[Bar] Le Wastelander

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~ Le Wastelander, le bar au RP Ouvert ~


http://img23.imageshack.us/img23/1787/barwastelander.jpg


Le Wastelander est un bar mythique connu seulement par une poignée de rescapés. On dit que les grandes figures de l'Histoire comme le Général Orson Masters
ou encore Shakti s'y sont croisées dans le passé.

Aujourd'hui, les visages qui s'y côtoient ne sont plus les mêmes mais certains, parmi ces hommes et ces femmes,
changeront à leur tour le monde à jamais...






Miranda franchit la porte du bar et s'assied au comptoir à sa place ordinaire. Jerry, le patron du bar lui prépare son scalp sunrise habituel. Il lui sert avec une tranche de citron vert sur le côté. Elle aime le citron vert, sentir son goût acide suinter sur ses lèvres. Elle franchirait les lignes ennemies pour son morceau de citron.
Elle jette un rapide un coup d'oeil dans son dos en sirotant son cocktail. Il n'y a pas grand monde : un accro aux machines à sous, trois drogués du poker et un vieux pervers la mattant la bouche baveuse.
Elle regarde l'horloge poussiéreuse trônant au dessus des étagères de verres. 20h45. Il est encore tôt.
Elle continue à siroter son cocktail, tranquillement, scrutant l'entrée du bar.
Il entra en poussant la porte comme le ferait un certain John Wayne dans des vieux westerns. Captain, comme on avait l'habitude de l'appeler pour faire court, en avait vu un rare qui avait survécu a l'apocalypse il y a quelques temps. Depuis ce jour il s'amusait a s'identifier a ce personnage dans ses entrées de bar, ou plutôt "saloon" comme il commençait a prendre l'habitude de dire.
D'un coup d'œil rapide il dévisagea les autres personnes présentes dans le bar, il sourit en voyant une silhouette féminine au bar. D'un pas assuré il se dirigea dans cette direction et s'accouda au bar en jetant un regard a la jeune femme a coté de lui.
Il interpella le barman :


"Hey chef, une bière ! Et pas cette merde de fabrication Vista de préférence.."

Il s'assit en tirant un tabouret vers lui. Un dernier regard vers la demoiselle sur sa droite et sa bière arriva. Il en bu une gorgée tranquillement, de la facon que les personnes qui ont du temps a perdre le soir font.
Message roleplay
Ere rentra dans le bar pile au moment ou l'homme bourru commanda sa bière. Pas difficile de deviner qu'il était chota on les sent à 30 mètres.
chota, raider, violeur de femme mangeur d'enfant juste des raclure et rien d'autre.
En plus il ose critiquer la bière vistas .. c'est sur quand c'est pas couper à la pisse ça leurs plaît pas.

C'était une des rares fois ou il entrai dans un bar, Ere n'aimait guère ses rad-pourrie ou l'odeur de crasse vous remplie les narines, quitte à choisir il préférai l'odeur d'une marguerite et celle de la forêt.

Mais il n'avait pas le choix, il avait rendez vous.

Ere alla s'assoir à une table dans un coin sombre et fit un regard de dédain en direction du raider trop occuper à lorgner sur la femme assise à coter de lui pour le remarquer.

les bruits incessant des machines à sous cliquetai autour de lui. Encore des idiot accro aux chips pensa t-il.

Il s'assit en silence et fit un signe de la main en direction du barman.

Que cet enflure se dépêche cette affaire l'énervai dors-et déjà.

21h30. La porte s'ouvrit et un pied franchit l'entrée. Elle jeta un œil rapide, ses doigts délicatement posés sur la crosse de son revolver caché sous son manteau, prête à faire feu au moindre signe d'hostilité. Un type, plutôt grand au visage barbouillé de peinture tribale, fit irruption dans la pièce comme dans un de ses vieux westerns.

