Bruits de Taverne - Donjons Oubliés

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voilà, un post simulant la vie de notre aventure hors mardi soir
tout ceci dois etre roleplay( of course), en parlant par son personnage. On peux aussi poser des questions pour en savoir plus sur les lieux, les gens, les objets de legendes, ect,ect)
bon amusement a tous.
Pardon, mais... comment dire... je n'ai rien compris.

Tu pourrais préciser un peu ? De quoi s'agit-il ? D'un post RP ok, mais où quand qui comment et pourquoi ? C'est la suite d'une aventure in game ? Tu t'adresses à des personnes en particulier ?

Edit : Je viens de voir le sujet sur le masque, il n'y a pas de problème en ce qui me concerne pour accueillir votre histoire, mais je veux quand même une belle présentation du BG, de l'histoire et des personnages.


ah, en effet, sorry
cela concerne la partie in game "donjons oubliés" de Clarisse ( voir la section ds masque de pierre de lune ), les aventuriers du mardi peuvent y ecrire ce qui leur arrive( a leur perso) entre 2 parties, une sorte de taverne quoi
celà s'adresse principalement aux personnes jouant cette campagne , mais d'autres personnes peuvent "intervenir legerement" si elles le veulent, afin d'enrichir un peu notre monde
c'est vrai que je n'ai pas été tres clair, dsl ^^
part 1 :son dieu : Kelemvor

Orion HarpeLune est un Elfe de Lune, originaire d'Eternelle -Rencontre. Sa famille etant musiciens de longue lignée, il fut naturelement porté vers l'art , et principalement vers le chant et la jeu de Lyre.Sesparent, ainsi que les autres nombreux bardes lui apprirent donc l'art des chants magiques elfiques , ainsi que les rudiments de la magie, dont chaque elfe est impregné. Lors de sa 120eme année, sa passion de visiter un peu le monde se fit trop forte, comme chez beaucoup de jeunes bardes. Il etait temps pour lui d'ecrire sa propre histoire, de vivre ses propres épopées de légendes.
Avant de partir, ses parents lui offrirent son heritage elfique: une epée etrange, appellée
Luna et une lyre dorée. Ces parents lui expliquèrent que la lame fut crée il y a fort longtemps, en temps de guerre, pour proteger la famille HarpeLune, mais que depuis quelques générations, ou la famille d'Orion est restée à la cité elfique, la forte magie irradiant de la lame s'etait progressivement eteinte. Lorsqu'Orion la pris en main, une legère lumière émanna de la lame, comme si elle désirait elle aussi repartir à l'aventure...
Il prepara donc ses affaires et fut teleporté sur le continent par des mages de la cité.
Cependant, le terrain ayant un peu changé depuis la dernière visite des mages( environ 350 ans) , Orion se retrouvé perché dans un arbre, et en tomba presque aussitot, tout ce qui monte un jour en descends un autre jour. c'est là que deux femmes l'ont receuilli avant que le groupe d'aventurier ne passe.

Il reste cependant tres evasif lorsqu'on lui parle d'Eternelle -Rencontre, sauf pour chanter la beauté de cette ville mystérieuse.
Voici le background de Mythras, ça vous permettra d'en savoir un peu plus sur lui.

Mythras Arkalys :

Né troisième fils dans une famille de la petite bourgeoisie d'Eauprofonde, la vie de Mythras s'annonçait des plus discrète et insipide. Ses parents, comme la plupart des membres de la bourgeoisie ne recherchaient qu'une chose : le prestige et le pouvoir. Ainsi choisirent-ils d'envoyer cet enfant qui ne pourrait pas occuper le devant de la scène dans un temple enfin d'en faire un fidèle, ce qui ne pourrait pas faire de mal à leur image de marque. De plus, si jamais il arrivait à se faire une place dans la hiérarchie du clergé, le nom de la famille n'en serait que plus respecté.

Le petit Mythras fut donc envoyé dans un temple de Pelor dès ses 10 ans. Etant un enfant curieux, appliqué et attentif, il arriva rapidement à se faire apprécier des prêtres qui lui accordèrent une attention particulière. Quelques années passèrent alors qu'il servait comme novice au temple et apprenait le dogme de Pelor. Devant les qualités de l'enfant et son coeur pur, il fut décidé qu'il suivrait un apprentissage de paladin.

