[POGNAX] Attentats en France et dans le monde

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https://www.bbc.com/news/world-us-canada-55989843
Tentative d'attentat par empoisonnement des réserves d'eau potable dans un bled de Floride.

L'originalité ici, c'est que l'attaque a été conduite par internet. La station de stockage et de traitement est en effet plus ou moins automatisée et quelqu'un a eu l'idée géniale de la relier à internet.

Parce que, franchement, pouvoir contrôler à distance la quantité d'hydroxyde de sodium injectée dans le système, c'est quand même vachement mieux que de le faire sur place. Coup de chance, sur place justement il y avait un technicien qui a réagi immédiatement et l'eau n'a pas été empoisonnée.

Mais sérieusement : l'eau potable, le gaz, l'électricité, les centrales nucléaires, les barrages hydrauliques, les transformateurs : ces trucs existaient AVANT le net et fonctionnaient très bien sans. Pourquoi est-ce que des têtes de nœud trouvent judicieux de tout vouloir connecter à internet ? POURQUOI ?
On va apprendre quoi après ? Que les ventilateurs des salles de réanimation sont accessibles par une page facebook d'un hôpital et que le code d'accès était 123456COUIC ?
Citation :
Publié par Aloïsius
Mais sérieusement : l'eau potable, le gaz, l'électricité, les centrales nucléaires, les barrages hydrauliques, les transformateurs : ces trucs existaient AVANT le net et fonctionnaient très bien sans. Pourquoi est-ce que des têtes de nœud trouvent judicieux de tout vouloir connecter à internet ? POURQUOI ?
Ça coûte beaucoup moins cher.
Message supprimé par son auteur.
Sécurité à chier ou non, tout ce qui est fait peut être défait, un système informatique ne peut être sécurisé à 100%.
Même s'il va sans dire que la sécurité devait sûrement être au rabais dans ce cas là.
Citation :
Publié par Keyen
C'est pas connecter à internet qui pose problème, c'est de le faire en ayant une sécurité à chier.
Quand on voit que la NSA a volontairement laissé des failles dans les trucs les plus fondamentaux d'internet, et que ça s'est retourné brutalement contre les USA, la sécurité c'est une utopie. Si des gens ont la volonté et la compétence (genre les services iraniens, chinois, russes...), ils le feront.
https://www.nytimes.com/2021/02/06/t...ckers-usa.html

Je ne serai pas surpris qu'on fasse les mêmes conneries en France, en plus petit.
Son mensonge avait provoqué l'assassinat de Samuel Paty.
Lors de son avant dernière audition devant les enquêteurs, la collégienne a avoué avoir menti quand elle a accusé le professeur d'avoir fait sortir les musulmans de sa classe pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Elle avait prétendu s'être alors insurgée contre son professeur et avoir été exclue du cours deux jours durant.

Mais en fait...
Citation :
«Je n'étais pas là le jour des caricatures», a admis la collégienne [...] elle aurait menti par complexe envers sa sœur jumelle, meilleure élève qu'elle. Pour ne pas avouer à son père les raisons de son exclusion de classe - son mauvais comportement - elle a inventé l'histoire que son père a ensuite partagée sur les réseaux sociaux.
https://www.lefigaro.fr/actualite-fr...menti-20210307

Moralité à l'adresse des parents d'élèves :
En cas de différent avec un professeur, ne pas croire aveuglement leur progéniture.
Citation :
Publié par Spectre Olaf
Moralité à l'adresse des parents d'élèves :
En cas de différent avec un professeur, ne pas croire aveuglement leur progéniture.
ça... Je n'ai pas vraiment été confronté à ce problème, en revanche j'ai des collègues qui ont été mis dans des situations ubuesques par des fripouilles que leurs parents croient comme le messie.

Bon, dans le cas présent, on va dire que le papa avait de fortes prédispositions à croire ce que lui racontait sa fille et à n'accorder aucune valeur à la parole du koufar professeur.
La défense du père de famille qui s'est acharné contre Samuel Paty sur les réseaux sociaux est trouvée :
https://www.europe1.fr/faits-divers/...-menti-4030006

Citation :
Il y a plus d'un mois, lors d'un nouvel interrogatoire face au juge, il s'est repenti, expliquant finalement "qu'il se foutait des caricatures présentées par Samuel Paty dans son cours". Il se serait mis en colère "à cause des deux jours d'exclusions subies par sa fille".
Voilà voilà, donc rien à voir avec les caricatures, non non.
C'est au fond l'histoire d'un père de famille en colère pour une exclusion, n'est ce pas.

Et ça continu à prendre des gens pour des cons.
Dans l'indifférence générale de la communauté internationale, Daech annonce s'être emparé d'une ville du Mozambique et d'y avoir tué "des dizaines de Chrétiens".