« Un chota, pas de quoi paniquer... »

Le type balaya la pièce du regard avant de s'avancer vers elle avec une virilité affectée, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Il prit le premier tabouret qui lui passait sous la main et s'assit près d'elle.
Les yeux de l'individu se posèrent sur elle, mais
elle continuait à siroter son scalp sunrise, imperturbable.
21h45. Il n'aura fallu que quelques minutes pour que le bar se retrouve assiéger par toutes les pires raclures de la ville. Pochards, toxicomanes, violeurs, tueurs et autres psychopathes concentrés dans un seul et même trou. Une vision à en donner la chiasse à plus d'un. Mais pour une femme d'affaires comme Miranda, cet endroit est un véritable éden pour le recrutement d'une main d'œuvre efficace et peu chère. À condition de garder un œil derrière soi - les gens ont vite fait de retourner leur veste par ici.

Elle avait d'ailleurs rencontré un type la semaine précédente, taillé sur mesure pour le job un peu particulier qu'il les attendait ce soir. Elle décida donc de patienter au même siège où elle sirotait son cocktail coutumier, espérant que le type en question se pointe à l'heure prévue.
Alors qu'elle continuait à guetter l'entrée tout en remuant le reste de glaçons au fond de son verre, une odeur nauséabonde remplirent ses narines. Un ivrogne s'empara du tabouret d'à côté et s'assit près d'elle. Elle sentit le gus la dévisager mais elle faisait comme si rien n'était.

« Hé minette, tu veux que je te paie quelque chose ?
- Non merci, j'ai déjà un verre.
- Alors dis-moi ce que je peux faire pour toi ma jolie ?
- Pas grand chose.
- Allez quoi, tu veux pas qu'on cause un peu toi et moi ?
- Dois-je te le répéter lentement ou bien trouver un barman parlant le crétin ?
- Heuugh quoi ?
- C'est bien ce que je pensais... »

Vexé de voir ses avances rejetées, le lourdeau frappa la table du poing et gueula.

« SALOPE !! TU T'FOUS D'MA GUEULE !!?! J'VAIS T'APPRENDRE LES BONNES MAN... »

Le type n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'une main le saisit par le col et le projeta sur la table arrière. Un homme look bûcheron, à la carrure impressionnante et la barbe de cinq jours, se tenait devant elle. C'était son contact.

« On dirait que j'arrive au bon moment.
- Tu parles... j'ai failli à attendre.
- Et moi qui pensait recevoir un p'tit merci en échange...
- Là tu m'en demandes trop. »

Il souriait et elle lui rendit son sourire, fière de constater encore une fois qu'elle ne s'était pas trompée dans ses choix. Elle regarda le pauvre type allongé par-terre, encore sonné par l'impact, se faire dépouiller par les gogo danseuses.

« Il est l'heure de plier bagages. Digger nous attend devant la banque. »
Sed poussa la porte du bar et fut assailli par le brouhaha. C'était bien sa veine, lui qui voulait passer une soirée tranquille. La viande cuite, et odoriférante, s'entassait autour du zinc.
Il fit signe au barman, réclama, comme à son habitude, un Ice Tea et le cirque traditionnel commença.
Un poivrot le toisa, à deux doigt de lui cracher dessus.

'Quoi ? Tu ne veux pas un lait fraise tant qu'y est ! T'as pas les couilles pour une boisson d'homme ?'
'Merci de vous préoccuper de l'état de mes génitoires, mais elles vont très bien. D'ailleurs, la vrai question serait plutôt...'

Sed attrapa une chip dans sa poche et en plongea le bord dans son cocktail, provoquant un épais nuage de fumée.

'... est-ce que vous en avez assez pour ce genre de breuvage ?'

Sed descendit cul-sec le verre, brûlant, au passage, son système digestif au troisième degré. Il se demandait souvent ce que le barman mettait dans son Old Kingman Ice Tea, mais du propanol et du bio-carburant semblaient être des suppositions valables.
A peine eut-il reposé son verre, que le barman lui tendit son petit frère avec un sourire entendu.

Sed laissa le poivrot, et ses congénères affalés sur le comptoir, à leurs pintes de pisse de chat et s'installa à une table au fond de la salle. Tout en sortant son carnet à croquis et son stylo, il but une gorgée. Probablement parce que son œsophage avait été insensibilisé par le premier, mais il trouva le second Ice Tea moins fort.
Il chercha la première page blanche du calepin et se mit à griffonner.
Quel malheureux groupe de gars, se disait la jeune irlandaise, en songeant aux récentes soirées au Wasterlander, bar au demeurant sympathique.

