Le fil survivaliste

Répondre
Partager Rechercher
Les incendies australiens, le coronavirus chinois. le bar doit en prendre sa part.
Le fil survivaliste doit être ouvert !
fa7281ed382ea3c8fe8d46317f7bef81.jpg

J'aime toujours regarder ce que proposent les marchands aux inquiets.
Ce qu'ont bâti ces inquiets-là pour se protéger de la fin du monde. Certains l'attendent, celle-là, vraiment, en plus : ils l'appellent de leurs vœux.

Mais alors après, cela fait des trucs curieux. Un américain aura son 4x4 géant équipé d'un pare-buffle et des défenses contre des bandits qu'il imagine, sans réfléchir qu'il pourrait ne plus y avoir de chemins de tout ni surtout... d'essence.

earthroamer-xv-lt-dressed-SC.jpg
Le modèle élégant du survivalisme tout confort, mais qui attirera les bandits, justement.

Les maisons deviennent des bâtisses de forcenés. Et c'est très fréquent que son propriétaire pose devant, l'arme à la main.

C'est pour ça que moi qui n'aime pas les armes, j'ai choisi une image épurée pour illustrer :

Screen-Shot-2017-12-11-at-3.43.56-PM-1200x900.jpg

Mais gare à l'imprudent ! Même quand ça a l'air sylvestre, ça ne l'est pas !

dugout-known-pithouse-on-edge-forest-dugout-ss-Feature.jpg

Toi aussi barien, peut-être, il te faudra survivre. Ou pour le moment, prétendre que tu pourrais.
Moi au début je voulais faire cuire des saucisses sur l’échappement d'une Porsche, mais quand j'ai vu le prix de la Porsche j'ai décidé d'opter pour un réchaud finalement.
Citation :
Publié par Jet
je compte uniquement sur la chance, comme ça je me prend pas la tête mdr
Dans ce cas il faut toujours miser sur le noir.
Le souci avec les crêpes c'est les œufs. Le lait et la farine ça peut se conserver des décennies, mais les œufs au delà d'un mois c'est compliqué. La congélation n'est évidement pas une option, et les crêpes industrielles c'est dégueulasse.
Reste la solution de garder une poule et des réserves de blé, ou sinon faire comme un connard de vegan et remplacer les œufs par des graines de lin ou de chia (mais ça va être dégueulasse donc autant prendre des crêpes industrielles à ce niveau là).
Cette stratégie de faire un bunker c'est complètement à côté de la plaque.
Le vrai survivaliste apprends une ou deux langues étrangères et apprends des compétences utiles pour avoir du taff partout.
Soudeur, plombier, électricien, cuistot, conducteur d'engins...

Donc si c'est la merde en Europe, ben faut se barrer en Amérique du Sud (par exemple).
Ça sert à rien ton bunker. Tu te feras piller par des mecs avec des flingues qui te diront ''merci pigeon de t'être bien préparé, maintenant on prend toute ta bouffe''
Un bunker, on a tous en 1940 que ça servait pas à grand chose. Ce qu'il faut, c'est une base mobile, permettant de se déplacer facilement, de se mettre hors de portée des pillards voire de contre-attaquer avec aisance, et classe. Sans pour autant dépendre de carburants à la disponibilité douteuse.
abebdbca6e805eb29679311e1ac2a66b.jpg
Citation :
Publié par Attel Malagate
Le vrai survivaliste apprends des compétences utiles pour avoir du taff partout.
Soudeur, plombier, électricien, cuistot, conducteur d'engins...
Ouais c'est valable pour un homme ça. Une femme elle doit surtout apprendre à faire la pute tout en persuadant que la pute du groupe c'est l'autre. Je l'ai lu dans un ouvrage de philosophie publié par RonJ, ça s'appelle Les fondements de la métaphysique des putes. C'est très intéressant comme bouquin.
Citation :
Publié par Attel Malagate
Y'a quand même pas mal de bonnes femmes dans des bullshit job, quand l'effondrement viendra, les louboutins de mise sur l'épaisse moquette d'un immeuble de la défense, pourront être réutilisés sur le trottoir.
Non, non, il y a tout un paquet d'avortons.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Le Comte Draghila
Honnêtement le kit de survie me parait bon, il y a tout, sauf l'alcool et les cigarettes peut-être. Sinon le meilleur plan selon moi ce serait de choisir un immeuble de plusieurs dizaines d'étages et de se poser sur le dernier.

Bon il faudra barricader les escaliers comme dans 28 jours plus tard et bloquer l’ascenseur, mais ça me parait être le meilleur spot pour survivre.
hmmmm

