Toutes façons, il existe que trois catégories en matière de manga et anime :
-Yuri
-Subtext yuri
-Le reste.
Nan, faut toujours se méfier des catégorisations, surtout quand même les éditeurs semblent complètement paumés avec celles-ci et essaient de rentrer des titres dans les cases qui semblent le plus coller à la jaquette/synopsys sans même creuser la question au delà.
Après, y a des codes récurrents, genre la montée en puissance tirant limite vers l'absurde des shonens, la mascotte velue irritante et la transfo qui passe par un nude-shot des magical girls, qui permettent effectivement de définir un genre "général", mais y a parfois des détails qui floutent un peu l'ensemble.
Exemple, Nanoha : les quatres premiers épisodes, on est persuadés d'être devant un clone lambda de Card Captor Sakura, avec le familier pénible qui fait office de mentor, la transfo qui met la loli à poil quelques secondes, les daily monsters à battre... Et puis y a Fate qui arrive, lançant l'histoire vers une autre direction plus sombre, on se rends compte que Nanoha à des penchants dragonballesque et qu'elle prone l'amour et l'amitiée de manière explosive. Au propre comme au figuré. Résultat, on a un magical girl qui flirte pas mal avec certains éléments shonens, voire seinens. La S2 va encore plus loin, y a juste la S3 qui s'est bien foirée à ce niveau, je trouve (Y a que Vivio à sauver. Sans ça, j'effaçais définitivement StrikerS de ma mémoire )
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