L'enseignement en France et à l'étranger

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Citation :
Publié par Egelby tout gentil
Tu n'y penses pas sérieusement ?
" bonjour madame Jacqueline, votre fille [...]

[...] ira avec egelby [...] elle reviendra avec des plaies, des bosses, des griffures, des ongles sales, la tronche parfois bien poussiereuse, elle sentira parfois le rat crevé.
Pas très enviable quand même #Cosette2020.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Alandring
Personnellement, je vendrais plutôt cela comme ça :

"Bonjour Madame Jacqueline. À 18 ans, votre fille aura un emploi. À 25/30 ans, elle aura assez d'économies pour s'acheter un appartement. Quant à votre fils, il ira au lycée, donc il faut compter une fin à 18 ans, plus la prépa (j'espère que vous avez les moyens), plus cinq ans d'études universitaires (j'espère que vous avez les moyens) et enfin un an de stage non payé (j'espère que vous avez les moyens) avant qu'il ne commence à gagner de l'argent."
de 18 à 20ans, en apprentissage et de 20 à 25 ans elle sera surtout au chômage régulièrement ou dans des emplois précaires.

La fac, l'université c'est tout aussi utile pour gérer les chiffres du chômage.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
Assez logique : le vote FN étant influencé par le niveau d'études des électeurs, il est de toute priorité pour les frontistes de bloquer massivement l'accès de la population aux études supérieures.
Je ne pense pas qu'il faille prendre des décisions en fonction de leur impact électoral. Par exemple, les vieux votent massivement à droite et ils sont les premières victimes de la covid, pourtant tu ne m'as pas vu dire ici qu'il fallait à tout prix les protéger .

Cela dit, il est en effet important que les filières ne menant pas à un baccalauréat accordent une place de choix à l'éducation à la citoyenneté, car ils n'auront ensuite plus d'école.

Citation :
Publié par Ohrido-Zen-Attitude
Sur ce plan on pourrait d'ailleurs s'inspirer du modèle Suisse, il me semble qu'il y a plusieurs sélections et elles se font bien plus tôt que chez nous, afin de rediriger les enfants vers les parcours qui leurs correspondent le mieux.
Pour faire simple, les élèves sont séparés en filière dès leur entrée au collège. Ils sont ensuite mis dans des établissements séparés pour le secondaire II, selon qu'ils fassent un apprentissage, une école pré-professionnelle ou aillent au lycée. Il y a en revanche pas mal de passerelles, à tous les moments de la vie (pendant le collège, juste après, après le secondaire II, etc.) Cependant, il n'y pas vraiment de "modèle suisse" : même s'il y a des points communs, il y a aussi de grandes différences entre les cantons.
Maturités.png

(Les maturités gymnasiales, ce sont ceux allant à l'équivalent du lycée français. Les maturités professionnelles désignent les apprentis faisant une maturité en parallèle. Les maturités spécialisées ceux les effectuant au sein d'une école pré-professionnelle)

Citation :
Publié par Estal'exilé
de 18 à 20ans, en apprentissage et de 20 à 25 ans elle sera surtout au chômage régulièrement ou dans des emplois précaires.

La fac, l'université c'est tout aussi utile pour gérer les chiffres du chômage.
Je ne comprends pas trop tes chiffres. Si elle commence un apprentissage à la fin du collège, elle le finira bien à 18 ans. Quant au chômage ou aux emplois précaires, ce n'est pas ce qui se produit en Suisse pour les apprentis.