Les Bunker Bar sont en général gérés par les Travelers, qui se passent bien de l'autorisation des Enforcers pour y vendre ce que les gens cherchent à consommer. Les machines à sous elles-même sont surveillées par les Bankers, et il va sans dire que c'est une puissance majeure dans les Wastelands qui n'apprécierait pas qu'une bande de gugusses en treillis vienne détruire les coûteuses machines.

Et à bien y réfléchir, notre collier de clone nous empêche de nous combattre entre nous, sauf si les deux antagonistes sont d'accord pour ouvrir le conflit. Sauf dans certaines zones irradiées des Wastelands... mais ce n'est définitivement pas le cas ici.

Et nous parler de licence, alors qu'aucune police ou entité politique ne contrôle quoi que ce soit. Au mieux l'Union pourrait venir demander des comptes, puisque le Bunker Bar se situe au sein d'une de leurs villes. Mais ils ne semblent pas en prendre ombrage: ils ont trop besoin de nous, les clones.

Je n'ai pas hâte de voir ce groupe d'agressifs jouant au petits soldats lors du prochain Bunker Bar, ils me font mal au ventre à se ridiculiser comme ça. Enfin... heureusement que le Cartel et que les clients sont sympa, et que la musique est bonne !
rien ne changera jamais ... les enforcers n'ayant toujours pas compris que la protection de la population devait passer avant les contrôles et autres guerres ... borglom avait essayer de faire entendre ça au général scribe a l'époque et cette tête de mule n'avait rien voulu entendre ... tout est un éternel recommencement. pas faché d'en avoir terminé avec ça. être mécano dans un garage tenu par des femmes était beaucoup plus reposant ... il faudra etre convaincant au prochain rendez vous pour éviter toute fusillade inutile ... réussir a maintenir le calme allait pas être une partie de plaisir

[HRP]bon il manque un bout de l'autre topic mais tant pis je reposte ici quand même [/HRP]
Le feu de joie que l'irlandaise avait créé derrière le garage d'Oasis avait tenu presque toute la nuit. Pendant de longues heures, sous les étoiles, avaient résonné les chants et les percussions des Dusties et de leurs alliés.

Allongée devant les braises mourantes, Mary essayait d'oublier la soirée qui s'était déroulée au Bunker Bar du Cartel, à Sunshine Corners.

Elle avait débutée agréablement, cette soirée. Les Dusties étaient arrivées en nombre et même en avance, puis les ex-nomades entraient avec nous dans une danse de plus en plus rythmée, tout cela sous l'égide du DJ Agression de Stairway to Heavenz. Le mercredi soir au Bunker Bar, c'est synonyme de repos et de fiesta. Tout le monde comptait bien en profiter.

Et fatalement, de façon tout à fait prévisible, les emmerdes sont arrivées. Comme les deux dernières semaines, mais en pire: cette fois ci ces ploucs de la French Connection ne se contentaient pas faire une descente et de menacer les clients et le staff du bar, ils s'étaient carrément mis en ligne dehors et tiraient sur tous ceux qui ne reconnaissaient pas leur supériorité. Ils les plombaient à vue à la sortie du Bunker Lifenet, histoire d'être sûrs que personne ne puisse discuter.

La petite Cyndrihla, qui ne nous avait rejoins qu'hier, en avait fait les frais alors qu'elle avait baissé ses flingues (qu'elle avait levé en geste d'auto-défense bien légitime). Ils l'ont plombée et l'ont envoyée au POD sans autre forme de procès. La semaine d'avant, ces connards avaient mis en joue l'une des nôtres parce qu'on refusait de montrer une "carte d'identité". Marrant... je ne vois pas qui nous en fournirais une. On a déjà du mal à trouver de quoi s'habiller correctement, alors une carte d'identité... pourquoi pas un ticket pour la finale de baseball à New York tant qu'on y est ?

