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Citation :
Publié par Aeristh
Autant le reste bon, autant la je ne peu qu'approuver.
Les SUV sont une plaie. Ils auraient dû être interdit depuis longtemps. Quand je vois que la mode actuelle c'est les SUV électrique... Essayer de rendre propre une abherration écologique...
On a fait 1000x la démonstration sur le forum : la fronde anti-SUV (que je n’aime pas je précise) n’a aucun sens dans le monde réel. C’est un chiffon que les verts agitent, repris de certaines ONGs.

Certains SUV font bien en-deçà de 1,5t. Certaines voitures non SUV bien au-delà.

Mais bon faut croire que c’est « appealing » de mettre au banc ce type de véhicules.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Sans oublier Akira qui a déclaré hier sa candidature.
Je n'ai pas la ref, je connais le manga, mais pas sur que ce soit ça ?


@Aeristh : Je n'aime pas des masses les SUV non plus, mais de faire un cheval de bataille pour l'écologie ça fait rire désolé tellement c'est à coté de la plaque...
Citation :
Publié par Toga
Je n'ai pas la ref, je connais le manga, mais pas sur que ce soit ça ?


@Aeristh : Je n'aime pas des masses les SUV non plus, mais de faire un cheval de bataille pour l'écologie ça fait rire désolé tellement c'est à coté de la plaque...
Pas difficile, un petit google et hop
Mais j'avoue que je ne connaissais pas non plus.
Vous avez vu ça : https://primairepopulaire.fr/ ?

Un mouvement "spontané" pour une primaire à gauche. Avec des gens honorables comme Jean Jouzel, des starlettes qui m'indiffèrent (politiquement parlant, n'y voyez pas une attaque sur leur physique ou encore moins sur leur talent), des militants que je connais de nom, ou pas pour la plupart...

Le but, pousser à l'union à gauche pour passer le premier tour.
On évoquait récemment la différence de revenus USA/France concernant les profs, avec un bénéfice apparent pour les profs aux US. Je soulignais qu'une fois qu'on prend en compte la réalité du cout de la vie les choses sont différentes.

Voici les dernière une du Times:

teachers-covers.jpg

Et pour plus d'information, l'article en question:

https://time.com/longform/teaching-in-america/

(ou: Comment être pauvre avec 55.000$ de revenu)

À ma connaissance, ce n'est pas encore le cas en France.
Il n'y a vraiment rien à envier aux USA, à part si on fait partie de la très haute classe, des métiers de l'ingénierie ou du logiciel, et qu'on est très centré sur soi même.
Citation :
Publié par Zangdar MortPartout
(ou: Comment être pauvre avec 55.000$ de revenu)
Le système américain va forcément s'effondrer à terme.

Ils sont pauvres avec 55kUSD/an parce qu'ils sont criblés de dettes. Ils remboursent leur éducation pendant les dix premières années de leur vie professionnelle, ils ont une voiture, ils sont souvent propriétaires (autre remboursement de dette), ils utilisent encore pas mal le revolving alors qu'on a intégré depuis plus d'une décennie que c'était une arnaque, etc.

La règle des 33% pour éviter le surendettement n'existent pas chez eux. Donc ils vivent en flux tendu et ne peuvent faire face à aucun imprévu.
Citation :
Publié par Jyharl
Le système américain va forcément s'effondrer à terme.

Ils sont pauvres avec 55kUSD/an parce qu'ils sont criblés de dettes. Ils remboursent leur éducation pendant les dix premières années de leur vie professionnelle, ils ont une voiture, ils sont souvent propriétaires (autre remboursement de dette), ils utilisent encore pas mal le revolving alors qu'on a intégré depuis plus d'une décennie que c'était une arnaque, etc.

