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[POGNAX] Sujets autour du racisme et des discriminations en raison d'une orientation de la personne
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21/02/2021, 15h12 |
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Alpha & Oméga
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Citation :
Le titre de télérama : "Rachida Brahim, sociologue : “Nier la race assure la pérennité du racisme structurel”". Le reste n'est pas lisible. Premier lien trouvé : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/...is/ar-BB1dftB8 "Nommer pour combattre L’été 1973 inspire à Yves Boisset le film Dupont Lajoie, boudé par la critique en France, mais récompensé par un Ours d’argent à la Berlinale en 1975. Pour autant, cet acmé de violence aussitôt perçu comme une réplique de la guerre d’Algérie retombe bien vite dans l’oubli. Il est peu conforme à l’image tautologique que la France aime à donner d’elle-même, celle du pays des Droits de l’homme où le racisme ne peut pas exister puisqu’il est incompatible avec ses valeurs universalistes. Rachida Brahim montre que ce déni constant est en contradiction avec la politique racialiste de l’immigration qui se durcit après la crise pétrolière de 1973. Bien sûr, le livre du journaliste italien Fausto Giudice, intitulé Arabicides : une chronique française 1970-1991, a ouvert la voie en 1992. S’y ajoute l’excellent essai d’Yvan Gastaut, L'Immigration et l'opinion en France sous la Ve République, paru en 2000, qui montre comment, pendant et après la guerre d’Algérie, la figure du Maghrébin est devenue une obsession du racisme hexagonal. Tout récemment, la romancière Dominique Manotti a publié Marseille 73, éclairant ce qui constitue toujours un véritable lieu d’oubli. Le livre de Rachida Brahim arrive à point nommé alors que les mobilisations se sont multipliées ces derniers mois pour que soit mieux nommé et condamné le racisme en France. « Reconnaître que l’idée de race, écrit Rachida Brahim, puisse encore déterminer des trajectoires sociales, c’est enfin faire preuve de lucidité ». La race tue deux fois, a-t-elle posé en titre, physiquement d’abord, puis par le déni de l’État censé œuvrer pour la justice. En redonnant un nom aux victimes, en énonçant « ce que partagent les morts » et « ce que disent les vivants », elle rompt avec ce qui s’énonce comme une troisième mort : le silence et l’oubli." L'idée de race, pas la race. La race fait social vs race fait naturel. Là clairement elle parle du fait social. Mais peut être que tu as lu l'article de télérama et tu peux nous donner plus de précision ? |
21/02/2021, 18h18 |
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Citation :
Si tu es un immigré monétaire, oui. Respecte les lois, gagne ton fric, et puis casse toi et rentre chez toi. C'est une transaction, OK. Par contre, si tu veux t'installer (et a plus forte raison si on t'en donne le privilège pour te sauver d'une situation de merde), la moindre des choses est de ne pas foutre le majeur aux locaux et leurs habitudes et traditions, c'est un peu du savoir vivre. On s'en fiche que toutes les traditions sont kif-kif (quoique) et objectivement in-classifiables. Quand James Bond demande son Martini shaken not stired, tu ne fais pas l'inverse même si c'est strictement la même chose. C'est de la provocation sinon. Tu t'installes en France, tu ne mélange pas un Bourgogne grand cru avec du coca en public en en chantant "USA fuck yeah". Tu prend ton verre, tu fais semblant de sentir et tu dis un truc "oh qu'il est bon ce tanin du terroir, vous connaissez le producteur?) Tu invite des potes, ou un parfait inconnu, j’espère qu'il ne pisse pas dans le lavabo (même si techniquement c'est pas illégal et que c'est pas la fin du monde). L'immigré Norvégien, s'il sort son surstromming, il mérite d’être pendu. Il fait ca chez lui, loin de toute vie humaine. Quand on s'installe dans un pays, on apprend la langue, et on fait de son mieux pour s’intégrer, au lieu de finir comme un bon beauf raciste a se la raconter encore au bout de 5 générations comment l’ancêtre est venu du paradis perdu dans un trou du cul, et continuer a parler la langue de l’ancêtre, ne fréquenter que les mêmes gens.... Le racisme commence par ceux qui se croient trop au dessus des moeurs locales et viennent en conquérant en regardant de haut les gens chez qui ils viennent vivre (et je ne vise pas un ethnie ou culture particulière, les racistes c'est chez tout le monde). C'est aussi valable pour le Francais chez les Brits, ton Norvégien en France, le Libanais, le Chinois ou le Turkmène aux USA ou au bamboulistan. Si on reste en Angleterre, mes enfants seront anglais, parlerons anglais et se comporteront en public comme des anglais. Si on va un jour en France, ils se comporteront en public comme des français, avec l'accent du coin local ou ils seront. |
21/02/2021, 18h37 |
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Je ne suis pas spécialiste mais il semble que la xénophobie soit absente chez les enfants en bas âge.
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21/02/2021, 22h17 |
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