Petite histoire personnelle sur ce même thème. Il y a un an j'habitais un endroit fort sympathique au deumerant, mais dans la copro habitait un sexagénaire atteint d'une maladie mentale (schizophrénie ou autre), et à des heures incongrues (même si généralement à 23h et à 5h du matin) hurlait à la mort et insultait qui veut l'entendre (il était 2 étages au dessus et je l'entendait comme s'il criait chez moi). Par plusieurs fois il criait dans la cage d'escalier ce qui raisonnait absolument partout, et se plaisait même à taper avec un objet métallique sur son radiateur, ce qui propageait le bruit absolument partout.
Bref, complètement illégal, et ça ne passerai nul part. Et pourtant, ce monsieur étant diagnostiqué par un psy, on ne pouvait rien faire. Le syndic de la copro composé de petits vieux me disaient qu'on ne pouvait rien faire (ce qui est vrai, ils m'ont montré leurs démarches, tout ce qui était tentable avait été tenté), et que le mieux était de mettre des bouchons d'oreilles ou de retirer ses prothèses auditives (lol). Il a bien fini par déménager momentanément, mais est revenu 3 mois après.
Contactant le propriétaire de mon appartement, je lui ai signalé que ça n'allait pas être possible sans action de sa part (je m'en fout que tout a déjà été tenté, je le notifiais juste). J'ai décidé de lui donner mon préavis de départ pas longtemps après. Par contre, à chaque fois que des visites étaient organisées, je ne manquait pas en présence du propriétaire et pendant la visite (j'avais refusé qu'il fasse des visites en mon absence) de mentionner le fou qui hurle à pas d'heures, pour dissuader d'éventuels futurs locataires, et pour leur éviter le calvaire que j'ai vécu.
De ce que j'ai pu voir en passant récemment, c'est que le sexagénaire fou a déménagé (l'adresse n'est plus à son nom), donc il y a bien des recours, mais le mieux est définitivement de se barrer.
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