Mythras commença donc à suivre la rude formation de chevalier du bien à laquelle on l'avait destiné. Si il appréciait des préceptes tels que la protection des plus faibles ou l'entraide, il avait plus de mal à se faire à certains aspects très cadrés de son instruction, en particulier la vision manichéenne du bien et du mal qui lui était présentée. Le fait d'être toujours sur le front des batailles ne lui plaisait guère plus. Au plus profond de lui, il voulait aider et protéger les gens, mais autrement.

Il décida donc d'interrompre sa formation de paladin. Ses supérieurs, touchés par ses arguments acceptèrent sa défection. Mythras choisit de suivre une autre voie, plus pacifique, plus proche des gens, une voie qui lui convenait mieux : celle des prêtres de Pelor. C'est avec ardeur qu'il se lança dans l'apprentissage des arts de la magie, chose pour laquelle il se montra rapidement doué, en parvenant même à maîtriser quelques sorts profanes.

Son apprentissage terminé, il décida de parcourir les contrées de Faérun afin de venir en aide à ceux qui en avaient besoin. Inutile de dire que ses parents prirent la chose très mal. Eux qui se pâmaient en imaginant leur fils en futur ponte du clergé le voyaient maintenant en tant que simple prêtre itinérant. La discussion fut vive, mais Mythras ne changea pas d'avis. Il quitta la demeure familiale sous les cris de sa mère et les jurons de son père. Après une dernière prière au temple et un adieu à ses professeurs, il se mit en route et quitta la cité.

Peut-être y retournera t-il un jour, seul Pelor le sait....
Bon je remet mon histoire ici :

Norin Bourses D'Or

Voila ce que vs avez pu apprendre sur Norin durant les soirees au coin du feu :

Norin est l un des fils d un maitre serrurier. Celui ci fait de son art un commerce profitable ds une petite bourgade ce trouvant a un carrefour de plusieurs routes commerciales.

Norin a dc depuis tres longtemps cotoyé d autres races, des humains surtout mais aussi des gnomes, des hobbits et qques fois des elfes.

Pendant qques tps, il a accompagné ses freres ds d autres villes lors de livraison de commandes.

Il a ainsi pu decouvrir une petite partie du vaste monde mais aussi et surtout il a pu entendre ds certains endroits parler de lieux recules ou des montagnes d or et de gems attendaient a etre recuperees par de temeraires heros.

Il se decida dc de quitter l entreprise familiale pour chercher richesse lasse de cette vie, certe honorable mais un tantinet ennuyeuse.

Et puis pourquoi laisser ces gemmes et cet or a d autres ?

__________________
http://philouc.chez.tiscali.fr/signature/signature norin.jpg


Lilo Apudbier


Extrait de «l’invicticus monastèrial XVième siècle av JOL »
La vie au monastère est si concentrée sur la quête de la spiritualité que, quand les moines en sortent, ils ne se sentent plus du tout liés à leur village natal ou à leur famille.
Dans les grandes villes, des maîtres ont fondé des écoles enseignant l'art du moine à ceux qui le souhaitent (et qui le méritent). Les moines faisant partie de telles académies considèrent bien souvent leurs frères ruraux comme des paysans arriérés. Les moines ont conscience de faire partie d'un groupe à part. Ils se sentent parfois proches les uns des autres, mais ils aiment aussi s'affronter afin de voir qui a le mieux développé son ki.

Extrait des tablettes transcendantales du «biblioterom neverwinterecum »
"Les moines suivent généralement leur formation dans l'enceinte d'un monastère. Pour la plupart, ils y sont arrivés enfants, soit parce qu'ils étaient orphelins, soit parce que leurs parents ne pouvaient plus subvenir à leurs besoins, soit en échange d'un service que les moines avaient rendu à leur famille. "


Lilo, sœur aînée d’une famille de 6 naines, fut confiée dans sa douzième année par son père devenu veuf, à la charge d’un oncle éloigné. C’est en compagnie de cet individu, organisateur de taïlkuatchï (un ancêtre du Kuatch ou catch), qu’elle contribuait à subvenir aux besoins du foyer paternel. Malheureusement ou plutôt heureusement, quelques années plus tard, remarquant son adresse hors norme, son tuteur sans scrupule obligea la pauvre enfant à monter sur des rings dans différentes tavernes et bouges pour nains. Ainsi, semaine après semaine, les combats à mains nues qu'il organisait avec un comparse, plus divers autres trafics (dont je tairais ici l’objet) assuraient leur survie. Repairé un jour béni par un curieux voyageur au nom de Loum n’kaïdo un moine « marcheur » du rayon divin, Lilo fut alors arrachée à cet univers violent et dépravé.

