[Débat!] La Nature de l'Homme.

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Pour être franc, l'échauffement des neurones du précédent débat me manque déjà . Pour faire une continuité intéressante sur le point dont Aloïsius (tu vois bien que je t'écoute et que tu m’intéresses ) l'a achevé et dont à mon avis il est véritablement question, à savoir :

Citation :
L'Homme est-il naturellement bon ? ( Rousseau )

Serait-ce alors la société seulement qui le pervertit dans sa parfaite création ?

Ou, l'Homme est-il simplement imparfait ? ( Pascal/Descartes )

Dont certains tendent à pervertir et corrompre tout ce que l'Homme côtoie, ce qu'il conçoit ?

Et d'autres qui luttent contre leurs propres tares et cherchent désespérément, à rendre l'Homme plus digne de lui même, visant la perfectibilité ?
Faites vos jeux, rien ne va plus.

Je vous prie au passage d'argumenter à l'aide d'exemple outre ceux concernant l'Islam (que ce soit dans un sens ou dans l'autre) afin d'éviter de retomber dans le débat précédent, le sujet est suffisamment large pour nous situer dans d'autres dimensions.

NB : Je laisse la main à ceux qui veulent vraiment donner
leur avis plutôt que de lancer le débat avec le mien qui arrivera
demain tout de même.
Je pense que c'est plus compliqué qu'une question de bien ou de mal.

Je pense pour ma part que l'homme est un être individualiste, que ses actions sont en majeure partie dictées par ses besoins ses pulsions. Même des actes altruistes sont souvent dictés par un besoin de flatter son propre ego. Ce n'est pas honteux, c'est la nature de l'homme.

Or, nous vivons dans un cadre fermé où les richesses sont limitées et donc où un partage est imposés.

Et c'est dans ce partage que nous trouvons la source des conflits. Car ce partage est loin d'être équitable. Il en découle une sensation de manque, une satisfaction qui requiert des moyens et ces moyens qui feront pencher la balance du partage vers un individu x, créeront un manque chez un individu y.

Exemple: on donne un jouet à deux enfants. Les deux le voudront et chacun le voudra pour soi car la notion de propriété nous vient de notre instinct. Ces deux enfant vont donc entrer en conflit pour la possession du jouet. Cela en fait-il des êtres mauvais? Et si par hasard un enfant laisse l'objet à l'autre, ce sera soit par peur du conflit donc domination de l'autre enfant donc hiérarchie sociale créée, soit pour lui faire plaisir ce qui lui donnera la satisfaction d'être un "bon" enfant. Ce sentiment n'est pas meilleur, il est différent.

Bref, nous ne sommes ni bons, ni mauvais, nous satisfaisons des besoins comme nous le pouvons. Seulement certains ont des besoins plus élevés que d'autres, des besoins différents et recourent à des méthodes plus où moins violentes selon si leur ego a plus ou moins besoin de se sentir bon...On appelle ça la conscience...

c'est mon avis et je le partage
C'est une question ........ sans réponse. Chacun a son point de vue, et très honnêtement, le bien et le mal sont des notions particulièrement subjectives. Ce que X va considérer comme mauvais, Y va trouver cela normal, voire bien.
Les seules règles a être relativement neutres, mais soumises constamment à la critique politique et populaire, sont les lois qui régissent une société.
Partant, on pourrait considérer que ce qui est bien pour l'ensemble de la société, est bien pour un individu. Cependant, l'individu en question n'a peut-être pas cautionner les lois de la majorité de la société. Et on en revient au même point.

l'Homme serait donc bon parce que les autres, ou une immense majorité, auraient décidé consensuellement que ceci est bien, et celà est mauvais. Peu importe la justification, ce qui importe est d'adhérer à un corpus de règles qui soit le même pour tous, et surtout qui ne soit pas par nature mauvais.
Dès lors, il convient de trouver ce qui semble être commun à l'ensemble de la société, voire de l'humanité.