Les personnes qui galèrent le plus à trouver un emploi, ce sont celles qui n'ont aucune formation (aucun titre du secondaire II) ou qui ont un baccalauréat, mais n'en font rien (échec dans les études universitaires, par exemple). En sortant avec un apprentissage, tu as un métier, ce qui est pratiquement une garantie d'emploi.
Citation :
Publié par Ohrido-Zen-Attitude
Sur ce plan on pourrait d'ailleurs s'inspirer du modèle Suisse, il me semble qu'il y a plusieurs sélections et elles se font bien plus tôt que chez nous, afin de rediriger les enfants vers les parcours qui leurs correspondent le mieux.
Je ne suis pas Suisse mais je travaille pour une boîte Suisse, donc j'ai beaucoup de collègues ayant suivi leur scolarité là bas. Leurs souvenirs c'est surtout une pression énorme venant des parents dès la primaire pour tomber dans les "bonnes filières" au collège. Il faudrait je pense trouver un juste milieu entre le modèle Français et le "J'ai raté mon CM1 ma vie est finie".
Citation :
Publié par Nelphit
Je ne suis pas Suisse mais je travaille pour une boîte Suisse, donc j'ai beaucoup de collègues ayant suivi leur scolarité là bas. Leurs souvenirs c'est surtout une pression énorme venant des parents dès la primaire pour tomber dans les "bonnes filières" au collège. Il faudrait je pense trouver un juste milieu entre le modèle Français et le "J'ai raté mon CM1 ma vie est finie".
À Genève, tu peux changer de regroupement deux fois par année (après le premier trimestre et en fin d'année) si tu as plus de 5 de moyenne (sur 6, avec une moyenne à 4). Tu peux aussi changer en fin de collège (via un redoublement professionnel), faire une maturité professionnelle ou spécialisée (cf les chiffres donnés ci-dessus).

Je n'ai pas les chiffres sous la main, mais des personnes qui ne sont pas orientées dans la meilleure filière au collège et finissent à l'Université, il y en a pas mal.
Citation :
Publié par Alandring
Je ne comprends pas trop tes chiffres. Si elle commence un apprentissage à la fin du collège, elle le finira bien à 18 ans. Quant au chômage ou aux emplois précaires, ce n'est pas ce qui se produit en Suisse pour les apprentis.

Les personnes qui galèrent le plus à trouver un emploi, ce sont celles qui n'ont aucune formation (aucun titre du secondaire II) ou qui ont un baccalauréat, mais n'en font rien (échec dans les études universitaires, par exemple). En sortant avec un apprentissage, tu as un métier, ce qui est pratiquement une garantie d'emploi.
bin le modèle c'est celui de l'Espagne, 1/3 des lycéens passent le bac qui ici à une vrai valeur sélective. Ce sésame leur permet d'entrer à l'université en passant par une sélection sur les notes du contrôle continu des 2 années précédentes + un examen du bac sur les matières principales. La note finale que l'élève obtient détermine à quoi il pourra postuler et dans quelle université.

Les 2/3 restant des élèves vont dans des filières de formation professionnelle des 16 ans. La formation de base est de 2 ans puis ensuite tu peux te spécialiser voir même entrer à l'université via des passerelles si t'as les notes qui suivent. Les meilleurs s'en sortent et le reste coule de la même manière qu'en France.
Sauf qu'en France ceux qui coulent gardent pour une grosse majorité le status d'étudiant pendant quelques années parce que le système le leur permet en additionnant des années de L1 en changeant de filière etc... En Espagne non, ils entrent directement dans la catégorie sans emploi à la fin de leur 2 année de formation si ils ne se bougent pas le cul pour soit poursuivre des études soit trouver un emploi.

C'est une des raisons pour laquelle en Espagne le chômage des jeunes est si important, parce qu'il n'y a pas de volonté politique de masquer ces chiffres en ouvrant les universités à tous pour faire tampon le temps que chaque jeune trouve sa voie.

En Espagne ces jeunes "perdu" ils les appellent les Nini, ni étude, ni travail. J'en ai connu un, l'ex de ma belle fille et j'ai salué cette dernière le jour ou elle l'a largué. Parce qu'il avait tout pour avoir un emploi à la fin de ses 2 ans de formation ou se spécialiser et il a préférer tout abandonner parce qu'il s'est rendu compte à 2 mois de la fin de sa formation que ca ne lui plaisait pas. Le mec aura soit pu s'en rendre compte avant, soit serrer les dents 2 mois de plus et valider son diplôme même si ca ne lui plaisait pas au final. Nan il a préférer abandonner et ne rien avoir.
Je ne vois pas trop ou tu veux en venir, ce que je dis c'est Espagne ou France, c'est grosso modo la même chose sauf qu'un pays cache la misère derrière l'université.

