La presse et les médias en France

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Mais de toute façon, tout de cette audience est foireux dès le départ. On s'en fout de Yann Barthes, on s'en fout de cette audience. Quotidien n'a aucun souci, on sait très bien que c'est une parodie de procédure initiée par l'extrême-droite, pour "compenser" les critiques de Cnews.
C'est le même mode d'enfumage que la tentative d'impeachment de Biden aux US qui n'est basée sur rien mais qui est voulait permettre aux républicains "d'équilibrer" par rapport au fait que Trump a été impeached.
Ils veulent occuper le terrain médiatique pour que leurs troupes puissent dire "vous voyez c'est pareil", parce qu'à chaque fois qu'une personne se met à croire et prétendre que "tel truc c'est pas pire que l'extrême-droite" c'est une victoire pour cette dernière.
Parler du contenu de cette audience, discuter de l'attitude de nani et nana c'est juste dérouler le tapis rouge à l'entreprise de désinformation générale de l'extrême-droite.

[ ... ]

Dernière modification par TabouJr ; 28/03/2024 à 13h29.
Concernant Yann Barthès, je pense surtout qu'il est agacé de s'être fait convoquer (pour la seconde fois si j'ai bien compris) par le RN pour des raisons politiques alors qu'il n'a jamais été inquiété par l'Arcom.

Sinon surpris de ne pas avoir vu passer ici que le dernier correspondant de CNews à Moscou est un journaliste de Russia Today :
Citation :
Igor Kurashenko travaille pour CNews, mais pas seulement. Un article du journal Libération lève le voile ce mardi 26 mars sur la double casquette du correspondant en Russie de la chaîne d’info conservatrice : il est aussi reporter pour Russia Today, média audiovisuel financé par le Kremlin. [...]

Ses activités pour le média d’État russe ne sont un secret pour personne : certaines des interviews qu’il a menées à l’époque de RT en français apparaissent sur son profil LinkedIn. Et même si le signal a été coupé depuis le début du conflit en Ukraine et que sa filiale en France a fermé en 2023, Igor Kurashenko continue de travailler sous le titre de « reporter de RT en français », comme le préfigurent ses apparitions dans les vidéos TikTok de la chaîne. [...]

Le problème, c’est qu’à aucun moment CNews n’a mentionné qu’il travaillait pour RT, là où Libération a épinglé plusieurs propos tenus par Igor Kurashenko proches de ceux véhiculés par la propagande du Kremlin. À l’antenne de la chaîne du groupe Canal+, il a notamment assuré que l’attentat de la veille n’était pas lié à l’État islamique, mais à des Ukrainiens. Et ce, avant même que Vladimir Poutine ne prenne la parole.

Source : https://www.huffingtonpost.fr/medias...ie_231777.html
À noter également que l'emploi de ce journaliste contreviendrait potentiellement à la directive européenne sur le ban de RT en Europe. Donc déjà de pas suivre le principe de pluralisme en France, ça viole les directives européennes pour servir la soupe propagandiste de la Russie
Citation :
Publié par Quint`
on sait très bien que c'est une parodie de procédure initiée par l'extrême-droite, pour "compenser" les critiques de Cnews
Qui ça "on" ? Je ne comprends pas ... on a un journaliste Julien Bellver de Quotidien qui affirmait (sur Sud Radio) fièrement à propos de Zemmour :"On ne le recevra jamais. On ne reçoit pas les personnalités de l'extrême-droite. Aucun". Et de préciser "ne pas être le service public" : "On est sur une chaîne privée, donc on fait ce qu'on veut".

De l'autre côté on a CNEWS qui invite tout le monde mais où les principaux intéressés (qui se plaignent de CNEWS pour son manque de diversité) ne vont pas ... donc ils se plaignent de l'effet qu'ils produisent sciemment.