Les jus-naturaliste ( partisans du droit naturel ), ont considéré que l'Homme, par nature, par essence, et avant toute création ou ébauche d'une société pré-moderne, a le droit de vivre. Le droit de vivre est inhérent à chaque humain, que celui-ci soit bon ou mauvais. D'autres droits auraient été "découverts", comme le droit aux soins, le droit à la vie familiale, droit à la liberté de penser etc ...Bref, de ce courant découle en majeure partie la plupart des conventions droit-de-l'hommiste que nous connaissons à l'heure actuelle.
Leurs opposants, les positivistes, estiment que l'Homme n'a aucun droit par essence. Le fait de vivre ne procure pas plus de droit que celui d'être le plus fort. En bref, les positivistes considèrent que c'est l'avènement de l'organisation en société de l'humanité qui a fait que des droits lui ont été octroyés, comme celui de contracter, d'avoir le droit de vote, etc ..... De ce mouvement, découle d'autres grandes conventions, par exemple le traité de Rome de 1957 instituant la Communauté Européenne, positiviste par excellence.

Bref, vous aurez peut-être l'impression que je m'écarte du sujet, mais en fait non. Je m'explique.
La question de base est : l'Homme est-il bon par nature, est-il perverti par la société, ou alors est-il imparfait et la société doit-elle l'amener à la perfection ?

On pourrait considérer que les jus-naturalistes considèrent l'Homme comme bon par nature. Le droit à la vie, et d'autres droits de l'Homme, sont pour eux des droits qui appartiennent à l'essence de chaque vie. L'Homme, par nature, veut vivre, et va plutôt essayer de préserver la vie de l'autre, sauf dans des situations qui relèvent de l'exception : défense, guerre, etc ... Mais la règle est que l'Homme cherchera plutôt la préservation que la destruction.
Les positivistes, au contraire, considèrent que l'Homme est par nature violent, cupide, bref, susceptible de succomber au mal à tout instant, et ce de façon naturelle. Pour eux l'état de nature pré-sociétale ( qui précède la société ), n'existe pas, il n'y a que l'anarchie et le désordre, où seule la loi du plus fort règne.
Dès lors, la seule possibilité de rendre l'Homme moins mauvais, est d'organiser une société policée ( donc avec des " forces " garantes du bon ordre ), société qui devra octroyer à chacun des droits, permettant de vivre en bonne entente avec son prochain. Bref, il faut corriger les excès naturels de l'Homme.

Bien entendu, on ne peut adopter une définition exclusive. La définition jus-naturaliste, si elle parait raisonnable, n'est pas scientifiquement démontrable. En effet, jusqu'à maintenant, personne n'a pu démontrer qu'avant toute société, il existait un ordre naturel relativement bon, du moins quelque chose qui n'est pas chaotique, comme le prétendent les positivistes. La raison de cette impossibilité théorique, est que l'Homme n'a connu qu'une organisation sociétale. Personne n'a de trace d'un état naturel bon, ou naturellement bon.
D'un autre côté, les positivistes ne peuvent prouver la fausseté de l'affirmation jus-naturaliste, autrement qu'en démontrant que depuis la nuit des temps, l'Homme s'est toujours organisée en société hiérarchisée et policée, chacune avec ses lois propres. Pour eux, le mythe du bon sauvage n'existe pas. Et pourtant, l'organisation en société ne prouve pas tout. On remarque que nos prisons ne contiennent pas tous les habitants de la Terre, ce qui tendrait à démontrer que naturellement, l'Homme a tendance à être plutôt pacifique que belliqueux.

C'est pourquoi, depuis presque toujours, la solution théorique, et très consensuelle, à ce problème, a été le mélange de ces deux théories fondatrices de nos droits modernes.
D'un côté, nous reconnaissons, depuis 1789, voire même depuis 1787 ( date à vérifier ) année de la Révolution américaine, que l'Homme à droit à la vie, aux soins, à l'égalité, la liberté de penser / aller et venir, etc, etc, ......... Et ce, quelle que soit la nationalité de l'individu. Qu'un français aille aux USA, qu'un américain vienne en France, chacun porte, naturellement, en tant qu'Homme, ces droits. Bref, on appelle souvent ces droits les " droits à ... " Croyez moi, ce fut loin d'être évident il y a plusieurs siècles de cela...
D'un autre côté, l'apport positiviste a été intégré à toute nos sociétés, et chaque société accorde à chacun de ses citoyens des droits, comme le droit de vote, droit de se marier, enfin, tous les droits de la société, recouvrant le droit civil, pénal, du travail, etc ... On nomme souvent ces droits les " droits de...".

On pourra donc conclure en ces termes. On peut considérer que l'Homme, de par sa place bien particulière en ce bas monde, a naturellement les droits qui nous semblent être les plus élémentaires, et qui traversent toutes les frontières , le plus important étant le droit à la vie. Cette facette du problème nous montre que par essence, l'Homme tend à être plutôt "bon", ou plus exactement à ne pas vouloir forcément le mal, sauf dans des cas exceptionnels.
Et ce sont dans ces cas exceptionnels que l'ordre sociétal, par les droits qu'il octroie à l'Homme, mais aussi par les interdictions qu'il érige, essaye de corriger les excès de violence, de "mal", qui est en chacun de nous.
En somme, l'Homme n'est ni bon, ni mauvais. Il est ce que les autres en font. Un Homme seul n'est pas mauvais. Il est seul. Un Homme dans la nature va chercher la survie et le contact, amical dans un premier temps. Un Homme en société devra être constamment "corrigé" de ses excès, fautifs ou non.
Par ailleurs, on constatera ceci : l'Homme, dans une société idéalement démocratique, ou tout du moins à ses débuts, cherchera plutôt à créer des lois qui satisfassent la majorité, plutôt que des lois qui le condamnent, lui et les autres, à une mort assurée. Bien sûr, des exceptions existent ( et de taille ), mais j'aurai tendance à croire que le bien est en chacun de nous. Il faut juste le chercher, continuellement. Il ne faut pas se les fixer en objectif, cela serait par trop moralisant, et ne pas se dire que si on ne les atteint pas, on est mauvais. Non. Il faut les voir comme une voie à suivre, et cette voie est indiquée par .... autrui justement. Seul autrui saura nous dire si oui ou non, cela lui plait.
Notre force réside dans le dialogue. Sans dialogue, c'est la guerre. Ou plutôt la loi du plus fort. Qui est déjà une loi en soi. Mais qui ne convient pas à la majorité, on l'aura bien compris.
Tous n'est pas blanc ou noir... Ce qui peut paraitre bon pour une personnage peut etre mauvais pour une autre.

Et puis personellement je me vois mal moi faire un cours sur la nature de l'homme , et pas que moi meme , toute personnes , apres tous on quand meme tous différents , on ne pense pas pareille , on réagit différament , la nature humaine ? C'est généralisé surtout je trouve... Mais bon...
Hmm très intéressant comme sujet et aussi comme réponse. Hmm seulement une des théorie me semble un peu contradictoire et c'est celle des positivistes...
Bon, ils considère que tous être vivants est mal ou nait avec un certain mal en lui... Cependant, si tout le monde avait ce mal en lui, qui émettrait les loi et la société policée?? Plutôt utopique comme situation.. Tout le monde est mal cependant quelqu'un pense a mettre en place un système contre le mal..humm bizarre donc pour cette raisons je ne crois pas en cette théorie.
toutefois, je crois que l'humain en tant que telle vient au monde ni bon ni méchant, mais avec des instincts, comme tout autres animaux. Or, la notion de mal et de bien s'applique si et seulement si il y a prise d'esprit et moral.. Donc seulement si il y a prise de conscience, donc étant jeune cela est plutôt impossible en très base age. Alors pour toute ces raisons je crois que les éléments qui influence sur notre caractère sont : l'éducation et notre milieu...c'est tout...bon peut être pas tout, mais bon en gros c'est ca.
Voici ma vision des choses sur la nature de l'homme.

L'homme est un animal ayant un cerveau suffisamment complexe pour pouvoir lui permettre d'avoir l'impression d'être libre et d'avoir le choix, de faire le bien ou de faire le mal, deux concepts du reste tout à fait relatifs à l'époque, à la culture, et au modèle de civilisation.

Aussi libre qu'une pierre tombant dans un puit, cet animal ne s'apercois généralement pas que tout ce qu'il est, tout ce qui le constitue et qui décide du moindre de ses choix, n'est pas le fait d'une décision, mais d'un hasard total.

On ne choisie pas plus la famille ou le foyer dans lequel on vient au monde, que les centaines de personnes qui vont structurer notre manière de penser, pas plus que l'on ne choisie sa génétique.

Un animal doté d'un cerveau un petit peu plus complexe que celui d'un poulpe, tel est l'homme. A t'il un avenir supérieur à celui des poulpes, rien est moins sûr. Il existe une théorie selon laquelle l'univers, partant d'un état primaire d'une grande simplicité tendrait à se complexifier. *passe les détails sur la naissance de l'univers, des galaxies, des étoiles, des planètes, de la vie*

Si c'est c'est le cas, alors peut-être avons nous un rôle à jouer qui soit un petit peu pousser, mais encore faudrait-il pour cela que nous réussissions à passer l'age de se faire la guerre pour des concepts nées de la peur de mourir. *Pense à cela aux religions*

Si nous arrivons à ne pas faire sauter la planète, et hélas ce n'est pas chose gagné, très loin de là, alors peut-être avons nous un avenir qui ne soit pas du genre de celle des dinosaures; l'avenir seule nous le dira.

Pour lors je suis pessimiste.
L'homme est bon de nature,ce qui le rend mauvais c'est les idées reçues des autres et le milieu dans lequel il vit.
Oui l'homme est imparfait car il lui faut une base morale venant d'autres pour qu'il commence a choisir lui même.
L'homme n'est ni naturellement bon, mauvais, parfait ou imparfait : ces concepts n'existent pas séparément de l'homme, ils sont de pure production de notre esprit. Donc, l'homme les ayant créés, il ne peut être déterminé naturellement par ceux-ci, puisqu'ils ne sont pas "naturels".
L'homme est naturellement un mammifère placentaire bipède, doté d'un cerveau exceptionnel, unique de par sa complexité dans le règne animal. Il a créé au cours de son évolution des concepts et des idées qui guident et structurent son comportement, et en particulier son comportement en société.

Parmi ces idées, celles de Bien et de Mal sont primordiales, puisqu'elle définissent ce que doit être le comportement humain au sein d'une société donnée.

De même que l'homme évolue, de même que sa culture évolue, de même les notions de bien et de mal évoluent. Si celles ci ne sont pas transcendantes, si il n'existe pas un bien et un mal absolu qui puissent servir de références sûres, il ne faut pas tomber dans le piège du relativisme, et considérer que chaque conception du bien et du mal se vaut. En effet, le concept même d'évolution permet d'affiner avec les siècles ces notions, et, en faisant quelques efforts, il est possible de discerner un sens dans cette évolution, celui qui nous a conduit jusqu'à l'énoncé droits de l'homme (en attendant les prochaines étapes, leurs applications dans la pratique, et la définition des droits du vivant, par exemple). De ce fait, les hommes qui par le passé étaient considérés comme de grands héros, voir des dieux vivants, sont de nos jours le plus souvent perçus (en occident surtout...) comme des criminels de guerre et des tyrans, ce qu'ils sont dans la conception plus sophistiquée du bien et du mal qui a été développée.

Le combat pour le Bien est donc d'abord un combat pour améliorer le Bien, affiner sa définition, et l'imposer, sans l'enfreindre, aux "versions" plus primitives du Bien. C'est ainsi, selon moi, qu'il est du devoir de ceux qui en conscience de faire comprendre à ceux qui ne le savent pas encore, que lapider une femme sous prétexte d'adultère ce n'est pas bien, mais au contraire mal.

Ce combat n'est pas désespéré, bien au contraire, il va dans le sens de l'évolution, et est de ce fait en quelque sorte gagné d'avance, si toute fois nous le gagnons assez vite : une stagnation trop longue serait une défaite mortelle pour la race humaine. C'est pourquoi, sur le plan économique et politique, le retour aux valeurs du 19e siècle incarné par le consensus de Washington est un désastre : nous ne pouvons plus nous permettre de revivre un nouveau 20e siècle, ce serait signer notre arrêt de mort.
Comment savoir si l'homme est Bon ou Mauvais de nature alors que nous sommes incapable de définir le Bien et le Mal...

Je pense qu'à la base savoir si l'homme est bon ou mauvais est un faux débat, puisque sans réelle définition préalable du Bien et du Mal on ne pourra pas s'en sortir...
C'est pas tellement se que fait l'homme, mais se qu'il fait perçu par un autre homme, donc selon le second protagoniste tous dépend de son humeur ou de sa personnalité, les actions du premier ne seront pas interpréter de la même façon.

Voila assez philosophé.
Hmm bon le bien et le mal..Comment le définir... Le bien et le mal se vie de façon différente pour commun des mortels. Ce qui veut dire que cette notion est vague et a une signification différente pour chacun d'entre nous.
Une personne donné considère que ce qu'il fait est bien quand cette action lui procure du plaisir et une certaine satisfaction. Il faut aussi que l'individu en question ne ressente aucun remord découlant de la dite action. Donc en somme si c'est condition sont atteinte et bien la personne aura alors le sentiment d'avoir bien fait, selon lui encore..
Je crois que le bien et le mal sont comme tout autres choses, une création de l'homme, or vue que cette notion est créée par l'homme elle est par conséquent jugée par l'homme qui l'adaptera à son mode de vie et de pensé. Donc en somme se qui est bien pour moi n'est pas nécessairement bien pour un autre et vice versa.

P.S. et pour répondre à une certaine personne,c'est un vrai débat puisqu'il nous est proposé en CEGEP lol, malgré que ceci n'entraine pas cela et ne créer ici aucune fatalité
A mon humble avis, la nature humaine est un égoïsme éclairé.

Pourquoi égoïste ?

Parce que plein de choses : la survie pousse a l'égoïsme parfois, au replis sur soit. C'est notre côté animal qui parle.

Pourquoi éclairé ?

Parce que malgré tout, l'animal social qu'est l'homme à besoin des autres, donc fait en sorte de ne pas s'aliéner ses pairs jusqu'à un point de non retour.
la plus par des gens ne pense même pas. il vivent dans leur monde et ne se préoccupe pas de se prendre la tête il pense avoir des bases solide pour qu'il puisse ne pas y pensé mais quand quelque un d'entre eux se reveil et voie le monde se détruire peut a peut il devienne a par ou se remette a ne plus pensé

c'est la qu'on voie si une personne et intelligente ou pas
nous somme (comme déjà dit) des animaux et l'homme ne veut pas se comparé a des animaux car il se dit intelligent et au dessus mais l'homme vit et se préoccupe autant que les animaux de leur façons de vivre !

1)il née
2)il se nourrit sans se soucier des ressource
3)il se reproduit a plus savoir quand faire
4)il est mauvais et n'en cure des autres
puis y meurt en laissant 4 a 5 humain en moyenne pour finir la destruction de la planète

et la plus par du temps les hommes qui se prenne la tête sont des gens bien et sont passionné de l'heroic fantasy car c'est la que l'ont a inventé gardé et caché, pour les quelques privilégié, le bonheur

un exemple type l'amour
1)l'homme se sent amoureux
2)il passe (exemple) 1ans d'amours
3)il font un enfants et quand la tache de l'homme et finie ...
4)il se quitte

4 couple sur 5 divorce c prouvé

dans 4 ans ont sera 10 000 000 000
il n'y aura pas assez de vivre pour tout le monde qui a pensé a sa ???

et je vais m'arrêter la parce que je dois dormir et si je m'arrête pas je vais écrire un livre !
__________________
Best Dj Energy
J'allais justement lancer un débat sur "la principal qualité de l'homme ne serait elle pas l'égoïsme"

Ma foi, les réponses données sur ce thread me conforte dans mes idées et je rejoins la plupart des avis donnés au dessus.

Le bien, le mal, tout ça n'existe que dans nos concepts de vie et c'est purement philosophique. L'homme ne recherche que la meilleure façon de traverser sa vie en mettant en avant sa propre conception du bien être et cette vision des choses n'est pas forcément partagée par les autres ce qui engendre forcément des conflits et des concepts comme le bien et le mal.
Tout d’abord je tiens à préciser que je fais une différence (personnelle en tout cas pour le moment) entre bien et bon, entre mauvais et mal. Et c’est pourquoi j’ai précisé de parler d’un Homme « bon » plutôt que d’un Homme qui fait le « bien ». Mais en fait, l’amalgame était prévisible finalement. De plus le but du sujet n’était pas de faire une différence entre des concepts alors je n’en dirais pas plus à ce propos.

Pour revenir au véritable sujet j’aurai finalement du faire faire une précision supplémentaire, à savoir que lorsque je parle de l’Homme, ce n’est pas un animal. Notre enveloppe biologique est certes animale, mais je ne m’attache pas à cela, car elle ne fait pas ce que l’Homme est vraiment. Force est de constater, et cela a été noté au cours du sujet, que l’Homme est doté de caractères psychiques exceptionnels qui lui permettent de tenir son esprit dans des dimensions qui n’appartiennent pas au monde réel physique (imagination, référence au passé, conscience, inconscience...).

Et cet esprit dicte à l’Homme des décisions et des actions qui en résultent. L’Homme peut agir selon des besoins physiques, et pour beaucoup ils sont indispensables (boire, manger, dormir...) mais grâce à son esprit (plus ou moins faible selon les individus), il peut aller à l’encontre de des pulsions les plus fortes comme se laisser mourir de soif avec de l’eau à sa portée ou lorsque l’individu est en prise d’un manque physique de drogue (cas particulier, le sommeil qui agit à travers le cerveau directement sur l’esprit). On l’aura comprit, on parle là de la volonté qui fait de l’Homme un être responsable de ses actes. Et ce, une fois qu’il atteint l’âge de révéler la nature de son esprit Humain afin de se situer en tant qu’individu propre, après sa naissance. L’animal n’est pas responsable puisqu’il agit uniquement à ses pulsions physiques, il n’est pas conscient de sa propre existence en tant qu’individu qui pense aux conséquences de ses actes et fait référence au passé. L’Homme a le physique biologique d’un animal mammifère, son corps vivant réagit comme un animal mammifère mais grâce à une forme d’esprit singulière, son comportement n’est pas celui d’un animal mammifère, son comportement est celui d’un être Humain.

Précisément, lorsque je parle de l’Homme il s’agit bien d’un ensemble mais dont mon plus grand intérêt se pose sur cet esprit singulier dans l’Univers (jusqu’à la rencontre d’une forme de vie extraterrestre dotée de capacités psychiques égales ou plus élevées bien entendu ).

En cela, il m’apparaît convenable de ne pas tomber dans un certain sophisme qui veut croire que l’Homme n’est pas apte à juger du bon ou du mauvais de ses actes. Car il m’apparaît que l’Homme est bien le seul juge exemplaire de lui-même (sans parler ici de Dieu car je resterais toujours dans un discours laïque). Et si il ne se juge pas lui-même grâce aux outils dont il dispose, c’est qu’il n’est finalement pas digne de les posséder. C’est pourquoi se demander qu’est-ce qui est bon ou mauvais, dans ce que l’Homme fait, (donc pense) n’est pas une fausse route. Il en a les moyens, et il s’y affaire.

Et comme l’a dit Aloïsius, ce jugement est soumis à une évolution. Pour faire un rapprochement à une évolution de notions purement humaines qui nous parlent plus je pourrais parler de la physique, qui donne lieu à des découvertes et de théories sur des notions (le mouvement par exemple) qui ne sont jamais exactes et auxquelles de nouvelles théories viennent par la suite affiner les calculs (comme depuis Archimède en passant par Galilée puis Newton et Einstein). Par cette comparaison on retrouve l’acte (la notion), le jugement (la théorie) et le degré de plus en plus précis du bon ou du mauvais de l’acte (le calcul). Je n’exclue pas là non plus, d’autres exemples pour expliciter ce concept d’une évolution.

Ainsi, on s’aperçoit que l’Homme au cours de son existence cherche à affiner au mieux sa conception du bon et du mauvais, dans un concept soit individualiste soit sociétaire. A tel point qu’il fait autant le pire comme le meilleur en la matière, plus il prend conscience du degré dans lequel il s’avance. Pour moi, l’Homme traite ses actions sur un éventail toujours plus large au fil des temps.

Mais on ne répond encore pas aux questions qui nous sont posées, enfin je pense qu’après avoir exposé mon point de vue sur la nature de l’Homme de cette façon je peux tirer une conjecture sensée. Grâce à ses capacités de jugement et la responsabilité qu’il en tire, il émane de l’Homme un potentiel très puissant dans de nombreux domaines jusqu’à influencer des conséquence à l’échelle même planétaire (nouvelles technologies, éradication de maladies, réchauffement de la planète, nucléaire...) !

Et dans ce potentiel, même à l’échelle individuelle, se trouve la possibilité d’être bon ou mauvais. L’Homme est neutre à mon goût, il est ce qu’il assume d’être au moment où il prend une décision avant d’agir. Il détient en lui un potentiel variable d’être bon autant que d’être mauvais selon la force et l’étendue de son esprit. Ce qui fait qu’il peut concevoir de bonnes choses que d’autres pervertissent armés de ses intentions mauvaises et vice-versa. D’autre part pour répondre à la seconde partie du sujet, je trouve l’Homme parfait dans l’étendue de son potentiel d’action qui ne cesse d’augmenter par rapport à tout ce qui existe à notre connaissance.
Citation :
Provient du message de dark cristal
la plus par des gens ne pense même pas.

...


et je vais m'arrêter la parce que je dois dormir et si je m'arrête pas je vais écrire un livre !
Franchement, le milieu est a la hauteur de l'introduction. pour ce qui est de la fin je suis déçu

C'est que t'es quand même pas loin du jeanclôd d'or !
Pour en revenir à la base du questionnement : l'homme a-t-il une nature ?

Personnellement, je ne crois pas que l'homme ait une nature propre (du moins pas une nature innée), qui le définisse comme bon ou mauvais, égoïste ou altruiste... Je base cette réflexion sur la constatation qu'un homme dénué de toute éducation et livré à lui même ne développera aucun des caractères définissant couramment un être humain; il ne sera qu'un animal. Il y a quelques cas de ce genre, surtout au 19e siècle, d'enfants "sauvages" recueillis par des animaux (des loups notamment), qui n'avaient d'humain que l'apparence.

Ce qui rend l'homme particulier alors c'est le bagage culturel et éthique qu'il reçoit de la société, ou même, dans le meilleurs des cas, l'éducation nécessaire pour pouvoir se définir ses propres valeurs. La question du bien ou du mal n'a donc plus de rapport ici avec la nature humaine, mais plutôt avec la société. Mais heureusement, je ne pense pas que tous les hommes soient condamnés à être les produits de leur société, et je suis convaincu que l'homme est, au-delà de sa condition, ce qu'il choisit d'être.

Voilà, j'ai fait court et accessible . Je n'ai pas de formation philosophique particulière, je ne prétends pas avoir inventé quelque chose (certains éléments sont piqués à Sartre notamment) ni que ma position n'est pas perfectible... J'essaie juste d'être cohérent avec moi même .

(edit: correction ortho)

A+
__________________
My life is all that I've known, and it's all that keeps me here
My time is all that I own, so I won't let it slip away
Devin Townsend - Life
Citation :
Provient du message de Ghaxir
Je base cette réflexion sur la constatation qu'un homme dénué de toute éducation et livré à lui même ne développera aucun des caractères définissant couramment un être humain; il ne sera qu'un animal. Il y a quelques cas de ce genre, surtout au 19e siècle, d'enfants "sauvages" recueillis par des animaux (des loups notamment), qui n'avaient d'humain que l'apparence.
En sorte ton histoire n'est pas contradictoire avec ce qui a été dit précédemment je trouve, car si on prend ceci :
Citation :
Provient du message de Rendakith
Et ce, une fois qu’il atteint l’âge de révéler la nature de son esprit Humain afin de se situer en tant qu’individu propre, après sa naissance.
ça voudrait dire que ton cas n'avait simplement pas révélé la nature de son esprit exempt d'outils tels que le langage qui forge l'esprit humain avec lui même. Mais son potentiel à révéler son esprit et comprendre son propre état reste le même, si par la suite on lui apprend à s'exprimer.


ljd Olakith.
après ont se pose plein de questions !! ont marche sur une place très fréquenté et on se dit si c'est personne savent quil vivent ??

après tout ont et entré dans un système qu'on a crée que l'on croit solide et dont ont ne peut plus sortir sou peine de devenir comme cette homme assi sur un mur avec comme seule repas le gobelet remplie de pièces qui se trouvent devant lui

mais au font
1)ont se lèvent
2)ont va travaillé jusqu'à midi
3)midi ont mange
4)ont réparent le boulot
5)puis ont mange
6)ont vas dormir
7)ont se lève
8) .....

les personnes qui ont réfléchit a sa se son souvent retrouvé en bas d'un immeuble de 7 étage

ont et devenue dépendent d'un système néfaste et ont ne peut plus rien fair a par si ont est puissent

moralité ont ne vit plus car dans quelque année ont aura même plus de vacance pour profité de la vie
ont commence a vivre quand c'est finie (retraite)
mais retraité ont ne peut jouir de la vie comme un jeune et jeune ont ne peut pas jouir de la vie a cause du système

le but et : (pour les personne qui ont réfléchit a se problème)de contourné le système au maximum


peut de personne vont comprendre se que je viens de dire et pourtant




quoi mais non je ne suis pas en état de déprime profonde
__________________
Best Dj Energy
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