Le purificateur

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Le Purificateur :

Chapitre 1 : Le siège de la ville des Mages :

-Le sable nous entourait, et devant nous se dressait une ville majestueuse, la ville des Mages. Elle s’appelle ainsi, car la majeure partie est constituée de Mages de toutes sortes, des Mages barbares, tout comme des Mages sorciers. Elle ne fut plus attaquée depuis 1 000 ans. Car 1 seul siège se passa, et ce seul siège fut un cuisant échec. Ce fut le Prince Dalron qui fit cet assaut, son armée se constituait de : 500 archers, 1 000 guerriers, 200 cavaliers, 100 sorciers.
-Le raid se passa bien jusqu'à ce que les portes immenses et imposantes de la ville soient détruites, les Mages des Ombres habitent cette ville, c’est une étrange secte qui est crainte de beaucoup de personnes, il y a bien longtemps ils avaient signé un pacte avec Dolcia, un des démons les plus puissant qui n’ait jamais existé. Lors d’une guerre sans précédent où des millions de soldats et de démons étaient tombés au combat. Dolcia avait fait preuve d’une loyauté sans égale. Jamais il n’avait désobéi, il écoutait chaque ordre jamais une bavure, et c’est pour ça qu’il a gagné tous ses grades. Sa loyauté a été prouvée lorsque son supérieur avait donné une ultime épreuve à Dolcia, il devait tuer sa propre sœur, son supérieur lui dit : « tu l’as tue et ta loyauté sera prouvée pour de bon. Tu peux la sauver mais tu seras renvoyé, a toi de choisir » Il ne réfléchit même pas, il l’aimait tant certes, mais non il ne pouvait pas la sauver, c’était elle ou lui et il se promit de la faire revenir un jour. Il fonça sur elle et la tua rapidement et sans douleur par apport à ses habitudes de faire souffrir et agoniser, mais c’était sa sœur tout de même, il lui planta l’épée directement dans le système nerveux du cerveau, mais il fallait toucher du premier coup : si le coup est manqué la personne souffre comme aucune autre personne, et par chance il le réussi, la lame s’enfonça dans le crâne pour traverser la cervelle et s’arrêter net à un moment. Dolcia était content, elle n’avait vraiment pas souffert, ses yeux parlaient d’eux-mêmes. Après cela il reçu sa liberté. Mais ça loyauté n’était pas son seul point fort, il était doté d’une force incroyable, que ce soit moralement ou physiquement. Il avait tué beaucoup d’ennemis, le jour il adorait attaquer sous sa forme humaine. Avec ses poings dotés d’ongles aussi tranchant que des griffes, il découpait les corps, et ainsi boire le sang de ses victimes, se nourrissant de leurs tête arrachées… Mais c’était la nuit qu’il préférait, oui là tous ses pouvoirs se régénéraient, d’ailleurs personnes ne comprenait pourquoi la nuit et pas le jour. Ce qui était sûr c’est que quand le soleil !se couchait, rien le l’arrêtait. Il ne se transformait pas en une bête sans scrupule non, il changeait d’esprit, de moralité, il ne respectait plus aucune règle. Sa seule soif était celle de sang frais. Il adorait se glisser dans les maisons et tuer toute la famille, surtout égorger les enfants sous les yeux des parents, ou encore tuer les parents sous les yeux des enfants pour finalement les rendre aveugles en leur perçant les yeux avec son épée éclatante de rouge. Il tua sans relâche, jusqu’au jour ou il tomba sur une femme ressemblant à sa sœur, tous les souvenirs revinrent en lui, le moment où il dit oui, le moment où il fonça sur elle pour mettre un terme à sa vie, de plus en plus des remords apparaissaient : il n’en revenait pas d’avoir tué sa propre sœur, il avait besoin de parler, et il avoua tout à cette femme qui, affolée et paralysée de terreur lui dit que s’il tuait c’était pour l’oublier, pour l’oublier oui, … Mais en réalité il était en quête du pouvoir et il lui était monté a la tête il n’en pouvait plus, il résista à l’envie de la tuer et ce jour la il disparut. Depuis il y eut une rumeur disant qu’il avait donné le pouvoir au Mage Des Ombres pour ne plus tuer, mais ils devaient donner une âme sur deux à tuer pour qu’il puisse se nourrir. Son histoire s’arrête là.
-Les soldats fonçaient toutes armes dehors, mais les Mages étaient bien trop entraînés à ce genre d’assauts où les soldats se précipitaient, malgré leur réputation ils étaient en fait très bien organisés avec une hiérarchie bien précise. En premier le chef des mages, il a le pouvoir sur tout, que ce soit l’économie ou les rituels. Ensuite les adeptes de Lirila, la déesse de la discorde et de la mort dans leur religion, ce sont les adeptes de la magie. Dans cette section il y a les grands sages : pour devenir un sage il faut contrôler la mort, la vie n’étant pas intéressante, car très vite ennuyeuse. Un mage doit réussir deux choses, la première pouvoir revenir de la mort à la vie, et la plus dure, pouvoir aller de la vie à la mort, ceci peut être utile pour embaucher un esprit pour faire un sale boulot, mais nous reviendrons plus en détail dessus plus tard. Ensuite il y a les confirmés, qui doivent apprendre les deux choses précédentes pour devenir sages. Ensuite il n’y a plus que les apprentis, en réalité ce sont les enfants souhaitant s’initier à cet art qu’est la mort. Et nous pouvons trouver une autre branche, celle des adeptes de Ricord, le premier barbare de la secte d’après les anciens. Dans cette section il y a le commandant, c’est celui ayant le meilleur instinct, le meilleur style de combat, et le plus stratège mais il faut avoir un actif d’au moins cent adversaires tombés au combat pour le devenir, ensuite le plus étrange, c’est que après lui il n’y a que des soldats, pas de lieutenant et autres, non juste des soldats qui loyaux et sans pitié sont près a tuer tous ceux qui s’approchent trop près de leur domaine. Les adeptes de Lirila en faction sur les tours et murailles, attendant leurs prochaines proies, sont habillés d’une étrange tunique noire qui leur pend jusqu’aux pieds, une capuche cachant leur tête et les motifs y sont dessinés ils brillent même avec la lumière que diffusait le soleil. Tandis que les combattants restent impassibles et s’attendent à n’importe quel moment à l’attaque. L’on peut apercevoir des tatouages immenses recouvrant leurs corps, tous ont une expression de marbre et un regard donnant froid dans le dos. Leurs haches, masses, épées, … sont immenses sans oublier les archers tuant les plus téméraires.
Et la, ce qui devait arriver arriva : les soldats foncèrent pour de bon, ils étaient près à tous démolir. Les catapultent attaquèrent les portes qui furent démolis très rapidement. Les soldats habillés dans une armure faite de titane et de mailles avançaient rapidement avec leur bouclier. Ils entendirent un son qui ressemblait à un appel, et ils comprirent que cela voulait dire que le feu vert avait été donné. Les barbares bandèrent leurs arcs et tirèrent, ceux qui n’avaient pas eu le temps de lever leur bouclier se faisaient transpercer par ces volées de flèches, qui arrivaient un peu n’importe où. C’est à ce moment là que Dalron apparut, il prit son arc lui aussi et décocha une flèche dans la tête d’un des barbares qui dégringola d’une des tours pour se fracasser sur le sable chaud du désert. Ses soldats même en voyant leurs camarades tomber au combat et qu’ils devenaient en sous nombre, toujours aussi loyaux le suivaient. Les barbares étaient sortis dehors tuant tous ceux qui passaient devant eux, les haches déchiquetaient les corps, les masses broyaient les crânes, les épées découpaient les chairs, les deux camps perdaient des forces, mais cela ne faisait aucun doute que le Prince Dalron était en train de perdre. Le sable s’était imprégné du sang, des corps, des âmes. Dalron lui était celui qui tuait le plus de cette racaille mais n’avait qu’un seul objectif : le chef qu’il pouvait voir à présent. Il ordonna aux archers d’attendre encore un peu pour tirer. Quand les sorciers se montrèrent enfin il ordonna de tirer immédiatement, la moitié sûrement fut décimée mais il en restait encore beaucoup. Dalron se sachant perdu fonça vers le chef des mages à travers des flots de sang, voyant les Mage Des Ombres qui buvaient goulûment jusqu’à ce que leurs yeux soient remplis de sang, jusqu'à ce que les corps de leurs ennemis soit totalement vidés, jusqu'à ce que leurs bouches débordent de ce sang frais, jusqu'à ce que leurs veines se gonflent. Ce sang leur donnait des forces, les régénérait, augmentait leur force, les motivait. Les mages firent apparaîtrent plusieurs petites boules tournoyantes sur elle-même et les envoyèrent vers les soldats ce qui eut pour effets de causer des brûlures intense, de tuer sur le coup, d’exploser les cadavres, c’était une magie très puissante qui était a l’œuvre. Lui le Prince allait perdre une bataille pour la première fois. Mais il combattit sans relâche, avec son épée maudite, la lame entourée d’une aura maléfique et noire comme les ténèbres il transperçait les cottes de mailles comme du beurre, il déchiquetait membres et têtes. Les corps meurtris s’entrechoquaient entres eux, laissant des flaques de sang immenses sous les sabots du cheval maléfique du Prince Dalron. Il fit enfin face chef des Mages, il fit face à Nazguld, le chef des Mages. Ce Mage là fut le garde personnel de Dolcia lui-même. Il lui donna force et magie.