Les études universitaires coûtent une blinde en Espagne aussi d'ailleurs, je crois que c'est le 2nd pays d'Europe pour le coût des études supérieur. Ma belle fille sa première année d'université on a payer 1800 euros, la deuxième et les suivantes devraient tourner autour de 1500.

Enfin l'Espagne exporte ses diplômés, les différentes crises économiques étant les premières raisons. Il y a beaucoup d'Espagne en Allemagne depuis 2008 par exemple, ou en Amérique latine aussi.
Je ne veux en venir nulle part c'est une question.

L'université française ne sert pas QUE à cacher la misère même si c'est vrai, elle délivre aussi un enseignement à de larges masses.

Si l'Espagne a beaucoup moins d'étudiants qui finalisent des études, elle aura logiquement moins de personnel formé à ce niveau, moins de cadres à niveau plus élevé, probablement moins aussi d'entreprises créées par et pour ces diplômés. Du coup n'est ce pas au final pénalisant pour l'économie ?
Citation :
Publié par Don Patricio
Je ne veux en venir nulle part c'est une question.

L'université française ne sert pas QUE à cacher la misère même si c'est vrai, elle délivre aussi un enseignement à de larges masses.

Si l'Espagne a beaucoup moins d'étudiants qui finalisent des études, elle aura logiquement moins de personnel formé à ce niveau, moins de cadres à niveau plus élevé, probablement moins aussi d'entreprises créées par et pour ces diplômés. Du coup n'est ce pas au final pénalisant pour l'économie ?
Combien de ces étudiants finalisent leurs études en France? Si c'est pour répéter 2 L1 puis aller ailleurs puis finalement se décider à faire une formation, bin l'université elle n'a pas enseigné des masses a ces étudiants. En L1 t'appends pas grand chose puisque ca sert d'écremoire.

J'ai parlé des nini en Espagne mais ils ne sont pas une finalité (ou pas dans la majorité), on parle de jeunes qui ne savent pas ce qu'ils veulent faire pendant quelques années. En France on les voit pas, ils sont cachés sous les chiffres du ministère de l'éducation, en Espagne ils sont visible dans les chiffres du chômage jusqu'au moment ou ils reprennent une formation ou trouve un emploi.

Je pense qu'on s'éloigne du sujet en tout cas
Je pense que c'est toujours mieux de foirer 2 L1 que de n'avoir pas tenté d'en faire une a priori. Ce nivellement par le bas que vous souhaitez...

S'il y a bien un domaine sur lequel il faut insister c'est l'éducation, je m'en tape que les mecs se perdent en psycho ou en socio, si ça leur plait, ça fera toujours moins des abrutis qu'après un bac, et cela qu'importe le cout.
Citation :
Publié par TIME NO HEROES
Je pense que c'est toujours mieux de foirer 2 L1 que de n'avoir pas tenté d'en faire une a priori. Ce nivellement par le bas que vous souhaitez...
Quel est l'intérêt d'un bac si tu ne fais pas d'études supérieures, alors que tu aurais pu effectuer une formation professionnalisante à la place ?

Le bac, c'est un papier qui t'autorise à entrer à l'université, rien de plus. Du coup, si tu vas à l'uni tant mieux, je pense même que tu y es bien préparé (en Suisse en tout cas). Si tu n'y vas pas ou si tu échoues, tu as perdu 4 à 5 ans de ta vie, pour rien.

J'ai un pote qui a eu sa maturité (en 4 ans parce qu'à Genève, le lycée dure quatre ans parce que plus c'est long, mieux c'est https://jolstatic.fr/forums/jol/images/icons/icon14.gif), a fait deux ans d'uni avant d'échouer et a ensuite commencé un apprentissage. Il l'a fini et a eu un job ensuite, mais il a quand même perdu 6 ans de sa vie, qui ont coûté une blinde à la société.

C'est un choix, j'imagine. À titre personnel, je préfère mieux payer les enseignants et diminuer le nombre d'élèves par classe plutôt que de favoriser des formations complètement inutiles.
Citation :
Publié par Alandring
Quel est l'intérêt d'un bac si tu ne fais pas d'études supérieures, alors que tu aurais pu effectuer une formation professionnalisante à la place ?

