Heu .. tu vis quand même dans un pays ou tu as une secrétaire chargé de l'égalité femme-homme qui s'est fait porte parole des mouvements féministes et qui a introduit au grand publique la notion de culture du viol, qui est venu dire sur les plateau TV qu'elle "viendrait "troller"autant de fois que nécessaire sur les antennes pour qu'on parle des femmes".
Tu veux dire celle qui a cité Spiderman pour défendre ce sujet ? Ah oui, heureusement que c'est la grande cause du quinquennat.
Non, la Macronie est en-dessous de tout sur ce sujet, comme sur la plupart.
Par contre, la violence des femmes, les victimes hommes, la journée pour les hommes: ça on en parle pas; on ne peut pas être bourreau et victime, ça fausserait la propagande.
Y a juste une différence entre un phénomène massif et encouragé par la société, et ce dont tu parles, qui n'est ni nié, ni minimisé : c'est juste pas un sujet aussi répandu et avec des conséquences globales aussi importantes.
Des millions d'hommes massivement émasculés par la terreur féministe qui a modelé la France depuis des siècles, ça n'existe pas.
Publié par La Hutt Finale
Le souci de base reste que, si ces cas sont extrêmement rares, ils sont , quand ils arrivent, extrêmement destructeurs. Il apparait donc utile de se poser la question de comment y parer.
Non seulement ils sont extrêmement rares, mais ça ne veut rien dire de considérer qu'ils sont "extrêmement destructeurs". C'est un biais qu'on peut avoir parce que, comme n'importe quel fait divers, on n'entend parler que des cas graves, mais ils ne montrent en aucun cas une tendance.
La législation pour "y parer" existe, c'est la présomption d'innocence et tout notre système juridique. Contrairement aux viols et autres agressions, qui nécessitent encore beaucoup de travail juridique.
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