[POGNAX] LGBT et identité de genre

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Citation :
Publié par Quint`
C'est quoi que tu as pas compris ?
Pour reprendre au cas où, homme trans = né femme, mais se considère comme homme. Donc devient un "homme qui peut avoir ses règles", parce que biologie de femme. (Ce qui n'est pas le cas systématiquement, il peut y avoir transition biologique, mais pas toujours, d'où ce cas particulier.)
Ya rien de plus à comprendre.


Je sais pas, c'est Quild qui a soulevé cette question. Mais globalement, l'idée, c'est qu'à partir du moment où c'est pas dans nos slips à nous, et que le souhait vient des personnes concernées, je vois pas trop ce que ça peut nous faire.
C'est un peu comme l'opposition au mariage homosexuel, alors que l'homosexualité est quelque chose qui a toujours existé et existera toujours indépendamment des idéoliges, et que son acceptation n'affecte que les personnes concernées, sans rien retirer aux autres.
Merci d'avoir éclairé ma lanterne, vu l'usage du terme réservé à un guide sur les règles je peux concevoir l'idée même si à titre personnel et s'agissant d'un guide à l'usage des jeunes femmes il m'apparait pas nécessaire d'utiliser ce terme vu que les transitions devraient être seulement autorisées à l'âge adulte de mon point de vue.

J'ai quand même demandé à ma femme comment elle trouvait l'emploi de ce terme et elle le trouve réducteur et m'a dit en substance "je ne me résume pas à mes règles"
Je ne comprends pas pourquoi dans tout ce qui se rapporte à la médecine les termes hommes et femmes ne désignent pas leur sexe de naissance. C'est pour moi une évidence, une simplicité qui devrait être norme et recherchée.
Ensuite en psychologie qu'effectivement on s'attache plus au genre pourquoi pas ...
Citation :
Publié par Quint`
Moi, ce qui me fait réagir, c'est de voir des hommes discuter entre eux du fait que c'est leur vision à eux qui comptent, au sujet des femmes. C'est juste ça qui est significatif.
Ce qui est significatif, c'est que toi, homme, peut parler au nom des femmes avec d'autres hommes, mais que si tu ne participes pas à la discussion, soudainement, plus aucun mec n'est légitime à en parler.

Citation :
Publié par Quint`
Et avant de te plaindre que je t'invisibilise, cf lignes "ya aucun souci, envoie", et "Ce qui, je précise etc."
Je ne m'en plains pas je l'observe. La dernière fois que je t'ai parlé de mon expérience personnelle, tu as répondu ça:

Citation :
Publié par Quint`
Ce n'est pas moins anecdotique que ma propre expérience, qui est exactement à l'opposé de la tienne.
[...]
C'est marrant comme une personne va considérer que celles avec lesquelles elle n'est pas d'accord sont fermées d'esprit, quelle que soit la discussion.
Donc, pour résumer, les hommes n'ont pas le droit de parler des problèmes des femmes entre eux, sauf si tu interviens pour y prêcher ton évangile, et quand une femme évoque son expérience personnelle qui contredit les expériences que tu rapportes des femmes féministes qui partagent ton dogme, c'est anecdotique et c'est de la fermeture d'esprit.

Bref, si on est un homme en désaccord avec toi sur les sujets liés au féminisme, on n'est pas légitime à parler, et si on est une femme en désaccord avec toi sur les mêmes sujets, on est fermé d'esprit.

En gros, il n'y a que toi qui saches, et tu passes plus de temps à invalider la légitimité de tes contradicteurs à avoir une opinion différente de la tienne qu'à défendre cette dernière.