La règle des 33% pour éviter le surendettement n'existent pas chez eux. Donc ils vivent en flux tendu et ne peuvent faire face à aucun imprévu.
Ajoute à ça des taux d'intérêts à la limite de l'usure, "justifiés" par leur système de credit rating (et un système bancaire très dérégulé): en gros, plus tu utilises le crédit et que tu le rembourses en temps et en heure, plus ton credit rating s'améliore, plus les taux qui te sont proposés baissent.
SAUF QUE si tu rembourses de façon anticipée, ça dégrade ton rating (eh oui, tu ne paies pas autant d'intérêts que tu aurais dû). Si tu n'utilises pas le crédit de façon assez régulière, il se dégrade. Si tu l'emploies trop (en ayant plusieurs cartes de crédit -type Cetelem, chez nous), pareil. J'ai halluciné pas plus tard qu'hier en discutant avec des ricains sur un autre forum, qui expliquaient que sur du crédit à la consommation, sur un montant faible (une guitare, donc de l'ordre des 3000 balles payés sur 24 mois), chez Affirm tu pouvais te retrouver avec un taux à 27%
Avec du coup des revendeurs qui te proposent des "24 mois sans intérêts" pour pousser à la consommation...

Le truc dingue étant que la crise des subprimes (qui prend sa source dans les mêmes dysfonctionnements) ne leur a même pas servi de leçon.

Et effectivement, au moindre pépin de santé (sachant que les médicaments sont en général sensiblement plus chers que chez nous à molécule identique, et que les primes d'assurance santé sont également extrêmement élevées), un particulier peut très rapidement se retrouver dans une situation de faillite personnelle. Que des mouvements religieux à la limite de la secte se feront un plaisir d'utiliser pour t'attirer dans leurs filets:


Effectivement, pour les classes populaires et moyennes, les USA c'est l'enfer sur terre, et leur système dans son ensemble arrive à un degré d'absurdité et de violence terrifiant, je ne vois pas comment il pourrait ne pas exploser d'une façon ou d'une autre à court ou moyen terme.
55k$ brut je suppose.

Si on prend un salaire de prof français à 2k5 net par mois, on doit être à plus de 4k€ une fois réintégrées les cotisations salariales et employeur.
Soit dans les 50k€ si on veut comparer aux 55k$ du prof américain.
La différence n'est pas flagrante.

Et je n'ai aucune idée du nombre d'heures passées devant les élèves des profs américains. J'ai comme dans l'idée que c'est un peu plus que chez nous.
En faite je vois pas pourquoi on se focalise sur les profs. Les salaire en France sont trop bas et ont trop peu augmenter par rapport au coût de la vie. Surtout immobilier.

Quand a la blague j'ai fais des études je mérite un salaire je ne vois absolument aucun rapport. C'est un souhait.
Le problème du recrutement a l'en pour moi est du au système d'attribution des postes. Personnellement si j'aurais pu continuer à enseigner dans mon coin de vie je l'aurais fait. Je trouvais un réel plaisir a m'investir dans l'enseignement et le volume horraire annuel me permettait de m'investir dans mes activité annexe pour un salaire que j'estimais correcte au regard du privée que beaucoup d'enseignants n'ont d'évidence jamais connu.

Attention je ne dis pas que les profs sont des privilégiés, loin de la. Mais l'herbe n'est pas plus verte ailleurs.

Dernière modification par Tutule ; 22/09/2021 à 11h02.
Citation :
Publié par Tutule
Quand a la blague j'ai fais des études je mérite un salaire je ne vois absolument aucun rapport. C'est un souhait.
Qui a dit ça ? J'ai pas vu ce commentaire et pourtant ces le genre de truc qui me fait bondir.
Citation :
Publié par Tutule
Quand a la blague j'ai fais des études je mérite un salaire je ne vois absolument aucun rapport. C'est un souhait.
S'il n'y a pas de corrélation entre les deux la génération suivante soit ne fait pas d'étude soit fait jouer la concurrence et se barre à l'étranger.
À terme et parce qu'une pénurie de travailleurs qualifiés est quand même un sacré problème on est bien obligé d'augmenter les salaires mais parce que les filières de formations se seront réduites (voir auront disparu) c'est insuffisant et on se retrouve avec un problème qui va réclamer des années voir des décennies pour être réglé.

Accessoirement même quand l'Etat prend à sa charge la majorité des frais directs liés aux études le coût pour l'étudiant (au sens large) ou sa famille n'est pas nul loin de là. C'est un investissement à moyen terme.
Citation :
Publié par Tutule
Mais l'herbe n'est pas plus verte ailleurs.
Hors contexte ça ne signifie pas grand chose comme phrase.

