[BG] Ys - Hibernia - Le Prince Kharwen

 
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L'Histoire d'un Prince Déchu

Il y a 20 ans, à Hibernia, la famille de Kharwen, prince elfique, vivait heureuse sous le règne de Brigit, représentante visible du véritable Roi, réfugié derrière le Voile, et était respectée par ses confrères.

15 ans plus tard, Une conspiration visant à affaiblir le peuple de Brigit, fut organisée au sein de la communauté siabra, fomentée par la Reine Cliodna, Souveraine du peuple elfique des Siabras.
Elle engagea deux traitres : un albionnais et un midgardien, qui s'ils menaient leur mission à bien, bénéficierait de l'immunités des assauts elfes contre leurs forteresses.

Par un soir étoilé, les deux assassins pénétrèrent dans les appartements de la famille de Kharwen, pendant que ces derniers admiraient le ciel sur le balcon, et assassinèrent les parents de Kharwen devant ses yeux horrifiés. Les deux assassins le kidnappèrent ensuite et l'emmenèrent devant Cliodna l'Instigatrice, qui dit alors aux deux tueurs de l'emmener dans un endroit sur, puis de l'assassiner à son tour.
Arrivés sur le lieu ou allait se commettre un nouveau crime, un Ranger hibernien, du nom de Nostro, tua les deux autres sans qu'aucun d'entre eux de sache d'ou venait l'attaque, puis pris le jeune Kharwen sous sa protection.

5 ans plus tard, quand il fut en âge de pouvoir se battre, il fut nommé Ranger à son tour au service des Elfes Noirs et Nostro lui confia un arc, qu'il accepta d'un regard à la fois envieux et noir, se disant qu'il pourrait bientôt se venger de la perfidie des ennemis d'hibernia, et de ses frères qu'ils l'ont abandonnés.

D'un naturel froid et calme, il poursuit actuellement son apprentissage et a hâte d'atteindre son 19ème cercle d'apprentissage pour montrer aux deux royaumes ennemis et aux traitres siabras que s'attaquer à sa famille était la plus grave des erreurs à commetre. Néanmoins, sous sa carapace d'elfe froid et antipathique, se cache un être qui aime malgré tout son peuple par dessus tout. Et ainsi il continue de s'exercer le coeur plein de haine et d'espoir à la fois.

"Un jour, se dit-il, mon peuple sera à nouveau unifié j'en fais le serment !"


FIN
 

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