-Le Prince donna en premier un coup d’épée, le mage fut surpris par la rapidité de celui-ci. Le coup lui frôla la tête et il eut juste le temps de l’esquiver mais une égratignure apparue, le sang était resté sur la lame. Nazguld souleva sa main pour laisser apparaître une épée divine, il décapita le cheval du Prince en un mouvement, la pauvre bête tomba à quatre pattes laissant son cavalier dans la frayeur et la surprise, le Mage souleva sa main libre, une lumière d’un bleu éclatant aveugla le Prince et lui percuta de plein fouet son bras gauche l’envoyant en l’air. C’était une sphère blanche qui fit peler le bras du Prince du fait de sa chaleur fantastique. Avec un courage exceptionnel il fonça sur le mage, qui prit un autre coup d’épée de plein fouet, mais son visage ne laissa pas la trace d’une seule blessure, même pas une éraflure. Le Prince vit sa transparence incroyable, il comprit que le mage était passé de l’autre côté, vers celui de la mort. Il ne pouvait pas y passer plus d’une dizaine de minutes mais ce serait juste assez pour décimer toute l’armée à l’aide des esprits. Il comprit que la bataille était terminée, mais le mage venait de faire l’erreur de revenir parmi les vivants. Rassemblant ses dernières forces, il alla vers le mage, prit son épée, et contre toute attente, se transperça le cœur avec en maudissant toute la secte et surtout la descendance du mage, qu’ils meurent tous. Il eut aussi le temps de prendre très discrètement une goutte de sang du mage pendant le premier coup, ceci fut suffisant pour le maudire. Le mage ne vit pas les morts qui se relevaient d’entre les autres corps, il ne les vit pas aller sous la terre, il ne vit pas son doigt s’assombrir, il ne vit pas qu’il était maudit, et que tout son peuple allait être maudit. Il ne comprit pas que les squelettes attendaient un prochain siège pour se venger, il ne savait pas qu’il avait tué plus qu’un misérable Prince, il ne savait pas qu’il avait osé affronter Le Purificateur, le pire des Mages qui existe, il ne savait pas que celui-ci était sous l’emprise d’une drogue qu’un de ses serviteurs lui avait mis dans sa nourriture pour en finir avec ce règne infernale…

- Seigneur, allez vous bien ??
- Je me rappelais le temps ancien…
- Vous pensiez à …
- Oui Ranshu, s’il te plait, annonce que nous allons commencer le raid pour venger mon fils...
- Oui chef.


Quand le départ des 1000 cavaliers, 1000 sorciers, 1000 archers, 1000 fantassins et le Seigneur furent prêt, un nuage de poussière se souleva sous leur déplacement. Leur formation formait un rectangle parfait, 1000 archers a l’arrière, 1000 cavaliers a l’avant plus les 1000 fantassin et le Seigneur, 500 sorciers de chaque côté de ce « rectangle » envoûtant.

10 minutes plus tard, les portes avaient cédé mais le Seigneur agit avec plus d’intelligence et d’assurance que son fils, au lieu d’y aller directement, il positionna les archers en arrière pour tuer tous ceux qui viendraient sur les palissades, ainsi leurs armures et leurs peaux, transpercées par une volées de flèches enchantées par les sorciers. Les cavaliers et les fantassins restaient à l’avant mais n’entraient pas, pour attendre l’ennemi. Leurs armes aussi avaient été enchantées. Comme prévu les Mages vinrent sur les palissades, la plupart se firent transpercer par les flèches, qui formaient des traces précises, les peaux en prenant exactement les formes. Mais certains eurent assez de temps pour lancer des sorts, ce qui affola les chevaux faisant tomber leurs cavaliers, piétinant ceux qui avaient le malheur de se trouver près de ces bêtes affolées. Profitant de la confusion, les Mages sortirent toutes armes dehors, mais les fantassins et les lanceurs de sorts se mirent en place et la bataille commença, le Seigneur était celui qui avait le plus de haine dans son cœur, cette haine qui le consumait petit à petit laissant place a une ombre noire a la place. La bataille se déroulait comme celle de son fils, le sang coulait a flot, mais les Mages ne burent pas le sang comme contre sont fils, car ils perdaient petit à petit la bataille et ils n’avaient pas le temps de savourer leurs boisson favorite, et le Seigneur prenait de plus en plus l’avantage. Et c’est là que le miracle ce produit, le chef des Mages Des Ombres entendit une voix, mais une voix qu’il n’avait que cru entendre, celle du Prince, elle disait : « rejoins moi … vient … vient sauver ton peuple … vient le sauver … mais cela te coûtera ton corps … vient petit humain … vient à moi … vient … mais serais tu capable de … le payer … au prix de ta … vie ?? » Le Mage s’affola, il commença a gesticuler, et puis … plus rien. Il se releva et c’est là qu’il ouvrit la bouche pour dire

- Mages Des Ombres et le Seigneur, mourrez tous !!

