[Orcanie] [Albion] [Guilde RP] Lloegyr ou terres perdues.

 
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Lloegyr ou Terres Perdues.

Cette histoire n'en est pas une, ce sont des faits réels, ayant tous eu un impact sur certaines populations d'Albion, notre Royaume chéri et aimé.

Quand Arthur ap Uther mourut, représentant bâtard mais digne de la caste des Pendragons, les peuples d'Hibernia et de Midgard ont déversé leurs flots de haine sur nos terres, mais cela, vous le savez tous.

Il existait encore il y a peu, à l'est des territoires de la Bretagne que nous connaissons, des terres côtières, amicales, verdoyantes et luxurieuses. Des habitants d'Albion, comme vous et moi, y habitaient et vivaient leurs vies sans soucis ni problème.

Mais quand Cerdic le maligne et Aelle le puissant, Seigneurs de Midgard, allièrent leurs armées immondes pour n'en faire qu'une, ils déferlèrent, plus puissant que les Anciens Dieux pendant leurs heures de Gloire, ils ne firent de ces petites vallées qu'un bain de sang et de peur. Je m'en souviens encore comme si ce n'était qu'hier. J'étais là, l'arme au poing, avec mes quelques hommes - nous gardions à l'époque la ville - observant ces créatures menées par des Trolls descendre le Mont Polgrin qui nous faisait face. J'étais le plus jeune de ces gardes, et tous avaient perdu l'habitude et la rage des combats qui avaient fait d'eux de grands homme auparavant. Les temps de paix ne sont jamais bons pour la forme des guerriers. Ils étaient vieux à présent, et leur lame émoussée par le temps ne pouvait pas transpercer les armures et peaux épaisses des monstres Nordiques.

J'avais peur bien sûr, voyant ce détachement d'une vingtaine d'homme fonder sur nous, mais quel guerrier n'a jamais eu peur avant la bataille ? Nous formions un frêle mur de bouclier d'un seul rang, nous étions quinze. J'observai mes voisins dans le mur de bouclier, ils me protégerait comme je les protégerait également durant la bataille. Nous étions si proche les uns des autres que je sentais sans difficultés les relents d'hydromel qui émanaient de leurs bouches. Nombreux sont les guerriers qui noient leur peur dans l'hydromel, mais même si un homme saoul semble plus courageux et féroce que les autres, il s'affole aussi bien plus vite au moindre début de débandade ou de panique généralisée.

Le détachement de Midgard attaqua à la manière des Romans quand ils envahirent la Bretagne, sans organisation, chacun pour soit dans une folie meurtrière hors du commun. Aucun mur de bouclier ne se dressait chez nos ennemis, tandis que nous étions fermement organisés pour ne laisser passer aucun d'eux, et tous les dépecer. Je serrai Hoganbane, ma fidèle épée héritée de mon instructeur, et la folie des combats s'empara de moi. La guerre est une mauvaise chose, mais tout guerrier doit prendre du plaisir quand il se bat, pour combattre la peur et survivre le plus longtemps. J'étais donc empli de ce plaisir et de cette fureur de la bataille, mais nous restions néanmoins organisés et formions et reformions sans relâche notre mur de bouclier. Hoganbane frappait et dépeçait, et dès la première minute, j'abattis mon premier ennemi d'un coup d'épée sur le crâne qui transperça son fin casque de cuir. Mais celui qui remplaça le viking en face de moi fut un Troll, et sa puissance et sa taille nous impressionnèrent. C'est mon voisin de gauche qui me sauva la vie, pétrifié devant l'immense masse du Troll, il détourna son arme qui allait s'abattre sur mon crâne. Je continuais de parer, et fut bientôt touché à la cheville par une lance ennemi que mon bouclier avait dévié, en profitant pour fracasser la cage thoracique de mon adversaire d'un coup de la garde de mon arme.

Mais nous étions en sous-nombre, et tous, un par un, nous tombions sous les coups ennemis. Nous formions un dernier carré de cinq hommes, puis le noir, le vide et le néant. On me racontera plus tard qu'une massue de Troll m'avait fait valser à quelques mètres du mur, me tuant sur le coup. Mais bien heureusement, nous sommes liés à des pierres des âmes, mais, pour une raison qui me reste encore inconnue, je fus téléporter dans un village près de Humberton, dans une tribu de Highlander : Humberton. J'appris que le Lloegyr avait été dévasté, asservi et coulé sous le sang de ses propres habitants.

Plus tard, je rencontrai de nouveau Zakaht, que je connaissais déjà au Lloegyr. Nous décidâmes tous deux, étant natifs de notre Lloegyr bien aimé, de fonder une guilde, les Faucons du Lloegyr, pour tenter de reprendre nos terres de la poigne sanglante de Midgard. Il va sans dire que nous recrutons toutes les bonnes âmes, et qu'une guerre ne se fait pas à deux. Nous accueillerons à bras ouverts toute personne censée.

Lloegyr, dans la langue des Anciens Bretons, dans un langage druidique oublié, signifie Terres Perdues.