Donc non, ce n'est pas une procédure initiée par " l'extrême-droite " ... cette mascarade vient à la base de RSF qui a décidé de mettre Bolloré au bûcher (parce qu'au fond, c'est ça) avec la complicité de LFI et notamment de son rapporteur-inquisiteur Saintoul. Ils se prennent aujourd'hui un retour de flamme et s'en étonnent ... Les gens vont finir par découvrir que les censeurs et les sectaires ne sont peut-être pas ceux qu'on croit, finalement.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par 'Radigan_-
Qui ça "on" ? Je ne comprends pas ... on a un journaliste Julien Bellver de Quotidien qui affirmait (sur Sud Radio) fièrement à propos de Zemmour :"On ne le recevra jamais. On ne reçoit pas les personnalités de l'extrême-droite. Aucun". Et de préciser "ne pas être le service public" : "On est sur une chaîne privée, donc on fait ce qu'on veut".

De l'autre côté on a CNEWS qui invite tout le monde mais où les principaux intéressés (qui se plaignent de CNEWS pour son manque de diversité) ne vont pas ... donc ils se plaignent de l'effet qu'ils produisent sciemment.

Donc non, ce n'est pas une procédure initiée par " l'extrême-droite " ... cette mascarade vient à la base de RSF qui a décidé de mettre Bolloré au bûcher (parce qu'au fond, c'est ça) avec la complicité de LFI et notamment de son rapporteur-inquisiteur Saintoul. Ils se prennent aujourd'hui un retour de flamme et s'en étonnent ... Les gens vont finir par découvrir que les censeurs et les sectaires ne sont peut-être pas ceux qu'on croit, finalement.
Pourquoi l'ARCOM rappelle à l'ordre CNEWS et lui met des amendes, et pas à Quotidien ? L'ARCOM est une officine de LFI c'est bien ça ?
Ou alors c'est juste que les idées d'extrême-droite font partie de celles qui peuvent légitimement être exclues du débat public, de la même manière qu'il y a des limites légales à la liberté d'expression (sur les mêmes sujets : racisme, incitation à la haine, etc).
Et aussi que Cnews, comme son nom l'indique, est censé être une chaîne D'INFORMATION, et non de divertissement ou d'infotainment. Et n'a donc pas les mêmes obligations qu'une chaîne d'une autre catégorie.
bon, le président de la "commission d'enquête sur la TNT" pour l'AN était hier soir sur TPMP.

https://www.lemonde.fr/actualite-med...5639_3237.html


autant dire qu'il se prend une volée de bois vert, surtout vu ce qu'il a sorti pendant l'emission.

il a déjà eu un rappel à l'ordre de la part de la Présidence de l'AN, et je pense que ce n'est pas terminé.
Citation :
Publié par meryndol
bon, le président de la "commission d'enquête sur la TNT" pour l'AN était hier soir sur TPMP.

https://www.lemonde.fr/actualite-med...5639_3237.html


autant dire qu'il se prend une volée de bois vert, surtout vu ce qu'il a sorti pendant l'emission.

il a déjà eu un rappel à l'ordre de la part de la Présidence de l'AN, et je pense que ce n'est pas terminé.
J'avais loupé ça. Incroyable de stupidité.
Mais bon, comme ça on sait pour qui il roule.

Un résumé ici de son passage chez Hanouna, c'est surréaliste
https://www.marianne.net/agora/humeu...ntin-bataillon


extrait
Citation :
Pourtant, tout débutait sous les meilleurs auspices, avec les félicitations du jury hanounien, et un cadeau offert par le présentateur de l’émission phare de C8. Quelques minutes plus tard, pourtant, le présentateur attaque déjà la concurrence et se dédit : « Ici, on n’offre pas de cadeaux, ce n’est pas comme chez Quotidien ». Le député laisse causer, assis derrière la table, avec son paquet-cadeau devant lui.
Citation :
Publié par Borh
Incroyable de stupidité.
[...] chez Hanouna, c'est surréaliste
On appelle ça le cahier des charges.