Le Seigneur, son armée, et les Mages ne comprirent pas, ils se retournèrent pour voir la main gauche du Mage Des Ombres s’illuminée d’un brouillard noir, qui petit à petit, enroulait tous sont corps, pour exploser sur des kilomètre a la ronde, le brouillard s’épaissit et allez s’éloignait. Dans la pénombre maléfique, d’étranges bruits se firent t’entendrent, comme ci l’ont soulevait du sable, comme ci des rotules craquaient, une puanteur se faisait sentir, comme une haleine pas trop fraîche, comme des corps en putréfaction, comme des morts qui se réveillaient. Cinq minutes s’écoulèrent et puis, plus rien, plus de bruit …

Deux jours plus tard une équipe d’éclaireur vis la ville des Mages sans vie, avec les portes détruites. Le rapport des éclaireurs disait que la ville avait bien subit des dommages visibles, mais aucuns corps, aucunes traces de sang, aucunes traces d’armes, rien… Mais ce n’était que le début...

Chapitre 2 : L’embarquement :

Des semaines passèrent, la ville des Mages fût fermée, le mystère n’était toujours pas résolut, la seule chose qui fût aperçut, ce fut le brouillard. Une chose en entraînant une autre, la peur commençait à s’installer dans Sel Lotisa une ville pourtant si paisible dans les temps anciens, les gens fermaient leurs portes maintenant, surtout celle qu’un brouillard maléfique ou un démon ne s’incruste et les faces disparaître dans les ténèbres. Normalement les portes restées ouverte même quand les gens dormaient, la confiance et le respect régnaient dans cette citée qui prospérait chaque jours. Maintenant, chacun suspectaient sont voisin d’avoir signé un pacte avec Dolcia ou un autre démons de ce genre. Les marchands ne venaient plus dans cette citée de peur d’êtres avalés par cet étrange brouillard qui avait approché de bien trop près la ville, faisant mourir toutes choses vivantes aux alentours. Les terres qui étaient fertiles, étaient devenues sèches et inexploitable. Tous les animaux et plantes aux alentours sont morts, soit de pourrissement soit de vieillesse prématurée. Le jour, d’étranges choses se produisaient, quelqu’un disparaissait, des cris et des craquements se faisaient entendre, et la nuit, des formes s’agitaient dans la pénombre de la nuit. Les gardes avaient été tous « dévorés ». Leurs corps était là, empalaient, sur les piquets de la citée, mais les organes n’étaient pas là, il ne restait plus que les corps qui avaient cicatrisés autours des piques, les anciens savaient ce qui ce passé, mais eux aussi furent sauvagement assassiné. Lors de sa ronde habituelle un garde rentra dans la tour pour voir si tout allais bien, à la place de la table bien rangée de l’entrée il vit une table saccagée, les meubles avaient été brisés, du sang se trouvai sur les tapisseries de la tour, elles qui étaient de toutes les couleurs et formaient de majestueux dessin sont maintenant d’un rouge sang, des morceaux de chair humaine et des membres se retrouvaient un peu partout. Le garde appela des renforts, et ensuite alla vomir plus loin le reste de sont repas. Les renforts montèrent aux étages supérieurs. Ce qu’ils virent les terrorisa, les mages tenaient leur tête dans leurs bras, et elles appelaient à l’aide, d’une voix macabre et sans sentiments, a côté se trouvait des corps, enfin des corps … juste des torses ou des jambes…. Malgré tous ils continuèrent leur chemin, bien qu’ils auraient voulus prendre leurs jambes à leurs cous et s’en aller très loin d’ici. Ils rencontrèrent un piège, deux petites flèches touchèrent deux gardes qui succombèrent d’une étrange manière dans une sorte de cauchemar. Ils n’étaient plus que huit, ils continuèrent de monter. L’escalier et les murs regorgeaient de sang, les corps des mages étaient éparpilliez un peu partout dans les escaliers, certains étaient pendus, d’autre avaient été piétinés, mais comme les gardes empalés sur les piques, ils leurs manqués leurs organes. Les gardes sentaient la peur les envahir, ils tremblaient comme une feuille emportait par le vent, leurs yeux pleuraient de pitié et de peur, la tension commençait à s’installer petit à petit. Le moindre bruit les faisait sursauter, qui dégainaient leurs armes. Quand ils entendirent une petite voix, faible, mais suffisamment audible. Elle disait :


- Venez à moi courageux gardes… je vous offrirez intelligence, richesses, renommée, et je réaliserai un de vos rêves, venaient à moi courageux garde…

