Biologie/médecine : nouvelles scientifiques extraordinaires

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Le papier m'a trigger mon bullshit detector toutes les deux lignes c'est incroyable (dans le sens ou c'est dur à croire), mais j'y connais absolument rien au sujet donc on va sagement attendre en croisant les doigts.
on sait depuis longtemps que la lumière impact le cerveau genre si on t'enferme tu vas déprimer, à l'inverse si tu vas au soleil ça te dynamise. Pareil le rôle de certains effets d lumière sur le déclenchement de crise épileptique. Et pour le son pareil ça impact aussi le fonctionnement du cerveau. Bref c'est pas si surprenant si on y réfléchit qu'on découvre qu'en réalité ça va plus loin que ça et que ça impact le fonctionnement des neurones. Ce qui est plus surprenant c'est le rôle que ça semble jouer pour activer les microglie. Elle est là la véritable découverte je trouve.

On peut alors se demander si d'une manière général il est possible de jouer sur le système immunitaire pour le renforcer (ou inversement....) à travers justement la lumière ou le son ou les 2.

Je pense que c'est très prometteur mais il faudra encore beaucoup de temps avant de bien comprendre ce qui se passe vraiment.

Sinon

Citation :
I understood: Scientists must specialize to succeed. Biologists studying microglia don’t tend to read papers about brain waves, and brain wave researchers are generally unaware of glial research. A study that bridges these two traditionally separate disciplines may fail to gain traction. But this study needed attention: Incredible as it may sound, the researchers improved the brains of animals with Alzheimer’s simply by using LED lights that flashed 40 times a second. Even sound played at this charmed frequency, 40 hertz, had a similar effect.
Ca c'est un réel problème et pas d'ailleurs que dans le domaine de la médecine. Même si c'est en train de changer ces derrières années précisément parce qu'on se rend bien compte qu'il y a des ponts entre les différentes disciplines et que ça peut faire des bons dans les recherches. Mais y a encore du boulot sur le sujet, car au final trop souvent chacun reste dans sa discipline et lit ce qui concerne son domaine et passe complètement à côté d'avancée dans un tout autre domaine mais qui en réalité pourrait aider à progresser dans le siens.

Faut revenir en arrière je pense et créer plus de pont entre les différentes disciplines, c'est comme ça qu'on fera de nouvelles grandes avancées.
Citation :
Publié par Thesith
on sait depuis longtemps que la lumière impact le cerveau genre si on t'enferme tu vas déprimer, à l'inverse si tu vas au soleil ça te dynamise. Pareil le rôle de certains effets d lumière sur le déclenchement de crise épileptique. Et pour le son pareil ça impact aussi le fonctionnement du cerveau. Bref c'est pas si surprenant si on y réfléchit qu'on découvre qu'en réalité ça va plus loin que ça et que ça impact le fonctionnement des neurones. Ce qui est plus surprenant c'est le rôle que ça semble jouer pour activer les microglie. Elle est là la véritable découverte je trouve.
Les footballers de l'OM et du PSG ont droit à un bain de lumière avant le début du match et à la mi-temps.
Bon par contre c'est aussi flippant.

A mon avis, les marketeux doivent suivre ça de très près ! Les politiciens aussi.

Et même au delà de la possible manipulation. Si on commence à découvrir qu'on peut guérir avec son & lumière, on doit pouvoir aussi tuer, rendre malade, etc.

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Microbiologie

Une potentielle bonne nouvelle, avec un rappel de ce qu'est une bactérie résistante aux antibiotiques. En anglais.
https://www.sciencedaily.com/release...0603132541.htm

Citation :
Source: Princeton University
Summary: Poison is lethal all on its own -- as are arrows -- and together, they can take down the strongest opponents. Researchers have found an antibiotic that simultaneously punctures bacterial walls and destroys folate within their cells -- killing like a poisoned arrow -- while proving immune to antibiotic resistance
https://phys.org/news/2020-06-scient...e-neurons.html

