Débarquement en Gilneas

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doucement les ombres commençaient à s'allonger dans les plaines maintenant désertiques de Gilneas au fur et à mesure que le soleil descendait vers l'ouest.
dans le cimetière où de nombreuse avait été ouverte et souillé par la magie démoniaques des nécromanciens. on entendait un bruit de mastications et d'os craquer.
en y regardant mieux on peut remarquer dans la pénombre d'un sépulcres, un goule voûté sur un corps à moitié ronger par les vers entrain de se repaire allégrement sur cette aubaine.
Soudain, la créature morbide arrêta de se nourrir du reste du cadavre et jeta des coups d'oeil dans toutes les directions, sentant un danger.
Après quelques secondes passé dans cette posture de guet, le goule s'écroula, une lame de dague en travers de la gorge.
un homme grand, au teint pâle et au vêtements sales retira sa lame de la gorge de la créature moribonde trainant à ses pieds et prit une pelle après avoir ranger la courte épée dans son fourreau.
il chercha des yeux une tombe qui n'avait pas encore été souillée et se dirigea vers elle. Rapidement il commençât à creuser.
Peu de temps après qu'il ai commencé la pluie commença à s'abattre en même temps que des éclairs zébrèrent le ciel.
L'homme jura fortement et sortit rapidement du trou qui commençait déjà à se refermer sur lui même, il prit son livre couvert de rune sentant la mort à plusieurs mètres à la ronde et fonça dans les bois.


à des kilomètres de là, sur Le continent Kalimdor, des préparatifs spéciaux battent leur plein, une flotte d'assez bonne taille est bientôt prête à partir dans l'ancien continent de Lorderon pour tenter d'établir une tête de pont

à Lire avant de poster
Lia, intrigué par le mouvement des préparatifs alla se renseigner au près d'un homme portant d'une longue barbe touffue chargent une lourde caisse à bord d'un voiler, il se renseigna sur le but de la manoeuvre. Après une brève discutions, Juliian apprit que les contrées lointaines avaient été saccagées par une armée mort vivante.

Lia : Brrr, les morts-vivants me font froid dans le dos, je n'en ai jamais vu dans les parages
L'homme d'équipage : Ca pour sûr, et on s'ra pas assez, 'paraît qu'il y a une sacré flopée de ces bestioles..
Lia : Et, on sait pourquoi ils ont attaqués ces pauvres gens, ces morts-vivants ?
L'homme d'équipage : Ce genre de bestioles s'préoccupent pas d'savoir pourquoi elles tuent, elle cherchent à voler les âmes.
Lia : Y aurait il par hasard une récompense, ou une ptite aide aux personnes qui s'engagerènt avec les matelots ?
L'homme d'équipage : 'parait que ça peu se trouver..

Lia mit fin à la conversation par un bref signe de la tête et se dirigeât vers la place du village, là, toutes les conversations étaient portées sur la légion ardente, les femmes étaient térrorisées, les enfants intrigués, et les hommes dans une position délicate, si ils allaient se battre, qui nourrirait leur famille ?

Loin de là on voyait la garnison retranchée dans la ville embarquer fièrement à bord d'un des bâtiments flottants, destiné à éradiquer la menace de la légion ardente..

Lia : De toute façon je n'ai aucune famille, autant que ma vie serve à quelque chose, ça nous retombera dessus de toute façon.

L'elfe se dirigea à vive allure jusqu'à un bateau prêt à lever l'ancre, un des marin l'interrogea sur le but de sa venue le félicita une fois la décision de Lia racontée. Il embarquerait avec les centaines d'autres soldats, et combattrait ces âmes en peine avides de morts.


(En espérant ne pas déroger aux règles établies et ne pas m'être totalement planté dans le contexte..)
Toutes personnes rentrant dans l'auberge peut remarquer qu'une personne est assise seul au fond de la salle.
Une maigre pitance qui a eu le temps de refroidir depuis le temps ou elle fut servir, un gobelet et un pichet de vignasse se trouve sur la table.
La silhouette reste quasiment immobile, elle semble fixé derrière ses lunettes et sous son chapeau la porte d'entrée de l'auberge.
De nombreux clients sont heureux de ne pas être la personne que cette silhouette attends au vu des quelques armes apparentes.