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/m...palma-20210329

https://www.theguardian.com/world/20...zambique-palma
Notez que Total a un rôle dans ce désastre, puisque la firme française aurait refusé de donner du carburant aux équipages de ses propres hélicoptères.


Du coup, les rues de la ville sont jonchées de cadavres décapités par les adorateurs du prophète de la paix et de l'amour.
Je dis ça je dis rien mais le Mozambique a toujours refusé les aides des pays voisins pour gérer les djihadistes.


par contre maintenant, Maputo a accepté l'aide du Portugal et de la France (territoire de Mayotte)....


Et pour rappel, Total veut y investir 26 Milliard
Vous vous souvenez de l'hystérie collective qu'il y a eu après le meurtre de Samuel Paty concernant les apologies au terrorisme sur les gamins dans les semaines qui ont suivis ? Bah l'administration et la Police était complètement parti en vrille (article en accès libre pour une fois) :

Citation :
Pour l’hommage à Samuel Paty, le 2 novembre 2020, le gouvernement avait prévenu qu’aucune provocation ne serait tolérée chez les élèves. L’Éducation nationale a été priée de saisir la justice sans trop se poser de questions. À l’arrivée, plus de 130 faits ont été signalés aux procureurs de la République, notamment pour « apologie du terrorisme », selon le bilan brandi à l’époque par Jean-Michel Blanquer.

Cinq mois plus tard, que reste-t-il de ces signalements pour « apologie » ? Combien de condamnations (comme ici) ou de relaxes (comme ) ? Combien de procédures « peau de chagrin » surtout, conclues par de simples rappels à la loi ou des mesures « réparatrices » plutôt vécues comme des humiliations ?

...

Le 5 novembre 2020, à 7 heures du matin, une opération antiterroriste est lancée sur le quartier HLM des Contamines à Albertville (Savoie). Simultanément, des policiers en uniforme accompagnés d’autres en civil, brassard au bras, cagoulés et armés de fusils, frappent à la porte de quatre appartements de cette petite cité à l’écart du centre-ville.

Les logements sont perquisitionnés, le matériel informatique saisi. Quatre écoliers de 10 ans, élèves dans la même classe de CM2 de l’école élémentaire Louis-Pasteur (123 élèves en tout, en réseau éducation prioritaire), sont interpellés dans le cadre d’une enquête préliminaire pour « apologie du terrorisme et menaces de mort » ouverte par le procureur de Chambéry.

Les enfants sont placés en « retenue légale », l’équivalent d’une garde à vue pour les mineurs, et sont interrogés toute la journée. Ils ne retrouvent leur famille que le soir après 18 h 30. Les parents sont également interrogés.

...

Le résultat est aujourd’hui acté. Aucune des quatre familles, musulmanes pratiquantes, ne présente le moindre signe de radicalisation. Quant aux quatre écoliers, Éric Lavis, directeur académique, avait assuré au Dauphiné le 5 novembre que « leurs propos justifiaient l’horrible assassinat de Samuel Paty et pouvaient sous-entendre que leur enseignant, s’il avait le même type de comportement, pourrait être tué de la même manière ». Interrogés par Mediapart en novembre, trois de ces quatre enfants de 10 ans niaient avoir approuvé l’assassinat de l’enseignant et plus encore avoir menacé leur maître.

Depuis, deux des enfants ont été totalement mis hors de cause. Quant aux deux autres, le parquet a demandé des « mesures de réparation » et en a informé les familles le 3 mars, non pas au tribunal mais à la simple maison de la justice d’Albertville.

...

Quant au billet portant l’inscription « T mort », l’enquête se poursuit, conduite par le parquet d’Albertville. Les quatre enfants ont été mis hors de cause et l’auteur n’a, à ce jour, pas été identifié. « C’est ce mot qui déclenche tout », affirme Omer Polat. « C’est étrange, cette lettre. C’est peut-être un scénario, un coup monté, et on ne trouve rien », s’interroge-t-il, tant sa méfiance est grande.

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À Hyères, Sandrine*, elle non plus, n’est toujours pas remise de « l’emballement dont a été victime » sa fille Léna*, 14 ans, en classe de 3e. « Le système est véritablement devenu fou », dénonce-t-elle, en revenant sur la « semaine traumatisante » qui a suivi l’hommage à Samuel Paty.

Dans ce collège dont elle souhaite taire le nom, après la minute de silence, les élèves sont invités à participer à un débat organisé par la professeure de sciences de la vie et de la Terre (SVT). La classe livre ses impressions sur l’assassinat du professeur d’histoire. L’un des élèves affirme que « les chrétiens ne tuent pas, contrairement aux musulmans ». Mohamed*, 15 ans, lance un « Allah Akbar ! ». L’enseignante ne l’entend pas sur le moment, mais quelques élèves viennent le lui rapporter.

Léna veut alors « défendre son copain musulman » et affirme, selon sa mère, que « Samuel Paty l’a un peu cherché ». D’autres disent avoir entendu « il l’a bien mérité ». Léna s’excuse immédiatement, « mais c’était trop tard, la machine s’est mise en marche », témoigne Sandrine.

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Sandrine est convoquée le lendemain. « Ils m’ont répondu que ce n’était plus l’heure de discuter et qu’une sanction s’imposait, rapporte la mère. La directrice m’annonce que ma fille va être expulsée, que c’est terrible, qu’elle est convertie à l’islam et qu’elle fait l’apologie du terrorisme. C’était délirant. » En réalité, Léna qui est « certes un peu typée », n’est pas musulmane mais athée et franco-brésilienne.

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Mercredi 4 novembre, 7 h 45, trois policiers armés débarquent au domicile de Sandrine et réveillent Léna. Ils perquisitionnent les lieux, saisissent son téléphone portable et son passeport. « Ils ont cherché partout et ont pu constater qu’il n’y avait ni Bible, ni Coran, ni aucun signe religieux », précise sa mère. Les policiers emmènent ensuite la jeune fille de 14 ans pour huit heures de garde à vue.

Arrivée au commissariat, elle est mise à nu pour subir une fouille corporelle appuyée. « Elle a même été palpée à l’anus », dénonce Gilles Desnot, membre de la section Toulon de la Ligue des droits de l’homme (LDH) et qui accompagne Sandrine dans ses démarches.

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Son avocat, Me Jean-Baptiste Politano, conteste la qualification d’« apologie du terrorisme ». « Léna a juste voulu s’opposer au courant majoritaire pris par la classe lors de ce débat, par esprit de contradiction. On est très loin du texte qui vise à condamner les personnes qui commentent favorablement des actes terroristes. Ce n’est absolument pas caractérisé », estime le conseil.

Mohamed, 15 ans, qui aurait dit « Allah Akbar ! » et qui se serait montré insolent une fois convoqué par la directrice, a également subi une garde à vue. Elle était d’ailleurs « plus musclée » puisqu’il a été menotté. « Cet enfant a un problème de croissance. Lors de sa garde à vue, j’ai surtout constaté qu’il s’agissait là aussi d’une provocation pour amuser la galerie », explique Me Politano.

...

Maître Ramzi Aidoudi ne décolère pas. Son client de 11 ans, Yanis*, comparaissait le 27 janvier dernier, accompagné de ses parents, devant le délégué du procureur de Marseille pour « apologie publique d’un acte de terrorisme ».

Scolarisé dans un collège privé catholique du centre6ville, cet élève de 6e n’a pas respecté la minute de silence. « En parlant trop vite, et parce que je pensais aux caricatures qui m’ont blessé, j’ai dit que c’était bien fait pour lui, confie le jeune garçon à Mediapart. Alors qu’il ne le méritait pas. »

Dans la classe, cette phrase a été prononcée à voix basse mais trois de ses camarades la répètent au professeur de français, qui en informe le principal, lequel le signale au parquet. Et la machine judiciaire se met en branle.

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Khalid* fait partie de ces mineurs mis en examen à la suite des signalements de l’Éducation nationale. Rencontré avec son père, réfugié afghan, ce garçon d’apparence timide, arrivé en France deux ans auparavant, a le sourire gêné des adolescents mal dans leur peau. Alors qu’il parle pachtoun, on essaye de lui faire raconter les faits à sa manière, dans son français balbutiant : comment a-t-il pu, au milieu d’un cours de sport, affirmer qu’il « cautionnait » l’assassinat de Samuel Paty ? « J’ai dit qu’il n’avait pas le droit de parler de religion à l’école. On m’a posé plein de questions. Je ne comprenais pas tout », relate Khalid.

En effet, plusieurs de ses camarades et la professeure de sport ont ressenti ces difficultés de compréhension. Quand on le rencontre plusieurs semaines après l’épisode, Khalid semble encore ignorer les circonstances précises de l’assassinat terroriste – il appelle la victime « Madame Paty ».

...

Sarah*, elle, n’est pas poursuivie pour des faits survenus lors de l’hommage à Samuel Paty. Mais son interpellation a bien eu lieu dans ce contexte, alors que médias et politiques tournent en boucle sur les « violations » de la minute de silence.

C’est le 5 novembre, à l’occasion d’un blocus devant son établissement, que cette lycéenne voilée, scolarisée en classe de seconde, a été placée en garde à vue pendant 72 heures, suspectée non seulement de « rébellion » vis-à-vis des policiers, mais aussi d’« apologie du terrorisme ».

...

Sarah nous raconte sa journée du 5 novembre. Alors qu’un blocus est organisé devant le lycée, la situation se crispe. « J’étais avec des amies pour aller en cours quand la police a jeté du gaz lacrymogène. » Subitement, l’une d’entre elles se sent mal et tombe au sol.