Ce soir, plomber une Dustie, c'était la goutte d'essence qui faisait déborder le réservoir. Je contactais le chef de tout ce bazar, Wariwulf. Par radio (parce que je ne voulais pas me prendre de balles gratuitement), je lui dis ce que je pense de leur agression et de leur débarquement pour encore nous foutre une soirée en l'air, et lui annonce que la Dust et moi même coupons tout lien avec eux, annulons toutes les commandes et refusons leur présence lors de nos évènements présents et futurs. Suite à quoi ce plouc me répond qu'il ira nous emmerder au garage avec ses action-mans en plastoc, et qu'il n'y a aucune loi au dessus de la leur. Ça me fait un peu flipper, ce con est capable de vraiment venir pour foutre sa merde. Je sais que les Bankers et les Riders possèdent Oasis et veillent à la sécurité des membres de la Dust, mais est-ce qu'ils seront assez intelligent pour le comprendre ? Aucune chance.

Un étrange petit lézard phosphorescent s'extirpait de la poussière juste devant mon nez pour se rapprocher des braises, curieux. Je le suivais du regard, admirant ses gestes gracieux et vifs, et ses yeux noirs et brillants. Le carnaval des ploucs en costume kaki ne méritait pas que j'y réfléchisse davantage.

Dernière modification par Onirim ; 17/11/2011 à 04h08.
Triste soirée ... elle avait pourtant si bien commencée. Hormis le fais qu'evidemment borglom dut payer la première tournée ... la boisson était bonne comme d'habitude, et de voir danser les gens qui tentaient d'oublier les soucis quotidien était tout simplement une joie. Même tania avait remué son popotin ... Mais le bonheur fut de courte durée ... un amas de soldat, tous plus insubordonné les uns que les autres avaient fais irruption dans le bar en clamant haut et fort qu'il leur appartenait ... puis ils avaient disparus aussi rapidement qu'ils étaient venus (Grand moment de RP ca tiens) ...... tout ça pour aligner les pauvres gens qui passaient dans le coin ... sous quel motif ? aucun a priori ... Borglom avait faillis sortir les armes a plusieurs reprises tant le courroux qui l'animait était grand, mais a quoi bon ... Les troupes en surnombre l'en avait dissuadé. Bel exemple de l'absence d'intelligence de certaines forces armées. La confrérie ne s'en prenait pas aux civils au moins ... elle pourchassait les vrais criminels ... ce comportement n'etait guère plus intelligent que celui des singes devant un bananier ... l'équipe de sécurité de la dust allait avoir du pain sur la planche si ces abrutis pensaient débarquer a Oasis ... le sommeil mis du temps a venir ... la tranquillité a laquelle aspirait Borglom était de plus en plus utopique ...
De retour à Post23, mâchouillant son cigare, le regard tourné vers le soleil couchant, on pouvait apercevoir un léger rictus sur le visage du Commandant Wariwulf.
Les canons de ses deux pistolets continué à tiédir alors qu’il repensait à l’opération qui venait de se dérouler à Sunshine Corner :
« Ce bar, ah… ce bar n’est qu’un regroupement de vermines décérébrés. Ces foutus Travelers ont pris une bonne leçon. »


Pour certaines de nos recrues se fût leur première mission sur le terrain. Une mission préparait de longue haleine, une action « coupe de poing » , net et avec un minimum de bavure.

Nous nous sommes présentés comme prévue à l’entrée de ce gourbi avec la ferme attention de l’inspecter de fond en comble.
Ce bar avait tout d’une cache à drogues, d’un repaire de criminels et autres dégénérés.


Alors que j’engageais la conversation avec la gérante Miranda Edwards, quelques bikers du club Iron Sights rôdaient autour de nos unités l’air menaçant. Cela me compliquait la tâche, les troupes étaient tendu, le doigt sur la gâchette.
La mâchoire serrée et la main sur mon holster, je sentais le mauvais coup venir…


Un premier coup de feu retenti et l’un des nôtres se retrouva au sol, notre réaction fût immédiate et l’assaillant envoyé directement au Cloner. Alors que la foule du Bar commençait à se regrouper à l’extérieur, la situation prenait un tournant malsain.

