitement devenu très con, mettre en route un scramble sur un Croiseur en panne perdu au beau milieu de l'espace c'était de la stupidité profonde.
C'est la qu'il vit ses mails et pâlit légèrement, il posa sa tasse sur quelque chose qui ressemblait a un morceau de générateur ionique et commença à afficher les messages.

Des rapports de combat, plein de rapport de combat.

- Chef ? Beugla Kathryl
- Oui Mr ? Répondit le chef mécanicien émergeant d'un coin du réacteur à fusion froide.
- On a un match a domicile, tachez de réparer cette vieille casserole qu'on bouge.
- Nous somme attaqué ?
- Juste le second Cluster pour l'instant mais je parie que le premier ne va pas tarder.
- Qui oserait ?

Kathryl baissa son datapad et regarda le chef mécanicien qui supervisait (et mettait la main à la pâte a en juger par l'état de sa blouse) les réparations.

- Je crois que je vais retourner aux réparations.
- Je crois aussi oui...

Kathryl sortit son communicateur, et demanda d'une voix mielleuse :

- Jaaadee ? les réparations sur les communications lourde a longues distances sont finie ?
- Ca fait deux heures que ça fonctionne, mais blond comme tu es tu n'as rien remarqué.
- Chatain Clair !
- A d'autre, c'est vrai ce que j'ai reçu sur mon datapad ?
- Vi, si je trouve le couillon qui a commandé une pizza sans payer pour qu'on ai les créanciers a nos porte ca va barder.
- Tu crois que c'est le moment de faire de l'humour ?
- Non mais qu'est ce ça détend, tu devrais essayer.

Le Contre-Amiral coupa sont oreillette avant même d'entendre, plus ou moins sciemment, la réponse de son second.

Sur son datapad il commença a pianoter frénétiquement pour savoir combien de membre du Phoenix sont présent et constata qu'il n'y en avait qu'un seul.
Il linka son oreillette.

- Kob, pas couché ?
- Euh ... non ...
- Regarde ton courrier si c'est pas déja fait
- Ok

Un grand silence s'en suivis.

- On fête le départ de qui pour que ce soit la fête comme ça ?
- Personne, c'est la joie qu'on soit toujours présent dans la Galaxie sûrement ...

** La suite pour Kob (il n'a pas le choix gniark gniark) **

Les "regles":
* Pas de détails precis (nom de planete, taille de flotte, etc.) sauf exception (bh/restore par ex.)
* Beaucoup d'humour, c'est qu'un jeux apres tout ^^
* On ne reclame pas la plume, c'est l'ecrivain qui decide le prochain, meme si tout le monde a droit a sa chance.
* On respecte l'adversaire
__________________
Kathryl ~ CAT' the PSION
Il y a differente façon de voyager, le rêve en est une forme ...
CAT-the-PSION.net
Kob tapota quelques boutons sur son clavier avant de reprendre :

- Bon, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle, la mauvaise c'est qu'ils m'ont envoyé 3 fois plus de flotte que ce que j'ai actuellement. La bonne c'est qu'ils ont attaqué en force partout sauf là ou j'avais la majeure partie de ma flotte ainsi que mon vaisseau amiral.

Il tapota encore quelques boutons puis :

- Ah une deuxième bonne nouvelle c'est que le plus gros de leur flotte est sur une planète où j'avais un gros détachement de flotte et où ils venaient de terminer les fortifications, ça devrait tenir le temps que je dégage ma flotte et que je défende les autres; ils vont sûrement tous y rester, mais ils devraient tenir. Bon le président et le conseil dorment, je leur laisse 5h pour venir après j'entame les procédure pour faire venir nos alliés. Tu m'excuses deux minutes, une bricole à régler.

- Pas de problème, on se recontacte.

Il fit alors signe à son second un peu plus loin :

- Capitaine, vous ferez pendre le responsable du service espionnage pour pas avoir prévu ça. C'est quand même incroyable qu'ils soient prévenus 1 semaine à l'avance quand on attaque et que nous on l'apprenne limite après qu'ils soient repartis de chez nous !

- Mais amiral ... c'est moi le responsable du service espionnage depuis que vous avez fait pendre l'ancien ...

- Hum ... très bien alors, vous m'envoyez mon deuxième adjoint puis vous allez demander à ce qu'on vous pende.

- Mais amiral ...

- Execution !

- A vos ordre ...

Le capitaine sortit alors de la pièce tandis qu'un second capitaine de vaisseau faisait son entrée quelques instants plus tard l'air pas rassuré du tout :

- A vos ordres amiral !

- Bien capitaine, je ne vous cache pas que je détesterai que vous me déceviez également. Faites décoller toute la flotte et mettez en action toutes les batteries de missiles, il faut nettoyer leur flotte ici rapidement. Vous briferez les pilotes : nous les encerclerons et dès que c'est fait nous désactiverons la stase pour terminer plus rapidement. Faites préparer mon vaisseau aussi et soyez prêt à partir dès que j'arrive.

- Bien amiral !

-Execution, je veux que ce soit terminé pour hier !

Le capitaine fila sans demander son reste pour exécuter les ordres. Kob réunit alors en visio-conférence tous les commandants des défenses sur les planètes attaquées.

- Je serai bref, vous devez tenir vos position coûte que coûte, nous envoyons la flotte dès que possible, je veux voir notre drapeau flotter encore sur les QG de vos planètes quand nous arriverons.

Son message fut suivi d'une série de "à vos ordre amiral", puis il coupa la communication.

- Kat toujours là ?

- Oui toujours.

-Le premier cluster est pas encore attaqué, mais ça sera sans doute pour dans une heure ou deux, ils ont du se planter dans les heures de départ ... Leur attaque commence bien mal ... pour eux.

Une série de sirènes retentirent de chez Kathryl dans le communicateur, il reprit :

Ah on dirait que j'avais raison, le premier cluster est attaqué aussi?



(Hop Kat à toi. )
** bon ok je continue alors ^^ **

- Si tu parlais du generateur d'hyperespace qui viens de retomber en rade, alors la reponse est oui. Repondit Kathryl dont la voix commencait a trahir un enervement certain.
- Tu es encore dans ta brouette ? Demanda Kob
- Vous etiez tous jaloux quand je l'ai fait produire pour qu'il devienne mon Flagship!
- Aujourd'hui ils en rigolent tous Kathryl, on est pret a passer en hyperespace, ils ont relancé tous ce qui sert a pousser notre brouette. Repondit Jade "la" second de Kathryl
- Je te laisse Kob, je rentre au bercail pour pouvoir bouger au mieux mes flottes. dit kathryl
- Evite de retomber en panne. ricana Kob avant de conclure par un "Kob terminé".

Kathryl regarda son second qui affichait un air goguenard limite hilare.

- Enclenchez la propulsion sur les coordonnées precedente, on rentre. Ordonna le Contre-Amiral blasé
- Propulsion enclenchée Monsieur, Hyperespace dans 5, 4, 3, 2, 1 top! répondit l'officier de navigation.

Lorsque la brou ... le Starblade sortit de l'hyperespace, avec une heure de retard (en plus) , ce fut pour tomber nez a nez avec avec une flotte inconnue de taille consequente en orbite de sa planete mere aux prises avec la flotte Alpha et la flotte de defense standard.

Le datapad du Contre-Amiral se reconnecta automatiquement aux reseau PHO commenca a cracher son lot de mail d'alerte.

- Laisse moi deviner ? Demanda Jade
- Oui. Nos craintes etaient fondées. Répondit Kathryl
- C'est quoi cet embleme ?
- FMS non ?

Le datapad (toujours lui) bippa, Kob appellais.
Blasé, Kathryl pris son oreillette et repondit :

- Annonce moi d'autre mauvaise nouvelle ?
- Rien de pire, le cluster 1 est bien attaqué ?
- Oui par FMS.
- FMS ? Nous avons les RONIN ici
- Deux contre un ? On fait si peur ?
- Disons plutot qu'ils preferent mettre les moyens et etre sur de nous poutrer

Deux bip retentirent et s'inscrusterent dans la conversation.

- Poutre ? On a parlé de poutre ?

** j'ai une panne d'inspiration la, je continuerais mon texte plus tard, ca me permettra de choisir le prochain ecrivain **
Bon, alors allons-y gaiement.






Quelque part dans la galaxie connue se tenait un système stellaire. Dans ce système se tenait un vaisseau. Dans ce vaisseau se tenait un homme. Et cet homme était en grande conversation sur un sujet particulièrement brûlant...

- Croyez-moi, les gars, la poutre ça me connaît. Et si quelqu'un ici doit poutrer les autres, c'est moi !
- Tu es drôlement confiant, répondit l'un de ses interlocuteurs.
- C'est naturel chez moi. Ca me vient de ma grande-tante, je crois. Bon, c'est pas que je m'ennuie avec vous, mais j'ai du boulot. J'ai moi aussi une poubelle à mettre sur le pied de guerre. Altarec terminé.

Coupant la communication sans laisser le temps aux autres de répondre, Altarec quitta alors ses quartiers pour se rendre au poste de commandement du croiseur, le TSF Avenger, antique musée volant ayant survécu on ne sait comment à des guerres ancestrales. Un chef d'oeuvre d'anthologie, et un miracle de la science et de la mécanique pour l'avoir maintenu en état de voler.

Durant sa marche à travers les couloirs, un homme l'accosta, une pile de feuillet dans les mains.

- Commandeur, les premiers rapport de l'ingénierie. Ils disent qu'ils leur faudra au moins trois semaine pour construire un moteur capable de nous ramener en territoire PHO. Depuis la défaillance de l'ancien la nuit dernière, notre système de propulsion actuel ne nous permettra pas de rejoindre la frontière avant au moins six à huit semaines.