[https://forums.jeuxonline.info/jo/icons/icon16.gif] Les "Faucons du Lloegyr" est une guilde à but avant tout Roleplay, visant à réunir des gens Roleplay pour jouer et tenter de développer cet aspect du jeu (qui ne l'est pas assez à mon goût, bien que ce ne soit qu'une analyse sommaire) sur Albion dans un premier temps. Mais Roleplay ne signifie pas prise de tête à tout va, nous voulons tout de même rester dans une ambiance amicale et sympathique. Si vous êtes intéressé, vous pouvez me contacter en jeu sous le pseudonyme Thelvnn, ou contacter Zakaht. Vous pouvez aussi m'envoyer un MP ou écrire à thelvnn@ifrance.com. Nous sommes pour l'instant 3, ce qui, bien sûr, est insuffisant, mais il n'est pas facile de trouver des gens roleplay ^^

Amicalement, en espérant passer de bons moments avec vous [/https://forums.jeuxonline.info/jo/icons/icon16.gif]
Mon ami Albion est une verte terre, et elle accueille toujours avec plaisir ceux qui se dressent pour la défendre et combattre ses ennemis séculaires

Bienvenue à toi

Ps: L'alliance Fiana, Coeur Radiant et Inquisition est une alliance Roleplay
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Thepp - Webmestre de La forge d'Onyxia
Theppdra - Chamane sur Les Sentinelles - Les Voyageurs
Message roleplay
Ami.. Ami.. C'est beaucoup dire de ce Thelvnn. Il était simple capitaine de garnison alors que j'étais l'intendant du seigneur du Lloegyr. J'étais chargé de gérer les fortunes et de distribuer les rations. Un travail.. pas très passionnant ..

Heuresement que j'avais en charge la formation d'apprentis et la détection de jeunes doués pour les arts. C'était mon plaisir.. C'était ma vie.
Maintenant tout a été souillé, foulé au pied par ces barbares, ces brutes sanguinaires. Je me trouvais au château lorsque les premiers tambours ennemis rententirent dans le lointain. J'eus le temps de rassembler mes confrères pour pouvoir protéger au mieux notre seigneur.

Les premiers barbares apparaissaient déjà, suivit de gigantesques trolls. Nos hommes d'armes et nos prêtres s'agitaient : les sorts de soin fusaient de partout, les premiers bruits de ferraille se faisaient entendre.
Je n'avais pas conscience de la gravité de la situation. Les hommes n'étaient pas prêts, certains complètement ivres s'écrasaient déjà comme des masses. Des prêtres mordaient la poussière imbibée de leur sang.
Nous lancions sorts sur sorts, jusqu'à épuisement. A plusieurs reprises nous sauvions la vie d'hommes en pulvérisant, en brûlant, en givrant, en terrorisant les envahisseurs.

Mais déjà les défenses de boucliers perçaient, certains êtres que je n'avais pas encore remarqué se faufilèrent parmi nous. Plusieurs mages et sorciers tombèrent autour de moi, foudroyés par des lames tenues par cas petits êtres bleus.

J'entendais les gardes du corps de mon seigneur pousser des cris lorsque nous vîmes arriver une masse grouillante de créatures trapues que je qualifiais de nains, non loin de nous.
J'étais épuisé, je n'avais plus la force ni l'envie de lancer d'autres sorts.. La ville était la proie des flammes, les cadavres jonchaient les chemins, les barbares les pillaient.

J'allais parer un coup de hache à l'aide de mon bâton, dans un ultime effort, lorsque j'entendis le cri le plus effroyable qu'il m'ait été donné d'entendre. C'était le signe que nous avions tous faillis, le signe que le Lloegyr était perdu.. Le signe de ma défaite. Notre seigneur était à son tour tombé.
A genoux sur le sol humide, le coup de hache me ôta la vie.

Je ne sais moi même pas comment, mais je me retrouvais alors dans le petit village de Ludlow, aux cotés de personnes qui m'étaient inconnues. Ma partie était anéantit.. Je l'appris de leur bouche. Cela faisait déjà 15 jours.. 15 jours où je ne saurais jamais ce que les courants magiques de la pierre des âmes m'avaient réservé.

Je finis par rencontrer Thelvnn, mon coeur souffrit en le voyant de ne plus sentir la brise du Lloegyr sur mon visage. Mais le temps des apitoiements était révolu. Il était temps de nous préparer à prendre notre revanche, à nous venger.. à en découdre avec ces monstres qui avaient anéanti nos rêves.
** Lettre envoyée des marais de Lyonnesse à l'attention des Fils du Lloegyr **
Cette lueur !...

Oui je m'étonne toujours en regardant cet astre que vous nommez "soleil"... Les premiers temps ses rayons me faisaient souffrir le martyr mais depuis quelques temps je me suis habitué à sa chaleur et lumière.

J'ai quitté les profondeurs d'Avalon comme beaucoup de mes frères Nécrites, et j'ai découvert avec intérêt la civilisation humaine. Quel ne fût pas ma surprise de remarquer dans votre race autant de courage, d'entêtement et de détermination. Les anciens de mon peuple ne parlez pas de vous en ces termes... loin de là.. mais je peux dire à présent qu'ils se trompaient.

Après plusieurs années à voyager sur votre royaume, j'ai pu me prendre d'amitié avec certains d'entre vous. Les Faucons de Lloegyr ont attirés mon attention un matin. En effet, mon Dieu Arwan souhaite que nous aidions votre race à vaincre les hordes barbares du grand Nord et j'ai trouvé en vous une cause et une détermination qui ont réussi à toucher mon coeur froid de nécrite.

Ma race n'est pas naturellement portée sur ce type de valeurs mais j'ai bien l'impression Sir Zakaht et Thelvnn que vous avez quelque peut déteint sur moi. Est ce une bonne chose ? Je me pause encore la question... la méditation devrait m'apporter la réponse...

Je ne peux qu'être fier de faire partit de vos rangs et je finirais ce courrier par ces mots :
"Honneur, Vengeance et Courage pour les Fils du Lloegyr"

Votre Ami et fidèle serviteur,
Gupy.
 

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