Durant les quelques soirées pendant lesquelles Loum n’kaïdo assista aux combats, le moine pu remarquer la vitesse prodigieuse avec laquelle la naine réagissait aux attaques ainsi que sa bonne résistance générale.
L’enfant, couverte de bleus, à moitié assommée, continuait le combat sans faiblir et gagna par 3 fois des luttes contre des garçons plus âgés qu’elle. Il sentit alors chez la naine une force d’âme et une résignation si forte que seul un être doué d’une sagesse exceptionnelle pourrait soutenir. Les journée consécutives que Loum passa à Grumh-Azil, dans l’enclave naine, acheva de le convaincre de l’intérêt de sortir cette créature de l’univers glauque et de la triste condition qui faisaient son quotidien.

Il savait la tâche ardue car de mémoire de moine, il ne connaissait aucun exemple de nain ayant lié sa vie à un quelconque ordre monastique, ni voué son âme à Ilmater dans la sagesse infinie du zen. Mais pourquoi l’esprit de ce petit être disgracieux, bien que non humain mais traversé par une souffrance précoce, ne pourrait t’il pas accéder à la spiritualité ultime ? La veille de son départ, alors que Lilo plaquait, non sans mal, un dernier adversaire au sol, l’esprit de Loum s’éleva vers la lumière divine et se figea sur l’image d’un petit être pétrit de sagesse vivant en harmonie avec ses pairs. Le moine arrêta alors sa décision : il irait le lendemain parler à la fillette et à son tuteur.

Après une âpre discussion et non sans quelques menaces empreintes de sous-entendus, Loum échangea la liberté de la jeune fille contre le logis, la nourriture, ainsi qu’une bonne éducation dans son monastère. Bien entendu, une somme rondelette en pièces d'or sonnantes et trébuchantes acheva de convaincre son vil tuteur. Cet événement triste, permis toutefois de tirer un trait sur une enfance sans réel amour, depuis lors, elle garde une méfiance absolue à l’encontre des nains et autres humanoïdes dont les desseins consistent à asservir autrui ainsi que contre tout jeu d’argent et tout lieu de luxure.
Lilo, n’a pas véritablement le cœur sur la main, mais elle a le sens de la justice. Elle a pour elle et ses compagnons le profond respect des frères d’armes que l’éducation sans faille des moines lui a enseigné.

L’éducation dans le monastère d’Oyo :
Fondé il y a seulement deux générations par un moine dissident de la confrérie du cercle vibratoire, l’ordre monastique du rayon divin se réclame de la confession d’Ilmater ”le Dieu qui Pleure”, la divinité de l'endurance, de la souffrance et de la persévérance. Loum n’kaïdo un moine « marcheur » voue son existence à une perpétuelle errance au cours de laquelle, guidé par son infinie sagesse, il choisit les individus qui feront le ciment futur de sa caste.

Choisie par Loum dans la lumière d’Ilmater, Lilo était loin de pouvoir prétendre au statut d’élue du rayon divin. La naine rejoignit dans un premier temps le rang des cafards pubères puis fut rapidement admise chez les initiés impurs au sein desquels elle suivit un enseignement rigoureux pendant plusieurs printemps.
Pour la première fois dans sa vie, la naine rencontra soutien et affection. Chaque élève était considéré de le même façon : c’est à dire pas loin du rien. Toutefois, évoluer dans un esprit d’entraide et une vision de justice était pour elle quelque chose de nouveau et profondément salutaire. Sa vision du monde changea, baignée par la lumière du zen et des préceptes d’Ilmater. Remarquée pour sa persévérance et sa résistance, Lilo se forgea une réputation de « dure à cuire ». En cela, Loum ne s’était pas trompé, la fillette savait puiser au fond d’elle même l’énergie nécessaire et porter le poids de la souffrance. Aucun des guides spirituels d’Oyo, ni professeurs d’arts martiaux n’en doutait, Lilo serait un jour Elue d’Ilmater car elle était née moine.