Elle montre un signe de vie quand une personne viens afficher l'avis de formation d'une équipe en direction des terres de Lorderon.
Elle se lève et se dirige vers le port.
Alleria est sur un trois destroyer elfe, datant datant de l'époque de Terenas, lors de la guerre des tides of darkness. L'équipage du vaisseau en est exclusivement composé de Hauts Elfes, mais de nombreux passagers d'autres races, nain et humains, ont été pris à bord pour la traversé. Deux autres destroyer naviguent à tribord, filant eux aussi vers Gilneas.
Elle s'appuie contre une rambarde, à l'écart du monde. L'eau est très calme, lui permettant se voir dedans. Elle est très grande et mince, les cheveux blonds comme les blés, et les yeux d'un vert profond. Ses oreilles sont incroyablement longues, mesurant une vingtaine de centimètres. Le peu de vêtements qu'elle porte n'est fait que pour masquer les marques de sa féminité, et encore, celles-ci étant peu couvertes. Elle porte également un cape avec un capuchon, mais sans ornements. Tous ses vêtements sont de couleur verte, un peu plus sombre que ses yeux.
Elle a quitté sa forêt pour rejoindre Kalimdor. Elle devait la défendre contre les orcs, mais lorsque les morts-vivants l'envahirent, et que même les arbres commencèrent à la trahir, elle sut qu'elle devait partir.
D'après le capitaine du vaisseau, il restait deux jours avant l'arrivé en Gilneas. Des petites vagues se commencèrent à se former à la surface de l'eau à la surface. La mer qui était aussi plate qu'un lac commençait à se brouiller. Le vent se levait. Des marins monter sur les mâts, pour détacher les cordes des voiles. Une tempête allait arriver. Elle rentre dans ses cartiers. Le capitaine ayant connu sa mère, il lui avait fait une faveur, et elle dort dans une cabine seule. Sa cabine ne compose qu'un d'un lit, une table, une chaise, le tout dans un espace assez réduit.
Prenant l'unique objet de la pièce, un sac en toile, elle l'ouvre. Elle en sort un gros volume qu'elle pose sur la table, ainsi qu'une pomme. Elle ouvre le volume et commence à manger. Le bateau se mes à tanguer de plus en plus fort. Elle n'arrive plus à lire, et décide donc de poser son livre. Soudain, elle entend trois coups frappés à sa porte. Elle l'ouvre, et découvre un elfe, portant en bandouillère une harpe.
Nova était un Haut-elfe de bonne famille. Il avait acquis depuis son départ de sa cité natale une certaine virtuosité à l'arc long et un grand talent à la harpe, bien utile pour passer le temps.

Au grand désarroi de ses parents et de sa famille, il ne s'intéressa que très peu aux immenses richesses de la lecture. Il privilegia donc l'aspect technique des choses durant son apprentissage, comme l'art du combat et la furtivité.

Nova était jeune un elfe très élancé. Son visage fin contrastait avec la largeur de ses bras, habitués aux travaux durs et aux combats. Il adorait rester discret mais savait se montrer quand besoin il y avait. Le combat était sa vie. Il était né pour combattre et mourrait pour combattre. C'est pourquoi il était parti à bord de ces navires de guerre pour aller à Lorderon.

Ses cheveux argentés et ses yeux bleus étaient mis en valeur par ces habits verts, recouverts par une cape pourpre. Son arc bandé était fixé à son dos, son carquois caché par son ample cape, sa harpe en bandouillère et ses deux épées enfoncées dans leur fourreau de part et d'autre de sa ceinture.

Le voyage l'ennuyait déjà. C'est pourquoi il décida d'aller rendre visite à Alleria, une amie, de compagnie très agréable. Après avoir frappé 3 coups à la porte de la cabine de celle-ci, il entra et lui proposa en elfique:


- Bonjour dame Alleria. Il fit une courbette. J'espère que je ne vous dérange pas. J'espérais pouvoir vous divertir avec ma harpe, ma chère et fidèle compagne depuis de longues années. Il lui sourit alors et attendit sa réponse.
__________________
Quel est le pire des ennemis qui nous attende avec l'âge ?
Qu'est ce qui imprime la Rîde plus profondément au front ?
Voir chaque personne aimée effacée de la page de la vie,
Et être seul sur Terre comme je le suis maintenant.
Tusk zahar
Le vent marin fouettait agréablement le visage de Tusk, d'un revers de la main, le jeune homme de carrure imposante balaya ses meches noires que le vent envoyait dans ses yeux bleus. Il était au port de l'imposante citadelle de Theramore, symbole de la resistance de l'alliance.