Envoûtés par cette voix, les gardes montaient les escaliers, sans se rendre compte que le sang rentrait dans les murs et le sol, sans remarquer que des bruits ce faisait entendre, sans remarquer que des « bêtes » mangeaient les corps, sans remarquer que la pièce s’assombrissait petit à petit. Dix minutes plus tard, ils étaient en haut de la tour, ils virent un homme dans une cape noir, sa puissance se sentait nettement, son aura maléfique était bien visible dans la pénombre, il était entourait de deux bestioles mesurant un mètre chacune sûrement, mais indescriptible tellement il faisait noir dans la tour. Ils avançaient dans la pénombre, a peine ils eurent fait un pas, que le mystérieux personnage leurs dit : ‘je vais réaliser votre rêve, tous les humains rêves de mourir, donc je vais vous aider a l’accomplir ce rêve…’. Les gardes dégainèrent leurs épées avec du retard car ils étaient toujours étonnés de voir que la voix leur voulait du mal. Le mystérieux personnage sortit une épée mystique, elle faisait la taille 2 fois la taille d’un bras adulte, ce qui la rendait grande et imposante, dans la garde, était incrusté des runes que personnes n’avaient vus jusqu’à présent, elles brillaient d’un rouge et noir éclatant, la lame elle avait tout autour de mini piquant qui se recourbait vers la garde, seule la pointe de la lame n’avait pas ces petits piquants. Le mystérieux personnage avança, les gardes se mirent en position d’attaque, un bruit fendit l’air, un étrange son se fit entendre le garde tout a gauche avait une dague plantait dans la gorge, il agonisait une main au cou, l’autre sur la dague et le sang lui continuait de couler et il s’effondra au sol comme une masse s’écrase sur la tête d’un ennemi. Les gardes foncèrent sur l’attaquant toutes armes dehors, mais il esquivait tous les coups sans aucune difficultés et profitant d’une ouverture il enfonça son épée dans le corps avec l’autre main il sortit une courte épée tranchant la gorge du garde à sa droite, le sang coulait de plus en plus. Il attrapa la gorge d’un autre garde et déboîta la tête dans un bruit sinistre. Le garde tomba a terre les yeux vers le ciel, et la les bêtes attaquèrent. Les gardes commençaient à lâcher leurs armes, le sang commençait à couler rapidement, les yeux s’emplissaient de sang et s’écarquillaient, comme s’ils avaient vu des horreurs et que la peur les accompagnait. Les doigts commençaient à tomber, ensuite c’était les pieds. Les gardes n’étaient plus qu’un amas de sang ou ils leurs restaient leurs bras, le torse, et la tête. La suite de la décomposition s’ensuivit du torse, qui était découpé en petites rondelles, qui tombaient une par une au sol, ensuite les bras, leurs veines avaient étés arrachées de leurs corps, ne laissant plus que des bras dénudés d’où sortaient des veines et du sang à volonté. La tête fut la dernière étape, les yeux avaient étés arrachés pour se retrouver dans la bouche, la langue retirée pour se retrouvait dans l’emplacement des yeux, la cervelle arrachée, elle rentrait dans les oreilles, le nez se trouvait près des corps. Les griffes avaient totalement déchiqueté la chair, arrachant les contours. C’était un spectacle horrible qui enchantait le personnage, et le seul garde qui fut épargné vomit plusieurs fois. Le tapis avait imprégné le sang, ce qui les rendit d’un rouge vif effrayant. Les deux bestioles elles dévoraient les corps et leurs membres.

- Veux tu me rejoindre petit humain ?? Je te jure richesse, intelligence, force, rapidité, épée et armures que j’ai confectionnées moi-même. Mais pour me rejoindre il y a un prix, il faut résister à une épreuve, celle du fil de la mort, je vais confectionner une boule de pure énergie, qui te transpercera tous le corps, des qu’elle arrive a la tête, tu me diras si tu peux encore vivre d’accord ?? Je pense que touts le monde à le droit à une chance, donc si tu me déçois, tu pourras me resservir, bien sur il y aura un autre prix. Au faite, je m’appelle Zoalar, mais par les Mages, je suis plus connu sous le nom du Purificateur, tu pourras m’appeler comme tu veux tant que ce n’est pas insultant. Ainsi Zoalar quand il dit ça, était très sérieux, il avait un sourire au coin des lèvres, ce qui prouvait que la mort l’amusait, et qu’il adorait tuer.
- Ai-je vraiment le choix ?? le mercenaire avait dans sa réplique quelque chose d’insultant, il finit par : Je suis d’accord.

-A peine il eut finit ça phrase, qu’une petite sphère violette lui transperça les jambes, faisant gicler le sang a gros flots, les veines et artères étaient déchiquetées. Le garde fit tomber a terre son pied, en criant d’un cris jamais entendu tellement la douleur était insupportable, le deuxième pied fut pris d’assaut, lui aussi tomba a terre, le sang continuait coulait a gros flots, ensuite le torse fut attaqué, laissant tombé sang, bile, et morceaux d’intestin, ensuite fut les poumons, le mercenaire respirait avec de plus en plus de difficulté quand ils furent transpercés, quand ce fut le coeur, un flot de sang jaillit de la bouche du garde. La sphère s’arrêta derrière la nuque du garde, qui celui-ci, était à l’agonie.


- Peux-tu me dires si tu es capable de vivre encore ?? demanda Zoalar.
- ……
- REPONDS !!
- Je … je … peux … a peine le garde eu prononcé c’est 3 mots que du sang sortie de sa bouche mais il continua. … vivre… huhuuuu …
- Bien. Répondit Zoalar.

-La sphère retourna dans son index gauche, le sang du mercenaire retourna dans son corps, et ses blessures cicatrisèrent. Il regarda autour de lui, il pu voir les créatures, elles continuaient de manger les corps, elles se battaient rien que pour avoir un morceau de bras, et elles buvaient le sang des gardes. Elles avaient des dents pointus comme le bout d’une lance, elles avaient une peau grise avec des reflets jaunes, des ongles longs, fins, et coupants. Elles avaient une force et une rapidité extraordinaire.
Zoalar porta le pauvre garde qui était épuisait par l’expérience qu’il venait de vivre, il eu juste le temps de remarquer qu’il n’y avait plus de corps de gardes, plus de corps de Mages, plus de sang, touts avaient étés rangés, la table en désordre, les tapisseries… Le garde s’endormi…

-1 jour plus tard :
Joala, qui avait été le seul mercenaire épargné, se réveilla, seul dans une pièce de la tour, un message était écris il y avait marqué : « J’ai embarqué sur un navire, voici les équipements comme promis, je t’offre cette ville, et ce sera une bonne occasion de voir tes nouveaux pouvoirs. Quand à moi, j’ai embarqué sur un navire pour continuer mon règne, bientôt nous serons 13. Zoalar. »

Chapitre 3 : Le trône de Joala :

-L’épée que lui avait confectionné Zoalar était d’un rouge éclatant qui luisait. Mais le plus étrange c’était la couleur, elle bougeait, coulait à l’infini sans jamais toucher la garde de l’épée. On avait l’impression que la lame fut baignée dans du sang. Ca puissance ce sentait au toucher tellement qu’elle fut enchantait par des charmes et runes plus mystérieux les uns que les autres. Personnes n’avait vus de telles enchantements depuis longtemps, le seul fait de toucher l’épée procurait une puissance jusqu’à là jamais ressentie dans ce monde. Sur une table était posé des gants, bottes, armures… Joala ne perdit pas une secondes, il prit les bouts d’armures et les enfilas.

-Une étrange force maléfique s’empara de lui, ses yeux d’un bleu claire normalement et d’une tendresse incroyable car dans sa jeunesse il avait du aider sa sœur a survivre de sa blessure. Sa ce passe 10 ans en arrière, il avait 10 ans, sa sœur 8. Nous sommes dans la ville Turiscal, l’harmonie règne ainsi que la confiance et la gentillesse, les Ouçal sont une famille de Prince voici le tableau de la famille a peut près : le père (roi de la ville) : Joan la mère : Ulria (femme au foyer) la fille (princesse) : Tunilia et le fils (prince) Joala. Un jour d’été, le sable était plus doux que d’habitude, l’air frais, et le soleil brillant de mille feux. Elle décide d’aller se balader seul dehors, elle faisait le tour de la citée, quand elle vit 2 personnes demander de l’argent, elle s’approcha d’eux quand une lumière noir accompagnée d’un rayon noir la percute de plein fouet la jambe ce qui eut pour effet de laisser une plaie béante. Mais pas de sang, juste une plaie qui ne voulait pas cicatriser. Personne ne sait pourquoi elle c’est prise ce rayon, mais pendant 30 jours et 30 nuits, la mort la guettait, son frère s’occupait d’elle comme il le pouvait, il allait chercher l’eau, la soigné, et puis, elle est morte. Sa blessure ne voulait pas cicatriser, a force elle c’est infectée, les maux de têtes et les douleurs dans le corps l’assaillaient. Et puis elle succomba de cette blessure. A partir de ce jour, Joala ce sentit faible et coupable, il alla dans une autre citée, pour devenir mercenaire. Il se promit d’aider les plus faibles que lui et de venger les personnes qui l’ont aidés ou qui lui sont chères.
Maintenant ses yeux n’avaient plus cette tendresse, ils exprimaient la haine, le dégoût, et une envie de tuer. Le plan de Joala pour s’emparer de la citée était clair, rentrer dans le palais, tuer les gêneurs et tuer le Roi, si le peuple ne voulait pas de lui, il les tueraient tous jusqu’au dernier.

-La nuit :

- Tu n’as rien entendus ?? Demanda le garde avec inquiétude
- Si je …
- Gary ?? tu fais … Ho mince, qu’est-ce que c’est que ….
- Imbécile … dit Joala a voix basse.

A peine eut il tué les deux gardes qui buvaient tranquillement au coin du feu, il rentra dans le palais assouvir sa soif de vengeance. L’entrée était somptueuse, des palmiers étés plantés devant celle-ci, les murs étaient blanc comme la neige, le sol était magnifique, le parquet reflétait les gens qui se regardaient dedans, la décoration était des vases rares, des bijoux dans des vitrines, des meubles rare, et bien sur les éternelles gardes… Joala monta sur une poutre du toit, pour atterrir derrière un garde qui discutait avec un de ses amis. Discrètement mais rapidement, il attrapa le 1er garde et l’égorgea comme un cochon, le 2ème voulait sonner l’alarme, mais il se reçu une dague en plein dans la nuque. Le sang était déjà en train de se déverser sur le précieux sol, mais ceci importait peu Joala, qui continuait sa progression aussi furtivement qu’il le pouvait. Quelques minutes plus tard, il se retrouva dans une salle où il ne semblait avoir aucune âme qui vit. Il avança et comme par magie, l’armure le fit reculer d’un pas, et ceci lui sauva la vie, des lances coupantes comme des lames de rasoirs sortirs du sol, si l’armure ne l’avait pas fait reculer, il serait empalé vif. C’est là qu’il comprit que son petit voyage dans le palais ne serait pas de tous repos. Plus prudent que jamais, il avançait a pas furtif, sans bruit, en regardant où il marchait. Tous ce passait bien jusqu’à ce que une grille l’enferme. Il fut pris de panique, de grosses gouttes de sueurs tombaient de son visage, ses mains devinrent moites, et surtout, il ne comprenait pas pourquoi il avait si peur. Tout à coup, une sorte de vision vint à lui, il vit son maître Zoalar créent l’armure, les gants, l’épée, … Et Zoalar dit que l’armure est faite sur mesure pour lui, elle ressent sa peur, sa force, son intelligence, sa dextérité, enfin tous les sentiments et toutes les choses gérées par le cerveau. Il lui dit aussi que si un combat allez venir, il verrait cette vision, il lui dit que le matériel lui obéissait. La vision s’arrêta, Joala se retrouva devant 2 gigantesques monstres, ils avaient un pelage suffisant pour résister aux températures les plus rudes, leurs mains étaient énormes. Il pensa que un coup suffirait à lui arracher la tête. La peur s’empara de lui, chacun de ses membres le laissait peut a peut sombrer dans la folie, toute ça vie défilée devant ses yeux, il se revoyait enfant, jouant avec sa sœur, après il se revoyait dans la tour des mages, il ressentait la douleur de la sphère violette, jusqu’à arriver a ce moment. Quand il rouvrit les yeux, un monstre l’attrapa avec une de ses immenses mains imposantes, elle sera ses côtes en en broyant une, le sang se rependait peut a peut sur le sol, tout a coup une colère et une haine sans précendante s’empara de lui, ses poings se refermèrent, ses yeux laisser apparaître un désir de tuer, une étrange aura noir était dessinée autour de son corps. Le monstre comme sous l’effet d’une brûlure le lâcha, son bras s’enflamma, ce qui fût accompagner d’un cri strident et affreux. Joala voulut sont épée car le monstre fonçait sur lui mais a la place, sont doigt se pointa sur le monstre, et il prononça : « Talacum Tuues Esprus » Sous ces mots, un esprit sortir de son doigt, lui aussi avait envie de tuer. Les monstres se firent déchiqueter par cette esprit, le sang giclait, les membres tomber, les monstres mourraient dans d’atroce souffrance…. A la fin de cette boucherie l’esprit dit : Je suis a vos ordre Maître. Joala réfléchi et il demanda en murmurant, qu’il ne l’avait pas appelé ou du moins ce n’est pas lui qui a dit cette étrange phrase.

- Si monsieur, c’est vous, du moins c’est l’armure, elle a servi qu’une fois, c’est le grand Purificateur qui l’avait utilisait, a la fin il mit tous ses pouvoir dedans, chaque personne la portant et se trouvant en danger ou tous simplement qui réclame ses pouvoirs peuvent êtres utilisaient mais seul une âme pur de vengeance peut la porter… et seulement 2 âmes de ce type existe : celle de Monsieur et la votre je pense bien. Sous ses mots Joala ne pouvait croire a ceci, toute ça vie il l’avait consacrée a aider les autres, pas a tuer pour le plaisir, non il ne pouvait pas le croire, il ne le voulait pas, il ne voulait pas devenir un monstre assoiffé de sang qui ne sera jamais rassasié, d’ailleurs il n’a jamais voulut être ça, il voulait finir sa vie avec une femme, un enfant, et une petite maison à côté d’une oasis. Mais son âme en ce moment était emplie d’une colère sans égal, d’une puissance dévastatrice, d’une autre vie en faite, la vie qu’il aurait voulu avoir plus jeune, mais son âme a son avis, n’a jamais été habitée de la pure vengeance, comme le disaient ses professeurs, l’homme qui est habité d’une âme de pure vengeance est un démon sans cœur ni foi, il avait une décision a prendre, soit être le gentil, sois le méchant. Joala s’arrêta, pensa, et comme par magie, il avança en flottant, sont choix à été fait, oui la destruction sera sa nouvelle passion.

- L’esprit avait disparut, Joala avança sans faire attention au bruit, il tué tous, tous ce qui se trouvaient sur son passage mourraient, il prononçait des mots qui était interdit a prononcer, le sang giclé, les corps explosés sous les sorts dévastateur. Son épée devenu noire, Joala ressenti une profonde douleur dans son cœur il revit ce qu’il venait de faire, la douleur persista et puit elle s’arrêta pour le laisser avec ses démons, il avait peur, oui très peur, pourquoi il n’en savait rien mais il savait que ce n’été pas pour rien qu’il vu ces visions atroces où il se revit tuer tous le monde sans pitié.

- Il se réveilla plus tard, il arriva avec peine a se mettre debout, son corps entier le faisait souffrir, il se demandait bien ce qui lui faisait mal comme ça, quand il vit du sang coulait de son épaule droite, il regarda rapidement et vit une entaille qui n’arrivait pas a cicatriser et le plus étrange c’était cette lumière blanche autour de la plaie, elle rayonnait comme le soleil, il essaya de la toucher, il n’y arrivait pas à chaque fois qu’il essayait une douleur profonde s’emparait de lui avec les mêmes visions qu’il vit précédemment. Il s’apprêta à continuer d’avancer quand il vit une étrange lumière, comme si elle l’appela il avança. Il entra dans une vaste pièce, à en juger par la grande table et les assiettes posaient dessus, ce devait être la salle à manger, même après tant d’années elle était resplendissante tout étaient soigneusement rangés et protégés des démons par il ne savait qu’elle miracle. Le carrelage lui reflétait les personnes comme dans un miroir. Il s’âpreté à faire demi-tour quand il vit une petite tache dans le coin d’un mur, mais une simple tâche ordinairement n’était pas importante mais là dans cet endroit resplendissant où aucun endroit n’était souillé cela faisait bizarre. Plus il s’y approcha et plus il avait l’impression que cette tâche bougeait, qu’elle était « vivante ». Quand il fut tout près il vit comme un trou dans cette salle parfaite ou à la place d’avoir une armoire impeccable elle avait été ravagée, à la place il vit le parquet du palais, c’est vrai il n’y avait pas pensé, ce n’est pas du carrelage dans le palais, mais du parquet, sa curiosité fut plus forte que tous, il voulait passer à travers. Quand il essaya de passer son bras dedans tous s’effaça, mais il nu pas le temps d’observer cette nouvelle pièce qu’une épée lui transperça l’épaule où la blessure été, la lame ressortait de l’épaule d’une bonne dizaine de centimètres, là où il avait échoué pour toucher cette blessure le mystérieux agresseur lui avait réussi, il retira son épée provoquant une douleur et un afflux de sang incroyable. Joala se retourna voyant son adversaire et il fut bien surpris, c’était un ange, un ange était venu l’attaquer. Il se regardèrent, c’était un être d’une beauté parfaite, des cheveux blond lisse lui tombant jusqu’aux épaules, un visage tendre et dur a la foi, aucunes expressions ne se laissaient voir, il était grand et fort, son regard était imposant et impérieux, rien que le regardait droit dans les yeux étaient une épreuve, une aura d’un blanc éclatant rayonnait autour de lui. Joala regarda l’épée, aucune trace de sang, rien ne coulait, même pas une goutte. Il portait une armure en fer qui était recouverte d’un immense dragon rouge qui s’entremêla avec un autre. Joala savait qui il était maintenant, oui ce dragon lui rappelait des histoire quand il était bien jeune, sa mère lui disait toujours que c’était les anges suprêmes, tous leurs étaient ouverts, le Ciel, le monde réel et même les Enfers il paraîtrait. Elle lui disait toujours que ces anges se déplaçaient seulement pour annoncer des choses très importantes, mais aussi des fois pour tuer quelqu’un, et il retint toujours cette phrase : « Mon fils dis toi bien que ci un de ses anges et venus pour tuer quelqu’un, c’est que cette personne et devenu un si grand danger pour le ciel quelle ne doit pas vivre, oui elle ne doit pas vivre…. » Et ils n’en reparlèrent plus jamais, il ne sus jamais pourquoi. L’ange aussi contemplait Joala, il finit par dire :

- Joala, vous vous êtes adonnés à la magie noir et aux démons et de récentes recherches on démontrées que vous vous étiez alliés au Purificateur, j’ai pour ordre de vous tuez car vous êtes devenus un danger pour l’équilibre de ce monde si il le faut je combattrai jusqu’à ma mort mais cela m’étonnerais que vous faites le poids face à moi, mais bon le Purificateur nous a bien donnés des surprises et du fil à retordre avant de l’avoir tués et emprisonnés.

