Que faut-il faire pour être heureux au travail ?

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Chronique du 6 Mars 2003 de Martin Winkler sur France Inter à 7h50.

Citation :
Il y a cinquante ou soixante ans, l’espérance de vie ne dépassait pas le demi-siècle. Aujourd’hui, on vit plus longtemps. Conserver le même emploi toute sa vie - c’est à dire pendant 35 à 40 années - peut apparaître à certains comme une perspective peu enthousiasmante. Mais si l’on veut changer de travail, lequel choisir ? C’est à cette question qu’a répondu le très britannique Professeur Andrew Oswald, dans un article publié par le Sunday Times en janvier 2003. Andrew Oswald est un de ces socio-économistes dont je vous ai parlé hier, et qui étudient le bien-être des individus. Il affirme que grâce à ses analyses statistiques, on sait à peu près quels sont les conditions de travail les plus satisfaisantes. Evidemment, ses conseils s’adressent aux sujets de sa Majesté la Reine, mais ils ont de quoi faire réfléchir même les mangeurs de grenouille.
Première observation : les salariés les plus heureux sont ceux qui travaillent dans les institutions à but non lucratif et les associations caritatives. Andrew Oswald conseille aussi à ses compatriotes qui choisiraient le service public de quitter l’Angleterre car la fonction publique britannique est une région sinistrée depuis les années 90. Il conseille aussi de devenir son propre patron. Les statistiques montrent que les travailleurs indépendants sont plus heureux que les autres. Leur revenu compte moins que leur indépendance. Deuxième observation : la satisfaction au travail dépend beaucoup de la personnalité de l’individu. Il semble que les femmes sont plus satisfaites par leur travail que les hommes et cette constatation a apparemment provoqué de longues discussions parmi les sociologues qui l’ont faite, d’autant plus que les femmes sont moins payées et montent moins facilement dans la hiérarchie que les hommes. L’âge, évidemment, est un facteur déterminant. La courbe de satisfaction enfonction de l’âge est ce qu’on appelle une courbe en U. En début de carrière, les salariés sont très satisfaits, puis la satisfaction baisse avec l’âge et puis, après 35 ans, ça remonte. Est-ce parce qu’on devient réaliste en vieillissant ? Est-ce parce qu’on finit par accepter ses propres limites ? Mystère. La troisième observation concerne l’organisation du travail dans l’entreprise. Les salariés de petites structures sont plus satisfaits que ceux des grosses. Intuitivement, on était prêt à le jurer, mais là, c’est démontré. Un autre élément important est la manière dont le rythme du travail est fixé. Quand le patron impose tout, les salariés ne sont pas très contents. Quand l’organisation du travail est collégiale, la satisfaction est grande. C’est plus important que le salaire et les salariés travaillent plus ! Les patrons français devraient en prendre de la graine : s’ils veulent limiter les revendications salariales, qu’ils s’efforcent donc de rendre leurs salariés heureux. Quatrième observation : le salaire compte, évidemment. Mais ce n’est pas tant le salaire absolu qui compte que le salaire relatif. Apparemment, tout salarié évalue inconsciemment son travail et s’attribue un salaire idéal. Quand il atteint ce niveau de salaire, il est satisfait. Cinquième observation : il n’est pas gratifiant de travailler en dessous de son niveau de qualification et il semble que cela soit souvent le cas en Angleterre. Si c’est la même chose en France, on peut se demander s’il est vraiment intéressant d’accumuler les diplômes... (et je sais qu’en entendant cela des parents furieux vont m’appeler pour me dire que non content de pousser leurs enfants à fumer du cannabis, je les incite à abandonner leurs études...). Enfin, Andrew Oswald constate que les salariés britanniques qui travaillent à Londres sont moins heureux que ceux qui travaillent loin de la capitale. Et il résume ses conseils ainsi : si vous voulez être heureux au boulot, devenez travailleur indépendant, entrez dans un organisme à but non lucratif ou, à défaut trouvez un boulot où le patron n’est pas un tyran ; vieillissez un peu ; ne cherchez pas à vous surspécialiser ; évitez la capitale et soyez une femme. Réflexion faite, en dehors du sexe, je connais un type dont c’est exactement le profil...