- Dites-leur qu'ils ont trois heures.

Sur la passerelle, c'était l'ébullition. Chaque officier tentait tant bien que mal de coordonner le voyage de retour, mais tracter un vaisseau de cette taille privé de moteur par une escadrille d'intercepteur n'était pas une bonne idée. Comment en étaient-ils tous arrivés là ? Altarec en avait encore le douloureux souvenir...



*DZOUIIIIIIIM* *ceci est le bruitage d'un flash-back*



Quelques heures plus tôt, au cours de la nuit, Altarec dormait dans son magnifique palais, sur sa planète-mère. Il rêvait de gâteaux au chocolat, lorsque soudain, la sonnerie du téléphone le réveilla...

- Grmblskilfmmmmbrufallo ? Ne criez pas trop fort général, je me suis couché il y a une heure... De quoi vous me parlez là ? Une attaque ? Non, je vais très bien, et il n'y a pas d'antécédents cardiaque dans ma famille, pourquoi ? Ha, pas ce type d'attaque ? Qu'est-ce que vous me chantez là ? Mais ma parole, vous avez bu ? Pas plus que d'habitude ? Autant dire que vous êtes encore beurré...

Lentement, comme si ce geste lui coûtait bon nombre d'efforts, il se leva et se mis en quête de ses vêtements alors que son ordinateur personnel -qu'il ignora superbement- lui annonçait joyeusement "Vous avez 63 nouveaux messages, dont 27 urgents".

- Comment ça nos planètes sont sous attaque ? Qu'est-ce que vous me chantez là ? Que je regarde par la fenêtre ? Bon, très bien, mais j'espère que c'est convaincant...

D'un geste, il enfonça le bouton commandant l'ouverture des stores extérieurs et attendit. Ce qu'il vit l'étonna au plus haut point. Le ciel s'illuminait de toute part au gré des tirs et explosions.

- Tiens, c'est pourtant pas la fête nationale... Sûrement des gamins qui s'amusent, pas de quoi en faire un plat. Pardon général ? Mais non, puisque je vous dit qu'il n'y a rien à craindre ! Si c'était une attaque, on entendrait des cris et des débris tomberaient à la surface de la planète ! Vous faites erreur.

Comme en réponse à ces paroles, un imposant destroyer traversa la couche nuageuse en une gigantesque boule de feu pour passer devant la fenêtre d'Altarec et s'écraser dans les jardins du palais sous le regard médusé du maître des lieux.

- Mon... Mon parterre de rosiers.... C'était pour offrir...

Altarec sentait une vague de fureur monter en lui. Passant à toute vitesse devant l'ordinateur qui affichait désormais "Vous avez 130 nouveaux messages, dont 54 prioritaires", il hurla dans le téléphone :

- Général ! Je me fiche de savoir de qui il s'agit, mais nettoyez-moi ce ciel ! Sortez les batteries de missiles nucléaires ! Comment ça les retombées ? Mais non, il y a du vent en cette saison ! Rassemblez la flotte ! Sortez mon croiseur de sa révision des six mois et mettez-le sur le pied de guerre ! C'est un ordre, général !

C'est alors que les évènements s'étaient enchaînés à toute vitesse. Le TSF Avenger, fleuron de l'histoire de la flotte, connu en tant que la carcasse spatiale la plus chanceuse de la galaxie pour avoir survécu on ne sait comment aussi longtemps (l'ennemi l'ignorant généralement, le confondant avec des débris spatiaux), s'était arraché de la force gravitationnelle de la planète en y laissant quelques répulseurs au passage, et avait fait route droit sur les forces adverses.

Seulement, alors qu'Altarec avait poussé les moteurs au-delà de leur capacité max avant surchauffe, c'est à dire 40% de poussée avant, un dysfonctionnement avait déclenché la procédure automatique de fuite par bond plus rapide que la lumière (d'ailleurs, cette procédure était censée avoir été effacée il y a longtemps, mais le technicien chargé de la maintenance informatique était mort d'une grippe intestinale quelques jours trop tôt). Bien entendu, cela avait grillé toute la machinerie une fois le bond effectué, et le TSF Avenger s'était retrouvé quelques systèmes trop loin pour participer aux combats.

- Quand j'ai dit "hit and run" comme cri de guerre, je ne voyais du tout cette stratégie, avait alors dit Altarec, blasé.




*DZIIIOUUUUUUUM* *fin du flash-back*




La voix d'un officier ramena Altarec à la réalité.

- Monsieur, nos transmetteurs longue-portée reçoivent une communication de l'amiral Hyde.




*Et voilà, j'ai même glissé un léger clin d'oeil là-dedans. Kob, c'est à toi. *
Désolé j'annonce un peu en retard qu'il n'y aura pas de suite, Kob et moi meme avons quitté Pho peu apres cette "guerre" pour des raisons que je n'enoncerais pas ici.
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