Alors que Sarah reste à ses côtés pour la réconforter, les policiers les somment de déguerpir. Les noms d’oiseaux pleuvent. Un policier attrape Sarah par le bras, puis pratique une clé de bras, avant de se placer derrière elle, le bras autour de son cou pour la maintenir, selon des photos que Mediapart s’est procurées.

Le policier essaie également de lui retirer le voile qu’elle porte sur le visage, soutient la jeune fille – ce que les policiers contestent. Avant de lui donner deux coups dans les jambes, toujours selon elle, puis dans le ventre, une fois installée dans le camion qui l’emmène au commissariat. Un certificat médical, réalisé après sa garde à vue, lui accorde quatre jours d’interruption temporaire de travail ; un second, huit jours d’éviction scolaire.

Dans le procès-verbal d’interpellation, un policier soutient que Sarah a franchi la ligne jaune. Véhémente, elle les aurait menacés : « Allah, il va tous vous buter, bande de sales flics. » Un autre agent, un gradé, se montre quant à lui incapable de le confirmer. Il se contente de dire que la jeune fille était agitée.

Sarah nie avoir proféré des menaces : « Tout ce que je leur ai dit, c’est : “Par Allah, j’ai rien fait !” »

...

Plus étonnant encore, les agents interrogent les parents sur le projet de loi « séparatisme », ainsi que sur l’attentat contre Samuel Paty : « Eu égard à la situation actuelle, avez-vous eu une discussion avec votre fille sur le sujet de l’intégrisme, le terrorisme et ce que notre président de la République appelle le séparatisme ? Comment pratiquez-vous la religion ? Votre fille m’a dit qu’elle portait le voile et que c’était son choix, qu’en pensez vous ? »
C'est dingue quand même, des perquisitions musclées pour des propos de secondes mains (provenant de gamin), de les charger pour apologie au terrorisme sur des propos non corroborés et sans éléments indiquant une radicalisation, des fouilles corporelles et des violences, non mais bien, ils marchaient complètement sur la tête lors de cette période
Citation :
Publié par Anthodev
C'est dingue quand même, des perquisitions musclées pour des propos de secondes mains (provenant de gamin), de les charger pour apologie au terrorisme sur des propos non corroborés et sans éléments indiquant une radicalisation, des fouilles corporelles et des violences, non mais bien, ils marchaient complètement sur la tête lors de cette période
Je ne vois pas trop le problème, il me semble assez important d'éviter d'autres Samuel Paty.
Les enfants étant ce qu'ils sont il y aura forcement quelque instruction qui révéleront qu'il n'y a pas de risque, et c'est une très bonne chose.
C'était courue d'avance, la vengeance aveugle beaucoup de monde, malheureusement. Quand on vient à considérer des enfants comme de potentiel terroristes, avec les hourras du public, c'est que la société va mal.
Message supprimé par son auteur.
Je vais remettre de l'huile sur le feu, mais des ados de moins de 12 ans selon l'environnement religieux où ils ont grandit et leur personnalité peuvent être complètement pires que leurs parents dans leur détermination à être plus près du "bon".
C'est pourtant simple a voir.
C'est le même phénomène que votre (ou celui du voisin) gosse habillé de pied en casquette de votre club de foot préféré, et parle fait du foot chaque fois que tout lui permet. Et chaque fois qu'il est en classe géographie, ce qui l'intéresse c'est où est le stade.
Imaginez maintenant que sa passion c'est ...

La seule méthode c'est de faire comprendre et faire prendre les religions comme "has been ", " boomer", " lame", "neet" etc... A toute période
La nouvelle théorie des enfants cheval de Troie du terrorisme islamiste, ça vaut bien une clés de bras, une garde à vue, et un saccage du domicile pour être certain. Bientôt il restera que les animaux domestiques que l'on soupçonnera pas, et encore ils peuvent imiter leurs maitres radicalisés.
Article mediapart, sur ce sujet pas trop la peine de chercher plus loin : méchant état islamophobe, méchante police raciste, et que des petits anges qui balancent des allah u akbhar en classe par esprit de provocation juvénile.
Ca n'a rien de nouveau.
Des faits d'enfants explosés partout dans le monde depuis des dizaines d'années, parmi des foules.
(Me souviens d'une vidéo de wikileaks prise au téléphone dans un pays du moyen orient, où des policiers et des civils enlèvent un bardat d'explosifs posé autour d'un gosse qui semble avoir 10 ans à peine repéré dans une rue pleine de foule)
Des histoires antiques de héros, ou l'âge adulte était 14 ans ou son premier animal ou homme tué, pourfendant le mal fait contre les peuples dedieu, c'est partout jusque dans les récits les plus anciens.
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