« If You Want an Enjoyable Job, What Should You Do? »
Andrew Oswald, Professor of Economics, Warwick University
The Sunday Times, January 2003
Citation :
Il y a cinquante ou soixante ans, l’espérance de vie ne dépassait pas le demi-siècle. Aujourd’hui, on vit plus longtemps.
Heu il est sérieux quant il dit ça le monsieur ?
Sinon pour être heureux dans son boulot, y a pas de secret . Faut faire quelque chose en adéquation avec son caractère . Si on est du genre casanier un emploi de bureau par exemple. Si on on aime les responsabilité alors il faut viser un poste de responsable un poste de responsable, chef de service ou autre .
J'ai cependant conscience qu'il est facile de dire cela mais que dans la vie il est nettement plus dur de trouver un boulot qui plaise .
Citation :
Provient du message de rgi
J'ai cependant conscience qu'il est facile de dire cela mais que dans la vie il est nettement plus dur de trouver un boulot qui plaise .
bingo.
Mais j'ai la chance d'être
a/ Travailleur indépendant
b/ Loin de la capitale mais proche d'un grand centre urbain
c/ d'une nature suffisamment jovial pour ne pas à avoir à attendre la proximité de la quarantaine pour apprécié la vie

Et ben malgré tout ça je me fait encore du mauvais sang car les affaires sont pas folichonnes en ce moment .
32 ans, à Paris, docteur en sciences, au chômage après un passage dans une entreprise leader mondiale et américaine. youpi.

Comme par hasard et avant l'écoute de sa chronique j'étais déjà en recherche d'un job d'ingénieur de recherche (plutôt que chargé de recherche), dans une agence ou un institut public ou dans une association, en tout cas au service du public, et plutôt en province ... Chuis sur la bonne voie .

C'est un article qui je pense peut être intéressant pour les jeunes, lycéens ou étudiants.
1) Il faut faire un boulot qu'on aime (pour cela pas 36 solutions faut étudier)
2) Il faut aller dans un lieu qu'on apprécie (faut avoir les moyens au départ)
3) Il faut avoir des collègues et un patron sympa (ce qui possible mais rare)
Bref il faut faire un boulot qu'on aime, avoir des bons collègues : il faut de la chance
Ben ... rien ne t'es jamais dû pour le commun des mortels, ni pour ce que tu es ni pour ce que tu as fait. Personne t'attendra jamais comme le messie ni pour ce que tu es ni pour ce que tu as fait. L'argent ne fait pas le bonheur, les années d'études ne font pas le bonheur, au travail ou autre part. Globalement, sans être d'accord avec le fait de faire un liste de 3 points importants comme l'a fait Gordan, je dirais qu'il faut être en accord avec soi-même. Si tu fais un boulot que tu n'aimes pas c'est que t'es menti à toi même à un moment, soit sur ta motivation soit sur ta capacité à t'adapter, soit tu as cédé au désir de tes parents (qui cependant ne sont pas tous de mauvais conseil, ni que de mauvais conseil) plutôt que de t'écouter. Si t'aime le désert et que tu veux faire bûcheron c'est sûr qu'il va y avoir un pb ... Pour dire que si le lieu où l'on travail et où l'on vit est important, c'est une donnée du pb à intégrer dans la définition de son boulot. Et enfin, à partir du moment où l'on a été honnête avec soit même, il y a sans doute un chance non-négligeable pour que les collègues ne soient pas si différents de soi, et donc que l'ambiance soit plutôt bonne ...

Le pb, c'est que pour arriver à cette analyse, pour faire les choix, il faut peut être, sans doute, avoir du recul, donc prendre un peu de bouteille et faire différente expérience. Ce qui doit être la réponse au mystère de la courbe en U soulevé par Martin Winkler.
Mon bonheur ? Mon rêve ?