Citation :
Nos poumons, os, vaisseaux sanguins et autres organes majeurs sont constitués de cellules, et l'une des façons dont notre corps nous maintient en bonne santé consiste à utiliser des messagers protéiques appelés ligands qui se lient aux récepteurs à la surface des cellules pour réguler nos processus biologiques. Lorsque ces messages se brouillent, cela peut nous rendre malades avec une multitude de maladies différentes. Maintenant, une équipe dirigée par le bio-ingénieur de Stanford et la présidente du département, Jennifer Cochran, a peaufiné un ligand de manières légèrement différentes pour produire deux résultats étonnamment différents. Un ensemble d'altérations a provoqué la régénération des cellules neuronales, tandis que différents réglages de la même protéine ont inhibé la croissance des tumeurs pulmonaires. Les expériences décrites par son équipe dans les Actes de l'Académie nationale des sciences ont été réalisées sur des cellules de rat et humaines ou sur des souris qui modélisent des maladies réelles et sont encore loin d'être testées chez l'homme. Mais les résultats montrent comment les scientifiques deviennent de plus en plus aptes à bricoler les mécanismes de contrôle à base de protéines du corps pour aider les organes vitaux à se guérir. "Ces protéines peuvent, espérons-le, être utilisées un jour pour traiter les maladies neurodégénératives, ainsi que les cancers et autres troubles tels que l'ostéoporose et l'athérosclérose", a déclaré Cochran. Son laboratoire étudie comment les ligands et les récepteurs travaillent ensemble pour transmettre des messages aux cellules et comment ces interactions peuvent être conçues pour créer de puissants agents thérapeutiques. La forme est le concept critique. Comme toutes les protéines, les ligands et les récepteurs sont constitués de nombreux acides aminés différents liés comme des perles et pliés en formes tridimensionnelles distinctes. Un ligand avec la bonne forme s'adapte à son récepteur correspondant comme une clé correspond à une serrure. En utilisant des techniques d'ingénierie moléculaire sophistiquées, les chercheurs peuvent changer la gamme d'acides aminés dans un ligand, créant essentiellement des millions de clés qu'ils filtrent ensuite pour voir ce qui pourrait déverrouiller son récepteur correspondant d'une manière souhaitable. Une clé qui s'adapte mieux et déclenche la serrure plus efficacement - les scientifiques appellent cela un superagoniste - pourrait transmettre des messages demandant aux cellules de croître plus solidement. La bio-ingénierie peut également être utilisée pour transformer des ligands en antagonistes - des clés qui correspondent également au verrouillage du récepteur, mais d'une manière qui bloque le signal et pourrait ainsi retarder une fonction comme la croissance cellulaire. L'année dernière, Cochran a collaboré avec le chercheur sur le cancer de l'UC San Francisco, Alejandro Sweet-Cordero, pour publier un article montrant comment une version modifiée de la protéine réceptrice CNTFR, a aidé à stopper la croissance des tumeurs pulmonaires chez les rongeurs. Les nouvelles expériences s'appuient sur ce travail en tant qu'équipe de recherche dirigée par l'étudiant diplômé Jun Kim, qui a conçu le ligand connu sous le nom de CLCF1 qui se lie au récepteur CNTFR. En effectuant un ensemble de modifications des acides aminés dans CLCF1, Kim a transformé ce ligand en superagoniste. Lorsqu'ils ont ajouté ce superagoniste à une culture tissulaire de cellules neuronales blessées, le CLCF1 modifié a augmenté les signaux de messagerie qui favorisent la croissance des axones, les fibres qui transmettent les influx nerveux, suggérant que ce ligand modifié encourageait les neurones blessés à se régénérer. À l'inverse, Kim et ses collègues chercheurs ont montré qu'en introduisant quelques modifications supplémentaires des acides aminés au CLCF1, ils pourraient transformer ce ligand en un puissant antagoniste qui pourrait inhiber la croissance des tumeurs pulmonaires chez la souris, suggérant une utilisation médicinale possible différente pour cette variante. de la molécule. Cochran a passé sa carrière à développer de nouvelles protéines modifiées en tant que candidats thérapeutiques pour des applications en oncologie et en médecine régénérative. Plusieurs des molécules découvertes dans son laboratoire ont progressé dans le développement préclinique du stade précoce au stade avancé, avec sa thérapeutique la plus avancée, un traitement du cancer de l'ovaire et du rein, actuellement en essais chez l'homme. Elle est optimiste sur le fait que les ligands et les récepteurs modifiés continueront de se révéler être une classe prometteuse de médicaments pour lutter contre la maladie et maintenir la santé. "Je suis depuis longtemps fasciné par le fonctionnement des protéines en tant que machines moléculaires de la nature et par la façon dont les outils d'ingénierie nous permettent de façonner la structure et le fonctionnement des protéines avec la créativité d'un artiste, dans ce cas en utilisant les acides aminés comme palette."
Je ne sais pas si tout le monde a bien conscience de la vitesse prodigieuses des avancées théoriques dans le domaine médical. Lisez juste les deux dernières news que j'ai posté ici, j'ai l'impression d'être dans un roman de SF.
On s'approche définitivement d'une singularité, que certains d'entre nous pourront voir de leur vivant. Et aussi merveilleux que ces progrès puissent paraître, il faut se préparer aux conséquences négatives qu'ils auront aussi.