« SOLDATS, EN POSITION ! »
Les troupes prirent une position défensive, prêt à réagir aux assaillants qui se faisaient de plus en plus nombreux. En effet les Iron Sights étaient revenu plus nombreux, puis les clients du Bar sans doute alcoolisé voir sous l’effet de drogues se mire a dégainé à leur tour… La Dust Motors Corp. soit disant pacifique, Le Cartel bien entendu ainsi que d’autres bandes sauvages rentrèrent dans l’opposition.
Une situation critique à laquelle nous nous étions préparés.
Dans un premier temps nous restions du côté du bar afin de tenter de continuer la conversation mais ce fût peine perdu, nous nous dirigions alors face à la sortie du Cloner afin de maîtriser les retours hystériques de tout ces Travelers et CHOTAs incontrôlable.


Comprenant la situation délicate dans laquelle se trouvaient ses employés, Miss Reiley Directire de la DMC proféra en vain des menaces envers la French Connection. « Vous n’êtes plus les bienvenue dans notre Garage, nous ne prendrons plus de commande de vos Soldats et vous êtes banni de nos évènements…Embargo [blablabla]… »
Ceux à quoi je répondis : « Sachez Miss Reiley, que votre Garage n’est pas à l’abris d’un contrôle non plus. On ne sait pas ce qu’on peut trouver caché dans ce genre d’endroit.
Par ailleurs, nous sommes une force autonome nos Techniciens sont tout à fait qualifier à nous fournir le matériel dont nous avons besoin, véhicules et touti quanti. »

Après un déluge de balles, les corps de tous ses clones s’entassant à la sortie du Cloner : « Quel triste spectacle, n’ont-ils pas conscience que leur acharnement est inutile. »
Afin de calmer les débats, nous entreprîmes un mouvement tactique, portés par leurs rages les assauts continuaient… Mais en vain…
Mes Hommes semblaient se prendre au jeu et il allait être difficile de les empêcher de faire durée ce massacre.


« SOLDATS, CESSEZ LE FEU ! »
La situation s’étant apaisé et les acharnés étant dispersés, nous quittions la zone sous les hués de la population local. « Nous ne sommes pas là pour être aimer, nous sommes là pour faire régner l’ordre et le semblant de Loi qu’il reste dans ce monde vérolé. »


Wariwulf souffla une fumée épaisse, puis jeta son cigare terminé. « J’adore lorsque un plan se déroule sans accroc… Ou presque…Ahahah… »
On pouvait apercevoir un air satisfait sur le visage du Sergent Instructeur. Les troupes étaient rentrées a la caserne, il y avait quelques blessés légers, mais un faible tribut par rapport a la raclée qu'ils venaient de donner à ces criminels.
Les bras croisés et d'un air sérieux il inspectait les troupe en rang devant lui avant de commencer a beugler de sa voix roque :

*RECRUES !*
*LAISSEZ MOI VOUS DIRE UNE CHOSE !*

Le sergent tourna la tête de droite a gauche afin de bien voir le visage de tous les soldats présents.

*Je suis fière de vous, ce soir vous avez montré que vos dures semaines d'entraînement n'ont pas été vaines !*

On put entendre alors un grand souffle de soulagement dans toute l'assemblée qui le retenait en attendant de nouvelles réprimandes, mais ce soir, il n'y en aurait pas.

*Vous avez montré au autres malgré leurs insultes incessantes, leurs provocations et autres railleries que vous êtes des Enforcers et que vous ne craignez personnes. Personne ne vous arrive a la cheville et derrière tous vos mots, il y a les actes qui vont avec, et non de le poussière corporatiste !
Soyez Fier de vous, et n'oubliez pas ce soir n'était qu'un exemple, ce qui ne se plieront pas devront en subir les conséquences !*
*POUR LA FRENCH CONNECTION ! POUR LES ENFORCERS ! POUR LES CITOYENS !*

Le Sergeant rompit les rangs, il était fier de ses recrues, il les avait vu souffrir, voir même doutés, mais ce soir, ils avaient mérités leurs soirée, et d'aller profiter de se repos pour se changer les idées.
Les mains sur sa ceinture, il ne pouvait que fumer tranquillement son cigare, en pensant déjà a leurs prochaine opération dans les jours a venir.
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