Tusk jeta alors un regard vers le bateau sur lequel il devait embarquer; un navire elfe modeste, mais disposant dune bonne vitesse et du armement suffisant, pensait-il. Dans le port, beaucoup de personnes faisaient leurs préparatifs avant leur départ.

Lordaeron... Ce mot raisonnait dans la tête de tusk. Lordaeron, la terre de ses ancêtres, la terre que lui et sa famille avait dû fuir il y a longtemps.

Le jeune homme avait décidé de joindre l'expedition dans le seul but de se prouver qu'il n'était pas un bon à rien. Toute sa vie il avait cherché a faire quelquechose d'utile pour l'humanité, l'alliance. Maintenant qu'il en avait l'opportunité, il n'allait pas la laisser filer et sonjait dèja auc combats. Il en frémissait. Des son plus jeune âge, apres son long exil il avait été entrainé aux armes et avait appris à lire avec un vieu mage qui l'avait pris sous son aile. Ce dernier était mort il y a quelque années lors d'un raid de morts vivants.

Tusk maniait la hache à merveille, il avait herité la sienne de son père et l'avait surnommé Gimdül, en honneur au mage a qui il devait beaucoup de choses.
Bientôt les navires allaient partir. tusk se hâta et embarqua a bord du "Griffon argenté".
En sortant de la taverne, la silhouette arrache l'annonce de la porte.
Elle avance d'un pas sur et rapide vers le port et se présente à la capitainerie.
Au bout d'un moment d'attente et après avoir mis mal à l'aise certaines personnes, elle parviens enfin au poste.


- J'embarque sur le prochain navire.

elle jette une bourse sur la table.

- Je veux une cabine, que je ne partage pas. Indiquez moi le bateau qui mouille ici et qui pars le plus rapidement.

Après avoir reçu les indications nécessaires, l'ombre pars en direction du fier navire titanoche, un voilier nain.
Lia, après avoir reçu les instructions du marin, embarque sur le voilier, son arc comme seule bagage, ainsi que quelques flèches taillées rapidement avant le départ. Aucune cabine ne lui avait été attribuée, L'elfe ne devait même pas faire parti du voyage.

sans le moindre sous en poche elle se résolut à confectionner un lit de fortune près des couloirs menant aux cabines, installant un sac de provision en guise d'oreiller, sa simple veste de toile comme couvertures.


J'espere que moins que cette histoire me rapportera de quoi vivre, et que je ne viens pas dormir ici comm un misérable pour une simple reconnaissance, grmulb.

Le crépuscule pointa le bout de son nez, le jour fit place à la pénombre. Le bateau s'illumina de lumières et de torches.
Glorinfeld tenait fermement la corde en chanvre, il la sentait même au travers de ses gant sd'archerie alors qu'elle glissait légèrement. Il la tenait de cette manière pour ne pas passer par dessus bord pendant la tempête. Une vague frappa la coque de son coté, il tourna la tête pour ne pas etre éclabousser, mais sentit l'eau froide traverser son grand manteau tout de même.

Les lumières des lampes accrocher un peu partout vacillait comme entrainée dans une dance incessante, des nappe de lumière était projeter un peu partout de manière fugace. Un marin cria et lancant une corde que l'elfe de Quel'thalas attrappa de la main gauche, sa main naturelle. Il se pencha par dessus bord et tendit le bras avant d'enrouler la corde autour d'une barre de fer et de la coincé. En bas l'eau semblait d'un noir d'encre, il savait que ce n'était pas vrai mais les chance de survie s'il tombait était si mince qu'il eu quand même un frisson.