Allez chez Hanouna, c'est s'avilir. Qu'on soit politicien, artiste ou autre. Ceux qui font ce choix doivent en assumer les conséquences.
Citation :
Publié par Mamat
Dans ce cas il faudrait le même traitement pour Saintoul qui a fait un débrif du passage en commission de CNEWS / C8 sur Lemedia.

Non car lemedia n'a pas été auditionné, n'est pas un média de la TNT et hors du champ de cette commission.

On peut critiquer Saintoul par ailleurs mais ça n'a rien à voir.
Citation :
Publié par meryndol
.

il a déjà eu un rappel à l'ordre de la part de la Présidence de l'AN, et je pense que ce n'est pas terminé.
Que dalle. C'est terminé. Une tape sur les doigts et basta. Il n'aura rien, les macronistes peuvent tout oser sans jamais que rien de grave ne leur arrive. C'est à ça qu'on les reconnaît.
Citation :
Publié par Mamat
Dans ce cas il faudrait le même traitement pour Saintoul qui a fait un débrif du passage en commission de CNEWS / C8 sur Lemedia.

Tu as écouté ton lien ?
Car outre les arguments de Borh, ça n'a rien à voir sur le fond...
Tu compares une clownerie à une interview politique.
Citation :
Publié par Borh
Non car lemedia n'a pas été auditionné, n'est pas un média de la TNT et hors du champ de cette commission.

On peut critiquer Saintoul par ailleurs mais ça n'a rien à voir.
J'avais souvenir qu'ils avaient parler en 2023 de vouloir une fréquence TNT, du coup je pensais qu'ils auraient été auditionné.
La querelle interpersonnelle concernant la légitimité des journalistes du Média à s'exprimer au sujet de la commission alors qu'un projet de candidature pour une attribution future à été annoncée est partie dans un sujet clos toujours lisible.

À toutes fins utiles, je rappelle que:
  • L'article 11 de la charte interdit de répéter sans cesse le ou les mêmes arguments.
  • L'article 13 de la charte interdit les querelles interpersonnelles.
  • Si effectivement l'article 7 de la charte interdit les sources partiale, l'article 18 quant à lui interdit de faire la police sur les sujets sans avoir signalé le moindre message.
C'était un joli combo, maintenant merci de reprendre la discussion concernant la commission d’enquête de l'Assemblée Nationale sur l’attribution, le contenu et le contrôle des autorisations de services de télévision à caractère national sur la TNT ou d'en initier une sur un autre sujet concernant la presse et les médias en France.
Si on reprends un vrai sujet, Mediapart a obtenu des documents indiquant que C8 et CNews biaisent volontairement les infos en dehors de toute règles déontologique, en utilisant des sources plus que discutable et ayant pour objectif de stigmatiser les non-blancs, en particulier les musulmans, et qu'ils ont mentis pendant l'audition sur les fréquences TNT :
Citation :
Absence de vérification, intox et primauté de l’opinion sur l’info : CNews ne s’embarrasse pas des règles déontologiques et des faits quand il s’agit de conforter ses obsessions identitaires et de donner à voir à son public l’image d’une France mise en péril par l’islam et l’immigration. La preuve par les messageries internes.

Devant l’Assemblée nationale en février dernier, les dirigeants de CNews, qui ont tous refusé de nous répondre (voir notre boîte noire) ont juré que leur chaîne privilégiait l’information et ont « fermement » contesté représenter une chaîne d’opinion. De nombreux documents internes – des mails, des SMS, des notes de tournage –, mais aussi des milliers de messages provenant de boucles WhatsApp internes, que Mediapart a pu obtenir, montrent qu’il n’en est rien et que ce virage vers l’extrême droite (décrypté dans notre enquête précédente) est savamment pensé. [...]

Mais, selon une trentaine de journalistes contacté·es par Mediapart, les réunions ne sont que des chambres d’enregistrement des décisions prises par la direction. Jusqu’à récemment d’ailleurs, une note récapitulait chaque matin pour les équipes les sujets à décliner durant la journée. Trois « dominantes » par jour, sur des sujets toujours semblables et toujours choisis en amont. [...]

