Publié par
Nof Samedisþjófr
Après, les positions intellectuelles sont valides ou pas indépendament de qui les tient, hein. Mais connaître la vie de ceux qui mènent certains combats permet de se faire une idée des objectifs qu'ils cherchent à atteindre.
La seconde phrase contredit la première.
Le souci majeur de la lutte contre les organisations terroristes religieuses en France, est qu'elle sert de couvert, pour certains, à la lutte contre la religion, et pour d'autres, à l'expression d'idées racistes prohibées d'expression dans leur sens premier.
Le probleme a régler, ce sont les troubles à la sécurité publique et les violations des droits de l'homme, pas les pratiques religieuses qui n'ont aucune conséquence sur autrui.
La situation francaise est bien spécifique et y intégrer des idées et principes résultat de situations ayant lieu à l'étranger est trompeur et souvent malhonnête.
On y trouve:
-Des actes terroristes ayant été commis par des radicaux religieux d'une religion spécifique
-Des anticléricaux qui cherchent à mettre tous les croyants dans le sac des radicaux religieux
-Des racistes qui cherchent à faire endosser les actes des religieux radicaux aux arabes.
-Des religieux radicaux qui ne font que pratiquer leur religion sans emmerder personne qui aimeraient qu'on leur foute la paix
-Des athées qui disent que l'acte X est un acte radical
-Des croyants qui disent que non.
-Des racistes qui disent que si, après tout ca va servir pour charger les arabes.
-Un parti politique dont les dirigeants sont rémunérés sur le succés du concept des musulgnoules
-Des anars qui ont laissé depuis longtemps tomber la lutte contre la religion et qui optent pour l'humiliation des croyants à la place: c'est plus vendeur et c'est un meilleur business.
-Des gens qui se sentent agressés par la vision d'une kippa dans la rue.
Vous m'étonnez que c'est une situation de merde: il y a un souci à gérer, mais une foule d'acteurs qui cherchent à l'instrumentaliser pour des agendas divers. J'ai vu une video BBC il y a peu sur une musulmane voilée, qui souhaitait qu'on arrete de la prendre pour une victime et qui faisait du parachutisme sans avoir besoin de l'autorisation d'un homme. (avec un prof masculin, qui plus est)