Le bac, c'est un papier qui t'autorise à entrer à l'université, rien de plus. Du coup, si tu vas à l'uni tant mieux, je pense même que tu y es bien préparé (en Suisse en tout cas). Si tu n'y vas pas ou si tu échoues, tu as perdu 4 à 5 ans de ta vie, pour rien.

J'ai un pote qui a eu sa maturité (en 4 ans parce qu'à Genève, le lycée dure quatre ans parce que plus c'est long, mieux c'est https://jolstatic.fr/forums/jol/images/icons/icon14.gif), a fait deux ans d'uni avant d'échouer et a ensuite commencé un apprentissage. Il l'a fini et a eu un job ensuite, mais il a quand même perdu 6 ans de sa vie, qui ont coûté une blinde à la société.

C'est un choix, j'imagine. À titre personnel, je préfère mieux payer les enseignants et diminuer le nombre d'élèves par classe plutôt que de favoriser des formations complètement inutiles.
D'être un peu moins con tout simplement, je pense qu'être dans un environnement étudiant est important pour son développement personnel, on rencontre des gens différents dans l'enseignement supérieur qu'au collège / lycée , je n'étais pas du tout le plus assidu à l'université mais je sais que ça m'a rendu moins bête.

Je ne sais pas ce que ça veut dire perdre 6 ans à vrai dire, effectivement s'il n'a rien tiré de ces années d'université, elles sont perdues m'enfin, ça reste des bons moments généralement. Je trouve qu'il n'y a rien de pressant à mettre tout le monde au travail, j'adore d'ailleurs les danois qui font une année sabbatique après leur bac, ça devrait être la règle (3/4 des danois a priori qui sortent du général).

Je préfère mieux payer les enseignants et encourager les gens à faire des études. Mais je suis pour augmenter les impôts, taxer à mort l'héritage, l'interdiction de la propriété multiple bref
C'est partir du postulat que la formation dispensée en parallèle de l'apprentissage (2 jours par semaine pendant trois ans) ne pourrait pas apporter la même chose en terme d'enrichissement personnel. Je ne suis pas d'accord.

Pour l'âge auquel les gens commencent à travailler, c'est une question super complexe, qui implique aussi le système de retraite, mais à mon sens le plus indispensable, c'est la pertinence. Si un type travaille pendant six mois dans une station service puis s'offre six mois à l'étranger avant d'entrer à l'université, cela ne me pose aucun problème. S'il échoue trois formations avant de faire autre chose, je n'en vois pas l'intérêt.
Citation :
Publié par Alandring
C'est partir du postulat que la formation dispensée en parallèle de l'apprentissage (2 jours par semaine pendant trois ans) ne pourrait pas apporter la même chose en terme d'enrichissement personnel. Je ne suis pas d'accord.

Pour l'âge auquel les gens commencent à travailler, c'est une question super complexe, qui implique aussi le système de retraite, mais à mon sens le plus indispensable, c'est la pertinence. Si un type travaille pendant six mois dans une station service puis s'offre six mois à l'étranger avant d'entrer à l'université, cela ne me pose aucun problème. S'il échoue trois formations avant de faire autre chose, je n'en vois pas l'intérêt.
Le niveau intellectuel n'est pas le même, les matières à l'université sont généralement plus nobles et stimulantes intellectuellement.

Citation :
Ainsi, 73 % des bacheliers 2008 inscrits en licence à l'université en sont sortis avec un diplôme de l’enseignement supérieur (un tiers de niveau bac +5 et un autre tiers de niveau bac +3).
Concernant ton exemple, je trouve ce chiffre et il me convient très bien.
https://www.letudiant.fr/educpros/ac...expliques.html
Citation :
Publié par TIME NO HEROES
Le niveau intellectuel n'est pas le même, les matières à l'université sont généralement plus nobles et stimulantes intellectuellement.