Vînt le jour de l’épreuve de la recherche intérieure et son acceptation chez les « enfants d’Ilmater » le rang qui faisait d’elle un moine à part entière, digne représentante du rayon divin. Elle sut franchir la première épreuve : celle du rayon du jugement qui cherchait a égarer son esprit loin des préceptes d’Ilmater et la séparer de ses pairs. Elle sut franchir la deuxième épreuve : le rayon de souffrance ou elle dû retrouver son chemin seule dans une plaine désertique pendant 3 jours et 3 nuits. Elle sut franchir la troisième épreuve : celle du rayon martial qui l’opposa à un maître de combat à mains nues. Enfin elle sut franchir la dernière épreuve : le rayon de patience qui la plongea dans une profonde méditation et conclue les 4 épreuves de la recherche intérieure .

Ainsi, à l’issue de 6 années d’apprentissage, devenue un moine du rayon divin à part entière, Lilo fut confiée à la surveillance d’un « Isolé », un rang du rayon constitué exclusivement d’ermites nourrissants leur âme de méditation. Elle passa de nombreux mois en compagnie de Rufus Naïd, un homme étrange et peu bavard, retiré dans une masure à proximité de la mer occidentale. Sa cabane de pêcheur faite de bricks et de brocs, menaça tout l’hiver de s’effondrer sous les assauts incessants des bourrasques des vents du grand nord mais elle tint bon, comme soutenue par un mystérieux pouvoir bénéfique dont Lilo pouvait sentir la présence à chaque fois qu’elle pénétrait le seuil de la maison. Son quotidien, pauvre en activité, se résumait en de longues séances de méditation, de la lecture, ainsi que la réalisation de quelques menues tâches quotidiennes comme la collecte de bois mort pour alimenter la cheminé, la cueillette, ainsi que la chasse aux petits animaux. Rufus était peu bavard, mais cela ne la gênait pas outre mesure. Lilo était une fille de comportement peu démonstratif, une sorte de fleur refermée sur elle-même. Cependant, quand pour la dixième journée, la pluie succédait à la pluie, le vent du nord-ouest relayait le vent du nord-est, Lilo succombait à l’ennui et un sentiment de regret des jours passés en compagnie de ses jeunes amis au monastère la tenaillait. L’hiver fut donc bien rude, dans son corps mais aussi dans son esprit

Bientôt, le printemps osa enfin montrer le bout de son nez , les journées devinrent plus clémentes et Rufus lui enseigna de nombreuses chose sur le pays qui les entourait. Elle eut ainsi l’occasion de parcourir les plaines du nord et faire connaissance de nombre de ses habitants : principalement des gnomes et des humains, mais aussi dans une moindre mesure diverses tribus de barbares hostiles et trolls. Durant ces quelques mois, elle avait appris comment survivre en puisant le minimum de matières dans la nature, désormais elle connaissait le nom de chaque chose. Lilo, avait aussi appris à mieux cerner le vieil ermite et sa philosophie qui se résumait à un seul précepte : limiter l’emprise humaine et sa trace corporelle sur le monde physique pour renforcer son aura spirituelle et toucher à l’essence du Zen. Une leçon d’économie en quelque sorte….

L’automne bien entamé, la jeune moine appréhendait avec inquiétude les prémices du nouvel hiver. Elle eût alors pour la première fois une longue conversation avec Rufus et ce dernier, à son grand étonnement, lui apprit que rien ne la retenait ici et qu’elle était en fait libre depuis l’instant où elle avait franchi le seuil de sa maison.
Lilo le cœur léger, transportée de joie à l’idée de voir du pays s’empressa de prendre conseil auprès du vieil homme et lui demanda : frère quelle route puis-je désormais suivre qui puisse honorer mon rang de moine du rayon ? Le vieil homme sourit tranquillement, dirigea son regard vers l’embrasure de la porte et formula une réponse en forme d’énigme : ouvre cette porte, suis ton chemin mais sache que la seule bonne route sera celle qui te conduira à nouveau auprès de moi.

Quelques jours plus tard, Lilo prit congé de son hôte, franchit le seuil de la vieille cabane et referma la porte derrière elle. Elle fit quelques pas, la route serpentait en contrebas en suivant le tracé sinueux de la falaise. L’océan avait pris une couleur argentée annonçant une prochaine ondée, un changement brutal et étonnant en cette saison. Le moine jeta un regard en arrière, elle regrettait désormais la froideur de son comportement à l’égard du vieux. Lilo se campa devant la porte, bien décidée sinon à l’embrasser, du moins à lui témoigner avec sa chaleur toute sa reconnaissance pour sa patience et sa bienveillance. La fille ouvrit à nouveau la porte dans un grincement et fixa l’intérieur d’un regard étonné. Une épaisse couche de poussière couvrait désormais l’ensemble du mobilier, la cabane était vide, quelques détritus gisaient en son centre. A l’évidence la maison était abandonnée et tout indiquait qu’il n’y avait pas eu d’occupant depuis de nombreuses années.