Tu ne participes pas au débat, tu le pourris.
Citation :
Publié par Ex-voto
C'est exactement ce que je dis dans mon message. L'usage changera, on trouvera un autre mot.
Les usages ne changent pas sous l'influence de lobbies. Des rois ont essayé d'imposer des changements de langue et ils ont échoué malgré leur pouvoir physique. Si l'usage change, c'est que la société accepte majoritairement ce changement.
En attendant, c'est le pays d'où sont issus des termes tels que "menstruators" qui est en train d'interdire l'avortement sur une large partie de son territoire. Il n'y a pas forcément de liens de cause à effet, sauf que si toute l'énergie des miiltant-es est dépensé à changer le langage, doxer ou boxer les féministes historiques et exclure J.K Rowling de la sphère culturelle, il n'est pas impossible que :
- une partie du ventre-mou électoral ait peur de ces conneries et vote à droite.
- il n'y ait personne de disponible à gauche pour lutter contre la même droite, puisque les uns et les autres seraient trop occupé-es à s'attaquer et se défendre (ou se cacher) contre le dernier anathème inventé sur tik-tok par une excitée à cheveux bleus* (après les TERFs, il y aussi les "truscums" qui doivent être mis à mort par exemple).


* punaise de stéréotype, mais FATALEMENT, quand je suis tombé sur une vidéo d'une nana expliquant doctement que Rome, le latin et l'Empire romain n'ont jamais existé mais sont des inventions de l'inquisition espagnole pour imposer le patriarcat anti-sorcières, elle avait la coiffure qui va bien. Jusqu'à présent c'était plutôt les fachos russes à crâne rasé qui créaient ce genre de conneries (et quelques suprématistes noirs/blancs/indiens aussi), mais forcément fallait aussi que la mouvance woke-millenial découvre le monde merveilleux des complots millénaires.
Message supprimé par son auteur.
Message supprimé par son auteur.
Il y a quelques années je m'étais étonné du T de LGBT.

Pour moi, les L, G et B envoient le message => Je me fous du genre que j'ai, je peux être comme je veux.
Les T me paraissent + envoyer le message => Je suis comme ça, mon genre ne me reflète donc pas.

Je trouve que les premiers envoient un vrai message d'acceptation de soi et que les seconds envoient l'inverse.
On m'avait globalement répondu que c'était un rassemblement de minorités donc pif, paf, pouf, on s'en fout. Réponse qui vaut ce qu'elle vaut.


Je crois que les études montrent globalement que ceux qui passent par la réassignation sexuelle voient leur vie globalement améliorée. Se sentent mieux. Et c'est peut-être le + important.
Le fait de se sentir mieux après la réassignation est bien sûr lié à la façon dont on est traité par le monde extérieur. Dénigrer les Trans et venir ensuite dire "vous voyez bien qu'ils restent dépressifs" est un peu biaisé.
D’ailleurs après l'Angleterre, la Fédération Irlandaise de Rugby change sa politique concernant les transgenres : « Sur la base de preuves médicales et scientifiques, la catégorie féminine sera limitée à ceux dont le sexe a été enregistré comme féminin à la naissance »

https://amp.ouest-france.fr/sport/ru...9-c6323ddb2580

Heureusement qu’il n’a pas fallu des joueuses blessées grave pour arriver à cette décision.

Je me souviens du débat sur le sport ici même où on essayait de me prouver qu’avec un traitement hormonal adéquat il n’y avait plus d’avantage à un athlète devenu femme sur ses concurrentes si son niveau de testostérone était assez bas… oui c’est cela …
Qu'est ce qu'on gagnerait surtout à utiliser des termes distincts pour parler de genre et de sexe biologique...

Parce qu'à titre perso je reste de l'avis que tous les gens qui ont leurs règles (ou quasi tous, doit bien y avoir quelques cas extrêmement atypiques qui pourraient me contredire) sont biologiquement des femmes.
Après qu'elles soient cis ou transgenre, bon bah ça ça les regarde et chacun fait ce qu'il veut et ça relève de l'intime, n'empêche qu'à la base elles ont des organes de femmes quoi, y'a pas d'autre solution pour avoir ses règles.
Et du coup passez autant de temps à emmerder JK Rowling et les féministes old school sur ce genre de sujet quand dans le même temps le phare du monde libre supprime le droit à l'avortement... Y'a vraiment des combats à prioriser en fait...
Citation :
Publié par HuPi
Non. Je n'ai encore jamais vu un homme saigner de la bite tous les mois.
Tous les hommes n'ont pas une bite.

Et au passage, tous ceux qui font appel à la biologie devraient prendre en compte que celle-ci a du mal à définir ce qui est masculin ou féminin, et qu'il y a en réalité tout un spectre qui va au delà du binaire. On a des gens avec des chromosomes XX qui ont une bite, des gens avec un chromosomes XY qui ont une chatte, des XXY, des X, etc.

Sans même prendre en compte l'identité de genre, et donc sociale, il est extrêmement difficile de définir biologiquement ce qu'est un "homme" ou une "femme", de savoir quel est le critère qui doit être pris en compte lorsque plusieurs d'entre eux pointent dans des directions différentes.

Vouloir faire appel à la biologie pour vouloir avoir une réponse simple et claire à une réponse sociale ne marche malheureusement pas.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Tous les hommes n'ont pas une bite.

Et au passage, tous ceux qui font appel à la biologie devraient prendre en compte que celle-ci a du mal à définir ce qui est masculin ou féminin, et qu'il y a en réalité tout un spectre qui va au delà du binaire. On a des gens avec des chromosomes XX qui ont une bite, des gens avec un chromosomes XY qui ont une chatte, des XXY, des X, etc.

Sans même prendre en compte l'identité de genre, et donc sociale, il est extrêmement difficile de définir biologiquement ce qu'est un "homme" ou une "femme", de savoir quel est le critère qui doit être pris en compte lorsque plusieurs d'entre eux pointent dans des directions différentes.

Vouloir faire appel à la biologie pour vouloir avoir une réponse simple et claire à une réponse sociale ne marche malheureusement pas.
Autant je suis OK pour dissocier le genre du sexe biologique, mais tu racontes des conneries : Dans de très rares cas, il est difficile d'un point de vue biologique de définir le sexe d'un être vivant. La difficulté n'est pas la norme, c'est une exception.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Tous les hommes n'ont pas une bite.

Et au passage, tous ceux qui font appel à la biologie devraient prendre en compte que celle-ci a du mal à définir ce qui est masculin ou féminin, et qu'il y a en réalité tout un spectre qui va au delà du binaire. On a des gens avec des chromosomes XX qui ont une bite, des gens avec un chromosomes XY qui ont une chatte, des XXY, des X, etc.

Sans même prendre en compte l'identité de genre, et donc sociale, il est extrêmement difficile de définir biologiquement ce qu'est un "homme" ou une "femme", de savoir quel est le critère qui doit être pris en compte lorsque plusieurs d'entre eux pointent dans des directions différentes.

Vouloir faire appel à la biologie pour vouloir avoir une réponse simple et claire à une réponse sociale ne marche malheureusement pas.
La biologie n'a aucun mal à définir ce qui est masculin et féminin. Mais en biologie, il peut toujours y avoir des exceptions, c'est pas pour ça que les règles sont fausses.
Ce n'est pas parce qu'il existe des trisomie 21 ou des individus XXY (donc à 47 chromosomes) qu'il est faux de dire que les humains ont 46 chromosomes.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Tous les hommes n'ont pas une bite.

Vouloir faire appel à la biologie pour vouloir avoir une réponse simple et claire à une réponse sociale ne marche malheureusement pas.
Comme dit au dessus, hors très rares exceptions, un homme dispose de chromosomes XY et une femme de chromosomes XX.
Partant de là, les hommes ont une bite, ou en ont eu une si tu fais allusion aux eunuques

Hors rares exceptions - XXY a une occurrence de l'ordre de l'ordre de 1/1000 parmi les naissances masculines et est rarement détecté, seul cas que j'ai pu trouver en cherchant rapidement, POUVANT avoir une quelconque incidence sur le genre que se représente la personne, les autres anomalies n'influant pas là dessus ou étant infiniment moins courantes - un homme est clairement défini biologiquement, tout autant qu'une femme.

Enfin, je veux dire, ton chien ou ton chat, tu sais bien dire si c'est un mâle ou une femelle, non ?
Bah là c'est pareil.
Que cela ne te plaise et que tu ne vois pas comme tel, soit, c'est ton droit. Mais il n'en demeure pas moins que, biologiquement parlant, tu es ainsi, et que rien de ce que tu pourras faire ne changera fondamentalement cet état de fait.
Au mieux, tu recourras à des artifices pour te donner l'illusion du contraire.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Tous les hommes n'ont pas une bite.

Et au passage, tous ceux qui font appel à la biologie devraient prendre en compte que celle-ci a du mal à définir ce qui est masculin ou féminin, et qu'il y a en réalité tout un spectre qui va au delà du binaire. On a des gens avec des chromosomes XX qui ont une bite, des gens avec un chromosomes XY qui ont une chatte, des XXY, des X, etc.

Sans même prendre en compte l'identité de genre, et donc sociale, il est extrêmement difficile de définir biologiquement ce qu'est un "homme" ou une "femme", de savoir quel est le critère qui doit être pris en compte lorsque plusieurs d'entre eux pointent dans des directions différentes.

Vouloir faire appel à la biologie pour vouloir avoir une réponse simple et claire à une réponse sociale ne marche malheureusement pas.
La science n'a aucun mal à définir ce qui est mâle ou femelle. Les exceptions ne remettent pas en cause une règle, ils ne font que la confirmer.
La science doit prendre en compte les anomalies mais pour ce qu'elles sont, des anomalies génétiques.
Citation :
Publié par HuPi
La science n'a aucun mal à définir ce qui est mâle ou femelle. Les exceptions ne remettent pas en cause une règle, ils ne font que la confirmer.
La science doit prendre en compte les anomalies mais pour ce qu'elles sont, des anomalies génétiques.
On préfère de plus en plus parler de variants ou variations si ça sort de la norme, et de handicap ou morbidité s'il y a des conséquences sur la santé, plutôt que "d'anomalie" histoire de ne stigmatiser/fâcher personne.
Citation :
Publié par Borh
On préfère de plus en plus parler de variants ou variations si ça sort de la norme, et de handicap ou morbidité s'il y a des conséquences sur la santé, plutôt que "d'anomalie" histoire de ne stigmatiser/fâcher personne.
Dans dix ou vingt ans, "variation" sera devenu une insulte. "diversité" aussi sans doute. [Caniveau Royal : H.S.]

Dernière modification par Caniveau Royal ; 11/08/2022 à 13h25.
Citation :
Publié par Borh
On préfère de plus en plus parler de variants ou variations si ça sort de la norme, et de handicap ou morbidité s'il y a des conséquences sur la santé, plutôt que "d'anomalie" histoire de ne stigmatiser/fâcher personne.
C'est dire le niveau de fragilité de ces personnes.
"Anomalie" n'a rien de péjoratif, c'est juste qu'il y a une norme, très majoritaire en ce qui concerne les chromosomes et le sexe. D'ailleurs de mémoire les anomalies sur le chromosome sexuel montent jusqu'aux pentasomies du style XXXXX ou XXXYY.

Certaines anomalies pouvant mener à un réel problème de distinction homme/femme mais ce sont des cas rares et particulier qui ne remettent pas en cause que classiquement un homme n'a pas de règles et qu'une femme n'a pas de pénis.
Après il y a effectivement forcing pour changer le sens des mots et faire que peut être "homme" ou "femme" toute personne se définissant en tant que tel.
Et personnellement je trouve ça dangereux car jusqu'où cette auto-définition ira-t-elle ? Déjà qu'elle se fait au mépris de considérations biologiques les plus élémentaires, j'ai peur qu'il puisse n'y avoir aucune limite.

À ma connaissance le "transableism" est pour le moment géré comme une maladie mentale bien que comme pour la dysphorie de genre on a créé un terme plus doux de "Body integrity identity disorder". Mais avoir envie de se mutiler au point de se couper un membre ne me paraît pas être quelque chose de sain à accepter sous prétexte de respect de l'autre.

Vous me direz, on autorise bien les gens à se faire enlever les seins ou le pénis sans qu'il y ait le moindre critères de maladie...
[Caniveau Royal : DSO ]

Sinon article intéressant du Times qui montre que 1000 familles poursuivent en justice la clinique publique de Tavistock pour avoir ignoré les fragilités psychologiques de leur patient mineurs avant les traitements qui leur a provoqué des dommages irréversibles.

D’ailleurs la clinique a fermé ses portes le mois dernier.
Citation :
La clinique spécialisée dans l’étude du genre Tavistock fait l’objet d’une action en justice massive de la part de jeunes qui affirment avoir été poussés à prendre des inhibiteurs de la puberté susceptibles de modifier leur vie.

Les avocats s’attendent à ce qu’un millier de familles se joignent à un procès pour négligence médicale, alléguant que des enfants vulnérables ont été mal diagnostiqués et placés dans un parcours médical préjudiciable.

Ils accusent le service de développement de l’identité de genre [GIDS] du Tavistock and Portman NHS Trust de multiples manquements à son devoir de diligence.

Il est notamment allégué qu’il a prescrit de manière inconsidérée des bloqueurs de puberté aux effets secondaires néfastes et qu’il a adopté une “approche affirmative et sans discussion” à l’égard des enfants s’identifiant comme transgenres.
Le mois dernier, NHS England a annoncé la fermeture de la clinique Tavistock pour des raisons de sécurité, à la suite d’un examen externe accablant.

Les soins seront confiés aux hôpitaux régionaux pour enfants.

Dernière modification par Caniveau Royal ; 11/08/2022 à 13h33.
Message supprimé par son auteur.
Le sujet c'est le sexisme dans la société,

pas l'évolution comparée du vocabulaire gauche et droite, en général, sinon ça part en H.S.
Si vous êtes tentés par débattre de cet autre sujet-là, ouvrez un nouveau fil, ça vaut peut-être le coup, qui sait, si vous avez des arguments.
Il y aura probablement d'autres cas dans le même style. En Suède et aux USA sans le moindre doute, tant la pression sociale a été forte dans ce domaine. Il ne peut pas y avoir de hausse aussi massive et rapide des cas de dysmorphie sexuelle sans qu'autre chose ne soit à l'oeuvre.

Pour avoir une petite idée du phénomène outre-atlantique :
Citation :
Publié par Avrel
C'est viable ce truc ?
Oui les pentasomies sur les chromosomes sexuels sont viables, malgré divers problèmes physiques et cognitifs potentiels.
Citation :
Publié par Aeristh
Ce n'est plus une maladie mentale. Ça a été virer de la liste ya quelque temps déjà.
Faudrait se mettre à la page.
Ok donc de nos jours, une personne qui souhaite se mutiler car elle ne supporte pas son corps valide n'est plus considérée comme ayant un problème mental ... ça va vraiment beaucoup plus vite que je le pensais .

[Caniveau Royal : H.S. + art 1,3,4 ]

Dernière modification par Caniveau Royal ; 11/08/2022 à 14h22.
Citation :
Publié par Aragnis
Ok donc de nos jours, une personne qui souhaite se mutiler car elle ne supporte pas son corps valide n'est plus considérée comme ayant un problème mental ... ça va vraiment beaucoup plus vite que je le pensais .
C'est un problème de conception de soi qui ne colle pas à son sexe ... le problème est donc mental et non physique, hors anomalie à la marge comme déjà dit précédemment.
Citation :
Publié par Aloïsius
Il y aura probablement d'autres cas dans le même style. En Suède et aux USA sans le moindre doute, tant la pression sociale a été forte dans ce domaine. Il ne peut pas y avoir de hausse aussi massive et rapide des cas de dysmorphie sexuelle sans qu'autre chose ne soit à l'oeuvre.
Au hasard: la libération des mœurs et de la parole ?

Je suis convaincu qu'on peut sortir exactement le même graphe avec les homosexuels si on le décale de 10/20 ans.
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