Progressivement, le spectre des sujets abordés se sont en effet rétrécis, comme la place des reporters à l’antenne. « On nous a dit de plus en plus qu’il n’y avait pas de place pour les journalistes sur les plateaux, témoigne une journaliste ayant quitté CNews. On a délaissé les grands sujets d’actualité pour se concentrer sur les faits divers. La femme violée par un homme sous OQTF [obligation de quitter le territoire français – ndlr] devient un sujet dont on doit tirer le fil jusqu’au bout. » [...]

Pendant plusieurs années, les journalistes devaient surtout vérifier les infos venues des grandes rédactions : l’AFP, Le Parisien ou la presse quotidienne régionale. Peu à peu, les sources d’extrême droite se sont ajoutées et la chaîne a même noué un partenariat avec le compte « Cpasdeslol », dont la spécialité est de diffuser sur les réseaux sociaux des vidéos d’agressions sans le moindre contexte. « Les autres chaînes regardent Le Parisien, nous on scrute aussi Boulevard Voltaire ou Valeurs actuelles, qui est devenu notre bible », complète un salarié toujours en poste. [...]

Souvent, c’est même Thomas Bauder lui-même qui ordonne de vérifier tel article de Fdesouche, telle info relayée par le cadre de Reconquête Damien Rieu ou telle vidéo de Gilbert Collard, autre soutien d’Éric Zemmour. « Merci d’identifier cette vidéo lieux/date/source », demande-t-il le 4 janvier 2023 à propos d’une vidéo postée par Damien Rieu. [...]

Comme le parti d’Éric Zemmour, CNews est aussi obsédée par la nationalité des auteurs de crimes et délits. À chaque fait divers, la direction insiste pour que ses journalistes puissent obtenir et diffuser la nationalité des mis en cause. « Si l’individu était d’origine maghrébine ou africaine, je devais le mentionner. Si le mec était irlandais, je n’avais pas besoin de le préciser », confirme un ancien journaliste en poste jusqu’à 2023, chargé de remplir le bandeau de la chaîne.

« Merci de préciser la nationalité des condamnés », insiste par exemple Serge Nedjar en 2022 dans une boucle interne auprès d’une journaliste qui s’apprêtait à relayer la condamnation d’un Algérien pour vol avec violence. [...]

« Ne pas donner. Suspect Abdalmasih H, né le 01/10/1991 en Syrie. S’exprime en anglais. Ne pas donner le nom. Identité en cours de vérification, écrit-elle dans le groupe WhatsApp de CNews. Le suspect est entré régulièrement sur le territoire. Il est demandeur d'asile.» « On donne, on donne », exige immédiatement Thomas Bauder. L’info n’est pourtant pas consolidée. Trente minutes plus tard, sur le plateau de Sonia Mabrouk, la journaliste s’exécute. [...]

La rédaction, ultradépendante de ses sources policières, caresse dans le sens du poil les syndicats de police invités quotidiennement sur ses plateaux. Jusqu’à bannir des termes ou des affaires qui pourraient abîmer leur image. Et quand les images captées par les reporters ne collent pas à la ligne maison, elles sont balancées à la poubelle. [...]

En mai 2022, Laurence Ferrari veut reprendre à l’antenne une information du Point à propos d’un policier qui a ouvert le feu sur une voiture après un refus d’obtempérer. « Pas sûr que ce soit conforme à nos centres d’intérêt. Le coup est parti de manière accidentelle quand le policier a voulu briser la vitre avec la crosse de son arme, précise le service police-justice. Donc y aura moyen légitime défense. » « Ok, compris », répond Laurence Ferrari qui abandonne finalement le sujet.

Un mois plus tard, des policiers sont mis en cause pour avoir tué la passagère d’un véhicule qui refusait d’obtempérer dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Consigne est donnée de vérifier les antécédents de la victime pour la criminaliser. [...]

