C'est le nœud du problème. L'école à la maison (où les parents sont les enseignants) ne sera accepté par l'éducation nationale et avant cela la mairie qu'avec de très solides garanties de contenu et de suivi. Car il s'agit de suivre un programme scolaire auxquels, habituellement, plusieurs enseignants se dédient. Ce mode d'apprentissage n'est ni des vacances déguisées ni : "C'est moi qui choisit le programme que je fais ou ce que j'enseigne ou pas."
Ce ne sera pas quelque-chose de facile, comme tu le pressens déjà. Les municipalités voient ces démarches avec circonspection (c'est compréhensible : un grand nombre de demandeurs sont – excuse-moi de le dire ainsi, mais mieux vaut le savoir – des cas pathologiques souvent très en marge de la société. Moyennant quoi, ils font peser un halo sombre sur ceux qui désirent ce mode d'enseignement très légitimement).
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