Alors que chacun vaquait à ses occupations tranquillement dans la salle principale de l'auberge du sang et de la vigne, la porte de l'établissement s'ouvrit soudain à la volée.

Les quelques habitants du village présent regardèrent d'un oeil torve la personne qui venait de déranger la quiétude des lieux. Le jeune homme était âgé d'un peu plus de 20 ans. Il portait une armure de plaque rutilante et une masse d'arme pendait à son côté. Fait étrange, il avait les bras chargés de feuilles de papier blanches.

Les membres du petit groupe de voyageurs qui étaient arrivés il y a peu dans la bourgade et qui s'étaient illustrés par leur bravoure le reconnurent sans mal : Mythras le serviteur de Pelor et prêtre de la bande venait de rentrer.

Il salua les personnes présentes d'un sourire et fit quelques pas mal assurés en direction d'une table libre. Il parvint à atteindre son objectif sans faire tomber ses parchemins et les déposa en tas sur la table.

Mythras se retourna vers ses compagnons et poussa un soupir de soulagement.

"Bon, avec ça je pense que ça fera un bon début pour aller à l'assaut du château de Ravenloft. D'après les dires des villageois se Strad est un être maléfique et très puissant, vous pensez que l'on pourra le battre ?".
assis dans un recoin d'ombre, le barde jetta un coup d'oeil sur le pretre qui venait d'entrer. detournant un instant son attention du postérieur de la serveuse, il dit en souriant : " hé le pelorien, vu le vacarme que tu fais, ca m'etonne pas qu'on te balance des sorts a vue !"

sa boutade lancée, il sorti sa lyre enchantée et joua un petit air triste et lugubre, qu'il appelait <Requiem des fous>

" d'apres les dires , ahahaha, d'apres les dires on referais Eternelle rencontre en alumettes !
voici ce que j'ai appris des Maitres Vampires en fouillant dans les bibliotheques de la ville"
Emergeant de derriere une montagne de choppes vides, Norin jette un oeil glauque vers Mythras :

"En tout cas c'pas avec de la paperasse qu on va l tuer ! Ahahaah.... koff...koff...koff....Tavernier une autre Choppe bien remplis, j ai la gorge qui s desseche !!! "

*Regardant l'elfe et gromnollant*

"....Foutu elfe tjrs à remonter le moral"

Puis se replonge ds ses mines.
Une moue dubitative apparu sur le visage de Mythras alors qu'il venait d'écouter les paroles d'Orion et de Norin. Après quelques instants d'hésitation, il répondit au nain sur un ton nonchalant :

" Je vous rappelle que c'est grâce à ma "paperasse" que votre épée à pu traverser le corps des golems de pierre de la secte comme si c'était du beurre. Il ne faut pas négliger les apports que peut nous donner un stock de parchemins bien fournit."

Sur ce, son regard se fixa sur le nombre incroyable de choppes qui constellaient la table de Norin.

* Comment un être vivant peut-il boire autant ??...c'est incroyable.... *

Essayant de percer le mystère du nain, Mythras resta perdu dans ses pensées.
cela faisait 2 jours dejà que le barde fouillait et refouillait la bibliotheque de la ville, relisait certains livres sacrés des pretres de la ville, cherchait des bribes de plans du chateau..

il avait dejà decouvert bcp de choses sur les vampires, un vampire est un être non mort condamné à boire du sang pour survivre. Selon les mythes et légendes , le vampire est le cadavre d'un individu excommunié, donc qui n'a pas été enterré religieusement. Ne pouvant trouver le repos éternel, il sort la nuit de son caveau et va sucer le sang des vivants pendant leur sommeil, généralement sa famille ou ceux qui lui ont causé du mal mais ce n'est pas toujours le cas (ils peuvent boire du sang animal).

