Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
Aller à la page... |
Politique et économie au Royaume-Uni
Suivre Répondre |
|
Partager | Rechercher |
|
Le bon journal anglais de droite c'est le Times et il est derrière un pay wall :/
|
01/06/2020, 22h35 |
|
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
|
Tu n'as pas tort !
The Guardian est un titre de très bonne qualité, que j'apprécie. Mais sans doute peut-on le classer un peu plus à gauche que Libération, sans être l'Humanité. Après tu peux choisir The Daily Mail, qui doit être un peu plus à droite que Le Figaro ou The Daily Express qui est on ne sait même pas où, tellement il est à droite. Mais ils ont des formats pas très confortables à la lecture, et même je trouve que leurs sites web sont brouillons. A toi aussi, |
01/06/2020, 22h38 |
|
Caniveau Royal |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Caniveau Royal |
|
Le Times ?
C'est plutôt l'équivalent du Figaro mais d'un meilleur niveau de ce que j'ai compris. Mais vu que c'est payant, jamais eu l'occasion de vérifier. |
01/06/2020, 22h38 |
|
Dieu / Déesse créateur/trice
|
Citation :
Citation :
Globalement c'est ça. A une certaine époque Le Monde était du même niveau mais c'est fini depuis au moins 20 ans. J'ai pas lu le Times depuis un bail ceci dit je vais pas mentir, que en avion ... donc ça doit remonter déjà à 2/3 ans la dernière, mais ça restait assez touffu à ce moment, bien plus que le Monde. Beaucoup plus élitiste. Des analyses pleines pages ou moitié pages, à foison, et en général d'un très bon niveau. Des débats critiques (qui avaient l'air d'être suivis sur de longs mois). Un vrai bon journal oui, mais exigeant. Après selon moi le Figaro ne démérite pas tant que celà c'est différent mais c'est également un très bon journal, et dans le marasme actuel il arrive à maintenir un semblant... de je sais pas quoi. C'est quand même pas la fête et quand tu vois la tronche de ses chroniqueurs c'est quand même de la droite fortement mâtinée d'extrême gauche. On va dire que c'est gaulliste ... Dernière modification par Don Patricio ; 01/06/2020 à 23h05. |
01/06/2020, 22h45 |
|
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
|
Rioufol et Zemmour d'extrême-gauche...
Vaut mieux lire ça que de devenir aveugle à cause d'un covid des yeux je suppose. |
01/06/2020, 23h17 |
|
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
Dieu / Déesse créateur/trice
|
[Modéré par Adau : Non]
Dernière modification par Adau ; 02/06/2020 à 08h50. |
02/06/2020, 00h42 |
|
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
|
Citation :
dans mes podcasts (dernièrement Brexit: Is the UK headed for a no deal? https://www.theguardian.com/news/series/todayinfocus) et effectivement Citation :
sur le Brexit, il y a également https://www.politico.eu/section/brexit/ |
02/06/2020, 00h43 |
|
|
[Modéré par Adau : DSO]
Dernière modification par Adau ; 02/06/2020 à 08h49. |
02/06/2020, 00h51 |
|
|
Un peu de politique-fiction : et si le Brexit n'avait pas eu lieu ?
https://www.liberation.fr/planete/20...peenne_1789961 Quatremer imagine ce qui serait arrivé avec les Anglais dedans, par rapport au plan de relance européen. Son analyse se résume simplement : "heureusement qu'ils ne sont plus là". Du reste, sans Londres, la coalition austro-hollando-dano-suédoise parait bien faible. Par contre, je ne suis absolument pas certain que la possibilité offerte à l'UE d'avancer, enfin, signifie qu'elle avance forcément dans la bonne direction. Mais c'est une autre question. |
02/06/2020, 02h28 |
|
Dieu / Déesse créateur/trice
|
[Modéré par Adau : Non]
Dernière modification par Adau ; 02/06/2020 à 08h48. |
02/06/2020, 02h42 |
|
Déposeur2bilan |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Déposeur2bilan |
|
Bon les enfants, on va siffler la fin de la récré, tirer des oreilles et mettre des heures de colle
Citation :
Citation :
Citation :
|
02/06/2020, 08h13 |
|
|
Citation :
|
02/06/2020, 08h25 |
|
|
On veut du Daily Mail ? On en aura !