Tu comparerais le statut de prof à quel autre job? Médecin? Artisan? Cadre dans la com'? Agent de sécu?
Parce que selon avec quoi tu compares, l'herbe est à la fois plus verte et moins verte ailleurs en fait.

Prof vs. Gardien de nuit, prof gagne: Horaire de journée, soir et we libre, moins de souci de santé, salaire à l'ancienneté, etc
Prof vs. Cadre dans la com', prof perd: même genre de charge horaire mais pour un salaire moindre, alors que l'un est responsable de l'instruction des générations suivantes et l'autre des bonnes ventes d'un yaourt.
Citation :
Publié par Elric
S'il n'y a pas de corrélation entre les deux la génération suivante soit ne fait pas d'étude soit fait jouer la concurrence et se barre à l'étranger.
À terme et parce qu'une pénurie de travailleurs qualifiés est quand même un sacré problème on est bien obligé d'augmenter les salaires mais parce que les filières de formations se seront réduites (voir auront disparu) c'est insuffisant et on se retrouve avec un problème qui va réclamer des années voir des décennies pour être réglé.

Accessoirement même quand l'Etat prend à sa charge la majorité des frais directs liés aux études le coût pour l'étudiant (au sens large) ou sa famille n'est pas nul loin de là. C'est un investissement à moyen terme.
C'est un énorme sujet qui déchaîne beaucoup les passions, surtout dans les pays où le diplôme se paie très très cher. Les gens ne sont pas psychologiquement prêts à accepter que dans certains cas ils ont payé pour du vent.
UNE FOIS j'ai tenté de lancer le sujet sur LinkedIn en répondant à un post. PLUS JAMAIS CA. J'ai tous les américains ayant payé leur MBA 100kUSD ou qui se sont endettés 10 ans pour payer leur diplôme qui me sont tombé dessus de manière assez hardcore. Les diplômés sont aussi fautifs de reproduire un système dépassé en mode "On a galéré et on s'est ruiné, alors y a pas de raison pour que ceux qui suivent fassent autrement".
Heureusement, en France, il n'y a pas ce problème donc le débat peut être un brin plus dépassionné.

C'est un énorme chantier parce qu'il touche plusieurs sujets différents.

1. Valeur des diplômes

Ca demande un certain sens de la nuance pour bien séparer les diplômes indispensables dans des domaines sensibles (médical), normés (compta, droit) ou demandant un très haut niveau de technicité (ingénierie) des diplômes simplement "utiles" car ils donnent un cadre pour apprendre de manière académique MAIS le même niveau de compétence peut être atteint via l'expérience ou l'apprentissage en autodidacte.

2. Reconnaissance de l'expérience professionnelle et de l'autodidaxie

Oui-oui je sais, il y a le VAE mais objectivement c'est un gros parcours du combattant et si tu ne rentre pas dans les petites cases prévues par l'administration, tu peux oublier. Moi-même, je n'aurai strictement aucune idée sur quel diplôme partir en VAE. J'ai fait trop de trucs différents. Le truc qui collerait p'têt le mieux serait MBA. Mais ça passera jamais.

On est en 2021. De moins en moins de reconversion professionnelles se font via l'école. C'est plutôt un mélange d'autodidaxie, d'expérience professionnelle et de formation très courtes certifiante. Néanmoins, les GAFA ont récemment sonné la charge au niveau RH en annonçant ne plus exiger de diplômes pour certains postes et d'accorder un peu plus de flexibilité sur les parcours professionnels sortant un peu des sentiers battus. Il faut maintenant que la mentalité se propage dans le monde de l'entreprise de manière globalisée.
Ce qui est vrai pour la reconversion professionnelle est aussi vrai pour l'apprentissage d'un premier métier.

Il me paraît primordial de réaliser que tout le monde n'apprend pas de la même façon. Certains ont absolument besoin d'un cadre académique quand d'autres apprennent mieux seuls à leur rythme ou encore en faisant. Il n'y a pas une façon meilleure qu'une autre et il serait temps de le reconnaître.

3. Déontologie des écoles

Il faut absolument forcer les écoles à une certaine déontologie. J'élargirai la loi sur la publicité des avocats aux écoles. Si la majorité des fraîchement diplômés ont un putain de choc arrivés sur le marché du travail du fait de leur prétention salariale complètement hors-sol, ce n'est pas de leur faute. La faute revient aux écoles qui leur ont dit de la merde quant à la valeur de leur future diplôme et des salaires auxquels ils vont pouvoir prétendre.
J'ai fait passer des centaines d'entretien d'embauche à des jeunes diplômés pour différent types de postes. Leur prétention salariale (et de poste) est un réel problème et cela forge aussi leur attitude au sein de l'entreprise en mode "j'ai pas fait un master pour me retrouver à faire ce taf" (entendu milles fois et je les comprends vu comment on leur a bourré la tête pendant 5 ans à l'école).
C'est dommageable pour leur carrière. Ca tue leur motivation et ça en fait des petits cons arrogants. Là encore, c'est pas vraiment de leur faute. Je comprends leur déception vu l'écart hallucinant entre ce que l'école promet et la réalité du marché du travail.

4. Renforcer l'apprentissage & donner plus de moyens aux CFAs

On le dit depuis plus de 30 ans et pourtant, rien ou peu est fait. L'apprentissage a plutôt bonne presse dans les milieux professionnels MAIS dans l'imaginaire populaire c'est toujours considéré comme un échec par rapport à la voie générale. Il faut mettre en avant plus de success stories et faire beaucoup plus de com' dessus. Aujourd'hui, à part "Meilleur Apprenti de France" on a quoi ? Rien.

Dernière modification par Jyharl ; 22/09/2021 à 14h08.
Citation :
Publié par Echtelion Maelin
Ajoute à ça des taux d'intérêts à la limite de l'usure, "justifiés" par leur système de credit rating (et un système bancaire très dérégulé): en gros, plus tu utilises le crédit et que tu le rembourses en temps et en heure, plus ton credit rating s'améliore, plus les taux qui te sont proposés baissent.
SAUF QUE si tu rembourses de façon anticipée, ça dégrade ton rating (eh oui, tu ne paies pas autant d'intérêts que tu aurais dû). Si tu n'utilises pas le crédit de façon assez régulière, il se dégrade. Si tu l'emploies trop (en ayant plusieurs cartes de crédit -type Cetelem, chez nous), pareil.
C'est assez faux ça.
J'ai une seule carte de crédit (21% de taux ofc), je n'utilise qu'elle pour payer et je n'ai jamais payé une cenne d’intérêts à data car je rembourse tout avant de recevoir mon relevé. Ben j'ai un crédit > 900.

Dans le calcul rentrent aussi les obligations (hypothèque, fournisseurs internet, cellulaire, électricité etc etc ...)

Et on a bien une limite sur le taux d'endettement, même si les banques peuvent décider de la faire sauter (j'Ai qualifié pour une hypothèque avec un ratio de 67%)

