Celui n'ira pas aux assises, ni en appel, ni en cassation, n'aura pas besoin d'expert psychiatre pour témoigner de son abolition de jugement suite à la prise de cannabis, n'ira pas pour 20 ans en prison, ni en hôpital psychiatrique, ne radicalisera pas de détenus plus influençable, ne sera plus sous la surveillance en pointillé des RG à sa sortie de prison et ne récidivera plus. A priori ses victimes devraient survivre à leurs blessures. Tout est bien qui finit bien, mais ce serait quand même plus simple si ces gens se suicidaient seuls dans leur coin plutôt que d'insister pour emporter d'autres avec eux.
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