Ne pas travailler serait pour moi, une grande probabilité de connaitre le bonheur. Seulement notre société actuelle, mais aussi si la personne qui vit avec nous, n'a pas la même vision (c'est à dire ne pas avoir envie de travailler) les choses se compliquent sérieusement.

Je pense avoir trouver le juste milieu entre ne pas vouloir travailler et vivre en couple, le mi-temps un pur hasard il faut bien le dire, mais qui finalement me laisse du temps pour moi et mes envies.

Seulement financièrement la situation n'est plus la même, ca ne me dérange pas personnellement de vivre chichement mais c'est tout à fait supportable.

Pour en revenir au sujet pourquoi être heureux au travail, l'intérêt ?

Faire un métier que l'on aime et qui nous passionne non merci sans moi, ma vie se fait autrement qu'à travers un travail. Je conçois parfaitement par contre que pour certains il soit nécessaire et vitale, mais franchement si ma mémoire est bonne il semble me souvenir que travail, vient en partie du mot latin trepallum qui veux dire instrument de torture, alors ...

En plus je dirais que le travail a pris une telle ampleur dans notre société que lorsqu'on vous présente quelqu'un ou lorsque vous êtes présenté à quelqu'un en dehors du travail, on vous demande quasi systématiquement ce que vous faites, et si vous ne rentrez pas dans les codes habituelles du travail, on vous regarde comme une curiosité, et si au chômage un peu comme une bête noire ou l'affliction de ne pas avoir un travail est une catastrophe.

Alors mon travail ne me plait pas, mais il ne me gave pas enfin pas pour le moment encore. Et je fais semblant d'être investi, mais ce ne sont que des apparences. Les préjugés ont la vie dure, surtout dans un environnement ou le meilleur doit s'extraire pour survivre, pour reprendre un cliché bien entendu.

Conclusion ? Bienheureux sont les simples d'esprit ! C'est dur de se poser des questions sur le pourquoi du comment etc etc ...
Le sujet n'est pas "Pourquoi" mais "Comment".
Citation :
Faire un métier que l'on aime et qui nous passionne non merci sans moi
J'ai peur que cette phrase manque de sens ... Tu préférais faire un métier que tu n'aimes pas et qui t'emmerdes ?
Citation :
Alors mon travail ne me plait pas [...] finalement me laisse du temps pour moi et mes envies.
Donc il te plaît bien finalement ce travail, mais pour des raisons différentes que celles habituellement recherchées. Ton point de vue est défendable et aussi respectable que celui du bourreau de travail. Perso, je supporte mal de faire un truc qui m'emmerde.

Je suis d'accord avec toi quand à la définition des individus par leur activité professionnelle. Il y a un moment maintenant, j'avais eu un vieux pote au tél, je lui raconte ce que je fais du roller, du MMORPG, ce que j'écoute ce que j'ai lu ce que j'ai vu. Il me répond qu'il gagne tant, qu'il est dans un centre de profit etc. J'l'y ai pas retéléphoné.
Citation :
Bienheureux sont les simples d'esprit ! C'est dur de se poser des questions sur le pourquoi du comment etc etc ...
oui
Un travail sympa : braqueur de banques.

J'explique :
- travail libéral.
- on peut choisir des banques à la campagne, c'est pas interdit.
- on est généralement content de son salaire.
- On peut se trouver des collègues sympas (cf. Dobermann) ou bosser seul.
- On évite souvent la partie basse de la courbe en U... bah oui c'est un métier avec une moyenne d'âge plutôt basse



:bouffon:

Sinon, ouaip c'est plein d'évidences ce texte... je préfère gagner 2000 balles de moins chaque mois et être en compagnie de gens sympas, avoir un pouvoir de décision sur ce que je fais, etc...
__________________
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Citation :
Provient du message de Mobidique
J'ai peur que cette phrase manque de sens ... Tu préférais faire un métier que tu n'aimes pas et qui t'emmerdes ?
Réponse : Oui. J'ai vu un ami pour qui le travail, est tellement intense chez lui, passionnant que ca lui en a bouffé la santé, ah çà il gagne bien sa vie, ah çà il fait un travail passionnant, ah çà il fait ce qui lui plait, mais il a eu en contrepartie de sacrés soucis médicaux, et une sacrée anxiété liée aux responsabilités.