Dernière modification par Aloïsius ; 10/06/2020 à 08h50. Motif: Auto-fusion
Citation :
Publié par Aloïsius
https://phys.org/news/2020-06-scient...e-neurons.html


Je ne sais pas si tout le monde a bien conscience de la vitesse prodigieuses des avancées théoriques dans le domaine médical. Lisez juste les deux dernières news que j'ai posté ici, j'ai l'impression d'être dans un roman de SF.
On s'approche définitivement d'une singularité, que certains d'entre nous pourront voir de leur vivant. Et aussi merveilleux que ces progrès puissent paraître, il faut se préparer aux conséquences négatives qu'ils auront aussi.
La somme des connaissances médicales est exponentielle.

À tel point qu'un groupe d'humain ne peut plus suivre cette accélération.

D'où l'intérêt de l'IA pour les croisements.
Ah, la science et la méthode scientifique...

Vous vous souvenez des vieilles souris rajeunies par l'injection de sang de jeunes souris ? Non ?
On pourrait en déduire que vous faites partie des gens qui auraient besoin de se faire, déjà, injecter du sang de jeune.

Sauf que cette réflexion évidente à la vue de l'expérience ("injecter du sang de jeune fait rajeunir") repose sur un raccourcis un peu rapide. Il y a en effet une autre explication possible. Et donc il faut faire une autre expérience, pour être sûr.

Vous devinez ?

https://news.berkeley.edu/2020/06/15...aging-in-mice/

Donc, des chercheurs ont pris le plasma de vieilles souris et l'ont juste dilué avec de l'eau, du sel et de l'albumine. Le muscle, le cerveau, le foi... tout ces organes bénéficient de ce traitement, autant sinon plus que les vieilles souris qui se sont pris le traitement "Bathory" à base de sang de jeunette.

Conclusion : pas besoin de saigner les jeunes. Ce n'est pas le sang de jeune qui contient l’élixir de jouvence, c'est le sang de vieux qui est toxique.

C'est beau la démarche scientifique. Toujours tester toutes les hypothèses, ne rien laisser de côté, parce que l'explication à laquelle on pense en premier n'est pas forcément la bonne.

Reste maintenant à savoir si ça s'applique aussi aux humains, et de quelle manière.
https://www.lemonde.fr/blog/huet/202...e-dope-au-fer/

Le fer et la protéine CD44 joueraient un rôle fondamentale dans le processus conduisant aux métastases des cancers. Si cela se confirme et qu'on effectue les recherches (hein Macron ?*) qui vont bien, ce serait une piste très intéressante pour le traitement de ces maladies.

* :
Citation :
Et la suite ? Raphaël Rodriguez est dans l’expectative. A la recherche non d’idées ou de collaborateurs talentueux mais… d’argent. Sa bourse ERC, sans laquelle il n’aurait pas pu réaliser ces découvertes, est dépensée. Le jeune chercheur, déjà couvert de médailles et de félicitations, n’avait pas caché son opinion lors d’une rencontre avec Emmanuel Macron, à l’occasion des 80 ans du CNRS en novembre 2019, rappelant les salaires trop bas à l’embauche au CNRS ou les financements trop modestes et aléatoires de l’Agence nationale de la recherche. Avec le budget 2021 en ligne avec les précédents, donc mauvais, et une Loi de programmation de la recherche (LPPR, lire ici) dont les promesses sont insuffisantes et trop lointaines, l’espoir est maigre.
Il est vraiment chiant ce covid.
Plus j'en apprend, plus les recherches en cours vont dans le sens que, il excite à l'excès les réponses immunitaires à des problèmes préexistant dans chaque individu.

Le dernier article que j'ai relevé pour ce propos.
https://www.sciencedaily.com/release...0803092123.htm

Ma question? A quoi ça lui sert pour se reproduire et essaimer?
Bonne nouvelle, sur 10 ans, l'incidence de la maladie d'Alzheimer à chuté de 13%, le truc, c'est qu'on sait pas trop pourquoi : https://www.lefigaro.fr/sciences/le-...eimer-20200807 Oo

C'est d'autant plus bizarre que l'espérance de vie a progressé depuis 2010 (même si elle rebaisse un peu certaines années), peut-être un truc qui a été interdit ou limité par une norme mondiale ? Moins de pollution ?
Personnellement je pense que la maladie alzheimer a un gros lien avec les dépressions chroniques non détectées et les anxiétés chroniques non détectées parmis les personnes crues saines. Mentir est une fonction de défense aussi.
Je présume, mais mon flair me dicte de faire chercher dans cette région là.
Citation :
Publié par Faerune Stormchild
Ma question? A quoi ça lui sert pour se reproduire et essaimer?
Toutes les fonctions d'un "être vivant" (je mets des guillements parce que les virus...) n'ont pas nécéssairement un "but" de reproduction.
Il suffit à un trait génétique de ne pas avoir d'impact négatif pour perdurer et ne disparaitre que par hasard. (Ou que cet impact soit négatif, mais pas suffisamment pour devenir un handicap)

Les évolutions et mutations ne "servent" à rien. Elles arrivent. Certaines auront des effets positifs et auront donc tendance à voir leurs porteurs se reproduire, certaines auront des effets négatifs et verront leurs porteurs s'éteindre.
Certaines n'auront aucun effet tangible et leur perpétuation dépendra d'autres facteurs.
Ah oui j'avais oublié.
Les virus n'ont pas de mécanique de reproduction privilégiée.
Par ça...

Ce n'est pas trivial.
On connait des virus qui infeste sciemment qu'un ou deux organes. Le reste des organes servant finalement d'hotel de camoufleur de transiteur ou de transporteur.
Le covid semble être moins exclusif, très opportuniste. Il est comme un vandale qui profite de chaque cellule faible, et il sait les trouver, sans vraiment savoir comment en profiter. Comme un Cro magnon devant un Atm ou pire un collecteur de fond porteur d'une valise.

Dernière modification par Faerune Stormchild ; 10/08/2020 à 12h22.
Citation :
Publié par Doudou Piwi
Bonne nouvelle, sur 10 ans, l'incidence de la maladie d'Alzheimer à chuté de 13%, le truc, c'est qu'on sait pas trop pourquoi : https://www.lefigaro.fr/sciences/le-...eimer-20200807 Oo

C'est d'autant plus bizarre que l'espérance de vie a progressé depuis 2010 (même si elle rebaisse un peu certaines années), peut-être un truc qui a été interdit ou limité par une norme mondiale ? Moins de pollution ?
Je trouve ça marrant que ça sorte comme ça dans tous les journaux avec en exergue "on ne sait pas pourquoi", c'est "une nouvelle surprenante", etc...
En faite, ça fait des années qu'on sait que le pic d'Alzheimer est passé et même si c'est pas prouvé, ça fait des années qu'on se doute très fortement que ce qui a le plus jouer en faveur d'une décroissance (individuelle, puisque la population vieillit, on a quand même plus de cas au total), c'est en priorité la gestion des facteurs de risques cardio-vasculaires, notamment l'invention et la généralisation des anti-hypertenseurs.

Pour ceux que ça intéresse : l'activité physique est la seule chose qui sort systématiquement sur la baisse du risque de maladie neuro-dégénérative.
Citation :
Publié par Ed Wood
Je trouve ça marrant que ça sorte comme ça dans tous les journaux avec en exergue "on ne sait pas pourquoi", c'est "une nouvelle surprenante", etc...
En faite, ça fait des années qu'on sait que le pic d'Alzheimer est passé et même si c'est pas prouvé, ça fait des années qu'on se doute très fortement que ce qui a le plus jouer en faveur d'une décroissance (individuelle, puisque la population vieillit, on a quand même plus de cas au total), c'est en priorité la gestion des facteurs de risques cardio-vasculaires, notamment l'invention et la généralisation des anti-hypertenseurs.

Pour ceux que ça intéresse : l'activité physique est la seule chose qui sort systématiquement sur la baisse du risque de maladie neuro-dégénérative.
Y aurait un lien entre hypertension et Alzheimer ?
Ah... Pour moi c'est juste statistique, le coup de l'hypertension.
L'hypertension c'est commun à un grand nombre de personnes supérieurs aux personnes qui ont alzheimer. Je demande des explications plus fouillées.

Ma grand mère qui a eu de l'hypertension depuis qu'elle avait 45 ans et trois pontages plus tard n'a jamais finit en alzheimer.
Au contraire de son mari qui n'a jamais eu autant d'hypertension qu'elle; et il a finit en démence. Les deux ont eu une fin différente vers 85 ans.
La seule divergence que je vois entre eux c'est, lui: son alcool; elle: son anxiété.

Mais d'accord ce cas est particulier.
Mais, sera t'il Mais, sera t'il particulier et singulier si on cherche a prouver que le manque d'alcool ne procure pas alzheimer?

Dernière modification par Faerune Stormchild ; 10/08/2020 à 14h18.
Il n'y avait pas eu un lien établi entre alzheimer et santé buccale/dentaire ? Peut être que les "vieux" de maintenant ont bénéficié de plus de soins dentaires que leurs ainés avant eux ?
Citation :
Publié par Doudou Piwi
Y aurait un lien entre hypertension et Alzheimer ?
En faite les facteurs de risques cardiovasculaires (hypertension, cholestérol, diabète, tabac, obésité, etc...) sont des facteurs de risques d'Alzheimer.
Par ailleurs, ce sont aussi les causes directes des démences dites "vasculaires" qui sont multiples selon le mécanisme. Parfois les gens cumulent une démence vasculaire et une maladie d'Alzheimer.

Citation :
Publié par Faerune Stormchild
Ah... Pour moi c'est juste statistique, le coup de l'hypertension.
L'hypertension c'est commun à un grand nombre de personnes supérieurs aux personnes qui ont alzheimer. Je demande des explications plus fouillées.

Ma grand mère qui a eu de l'hypertension depuis qu'elle avait 45 ans et trois pontages plus tard n'a jamais finit en alzheimer.
Au contraire de son mari qui n'a jamais eu autant d'hypertension qu'elle; et il a finit en démence. Les deux ont eu une fin différente vers 85 ans.
La seule divergence que je vois entre eux c'est, lui: son alcool; elle: son anxiété.

Mais d'accord ce cas est particulier.
Mais, sera t'il Mais, sera t'il particulier et singulier si on cherche a prouver que le manque d'alcool ne procure pas alzheimer?
L'hypertension n'est pas le seule facteur de risque cardiovasculaire, le tabac par exemple en est un bien pire par exemple, être un homme, c'est aussi un facteur de risque. Heureusement que l'hypertension n'est pas une cause directe, c'est juste un facteur parmi d'autres. Et tu trouveras toujours le type qui a eu tous les facteurs de risques et tireras la bonne pioche.
Après, tu as des démences liées à l'alcool directement.
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