Il jeta quelques regard autour de lui pourm voir ce qu'il pouvait encore faire, puis tenta de s'essuyer le visage avec son gant, mais ce dernier était trempé. Il pivota et sans laché la corde il se dirigea vers les cabines, il du s'arrêté un instant lorsque le roulis du bateau se fit plus fort, le vieu croiseur sembla trembler sur toute sa structure, mais tint bon. Empoygnant la poignée des cabones, il ouvrit et lacha la corde juste avant de refermer la porte derrière lui.

Enfin au sec, il plia et déplia quelques fois sa main droite crispé par l'étranglement de la corde avant de soupirer et de se diriger vers une cabine qu'il partageais avec un membre d'équipage, un elfe également.

Glorinfeld soupira en si dirigeant, il avait accepté la mission pour sa ressemblance avec un scuicide apparent. Depuis que sa femme était morte quand le batard d'Arthas avait conduit les morts-vivants en Quel'Thalas et que cette dernière avait péri en aidant la grande ranger elfique a protéger les portes du royaumes. Il revenait mourir chez lui près de la tombe de sa femme avec autant de cadavre que possible autour de lui...

Le rôdeur encapuchonné marcha en silence puis disparu dans sa cabone, encore 2 jours...
Message roleplay
Les navires étaient toujours en cours de chargement et beaucoup d'hommes de toutes races s'affairaient à embarquer leurs équipements. Les gens se bousculaient et les rares endroits calmes restaient les tavernes et auberges des environs.

Dans une de ces tavernes, un Nain à l'air jovial prenait sa dose quotidienne de courage par l'intermédiaire d'une bonne bière glacée. Entre deux gorgées, il lance à l'intention de la salle :


"Si vous les aviez vu, ces fichu Démons ! Ha ! On leur a mis une de ces raclées, ils vont s'en souvenir ! Moi et quelques amis, on participait à la défense des bases Humaines et Orques. J'vous raconte pas le nombres de coups de marteau que j'ai pu donner ce jour là ! Une véritable distribution !"

Il coupa son récit un instant pour vider un peu plus sa chope. Il parcoura la salle du regard, histoire de constater l'étendu de son auditoire avec de reprendre :

"'faut dire, il y avait pas mal d'agitation. J'ai bien failli y passer plusieurs fois, mais je m'en suis toujours sorti ! Jamais fait un pas de travers ! D'où mon surnom "Talnyr de Bon Pied", et j'ai toujours un bon oeil !"

Il éclata d'un grand rire, renversant le fond de sa chope sur sa barbe brune.

"Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai un bateau à prendre moi !" dit-il en se levant dans un cliquetis du à sa cotte de maille.

Il voulu terminer sa bière, mais, constatant que cette dernière était vide, il ajouta :


"Patron ! Celle-là est torchée, j'prend la bouteille !"

Son marteau de guerre dans une main, un gros sac sur le dos et la bouteille de bière dans l'autre main, il sorti de la taverne après avoir payé sa consommation et se dirigea vers le navire Nain destiner à l'amener à bon port.
- Bonjour dame Alleria. Il fit une courbette. J'espère que je ne vous dérange pas. J'espérais pouvoir vous divertir avec ma harpe, ma chère et fidèle compagne depuis de longues années. Il lui sourit alors et attendit sa réponse.
-Il y a bien longtemps que tu ne m'avais plus parlée comme ça. Aurais tu quelque chose à me demander par hasard? Elle sourit en disant cela. Je ne pensais pas te voir sur ce bateau... Par ailleurs, c'est aussi pour cela que je suis montée. J'éspérais tout laisser derrière moi. Mais tu es là, et finalement, ça ne seras pas si mal. Entre un petit moment, nous pourrons discuté un peu plus à l'aise.
Ils entrent, et Alleria s'assoit sur le lit
-Pourquoi et tu sur ce bateau? Oh, pardon, j'oublie quelque chose de bien élémentaire: souhaiterais tu t'asseoir?
Ils entrent, et Alleria s'assoit sur le lit

-Pourquoi et tu sur ce bateau? Oh, pardon, j'oublie quelque chose de bien élémentaire: souhaiterais tu t'asseoir?

-Oui volontiers. Je n'ai pas encore le pied marin et préfère donc me poser sur une base solide.Il lui sourit alors, avec un regard complice.

Bien. Alors tout d'abord, je voulais te rendre ton épée. Ce serait fortement dommage qu'une si belle arme reste rouiller dans un coin. Je pense que tu en as besoin. L'avenir nous promet de nombreux combats. Il te faut donc une bonne arme. Il détacha une des épées de sa ceinture et la tendit à Alleria.

Pour répondre à ta question, je suis sur ce bâteau afin de faire avancer la cause du Bien et expédier quelques morts-vivants en enfer. Mais je suppose que tu savais déjà que le combat était ma raison principale d'embarquer. Celà fait longtemps que nous nous connaissons.

Mais... Je me posais également une question. Que fais une personne de ton rang dans cette expédition ? Je devine bien que le combat de te motive pas réellement. Sais-tu quels dangers nous guettent ?Il la regarda alors d'un air inquiet. Pourquoi ce voyage ?
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Qu'est ce qui imprime la Rîde plus profondément au front ?
Voir chaque personne aimée effacée de la page de la vie,
Et être seul sur Terre comme je le suis maintenant.
-Mais... Je me posais également une question. Que fais une personne de ton rang dans cette expédition ? Je devine bien que le combat de te motive pas réellement. Sais-tu quels dangers nous guettent ?Il la regarda alors d'un air inquiet. Pourquoi ce voyage ?

-Tu sais bien que j'ai perdu le "rang" que j'étais censée avoir il y a bien longtemps, après la chute du portail noir... Seul quelques personnes comme toi me considèrent encore de rang. Et je préfère cela ainsi, je passe mieux inaperçue.

Et si je suis partie, c'est parce que je veux retrouver les forêts de Northshire. Après nos combats sur Drainor, j'y suis retournée. Pendant que Kadghar et ses amis faisaient mumuse, pour se "réjouir" d'avoir vaincu les orcs et fermé le portail, moi je défendais ses forêts encore vertes contre la horde. Et puis les morts vivants sont arrivés... J'ai du partir, même la forêt avaient rejoint leur camp. A présent, je souhaite abréger les souffrances de ma forêt en détruisant le mal qui ronge ses racines. Gilneas sera un bon point de départ.

Quand nous nous sommes vu sur Kalimdor, je n'en croyais pas mes yeux, que quelqu'un que je connaissait ai survécu et à Drainor, et au Fléau. Mais comme je devais partir, j'étais triste aussi. C'est pourquoi je ne te l'ait pas dit. Apparement, tu avais souhaité venir aussi, et qui plus ai, avec mon épée, que j'avais laissé dans le corps de Darthog Blaldar, un des généraux de Bleding Hollow.

Ce que je ne t'ai pas dit, c'est que depuis Drainor, j'ai abandonné mon arc et mes flèches. Je serais encore probablement m'en servir, mais j'ai préféré me tourner vers les mystères des arcanes. J'ai par ailleurs acquis un nouveau secret, d'un prêtre errant de kalimdor. Celui ci m'a appris que la flétrissure pouvait être détruite, sans pour autant détruire la terre autour. Bien entendu, la terre garderait à jamais des séquelles, mais elle finirait par redevenir florissante. Grâce à ce secret, j'espère pouvoir guérir mes arbres. C'est aussi à cause de ça que je reviens.

On m'a dit que des orcs viendraient... Que nous combattrions probablement ensemble... J'ai appris sur kalimdor à contrôler ma haine envers eux... Mais je garantie rien... Heureusement, comme tu es là, tu pourrais m'aider à me contrôler.

Et toi, que t'est il arrivé pendant tout ce temps?
Message roleplay
Alors que de nombreux navires qui semblaient etre des éclaireurs , chargent leur cargaison,troupes montent à bord , que les machines de guerres ai été poussées dans les cales, on pouvait appercevoir des femmes, des enfants et des soldats pleurant , une ombre sur un bâtiment du port observait les évènements .
Il descendit vite du toît pour chercher un indice pouvant lui indiquer se qui se passe, quel était donc cet étrange départ dont tout le monde semblait au averti ?
Ce fut une affiche près d'une auberge qui le lui apprit.
Elle la lu et vit écrit dans des lettres d'or dessus :


Toutes personnes pouvant aider à la libération de Lodaeron est bienvenue ! Si vous souhaitez rejoindre les centaines de volontaires déjà présentés, merci de vous inscrire sur un des bâteaux en destination de Lodaeran, Vous serez nourrit et logé pour seulement 30 pieces d'or !

Il baissa la tête, se rappelant qu'il avait juré d'aider à la libération de Lordaeron .
Hélas il hésitait à partir de peur de ne pas revenir de cet unique voyage, mais la pensée de tous ces hommes qui partaient lui donna du courage , et utilisant ses talents d'espion , il grimpa furtivement sur le bateau et se cacha dans la cale.
Peut-être allait-il y rester jusqu'au débarquement
Cette ombre était l'humain Nostenfer
- Et toi, que t'est il arrivé pendant tout ce temps?

Nova, l'air songeur répondit :
- J'ai eu vent de tes faits sur notre continent. Pour ma part, je n'ai rien fait qui mérite de s'y attarder sinon qu'avec un groupe d'amis composé de Corellon, prêtre de la Nature, de Aerdrie, l'évocatrice, de mon frère et moi-même, nous avons combattu vaillamment le mal qui rongeait nos forêts. Mais le jour de l'assaut final de la Légion Ardente, tous les autres succombèrent. Je suis désolé de t'apprendre la mort de Corellon ainsi. Je sais que tu le connaissais. Il est mort avec les honneurs au champ de bataille. Puisse sa mémoire rester dans nos coeurs. Il s'arrêta un instant, pour observer le deuil et reprit.

Tu comprends donc que tous les gens que j'ai connu sont morts, emportés par la Légion. Tu restes une des seules personnes à être restée en vie. Je dois honorer les amis tombés au combat par mes futures actions, en luttant contre les créatures des enfers. Je vengerai leur mort.

Pardonne moi encore une fois de t'annoncer toutes ces pertes si tardivement et de cette façon.
Mon lien de sang avec Corellon m'encourage à lutter. Tu es la personne que je dois protéger. Je ne souhaite pas te perdre comme tous les autres.

Il mit alors un genou à terre, baissa les yeux au sol et dit :
- Mon épée, mon arc et ma vie sont à ton service.
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Quel est le pire des ennemis qui nous attende avec l'âge ?
Qu'est ce qui imprime la Rîde plus profondément au front ?
Voir chaque personne aimée effacée de la page de la vie,
Et être seul sur Terre comme je le suis maintenant.
Il mit alors un genou à terre, baissa les yeux au sol et dit :
- Mon épée, mon arc et ma vie sont à ton service.

Alleria marque un temps de pose. Elle ne s'est pas encore tout à fait remise de la nouvelle de la perte des deux dernières personnes qu'elle connaissait à part Nova.

Se reprenant, elle prit un sourire amusé, et regarda Nova

-Tsk tsk tsk, nous sommes en vie tout les deux, ne soit pas si grave. Et puis je ne peux accepter ton épée, ta vie et ton arc sans proposer les miens. Le temps ou tu servait sous mes ordres est révolu, rappelle t'en. Je te considère comme un ami, pas comme un vassal.

Elle s'agenouille à son tour, et met son épée sur son genoux, parallèlement au sol. Prenant un air grave elle dit:

-Ma magie, mon épée et ma vie sont à toi également.

Elle se relève, lui sourit.

-J'aurais besoin de rester un peu seul, veux tu bien m'accorder la nuit? Je vais demander au capitaine de te trouver un meilleur logement si tu veux.

Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle sort rapidement, en jetant quelques derniers mots:

-Et ne dérange pas mes affaires!

L'épée était tombée à terre lorsqu'elle s'était relevé. Le sac en toile repose au côté du lit. Nova est assis sur la chaise.
_Eh Nargriiim fit un des Généraux Nains ,Que fait tu as à flâner ta division patrouille au dessus du port vas donc les rejoindre!!

Ma division, les Ailes d'Or , nous représentons le fleuron de troupes des Aerie.Mais ... la Bataille du Grand Arbre , comme on l'appelait, a vu tomber nombre de mes frères.Olrim, Lahir, Fad et tant d'autres. Je m'en veux d'avoir survécu.. Et à quel pris ai-je survécu.

_Je ... j'ai perdu mon Griffon pendant la bataille. Satanée Légion.

Nodril, tel se nommait ma fidèle monture: de taille plus petite que la moyenne, ce Griffon s'imposer de loin au niveau de la vitesse et surtout de ses facultés d'anticipations , plumage neige, extrémité es dorées , regard de tonnerre. Contre nous les Wyrm ne faisaient pas les fières... Sauf une.

_Ton Griffon est mort en Brave dit alors le général baissant les yeux et se recueillant, Mais va donc derrière le hangar de stockage , des Griffons sans cavaliers ont été retrouvés. Ces Cavaliers sont morts en Héros.

Des Griffons .. sans .. sans Cavalier. Peut-être je ne sais pas , j'espère.

_eh mais !!! TALNYR VIEILLE CANAILLE VIENS PAR LA!!!
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L'arbre Monde était en vue. L'impatience gagnait les troupes fraichement entrainées, et la rage ceux qui subissaient encore les dernières épreuves. Elliana faisait partie de ceux là.
Lorsque enfin, son entrainement en temps que banshee fut finis, elle eut à peine le temps de fuire avant d'être anéantie par les troupes de l'alliance.

Ce n'était plus cette rage qu'elle ressentait maintenant mais une autre sensation la déception, la tristesse, la coleèe, ou peut etre la vengeance, oui c'est ca la vengeance. La vengeance contre ces races, qui ont empêcher les plans du Roi Liche et des démons.

La vengeance contre ces idiots d'Humain d'orc et d'Elfes qui n'avaient rien compris, et ca, ils allaient le payer!

La vengence, à ça elle et le groupe de rescapés qu'ils ont former ils auraient aimer l'avoir.
Mais les forces de l'alliance les ont décimer trop tôt. Ils ne furent plus que 10, puis 8, un groupe de sangliers en eu raison de 3, les montagne en tuerent 1 autre, et finalement l'alliance en tua 3. Seul Elliana réussit a en réchapper.

Seul, elle n'avait plus aucune chance de tenir. Jusqu'a ce qu'elle rencontre, une petite humaine, sûrement une sorcière de l'alliance au vue ses habits et pas qu'une petite si on en croit le blason... Elle leva les bras en chuchotant son plus puissant sort, lorsqu'une lumière bleu apparut, et Elliana disparue. Un sourire se dessina sur les lèvres de la sorcière.
Si stupide...
La cabine était petite, mais confortable et personne ne viendrait le déranger,surtout pas les marins. Son ample robe bleue outremer, son baton sur lequel il s'appuyait pesamment, son sac chargé de livres, tous voyaient en lui un mage puissant. S'ils savaient ... il y a trois jours Kaléria était marchand, il y a deux jours, prétresse ; hier, barde; aujourd'hui magicien, et demain ... . Qui pouvait savoir.

Elle retira sa longue robe et dénoua les bandes qui enserraient sa poitrine avec un soupir de soulagement. Depuis trois mois qu'elle avait quitté la riche demeure familiale, elle n'avait pas passé plus d'une semaine dans la même peau. Et tout cela pour échapper à son cher père qui voulait à toute force la "voir heureuse avec l'homme de sa vie".

Son visage se ferma en se remémorant le soir où elle avait appris qu'elle serait mariée à un riche propriétaire terrien voisin. Seule la main preste de sa vieille nounou l'avait empéchée de saisir un couteau et de le planter dans la main de ce porc adipeux, qui la reluquait comme s'il estimait sa valeur sur un marché à bestiaux.

Trois fois, elle avait tenté de fuir, deux fois, on l'avait reprise. Cette fois-ci, ça ne serait pas le cas, pas vivante en tout cas, elle avait appris à se servir d'un arme et ce n'était pas les séides de son père ou de son "bien-aimé" qui lui faisaient peur.

S'abaissant, elle sortit de son sac un petit livre qui avait surement vu de meilleurs jours. Elle l'ouvrit délicatement et commença à griffonner dedans alors que la nuit se refermait doucement sur le port.
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