Conclusion oui je préfère encore faire un travail qui ne m'apporte rien intellectuellement ou physiquement d'ailleurs, qui ne me plaît pas et ne me passionne pas ce qui est le cas actuellement, mais en contrepartie je rentre tôt chez moi, je profite de ma vie, je vois autre chose que l'accomplissement de la personne par le travail, ma relation de couple est préservée entre le travail nécessaire pour les tracas quotidiens et mon besoin de me sentir libre.

Elle ne manque donc pas de sens, dans la mesure où quand je rentre chez moi, c'est la totale satisfaction que le travail est terminé pour la journée et que je suis en pleine forme. Je n'aime pas le travail, ce n'est pas pour cette raison non plus que je le hais, bien que je devrais peut être.

Mais oui peut être qu'il me plaît dans la mesure ou il me permet de m'exprimer autrement qu'à travers lui. Et donc je réponds bien comment être heureux(se) avec son travail. Pour moi peu travailler en privilégiant la qualité de sa vie au quotidien, et là ou je doute c'est surtout qu'il soit nécessaire de faire un travail passionnant.

Je trouve d'ailleurs contradictoire de dire que le travail peut être une passion, d'ailleurs ceux qui vivent de leur passion ne disent pas qu'ils travaillent. J'aimerais en faire de même, mais la fainéantise qui m'habite et ma rébellion contre le système établi me révulse à vouloir le faire ou même peut être n'en ai-je pas les capacités, la force, l'envie etc, et me laisse aller à cette position du minimum pour vivre en harmonie (cf Et vive l'aspidistra d'Orwell).

Peut être que maintenant nous sommes enfin de prendre conscience que le travail n'est pas tout dans une vie, enfin je doute mais bon l'avenir nous le dira peut être ...
Citation :
Provient du message de Irfaela Leane
Mais oui peut être qu'il me plaît dans la mesure ou il me permet de m'exprimer autrement qu'à travers lui. Et donc je réponds bien comment être heureux(se) avec son travail. Pour moi peu travailler en privilégiant la qualité de sa vie au quotidien, et là ou je doute c'est surtout qu'il soit nécessaire de faire un travail passionnant.
Mais pourquoi ne pas s'épanouir à la fois pendant et avant/après le travail ?

Je pense qu'un travail où on se fait chier nous mine à la longue et qu'un boulot agréable aide à nous garder de bonne humeur.
Tu parles aussi plus bas de ta rébellion contre le système établi. Mais cette jobine que tu as, n'est-ce pas exactement ta contribution aveugle à faire tourner le rouage du système ? Tant qu'à réellement travailler, pourquoi ne pas faire un travali qui sortirait de la norme ? Travailler pour une organisation humanitaire, de développement international... Ah, c'est vrai, tu es fénéant.

Citation :
Je trouve d'ailleurs contradictoire de dire que le travail peut être une passion, d'ailleurs ceux qui vivent de leur passion ne disent pas qu'ils travaillent. J'aimerais en faire de même, mais la fainéantise qui m'habite et ma rébellion contre le système établi me révulse à vouloir le faire ou même peut être n'en ai-je pas les capacités, la force, l'envie etc, et me laisse aller à cette position du minimum pour vivre en harmonie (cf Et vive l'aspidistra d'Orwell).
Le travail peut effectivement être une passion. Je n'ai pas de grande expérience professionnelle (je lis/écris à l'occasion et suis payé pour...), mais les gens autour de moi (père/mère) adorent leur travail. La mère est linguiste et quand elle me parle de sa thèse et de ses recherches en récit traumatique, elle va jusqu'à parler de masturbation intellectuelle... Le père, consultant SAP, apprécie son travail au point qu'il l'a rentré dans la catégorie des loisirs. Il a un peu honte de raconter que, quand il arrive dans une usine, le patron n'est plus personne et que c'est lui le roi.