À 55k$ US en 2020 tu es pauvre, même sans dette, si tu dois te payer une assurance santé tu es dans la merde, et si tu n'en a pas tu es à la merci du moindre problème.
Citation :
Publié par Jyharl
L'apprentissage a plutôt bonne presse dans les milieux professionnels MAIS dans l'imaginaire populaire c'est toujours considéré comme un échec par rapport à la voie générale. Il faut mettre en avant plus de success stories et faire beaucoup plus de com' dessus. Aujourd'hui, à part "Meilleur Apprenti de France" on a quoi ? Rien.
Je bosse avec des apprentis depuis des années, ils font tous un cursus d'ingénieur, la plus value au diplôme est juste ouf, sans compter que tu es payé et que l'entreprise prend en charge ta formation. Si tu fais un cursus bien cher genre ESSEC et que tu décroches un apprentissage, c'est la timbale en or 24 carats. Autant le niveau des stagiaires est aléatoire, autant je trouve que celui des apprentis tape souvent dans le haut du panier car il faut se bouger pour décrocher un apprentissage dans un cycle d'études supérieures.
Citation :
Publié par Jyharl
Ca demande un certain sens de la nuance pour bien séparer les diplômes indispensables dans des domaines sensibles (médical), normés (compta, droit) ou demandant un très haut niveau de technicité (ingénierie) des diplômes simplement "utiles" car ils donnent un cadre pour apprendre de manière académique MAIS le même niveau de compétence peut être atteint via l'expérience ou l'apprentissage en autodidacte.
Il peut en théorie mais en pratique avec quel succès ?
Dans le cas de la VAE (pour validation des acquis de l'expérience) en 2016 69% des dossiers étaient validés (avec d'énormes écarts d'un diplôme à l'autre).
Avec 82% de validation pour le bac pro je soupçonne les jurys ne pas vouloir être trop méchants tant j'ai le souvenir que pour les candidats libres au bac général le taux d'obtention est (était encore une fois je n'ai pas chiffres récents) de 49% (malgré des aménagements comme l'exemption des épreuves de laboratoire ou un biais en leur faveur lors des oraux).
Citation :
Publié par Elric
Il peut en théorie mais en pratique avec quel succès ?
Impossible de sortir des stats fiables vu qu'elles sont forcément biaisées par les politiques de recrutement axées sur le diplôme.
Je pense que la stat la plus proche qu'on pourrait sortir (si elle existe, j'ai pas cherché) c'est le % de gens exerçant un métier n'ayant strictement rien à voir avec leur diplôme.

Alors j'ai pas la stat sous la main mais je sais que y en a une pelletée.

Pour le VAE, OSEF des BEPC/Bac. Si tu passe un VAE pour des diplômes de niveau IV c'est dans l'optique de reprendre des études vu qu'ils sont des prérequis à l'acceptation du dossier dans la majorité des écoles sup/universités (à moins de faire une Capacité).

Moi je te parle de Licence/Master et là, bon courage pour passer par du VAE. Ou alors, tu vas passer en ne validant qu'une minorité de modules et tu (ou ton employeur) allez devoir casquer pour compléter en école. Faut bien filer un p'tit billet au lobby des écoles après tout.

Bon après aujourd'hui je m'en fous complètement, si un jour je me bouge à faire un VAE ce sera surtout pour le délire de me dire diplômé et/ou faire plaisir à maman.
Le manque de diplôme ne me bloque plus professionellement mais fût un temps où ça avait été très pesant pour trouver du taf et même une fois embauché (coucou on te paie moins que ton collègue alors que tu fais plus que lui, juste parce qu'il est diplômé et pas toi).

Dernière modification par Jyharl ; 22/09/2021 à 18h51.
Citation :
Publié par Jyharl
C'est un énorme sujet qui déchaîne beaucoup les passions, surtout dans les pays où le diplôme se paie très très cher. Les gens ne sont pas psychologiquement prêts à accepter que dans certains cas ils ont payé pour du vent.
UNE FOIS j'ai tenté de lancer le sujet sur LinkedIn en répondant à un post. PLUS JAMAIS CA. J'ai tous les américains ayant payé leur MBA 100kUSD ou qui se sont endettés 10 ans pour payer leur diplôme qui me sont tombé dessus de manière assez hardcore. Les diplômés sont aussi fautifs de reproduire un système dépassé en mode "On a galéré et on s'est ruiné, alors y a pas de raison pour que ceux qui suivent fassent autrement".
Heureusement, en France, il n'y a pas ce problème donc le débat peut être un brin plus dépassionné.
Si t'as pas de bourse, je vois vraiment pas l'intérêt du système universitaire américain.
Le cheatcode c'est de viser des carrières genre soudeur, électricien, plombier.

Et apparemment pour ceux voulant vraiment passer par le système universitaire, ils peuvent faire les deux premières années dans un community college (bien moins cher).
Message supprimé par son auteur.
Le problème c'est pas tant de faire de la dépense publique, en ce moment tous les pays ouvrent la bourse et font des dépenses énormes (enfin si c'est problématique mais pas tant que ça si les banques centrales sont ok). Le problème c'est que pour la plupart ce sont des dépenses d'investissement productif (transports, éducation etc), tandis que nous comme d'habitude remplissons le tonneau des Danaïdes de l'aide sociale.
Elle va nous coûter cher la réélection du père Macron... il est prêt à tout.
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