- L’ange esquissa un sourire au coin des lèvres, Joala compris qu’il n’était pas de toute bonté comme dans les récits, non même il le soupçonnait d’être un tueur lui aussi qui prenait un plaisir malsain à tuer, et il savait qu’il aurait du mal à s’en sortir de ce combat. L’ange reparla, disant que la blessure lui servait à le retrouvait où qu’il serait, mais il savait bien que cette blessure lui servait d’avertissement qu’il n’arriverait sûrement pas à toucher cette ange. Le combat commença avant même qu’il puisse faire un geste, l’ange lui planta l’épée dans le corps, cela ou pur effet de lui faire cracher son sang par sa bouche. Il lui coupa les doigts un par un, lui planta l’épée dans les yeux la faisant tourner sur elle-même, il arracha les dents, la bouche et lui coupa les oreilles. A la fin de son carnage l’ange le laissa mourir sur place le regardant agoniser. Joala était encore vivant, mais il ne pouvait plus bouger, il ne comprenait pas pourquoi l’armure ne l’avait pas aidée, tout ce qu’il voulait c’été mourir, mais a la place elle l’obligea a se lever et malgré la bouche et les dents arrachaient, il prononça « Recominus Todiémus ». Il retrouva la vue, ses doigts se rassemblèrent, reliant tendon, os, muscle entre eux, ne laissant aucune cicatrice, sa bouche se « reconstruisait », ses dents repoussèrent devant les yeux ébahis de l’ange. Une brume noire s’éleva et Joala prononça que le combat sera de égal à égal maintenant sur un ton sans pitié et sans joie, mais en réalité il ne contrôlait plus rien, l’armure avait pris possession de lui. Il tendit sa main et son épée apparue, l’ange se maîtrisa et commença à rigoler, il dit qu’il que la légende sur cette armure était bien vraie, que celui qui la portait avait un pouvoir absolu sur les mondes les entourant, Joala aurait aimé lui dire qu’il n’y pouvait rien, il aurait bien voulait lui dire que l’armure n’allait le laisser aucunes chances et que ci il tenait à la vie il ferait mieux de partir. Mais par apport à toute attente il reçu une vision ou Zoalar lui dit que ce serait la dernière qu’il recevra, et comme si il avait vu dans le temps, il lui dit pourquoi l’armure ne l’aida pas, en réalité il voulait que Joala comprenne que sans l’armure pour l’aider il restait encore faible et qu’il avait encore beaucoup à apprendre, il devait avoir confiance en lui, c’est pour cela que ce combat va se faire uniquement par lui, Zoalar lui dit que ce soin miracle ce n’était pas elle qui l’avait fait, non c’était lui, Joala, mercenaire qui ne c’était jamais versait dans les arcanes. Maintenant même les Anges Suprêmes le redoutaient, ce qu’il avait toujours rêvait lui arrivait enfin, mais il trouvait cela malsain à présent, le pouvoir n’est pas comme il l’imaginait, il ne pensait pas aux problèmes qu’il pourrait avoir, mais il était décidé à continuer et à tuer cette ange de malheur, oui jusqu’à la mort si il le faut. Ils se regardèrent une nouvelle fois mais il n’avait plus peur. Joala attaqua en premier cette fois-ci à une vitesse impressionnante certes mais l’ange bloqua le coup qui était focalisé sur sa tête avec une facilité déconcertante. Il répliqua d’un coup rapide et puissant. Joala eut le temps d’esquiver mais le bout de l’épée lui causa une entaille, malgré qu’elle le toucha à peine une chaleur soudaine l’envahie pour retomber dans un froid glaciale et laissa la douleur prendre possession de lui. Il regarda son avant-bras comme tout à l’heure une lumière blanche entourait sa cicatrice, il lui était impossible de la toucher. Ses forces l’abandonnèrent rapidement et il comprit que l’Ange ne voulait pas prendre un risque potentiel de mourir lors de ce combat, mais Joala revit sa sœur, ses parents, sa famille, et même Zoalar, il revit ses amis les gardes tomber tous un par un lors de ce combat et il ce dit que non, il ne les décevraient pas, non il ne mourrait pas. Il se releva et prit confiance en lui, il leva les yeux et soutenu le regard de cette être de malheur, il réattaqua mais avec beaucoup plus d’aisance, d’agilité, l’épée ainsi que l’armure ne le bloquaient plus, non elles se laissaient faire toutes les deux. Il réussi a entailler la jambe de l’Ange lui faisant hurler de douleur tellement que l’épée était puissante. Et il s’entendit prononcer : ‘vas y imbécile, montre tous ce que tu as, je t’attends’ l’Ange murmura a son tour ‘tu ne seras pas dessus mon chère, enfin un adversaire honorable’

- Le combat vrai s’engagea enfin, Joala était plongé dans une concentration que rien n’aurait pu briser, lui, l’ange, observait chaque mouvement de son adversaire, analysai la situation et s’imaginait tous les coups possibles, une atmosphère étrange s’installa, ils se regardaient et chacun avait l’impression que quelque chose allait se passer. Ils sortirent leurs épées, se saluèrent et s’attaquèrent. Des étincelles de couleurs bleu et noir jaillissaient à chaque coups qui s’entrechoquaient sur l’épée adversaire, tous les coups qui étaient portés étaient rejetés par des parades plus complexe les une que les autres, tous avaient étaient envisagés par Joala et l’ange, rien ne pouvaient les arrêter, le premier qui ferait une erreur serait le premier tué. Des gouttes de sueurs perlaient leur visage, les yeux éprouvaient une haine sans égale, aucuns coups ne parvenaient à leur but. Joala profita d’un coup d’épée pour caller la sienne dessous l’épée de l’ange, la relevé pour laisser une faille au niveau du ventre et réussi un coup rapide mais dévastateur de gauche à droite sur toute la longueur du ventre, l’épée démoniaque traversa l’armure comme du beurre et une sublime flasque de sang commençait déjà a se rependre. L’ange n’y prêta aucune attention, il valait mieux se battre avec la douleur que risque de baisser le regard pour voir la blessure et perdre sa tête. L’ange était dans une bien mauvaise passe, Joala ramena sa main droite vers la gauche pour la remonter en diagonale et ainsi détourner la tête de son ennemi, une nouvelle ouverture se présenta et Joala ne la manqua pas. Comme lors du précédant coup il ramena son épée vers la gauche pour couper le cou, mais Joala le rata en quelque sorte, l’épée s’enfonça seulement dans la partie basse du cou, ne causant qu’une entaille profonde de un centimètre à peut prêt. Cette fois l’ange hurla de douleur, il jura, enleva sa main droite de son épée et la posa sur son cou pour éviter que le saignement ne continue, Joala le laissa a son sort pour examiner la pièce qui l’entourait, les gémissements de l’ange commençaient à l’agacer, il se retourna, il s’approcha de lui très lentement pour profiter de ce spectacle morbide. Il l’attrapa et le jeta contre le mur, prit une pierre et le jeta à une vitesse hallucinante dans le cou de son ennemi le tuant avec d’atroces souffrances mais très rapidement. Joala regarda autour de lui, rigola, et continua son chemin, encore taché de sang, l’épée disparut de sa main. Il était content de ce combat, ne serait-ce que pour la difficulté, mais en réalité c’était cette sensation de totale liberté qui le réjouissait le plus, enfin libre pouvant tuer et pardonner, il était content, oui très content, depuis longtemps il réussi à oublier sa sœur. Quand il fut enfin devant la salle du roi il pu remarque une porte avec 2 statues qui montaient la garde. Elles étaient chacune à une extrémité de la porte. Elles avaient chacune une épée de pierre, leur longueur était de un mètre de long à peu près, elles étaient droites, tenues avec classes dans les mains puissantes des statues. Un frisson parcourut Joala, mais il avança quand même. Son instinct lui dit que quelque chose allait se passer, il se passa quelque chose ! AU moment ou Joala prit une des grosses poignées de la porte, il entendit un bruit, il eut juste le temps de reculer que une des deux épées s’écrasa sur le sol, provocant des éclats de pierres que Joala évita au dernier moment, une seconde de plus et ils pénétraient sont corps comme dans le cou de l’ange. Joala réfléchissait aussi vite qu’il le pouvait, tout en évitant les coups. Le problème était que plus le statues restaient en vie, plus elles devenaient agiles et intelligentes. Les 2 épées s’abattirent violement sur le sol, causant d’autres éclats plus nombreux, il aurait du en recevoir plusieurs dans le corps, mais dans un reflex purement humain, il s’accroupit et croisa ses bras devant la peur de se faire percuter par ces véritables lames de rasoirs. Sous ce geste toute l’armure s’illumina et détruisit tous les projectiles qui furent trop près d’elle. Joala reçu comment un flash, IL était LE mercenaire qui fait peur aux dieux, alors ces misérables statues n’allaient sûrement pas l’arrêter. Il reprit confiance en lui ainsi l’armure augmentât de puissance. Il commença à réfléchir plus calmement, prit le temps de regarder autour de lui, il était dans une sorte de bulle, rien ne l’atteignait, il était dans sont monde. Il remarqua que le couloir était étroit, ce qui était un avantage majeur. Il se rapprocha le plus près de l’endroit ou le mur était le plus près de la statue. Il sauta sur le mur et monta jusqu’au niveau des épaules de la statue, s’appuya contre celui-ci pour sauter et atterrir sur la tête de la statue. Ce qu’il prévu ce réalisa, au moment ou le coup d’épée de l’autre statue toucha la tête de son compagnon, Joala sauta au sol se protégeant avec le bouclier encore, et il le protégea aussi bien que la dernière fois. Son plan marchait à merveille, mais la dernière étape sera la plus dure et il le savait.