STEPHEN GLOVER: Bruxelles utilise le Covid-19 comme excuse pour reporter le Brexit, mais nous ne devons pas quitter la route Le Brexit ! Donc, vous pensez qu'il a eu lieu ? Pas exactement. La Grande-Bretagne peut avoir quitté l'UE, mais les futures relations, cruciales, avec le bloc sont toujours discutées, et d'une manière improductive et acrimonieuse. Michel Barnier, le chef européen des négociations est revenu dans le Sunday, avertissant Boris Johnson qu'il doit tenir ses promesses si un accord doit être finalisé d'ici la fin de l'année. Mais c'est exactement ce que le gouvernement dit de l'UE - qu'elle a rompu sa parole. La grief spécifique contre Bruxelles est qu'elle a retiré son offre d'un accord de type Canada et demande que le Royaume-Uni se conforme aux règles de l'UE comme si elle était toujours un membre de l'organisation. La vérité, c'est que les deux parties sont plus éloignées que jamais, qu'il y a peu de perspective que ce quatrième round de pourparlers va mener quelque-part. Une confrontation plus tard dans le mois entre le Premier Ministre et la présidente de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen, parait probable. Pour faire court, notre vieux compagnon le No Deal, que la plupart d'entre-nous avons sortis de nos têtes durant le cauchemar du Covid-19, est de retour à la fenêtre. Presque personne ne veut d'un tel résultat qui impliquerait des droits de douane entre l'UE et le Royaume-Uni. C'est pourquoi beaucoup de gens, incluant même des brexiters, peuvent être séduits par le sous-entendu de Mr Barnier dans son interview au Sunday Times. Il dit que le gouffre entre l'Union Européenne et le Royaume-Uni est si grand qu'un agrément d'ici la fin de l'année est une chimère, même si cette date butoir a été inscrite dans la loi britannique. Le félin Mr Barnier nous tente avec un argument d'allure superficielle : avec le Covid-19, une préoccupation grande consommatrice de temps, nous aurions besoin de davantage de temps pour résoudre nos nombreux différents, ce qui ne peut être accompli dans les sept prochains mois. Devrions-nous être emportés par cette douce suggestion ? Non, nous ne devons pas ! Ce ne serait pas loin d'un désastre d'abandonner la deadline du 31 Décembre, qui abrogerait le Withdrawal Agreement. Laissez-moi expliquer pourquoi. En premier lieu, si les négociations devaient être tirées pour - qui sait ? - au moins deux ans après la fin de cette année, la Grande-Bretagne continuerait à faire un paiement annuel net de quelques 9 milliards de livres, sans avoir rien à dire aux délibérations de l'Union Européenne, puisque nous n'en sommes plus membres. Nous serions captifs, mais un captif dont on s'attend à ce qu'il paie une énorme somme d'argent pour le privilège d'être incarcéré. La somme serait presque certainement augmentée substantiellement quand Bruxelles ferait passer le chapeau autour de la table, probablement tôt l'année prochaine, pour accroître son fond de lutte contre le Covid-19. C'est déjà assez mauvais, mais les conséquences tactiques d'un délai seraient encore plus dommageables. Si le gouvernement britannique acceptait de renoncer à la limite de cette fin d'année, Bruxelles aurait remporté une victoire psychologique considérable et conduirait un marchandage encore plus rude pour un accord final. C'était, en fait, déjà un exploit de la part de Mr Johnson d'obtenir de l'UE d'accepter un seuil au au 31 Décembre. Sa réponse initiale était qu'aucun agrément ne pouvait être trouvé dans un temps si court, mais ils s'y sont finalement attelés. Maintenant, la couverture du Covid-19 est entrain d'être utilisée pour arranger une extension. Aussi, le gouvernement a t-il absolument raison d'insister que la deadline ne peut changer. Il est très important que Mr Barnier, et d'ailleurs tous les leaders de l'UE, ne pensent pas que Mr Johnson bluffe. S'ils suspectent qu'il le fait, et que la prolongation est parmi les cartes, ils ne vont pas négocier de bonne foi. Cependant, il ne faut pas se dissimuler que la conséquence d'un premier ministre se montrant ferme pourrait être le No Deal, et j'ai dit que c'était une éventualité dont presque personne ne veut. Mais cela peut certainement être évité si les deux parties se montrent plus flexibles, et ont une volonté de compromis sur les termes finaux. Aussi loin que Bruxelles est concerné, il y a une tendance à traiter la Grande-Bretagne comme une sorte de satellite de l'UE, et pas un pays indépendant. Nulle-part ce n'est plus apparrent que dans la ligne dure que Mr Barnier a prise sur les pêcheries. Pour ainsi dire, l'UE veut que les accès auxquels ses flottes de pêche profitaient dans les eaux britanniques quand le pays était un état-membre continue maintenant que nous l'avons quittée. Le Gouvernement argumente que, comme c'est le cas pour la non-UE Norvège, la Grande-Bretagne doit décider comment et quand les flottes étrangères peuvent être autorisées à pêcher dans nos eaux. [...] Dernière modification par Caniveau Royal ; 02/06/2020 à 13h18. |
02/06/2020, 12h58 |
|
Caniveau Royal |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Caniveau Royal |
|
avec la prise de contrôle du pouvoir chinois sur Hong Kong, les britanniques faciliteraient l'émigration de 3 millions de personnes
Citation :
Citation :
https://www.theguardian.com/world/2020/jun/03/britain-could-change-immigration-rules-for-hong-kong-citizens Je me demande quels seraient les scénario et le nombre de migrants (les USA proposeraient aussi quelque chose de ce genre, a priori c'est préférable au RU sauf qu'en ce moment le pays n'est pas attractif). Les citoyens de hong kong qui ont ces passeports sont en général riches et éduqués. Des idées sur l'impact de cette mesure ? |
03/06/2020, 09h32 |
|
Suivre Répondre |
Fil d'ariane
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|