Bref, le travail en s'amusant, pourquoi pas ? Il suffit je pense d'avoir une bonne base culturelle pour découvrir ses goûts (sc. pures, humaines,... ?) et l'argent pour faire des études dans le domaine de son choix.
...ne pas bosser pour une boîte qu'on ne respecte pas pour ses méthodes et qui n'a pas idée de vous traiter en individu...

Qu'on ne vous traite pas comme du bétail
Qu'on se permette de songer que vous avez une personnalité propre et unique
Qu'on vous donne un contrat régulier et légal
Qu'on vous respecte un minimum - qu'on vous traite en égal
Que les petits chefs ne soient pas des petits kapos
Qu'on n'use pas de techniques de manipulation pour diviser le personnel et/ou faire avaler des choses insurmontables (Xeen ; le magazine sort dans 36h, que les pigiste t'aient rendu ou pas leurs articles, tu te débrouille l'imprimeur n'attends pas - Xeen pigiste dans l'urgence à ses heures )
Que les gens qui travaillent avec vous ne soient pas uniquement attirés par l'appât du gain et/où leur ambition dévorante
Que les gens qui travaillent avec vous ne fassent pas des concours de b*** a longueur de journée (oh ouais moi j'ai une carte graphique qui tue.. et toi ? t'es une fille c'est normal...)

Accessoirement quand ce seuil minima est respecté...
faire un chouette métier
travailler peu mais efficacement
aimer ce qu'on fait
trouver de nouveaux amis
être serein (umh.. politiquement parlant, ne pas travailler pour Total par exemple )
Citation :
Provient du message de Fingo SARCASME
Mais pourquoi ne pas s'épanouir à la fois pendant et avant/après le travail ?
Avant après oui, pendant non parce que jusqu'à preuve du contraire le travail est une rétribution en contre partie d'une activité professionnelle. Et c'est marrant mais sans la rétribution je suis certain que beaucoup ne travailleraient pas enfin je me fais peut être des idées ...

Citation :
Tu parles aussi plus bas de ta rébellion contre le système établi. Mais cette jobine que tu as, n'est-ce pas exactement ta contribution aveugle à faire tourner le rouage du système ? Tant qu'à réellement travailler, pourquoi ne pas faire un travali qui sortirait de la norme ? Travailler pour une organisation humanitaire, de développement international... Ah, c'est vrai, tu es fénéant.
Ca rejoint le point développé plus haut, "rétribution". Travailler pour une association humanitaire, ou faire le ménage chez Mac Donald où se situe la différence ? C'est amusant mais j'ai l'intime conviction que travailler dans une organisation humanitaire en étant payer ne ferait pas de mon travail un travail plus noble, peut être que je m'égare là ... Et j'ai bien expliqué que ma rébellion contre le système, ne peut malheureusement être compatible avec la personne qui partage ma vie d'où la référence au livre d'Orwell.

Conclusion je doute fort que faire un travail hors normes ou différent fait de celui-ci un travail passionnant et je l'ai déjà dit ceux qui font un travail passionnant ne le considère plus comme un travail.

Citation :
Bref, le travail en s'amusant, pourquoi pas ? Il suffit je pense d'avoir une bonne base culturelle pour découvrir ses goûts (sc. pures, humaines,... ?) et l'argent pour faire des études dans le domaine de son choix.
J'ai peur de mal comprendre, j'espère que ce n'est pas sérieux là ? Hein dis-moi ? Parce qu'il ne suffit pas malheureusement de faire ce qu'il nous plaît, d'avoir les connaissances dans ce domaine pour :
- un faire un travail qui nous plaît,
- deux on ne trouvera pas forcément le travail.
Ce n'est pas un phénomène de cause à effet.

Comme je l'ai déjà dit aussi, si les autres s'épanouissent dans leur travail tant mieux, mais j'aimerais aussi que les autres nous reconnaissent autrement que par le travail que nous exerçons.
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