C'est pas très compliqué : les choses étant ce qu'elles sont, si on désapprouve l'invasion de l'Ukraine, on écoute les Ukrainiens en premier.
Et ça peut s'appliquer à plein de domaines :
1) les armes. Quand les Ukrainiens disent qu'ils ont besoin de xyz, on ne leur répond pas "nan, mais c'est trop compliqué pour vous, vous ne saurez pas vous en servir".
2) le sport. Quand ils disent "voir des sportifs russes nous narguer depuis les podiums, ça la fout mal", on les écoute.
3) les visas aux touristes russes.
4) les sanctions sur l'économie russe.
5) le "dialogue" et les "garantie de sécurité" avec Poutine.
Cela n'empêche pas d'exercer ensuite son propre jugement. Mais on commence par écouter les premiers concernés, ceux qui ont aussi la meilleure connaissance de la Russie et des Russes.
|