Étrange mais pas unique, mais suivant les légendes, les vampires sont loin d'être parfait, à part le fait d'avoir la vie éternelle, et encore ils doivent faire attention, voici une petite liste de choses qu'ils craignent ( ou devraient craindre...):

- ils sont obligés de sortir la nuit, la lumière du jour les tuant
- les croix en argent les repousse
- les pieux en bois dans le coeur les tuent
- la décapitation les tuent
- les églises, les prières, les repousse
- l'eau bénite, les brûle et/ou les tuent
- le feu les tue
- un crucifix dans leurs cercueil les empêches d'en sortir pour toujours
- l'exorcisme les tuent
- la neige les brûle et/ou les tue
- la pluie ou l'eau ruisselante les brûlent et/ou les tuent
- Si un vampire boit du sang d'un mort, il en meurt
- l'ail les repousse


il trouva aussi un vieux livre a motié dévoré par le temps, ou il pu apprendre ceci :

Strad Von Zarovick est le tout premier seigneur du demi-monde de RAVENLOFT, c´est un Vampire et un nécromant de haut rang. Il fit un pacte avec un être qu´il appellait Mort. Ce pacte eu pour résultat la mort de son frère Sergeïl, un paladin et la disparition de sa bien aimée, Tatyana. Elle devint la malédiction de Strad et sa mort cella son destin et celui de ses sujets en transportant le domaine de Ravenloft dans le demi-plan de la terreur.

Perdu dans ses pensées, Orion pensa que vaincre Strad ne serais pas une mince affaire, tuer son apparence physique ne serait qu'une première partie des epreuves qui les attendait, lui et son groupe d'amis. Pour le vaincre, il faudra trouver son cercueil, et en finir une fois pour toute avec lui...
"nous en savons dejà plus sur lui, certaines de ses faiblesses nous seront utiles..."
sur ce, il sorti sa harpe et se mis a jouer un air plus joyeux que les autres..." Ah decidement, c'est une bien belle nuit qui s'annonce a nous..."
"Stradt Von'barovitch, lui boubourse... hips ... moi prendre lui et retourner..." Le gobelin qui ne dépassait que les mains de la table, mimant sous l'effet de la cervoise la lutte contre le dit-vampire finit sa lutte au sol...
L'auberge voyant ce ridicule bouffon et entendant sa déclaration s'éclaffe bruyamment... ne remarquant pas que les compères du petit Asma aquièscent avec un sourire cette déclaration l'encourageant à revenir à sa place.
Asma, fier comme Artaban, salue son public puis reprends sa place derrière sa chopine que le nain ressert... "eux pas croire moi... mais moi grand gobelin !"
Peu après, la deuxième demi-bière lui est fatale ... après un rot sonore et une descente de chaise périlleuse, il va difficilement se coucher sur les sacs du groupe d'aventurier... "chef dormir et nous partir après !"
Ces mots font encore s'exclaffer les buveurs qui se taisent aussi vite que tombe de sommeil le gobelin et qu'apparaisse dont ne sait où une panthère noire et effrayante veillant le petit bouffon ...
chose promise, chose dûe... le gobelin se réveille avec l'aube, se frotte les yeux, s'étire nonchalamment et joue qq peu avec sa panthère... le jeu semble prendre des allures de combats et les miaulements du félin réveillent la troupe d'aventuriers. Le bouffon, étrangement, stoppe le jeu qd tout le monde est réveillé.

"AUbergiste, nous faim et soif aussi... mais juste eau" regardant le seigneur nain. "toi donner aussi pour châton viande crue et toi gentil si préparer rations pour nous ...eux pas tous savoir vivre dans nature".
et Asma commence à se baffrer et se trouve rapidement repus !
"moi gros ventre, moi presque nain, comme Crunch bientôt !" sa réplique glisse sans réplique sur les 2 aventuriers concernés... ils ont compris que la meilleure défense contre un gobelin acide reste le silence...

Et la troupe s'apprête et bientôt sacs, armes, sorts sont remplis, aiguisées et préparés ... Asma dépose en paiement à l'aubergiste de magnifiques gemmes... Interloqué, l'aubergiste ne peut s'empêcher : "c'est vraiment vous le chef Monsieur ?"...dans un grondement magique, le gobelin devient à son tour une panthère et seul un miaulement répond à la question.
Et les 2 panthères deviennent 2 ombres commençant à mener la marche du groupe
Lilo se retourna vers l'aubergiste, l'air rieuse.
Oui c'est bien lui le chef ! on a rien dit au début pour ne pas le contrarier, mais je crois qu'au final c'est une erreur.
Maintenant il répète ça partout, c'est clairement.... la honte.
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