En esperant que cette histoire vous ais plus j'ai besoin de vos avis aussi svp gg gl all,
pinaise ca fé bobo aux noeils !

enfin je copie colle tout ca sous word pour avoir une presentation plus facile a lire

tention la critique

ps: quel courage en tous cas !
Citation :
Publié par La Saucisse
ouh putain le pavé cela dit, le début est sympa

C ' est rien de le dire , vais le lire en plusieurs fois je pense.
Merci de bien vouloir lire
J'ai besoin de vos avis en plus j'ai le temps pour m'améliorer, j'ai que 14 ans et demi
La fin à était faite à la va vite, je voulai la fignoler, mais je me suis dis : "autant fignoler et que ça fasse plaisir que fignoler et que ce soit nul". Donc la suite à très bientot (encore 3 pages à copier de mon cahier à l'ordi )
Citation :
Publié par r0xDr4g00n
Merci de bien vouloir lire
J'ai besoin de vos avis en plus j'ai le temps pour m'améliorer, j'ai que 14 ans et demi
La fin à était faite à la va vite, je voulai la fignoler, mais je me suis dis : "autant fignoler et que ça fasse plaisir que fignoler et que ce soit nul". Donc la suite à très bientot (encore 3 pages à copier de mon cahier à l'ordi )
3 Pages format 21x29.7 recto verso ?

Tu devrais essayer de l'écrire sous Word pour que ça fasse moins pâté on s'y retrouverais un peu plus, mais sinon continu c'est bien
j'écris sous word... Mais mes parents sont en plein divorce, et j'ai pas d'ordi chez ma mère donc j'écris à la main... (oui c'est long... très long :x) mais j'adore inventer des histoires.
Et désolé si ça fait patte sur le site, c'est que le c/c sur les sites (je sais pas prq...) ne prend pas en compte les paragraphes et autres... donc désolé
Un conseil, lisez cette histoire avec de la musique derrière les oreilles (linkin park, ....) je trouve que ça fait rentrer dans l'ambiance, d'ailleur j'écris qu'avec de la musique presque sinon j'ai pas d'idées.... mais cela reste entre nous
Merci pour ceux qui me lise et vos avis,
Voici la fin !!!!

. Il s’approcha de l’épée qui gisait au sol, et demanda à l’armure, oui il lui demanda beaucoup plus de force. En quelques secondes ses forces se multiplièrent, il était très étonné que l’armure lui donne autant de force. Il était fort, oui très fort mais ses forces psychiques s’épuisaient bien vite, cela lui demandait beaucoup d’énergie. Il souleva l’épée sans problème, et d’un seul coup bien net il sépara le ventre des jambes. Contrairement à l’autre qui c’était immobilisée après avoir était tuée, celle-ci s’effondra sur le sol et des centaines de fragments de roche lui traversèrent le corps. L’armure à elle seul ne suffit pas à arrêter les fragments, pour une seule et unique raison, Joala faiblit, elle faiblit, c’est exactement ce qui ce passa après avoir utilisé autant de force pour tuer les deux statues. Après tout, elles ont réussis à le tuer, mais à quel prix… Un beau sol cassé, deux statues magnifiques brisées, et un ex-futur grand sorcier. Voici la fin d’un règne qui ne commença jamais.

Voici la fin de mon histoire, ou du moin la fin pour mon collège (elle va parraitre dans le journal du collège normalement) je voudrai savoir ce que vous en pensez
Sinon moi je continu l'histoire normale
GG GL,
Gloum (mon vrai pseudo )


- N’hésite pas à te relire, à corriger les fautes d’orthographes, de grammaires, de syntaxes, etc. (aide-toi ; Internet, correcteur orthographique, dictionnaire, grammaire, conjugaison, des amis…)

- Améliore la forme ce qui permettra de mieux apprécier le contenu.

- Pour l’histoire, c’est inspiré ? Je ne sais pas comment tu fais mais ce qui peut aider c’est de garder une idée (théorie) qui sert de colonne vertébrale et qui permet de conserver une certaine cohérence tout le long de ton histoire. (Tu peux aussi développer ton personnage qui est le fil conducteur de ton histoire).

Sinon j'aime bien

Si tu as besoin d'aide n'hésite vraiment pas.
Citation :
Publié par fantasque
Je ne sais pas comment tu fais
Je ne comprend pas cette phrase.... comment je fais quoi?
Sinon oui c'est juste de l'imagination la musique m'aide à la favoriser, j'imagine mieux avec de la musique dans les oreilles.
Sinon merci pour les conseils, as-tu msn pour que l'ont en parle ?
allez gg gl,
Gloum
-A ci c'est ça je fais à l'instinct, ensuite je relis, corrige, demanda l'avis d'un très bon copain, et souvent je recorrige après. Mais la en re-lisant tout le texte je vai faire des ptites modif

-Sinon aérer = sauter des lignes, paragraphes, ... ??
Si c'est cela c'est que les sites ne "comprennent" pas les sauts de lignes et autres lors d'un c/c de word au site.

-Sinon je suis content que ça vous plaises, mais quels sont les passages à modifier selon vous ? Et qu'elle sont mes atouts (si j'en ai ) à exploiter / défauts à corriger ?? (oui je sais je suis embêtant mais j'ai envie de m'améliorer, bientôt ce sera si parfait que j'aurai plus besoin que vous m'aidiez comme ça (rêve rêve...)
Gloum
Ahem, tu sais, on n'a jamais fini de s'améliorer.

Tu peux réarranger ton texte un fois copier pour le forum.

Pour apprendre le côté orthographe, syntaxe, grammaire, conjugaison, etc. corrige toi-même avec des supports (dictionnaires, etc.) c'est le meilleur moyen de s'améliorer.

Surveille aussi les répétitions...

Pour les défauts/qualités (tu en as, prenons l'imagination comme exemple. )
Je te ferai un petit compte rendu demain.

C'est chouette de voir quelqu'un de bien motivé. (Pour msn regarde tes messages privés )
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