Au sein de la deuxième chaîne d’info de France, la neutralité tombe aussi lorsqu’il s’agit de couvrir certains mouvements sociaux. Plusieurs journalistes interrogés par Mediapart dénoncent les questions récurrentes de certains présentateurs pour les faire parler de « black blocs » ou de « tensions », même lorsqu’ils sont totalement inexistants.

« Sur une manif, je disais que c’était calme, bon enfant, mais le présentateur me relançait systématiquement sur les échauffourées, raconte une ancienne reporter. Je le démentais un peu en disant que ce n’était pas ce que je voyais là où je me trouvais, mais c’était compliqué en direct. » D’autres dénoncent aussi certaines consignes assumées par la direction.

Source : https://www.mediapart.fr/journal/fra...ation-de-cnews
À noter également deux exemples de fait divers qui ont été abandonnés parce que la personne suspectée ne tombait pas dans leur carcan idéologique :
Citation :
« Midi News », le 13 décembre 2023. Sonia Mabrouk est en direct et repère une information du Parisien pendant la coupure publicitaire. Une élève de 12 ans a pourchassé sa professeure avec un couteau dans un collège à Rennes. « On peut en parler ? », demande-t-elle par message à 13 heures au rédacteur en chef. « Attendons les confirmations d’[une journaliste], elle est dessus », rétorque-t-il. Elle insiste : « Je peux dire selon Le Parisien ? » « Attendons, elle est au téléphone avec ses sources », répète le rédacteur en chef.

La présentatrice n’attend pas la confirmation et donne l’info à l’antenne deux minutes plus tard. [...]

Sonia Mabrouk compare cette agression à « l’affaire Samuel Paty », puis les invités prennent le relais, échangent sur l’islam, les entorses à la laïcité, et l’essayiste Élisabeth Lévy rapporte les propos « d’un ami d’ami qui est instituteur ».

Celui-ci enseignerait dans une classe dont les seuls Blancs seraient « trois Turcs », et aurait regretté de n’avoir pas pu signaler l’une de ses élèves qui avait « posé un coran sur la table ». Dans l’émission suivante, on poursuit la comparaison jusqu’à diffuser une infographie sur la laïcité et les musulmans à l’école.

Sur WhatsApp, une journaliste police-justice est contrainte de rappeler quelques règles. « Attention, on ne sait pas si la gamine est musulmane. Donc passer le sondage sur la vision de l’attentat d’Arras par les musulmans dans le cadre de cette affaire de Rennes, c’est un gros gros gros raccourci », écrit-elle. Trop tard. L’élève en question n’est pourtant pas musulmane. Cette jeune fille a des troubles psychiatriques, est d’origine mongole et est athée. Mais aucune excuse ni remise en cause ne seront diffusées sur CNews.

[...]

Cet après-midi-là, le service police-justice reçoit une alerte qu’elle pourra estampiller « Info CNews ». « En fin de matinée à Cholet, un élève de 14 ans du collège Clemenceau a menacé de mort en jurant sur le Coran son professeur de mathématiques qui venait de lui faire une remarque sur l’usage de son téléphone », révèle une journaliste.

Une info en or pour la chaîne de Vincent Bolloré, d’autant que l’élève en question a été placé en garde à vue. Mais quelques minutes à peine avant sa diffusion, rétropédalage de la rédaction. « Affaire de Cholet laissez tomber !!!! […] Il n’y a eu aucune référence au Coran !!! Aucune menace de mort... », alerte un rédacteur en chef.

Comme l’explique Ouest-France, l’élève a d’abord menacé un professeur qui voulait lui confisquer son téléphone, avant d’en frapper un autre qui tentait de le maîtriser. L’élève n’est pas musulman, l’info est donc retirée « in extremis » du conducteur.
Bref il serait temps de retirer à CNews sa fréquence TNT
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