Merci l'insulte. On peut nous aussi qui n'avons pas été à l'université te traiter de gros con? Parce qu'en la matière tu te poses bien.
D'autant plus qu'avoir une licence ne garantit pas d'avoir un boulot à la fin. Il y a un nombre incalculable de licence inutile où la sélection s'effectue après le master 1.
Citation :
Publié par Estal'exilé
Merci l'insulte. On peut nous aussi qui n'avons pas été à l'université te traiter de gros con? Parce qu'en la matière tu te poses bien.
Pas de l'université mais des études supérieures en général. L'université ça n'a d'ailleurs rien d'élitiste généralement.

Pas la peine d'être vexé, il suffit d'être allé au collège/lycée et de constater l'orientation de chacun en fonction de son niveau scolaire...

De plus, je parle en général et pas de cas particulier, il y a des gens "bons" partout.

La réflexion initiale voulait juste dire qu'il ne faut pas à mon sens limiter l'accès à l'éducation supérieure et qu'il en ressortira toujours quelque chose pour la société.

Bref je préfère qu'on assure un service maximum d'éducation plutôt qu'envoyer tout le monde au turbin le plus tôt possible afin de financer les retraites.

Dernière modification par TIME NO HEROES ; 08/07/2020 à 20h04.
Je pense aussi qu'il faut laisser un maximum de possibilités de faire des études. En revanche comme dit Alandring on pourrait limiter les possibilités pour éviter le coté garderie pour adulescents. Par exemple limiter les possibilités de réinscription pour les étudiants qui ne travaillent pas scolairement ni professionnellement, ou augmenter les frais pour ceux là (car l'université et l'éducation nationale coûtent cher et ne doivent pas être "gaspillés" pour les branleurs / accueillir un maximum de désoeuvrés ou mal orientés, mais prodiguer un enseignement le meilleur possible à tous ceux qui le méritent).
98% de réussite au bac (et il reste encore le rattrapage de septembre).
Citation :
Près de 96 % des 745 900 candidats au baccalauréat 2020 ont été reçus au terme de la première session de rattrapage, soit 7,6 points de plus qu’en 2019, a annoncé samedi 11 juillet le ministère de l’éducation nationale.

Les élèves ayant eu le bac du premier coup étaient 91,5 %, un record absolu pour cette session exceptionnelle. En raison de la crise du coronavirus, les épreuves finales ont été supprimées et seules ont compté les notes des premier et deuxième trimestres pour la délivrance de l’examen.
Donc pour l'instant alors qu'il reste encore une session de rattrapage..

Citation :
Dans le détail, les lycéens en filière générale sont 98,4 % à avoir obtenu leur bac (contre 91,2 en 2019). Pour les baccalauréats technologiques, le nombre de diplômés atteint 95,7 % (contre 88,1 %). Enfin, 90,7 % des candidats aux baccalauréats professionnels ont obtenu leur diplôme (contre 82,3 %).
Le bon côté des choses, c'est qu'il n'y aura presque pas de redoublants devant changer de système.



Mais bon on reste à quasi-100% l'année prochaine autant le donner directement, non ? Inversement est-ce que le nouveau bac sera plus sévère que 90%?
Actuellement, vu l’intérêt du bac générale, j'aurai tendance à le faire qu'en contrôle continue comme cette année quoi... Tu as la moyenne, tu as ton bac... Ca évitera aux grands nerveux de redoubler malgré de bonnes notes...

A l'époque ou le bac avait une valeur "importante", ca avait un intérêt de faire un examen dédié mais maintenant... c'est de l'argent gâché imo...
Citation :
Publié par TIME NO HEROES
S'il y a bien un domaine sur lequel il faut insister c'est l'éducation, je m'en tape que les mecs se perdent en psycho ou en socio, si ça leur plait, ça fera toujours moins des abrutis qu'après un bac, et cela qu'importe le cout.
C'est marrant parce que depuis quelques temps j'ai tendance à penser que tu sors beaucoup plus con d'étude de sociologie que quand t'y es rentré.
Depuis quelques années les fac de lettres et plus particulièrement en socio, sont gangrenées par les études de genre et sur les minorités raciales.
J'ai surtout l'impression que c'est la lecture des médias et leur réalité alternative prit pour argent comptant tout en ignorant ce qui s'y passe dans ses facs, qui rend les gens plus abrutis que la moyenne...
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