ps : et quand je dis toxique, c'est même toxique à l'intérêt des groupes défendus. L'attitude militante actuelle qu'on peut voir en ligne c'est juste l'opposé de celle qui marche. Pour moi la première à se féliciter de ces dérives c'est l'extrême-droite dont le masculinisme est devenu une des principales porte d'entrée via la critique des "SJW".
Les femmes ont aussi plutôt profité du fait que tout les services publiques féministes (les associations financé par l'Etat) leur étaient réservés. Elles ont profités du fait que leurs professeurs de maths ont pu les favoriser (étude en France) ou que leurs employeurs les ont favorisés à l'embauche. Elles ont pu frapper/violer des hommes de façon plus impunie que si ça avait été des femmes (sauf les lesbiennes qui ont un passe immunité).
Alors oui, à un moment donné ça finit par se retourner contre une partie d'entre elles et elles ont pas signés pour ça. Mais faut peut être arrêter de croire que ces groupes identitaires vont contre l'intérêt des membres, parce qu'un paquet y trouvent leur compte. Surtout les femmes qui réussissent en utilisant le féminisme, qui est devenu la façon dans les médias d'être promu, elles ont tout intérêt à ce que rien ne change.
On voit les problèmes des femmes, au détriment des hommes, quand ça finit par impacter négativement les femmes, on voit qu'il y a un problème mais rien ne change au fond et on ajuste simplement quand ça coince. Avec cette logique là, le backlash est nécessaire pour stopper la balance et la pensée réactionnaire est la seule qui peut arrêter la machine.
Alors oui, c'est pas bien les débordements, mais pour lutter contre les débordements (attentats par exemple) plutôt que d'avoir les frousses au point d'avoir peur que l'histoire de Depp finisse par saper la crédibilité des femmes, on peut aussi prendre le problème en main.
Dernière modification par Yame ; 13/02/2020 à 14h11.
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