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sigir%C3%AEya


Citation :
À la fin du Ve siècle, Kassapa I, le fils aîné provenant d'une concubine, du roi d'Anurâdhapura Dhatusena entre en conflit avec son frère cadet Moggallana. Le trône doit revenir de droit au fils légitime mais Kassyapa ne l'entend pas ainsi. Il fomente un complot et tue son père en l'emmurant vivant puis prend le contrôle de la régence et expulse son frère Moggallana qui est contraint à un exil forcé en Inde. Moggallana, en quittant son frère, l'avertit qu'il reviendra et qu'il vengera leur défunt père. Extrêmement précautionneux et paranoïaque, Kassapa qui sait qu’un jour ou l’autre son frère reviendra, lève son armée et quitte la capitale royale d'Anurâdhapura pour s'installer à Sigirîya en attendant le retour de son frère. Il choisit le site de Sigirîya en raison de l'immense rocher culminant à 370 mètres aux parois abruptes qui joue le rôle d'impressionnantes murailles et de la présence à dix kilomètres d'un tank, réservoir d'eau qu'avait jadis creusé son père. Les travaux d'aménagement du site sont relativement courts, comparé à la difficulté et à l'ampleur de la tâche à accomplir.
Kassapa fait bâtir au sommet du rocher une forteresse et il aménage au sol toute la partie qui s'étend au Sud et à l'Est du rocher où il fait édifier deux rangées de murailles et de fossés, le Nord et l’Ouest étant protégés par l’épaisse jungle qui empêche toute invasion massive. Kassapa fait trouer une percée souterraine depuis le réservoir situé au Nord-Est jusqu’au site de Sigirîya afin d’y amener l’eau courante, la pente de cette canalisation est très faible et l’écart d’altitude entre le réservoir et le site de Sigirîya n’excède pas 50 centimètres. Cependant cela suffit pour que l’eau jaillisse à Sigirîya et les jardins entourant le site sont parsemés de bassins et constellés de petites fontaines. Cette eau est acheminée jusqu’au sommet du rocher par un procédé de citernes sans aucune force humaine et elle s’écoule au sommet alimentant la piscine du roi, et les différents réservoirs destinés à l’arrosage des jardins et à la toilette des membres de la cour.

Kassapa poste ses gardes autour du rocher dans les jardins aménagés derrière les murailles, les constructions épousent habilement les formes géologiques du site, tantôt une grosse pierre sert de mur et de fondation, tantôt une anfractuosité dans la roche sert de soutien à une toiture… Cette utilisation ingénieuse de la nature environnante permit entre autres d’accélérer les travaux. Les gardes sont tous placés sur des promontoires à la surface exagérément petite et chaotique, toute perte de vigilance ou assoupissement entraînant la chute de la sentinelle.
Une fois les travaux de gros œuvre achevés, Kassapa s’installe dans son palais où il demeure, craintif, la plus grande partie de son temps. Il est entouré de sa cour composée de servants, de valets, d’hommes de main, de confiance et de ses courtisanes. La légende dit que le roi Kassapa était entouré de mille courtisanes, les demoiselles de Sigirîya. Il fait peindre, dans un style proche de celui d'Ajantâ, dans une large anfractuosité de la roche de la face sud du rocher, à mi-hauteur, les portraits de pied ou de buste de toutes ces demoiselles - ou plus probablement des apsarâs, au nombre de vingt-et-une - toutes différentes.
Pendant dix-huit ans, Kassapa vit reclus dans sa forteresse attendant au milieu de sa cour plutôt féminine le retour de son frère Mogallana. Durant ce temps, Mogallana réfugié en Inde, lève une armée avec l’aide d’un râja et traverse le détroit de Palk qui sépare le continent indien de Ceylan puis fait directement route vers Anurâdhapura qu’il trouve complètement abandonnée. Il obtient des renseignements qui lui permettent de retrouver son frère parricide à Sigirîya.
Alors que Kassapa séjourne tranquillement au sommet de son rocher, il voit arriver par le Sud et par l’Est des troupes qu’il identifie aussitôt : son frère est de retour. Kassapa boucle les jardins et met la garde en alerte pour le combat qu’il pense forcément gagné étant donné l’avantage que lui confère sa position. Mogallana, en fin stratège, déploie ses troupes autour du site et l’assiège, attendant que son frère descende au combat. Mais, Kassapa avait pensé à tout, sauf au ravitaillement en cas de siège. Après à peine une semaine, Kassapa épuisé par la faim descend et se livre, sans combat, à son frère aîné qui l’exécute.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Le Comte Draghila
Etant au dernier étage je pourrais accéder au toit, récupérer l'eau de pluie, la traiter si besoin, réaliser un potager et faire un élevage de poules (il me faut une poule avec le kit). Du coup je serais en autonomie totale.
Et une infestation de puces te filera la grippe H5N1, tu périras probablement dans d'atroces quintes de toux compulsives mais ta dépouille permettra sûrement à la poule de survivre *Happy End*
Citation :
Publié par Le Comte Draghila
Etant au dernier étage je pourrais accéder au toit, récupérer l'eau de pluie, la traiter si besoin, réaliser un potager et faire un élevage de poules
Comment tu fais un élevage avec une seule poule ? Je suis presque sûr qu'un homme ne peut pas se reproduire avec une poule.
Message supprimé par son auteur.
A moins que tu ne trouve une femme qui ponde des œufs (pas des chiards, nuance), oui. Sinon comment tu fais pour les crêpes ? Je suis presque sûr que si on remplace les œufs par des fœtus mort c'est pas bon.
Message supprimé par son auteur.
Message supprimé par son auteur.
Et si c'est un hiver nucléaire ? Le potager sur le toit, c'est quand même moyen.
Le seul avantage, c'est que la Poule pondra de temps en temps deux oeufs dans le même oeuf, ce qui fera certainement des crêpes radioactives plus nutritives.
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés