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Citation :
Publié par Egelbeth
La première comptable, c'est de l'argent en plus à sortir pour la sécurité sociale, et de ça, il n'en est pas question.
Si c'est reconnue comme maladie professionnelle, alors ça conduit à des arrêts de travail, et non à des arrêts maladie, je me trompe ?

Si c'est le cas, normalement ça ne coûte pas plus cher pour la sécurité sociale. Voire ça pourrait rapporter puisque les frais liés au burn-out seraient supportés par l'entreprise, et non par la sécu.

Edit://
Citation :
[...] le pékin moyen qui se fait fumer au boulot par ses petits chefs hargneux [...]
Il y a des petits chefs hargneux, et puis il y a des chefs complètement apathiques. J'imagine que cette reconnaissance était là pour éviter les dérives de ces derniers, et pas pour soulager les employés face au premier.
Message supprimé par son auteur.
Message supprimé par son auteur.
Un burn-out n'est pas un accident.

Chez nous cela se passe comme ça :

Certificat médical -> arrêt de travail et soins médicaux

Les compensations de salaire liées à l'arrêt de travail sont supportées par l'employeur, qui lui aussi est assuré pour cela, et les frais médicaux sont pris en charge par l'assurance maladie.

Si l'arrêt de travail dure trop longtemps, cela dépend des clauses contractuelles. Mais pour les contrats les plus favorables, comme ceux de la fonction publique, au bout d'un certain temps on dirige la personne vers l'assurance invalidité (AI) via le médecin conseil. Les experts de l'AI tranchent. Si l'AI est obtenue, les contrats prévoient le versement d'une rente calquée sur le montant de celle de la retraite (donc en plus de la rente de l'AI).

Et dans les cas des contrats les moins favorables, c'est la m... (licenciement et chômage) mais les frais médicaux continuent à être couverts par l'assurance maladie obligatoire. Si cela dure trop, on peut faire intervenir l'assurance invalidité mais une rente complète ne va pas chercher bien loin. Et l'AI ne fait pas la charité : elle est très stricte dans l'attribution des rentes, partielles ou complètes.

Dernière modification par blackbird ; 02/02/2018 à 12h33.
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Citation :
Publié par Egelbeth
La seconde, idéologique, le pékin moyen qui se fait fumer au boulot par ses petits chefs hargneux, il n'a qu'à faire des efforts et s'accrocher plutôt que de se morfondre, c'est ça le monde du travail concurrentiel, marche ou crève..
Oui, c'est un peu ca : @Carminae, tu dis qu'il faut combattre les pratiques managériales qui poussent au burnout... mais, pourquoi ? D'une part, ces memes pratiques managériales permettent dans l'énorme majorité des cas d'obtenir plus du salarié sans trop de difficultés. Ca va pas pousser au burn out dans 100% des cas, bien au contraire. Et de l'autre, ben, si c'est pas l'employeur qui supporte le cout du burnout, c'est tout bénef pour lui. Dans la vision où un salarié est une ressource interchangeable, ne plus l'avoir mais pas devoir le payer, c'est pas un problème. C'est malheureusement encore trop souvent la vision qui prédomine, surtout coté MEDEF.
Dans l'absolu, oui, si le MEDEF avait une vision long terme du managment, et oeuvrait pour le bien de la société dans son ensemble, il aurait un autre discours. Mais ca se saurait.
J'ai entendu ça hier alors j'ai pas de source mais à Frence Info hier, ils précisaient qu'en cas de maladie professionnel reconnu, c'était les cotisations de l'employeur qui flambaient et que cela ne dépendait plus tellement justement de la sécurité sociale d'où la levée de bouclier.
Citation :
Publié par Gratiano
J'ai entendu ça hier alors j'ai pas de source mais à Frence Info hier, ils précisaient qu'en cas de maladie professionnel reconnu, c'était les cotisations de l'employeur qui flambaient et que cela ne dépendait plus tellement justement de la sécurité sociale d'où la levée de bouclier.
C'est la responsabilité de l'employeur d'éviter d'avoir des psychopathes qui brisent des vies.
Si toute une équipe est en burn-out, le manger saute forcément...ou se fait défoncer par plus fort.

Vous vous rappeler des vagues de suicide de France Telecom/Orange?
Bah visiblement la France n'a rien retenu.
Citation :
Publié par Curufinwe Melwasul
C'est la responsabilité de l'employeur d'éviter d'avoir des psychopathes qui brisent des vies.
Si toute une équipe est en burn-out, le manger saute forcément...ou se fait défoncer par plus fort.

Vous vous rappeler des vagues de suicide de France Telecom/Orange?
Bah visiblement la France n'a rien retenu.
Il faut tout de suite et maintenant sortir de ce mythe du pervers narcissique à chaque poste à responsabilité. Mais vraiment.
Les raisons qui poussent quelqu'un en burnout sont nombreuses et pas forcément liées au management. Et quand c'est lié au management, ce n'est pas forcément dû à un manager toxique ou agressif. Cela peut venir par exemple d'un manager très sympathique mais qui donne régulièrement des messages / ordres paradoxaux ou qui est dans le contrôle, privant d'autonomie les personnes qu'il encadre.

Quant à france telecom => orange, c'est un cas particulier.
Citation :
Publié par Belzebuk
Il faut tout de suite et maintenant sortir de ce mythe du pervers narcissique à chaque poste à responsabilité. Mais vraiment.
Ca tombe bien, c'est pas du tout le sens du message que t'as quote. Il dit juste que ce genre de personne, a ce genre de post, ca a des consequences. En gros ce que tu dis dans la deuxieme partie de ton message. Mais bon, faut forcement dire le contraire des autres...
Citation :
Publié par -Interfector-
Ca tombe bien, c'est pas du tout le sens du message que t'as quote. Il dit juste que ce genre de personne, a ce genre de post, ca a des consequences. En gros ce que tu dis dans la deuxieme partie de ton message. Mais bon, faut forcement dire le contraire des autres...
J'ai quote curufinwe mais j'aurais pu en quote d'autre. Mais je vais la refaire différemment.

Associer constamment le burnout à une conséquence du management est un danger puisque cela amène à cacher les autres raisons, premièrement. Deuxièmement, associer le burnout aux pervers narcissique est un danger puisque cela amène à cacher les autres formes de management, plus insidieuses mais tout aussi destructrices.

Il y a une banalisation du terme qui comme bien souvent a des effets positifs puisque ça entraîne une plus grande sensibilisation au sujet mais également des effets négatifs car comme dit en début de phrase, le terme se banalise, et devient galvaudé.

Les cas de burnout dans les milieux hospitaliers ne sont par exemple, pas uniquement liés au management mais à la dérive d'un mode de fonctionnement global nourrit par la volonté d'optimiser les process afin de gagner en efficacité et réduire les dépenses, qui de fait, fait la part belle aux indicateurs de performance (temps d'attente, temps de séjour etc). Associé à une baisse constante des effectifs comparativement aux besoins croissants, et tu te retrouves avec des salariés passant de moins en moins de temps au chevet du malade. Or, ces métiers du soin sont des métiers à forte valeur personnelle. L'individu est orienté vers l'autre mais l'organisation du travail lui empêche de passer du temps auprès de la personne. Il se retrouve donc à non seulement devoir réduire ou arrêter la composante qui le motive dans son travail, mais également à "devoir mal faire" son travail par faute de temps. Tu te retrouves avec des individus en conflit de valeur.

Alors que sur des métiers de call-center, la souffrance va venir de l'absence d'autonomie résultant de la lecture presque forcée de script. A cela s'ajoute l'injonction paradoxale où on te demande de passer moins d'un certain temps au téléphone mais qu'on te demande de ne pas bâcler ton travail. Sur certains appels qui vont demander un traitement plus important, tu es obligé donc de passer plus de temps et tu te retrouves de fait, à dépasser le temps prescrit.

Pour France Telecom, cela venait en effet bel et bien du mode de management qui était une volonté interne dans les strates hiérarchiques afin d'écumer une partie des effectifs. On était sur du harcèlement en bonne et due forme. Mais il n'est pas dit que le manager devant faire ce harcèlement le vivait mieux que celui qui le subissait.

Bref, le burnout est une problématique multifactorielle se nourrissant à la fois de facteur externe et interne à l'individu. Il n'est pas toujours évident de déceler d'où vient précisément la souffrance de l'individu. Même si pour les cas les plus extrêmes, ça ne fait généralement aucun doute.
Quand t'as un poste sous le même manager qui a un turnover de dingue depuis des années, on peut quand même se dire qu'il y a un problème.

J'ai un pote qui est en dépression à cause d'une manager, il est loin d'être le premier, tout le monde avant lui s'est barré ou s'est fait arrêter, la direction le sait pertinemment mais comme la manager en question a des bons chiffres, le reste c'est parfaitement secondaire.
Citation :
Publié par Leni
Quand t'as un poste sous le même manager qui a un turnover de dingue depuis des années, on peut quand même se dire qu'il y a un problème.

J'ai un pote qui est en dépression à cause d'une manager, il est loin d'être le premier, tout le monde avant lui s'est barré ou s'est fait arrêter, la direction le sait pertinemment mais comme la manager en question a des bons chiffres, le reste c'est parfaitement secondaire.
Mais je ne nie pas le rôle que peut jouer un manager dans les cas de burnout, je nuance simplement sur le fait que le burnout ne se résume pas à un manager "dysfonctionnant". Tout comme il faut faire la part des choses entre harcèlement et burnout. Des cas de harcèlement au travail peuvent conduire à des burnout mais cela reste deux choses distinctes.

Et comme tu le soulignes, dans certains cas le manager est appuyé par sa hiérarchie. Il n'aura eu aucune remarque sur sa manière de faire, tant à l'oral qu'à l'écrit (les entretiens annuels). C'est d'ailleurs un des problèmes que rencontrent les RH. La problématique est sue de certains pendant que les autres ferment les yeux mais personne ne remontent officiellement l'information. Dès lors, le RH ne peut rien faire.
Et quand tu commences une intervention auprès du manager, il tombe des nus parce qu'il ne comprend pas ce qu'on lui reproche. Il a toujours fait comme ça, il a jamais eu de retour négatif, bien au contraire.
Citation :
Publié par Belzebuk
A cela s'ajoute l'injonction paradoxale où on te demande de passer moins d'un certain temps au téléphone mais qu'on te demande de ne pas bâcler ton travail. Sur certains appels qui vont demander un traitement plus important, tu es obligé donc de passer plus de temps et tu te retrouves de fait, à dépasser le temps prescrit.
Je souhaite juste rebondir sur cette partie.
Oui, tu as encore des call centers fonctionnant comme dans les années 90-2000 et qui sont là plaie du métier pour les employés.

Mais ce n'est clairement pas la norme ni la bonne façon de faire.

Premier point: Oui, il y a l'indicateur qu'on appelle "AHT" (Average Handling Time) mais c'est une moyenne, pas du contrôle individuel des appels. Sinon c'est complètement con.
Un Agent peut très bien passer une heure au tel sur un cas. Sur le moyen terme ce sera lissé.

Second point: Contrairement aux hôpitaux, dans le service à la clientèle il y a un indicateur de satisfaction client.

Donc, si sur le long terme (perso je regarde moyenne hebdomadaire et sur les trois derniers mois pour lisser les exceptions) un agent passe beaucoup plus de temps au tel que ses collègues pour un résultat moindre ou similaire de satisfaction client, y a quand même un souci.

Ensuite pour revenir plus exactement au sujet, je suis personnellement favorable à la reconnaissance du burn out mais je suis également TRES prudent sur le sujet. Comme toute maladie psychologique, y a une facilité au bullshit (qui dessert totalement les vraies victimes de burn out). Je suis également très inquiet avec la nouvelle génération de travailleurs qui sont capables de te parler de burnout simplement parce qu'ils bossent à plein temps...

Et pour finir, ce qui n'aide pas la cause du burnout ce sont les lieux communs s'y rattachant comme tu l'as souligné et comme on le voit sur le sujet.

Je serais bien intéressé par une étude sérieuse et indépendante sur les métiers les plus touchés par le burnout. Je pense que certains auraient des surprises...

Pour le reste, d'accord avec toi.
Citation :
Publié par Jyharl
Je souhaite juste rebondir sur cette partie.
Oui, tu as encore des call centers fonctionnant comme dans les années 90-2000 et qui sont là plaie du métier pour les employés.

Mais ce n'est clairement pas la norme ni la bonne façon de faire.

Premier point: Oui, il y a l'indicateur qu'on appelle "AHT" (Average Handling Time) mais c'est une moyenne, pas du contrôle individuel des appels. Sinon c'est complètement con.
Un Agent peut très bien passer une heure au tel sur un cas. Sur le moyen terme ce sera lissé.

Second point: Contrairement aux hôpitaux, dans le service à la clientèle il y a un indicateur de satisfaction client.
C'est faux, je travaille dans le milieu depuis 10 ans et moi, j'ai croisé majoritairement se type de méthode... Prenons le Cas de Webhelp, WebHelp est un des leaders en France dans l'externalisation de la gestion de l'expérience client et des processus métier (traduire centre d'appel). Un téléconseiller Webhelp va être noté sur son temps d'appel moyen, les phrases type placé dans l'appel et sur la forme de cet appel (pas de blanc dans la conversation, pas de mise en attente trop longue...). La note elle détermine le salaire du téléconseiller (prime sur salaire mensuel) donc en claire le salarié est payé en fonction de la forme de l'appel et pas de ça résolution. Le salaire n'est pas soumis à la satisfaction client, mais si de bon ou de mauvais retour remonte de la part des client sur un conseiller, ils sont affichés en gros à l'entrer du plateau. Pour que tout le monde le voit (en gros, tu as l'employé du mois et le cancre du mois d'afficher a la vue de tous, même les commentaires désobligeants). J'ai travaillé aussi chez Orange, la Secu et une grande chaîne de magasins de bricolage, la technique était plus ou moins la même. En fait plus le centre d'appel est gros et plus le travaille y est débile. Je ne vous raconte pas le TurnOver dans ce style de boite.
Citation :
Publié par Jyharl
Je souhaite juste rebondir sur cette partie.
Oui, tu as encore des call centers fonctionnant comme dans les années 90-2000 et qui sont là plaie du métier pour les employés.
Citation :
Publié par Xoloth
C'est faux, je travaille dans le milieu depuis 10 ans et moi, j'ai croisé majoritairement ce type de méthode.
Ma dernière expérience dans ce domaine, qui date de 2013/2014, se rapproche plus de celle de Xoloth. Dans un grand groupe qui plus est. On avait des primes (inatteignables et / ou ridicules) calculées à 50% sur les objectifs (vente/fidélisation/recouvrement) et à 50% sur la satisfaction client.
Ben j'y peux rien si vous travaillez dans des boîtes de merde aux process obsolètes hein.

Comme je l'ai dis dans mon post, je ne dis pas que ça n'existe pas. Je dis que c'est du management "à papa", que c'est complètement dépassé et que fort heureusement ça tend à disparaître. Même les BPO commencent à en prendre conscience. Alors effectivement je ne parle clairement pas des boîtes type "Teleperformance" qui sont, comme je l'ai dis, la plaie du métier.

Vous bossez simplement soit pour des BPO soit pour des boîtes qui ne maîtrisent pas leur domaine.

@Belzebuk : Ah par contre je ne parle pas de teleconseillers ou des sales. Je n'ai jamais bossé dans ce milieu. Je parle ici de pur b2c. Sinon, ce sont les grands groupes les pires.donc pas étonné.

@Xoloth : Évite quand même d'être trop affirmatif avec un "c'est faux". T'as ton expérience, j'ai la mienne. Tu travaille visiblement en BPO.

Sinon, je serais ravi d'en discuter en MP pour ne pas plus faire dévier le sujet.

Dernière modification par Jyharl ; 09/02/2018 à 07h16.
Citation :
Publié par Jyharl
Mais ce n'est clairement pas la norme ni la bonne façon de faire.
je répond a ton affirmation par une affirmation... La tienne aurait plus de valeur que la mienne ?
Citation :
Publié par Xoloth
je répond a ton affirmation par une affirmation... La tienne aurait plus de valeur que la mienne ?
Non, t'essaie juste de te raccrocher aux branches là.
Je n'ai jamais affirmé que le type de boites que tu décris n'existent pas. J'ai d'ailleurs bien précisé que oui, elles existaient et qu'elles étaient la plaie du métier.

Du coup je ne vois pas trop où est ton problème.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Keyen
Tu expliques qu'elles sont une exception. Si les grosses boites agissent comme ca, c'est plutot les boites comme la tienne, l'exception.
Non plus. C'est ouf comme vous lisez ce que vous avez envie de lire.

A aucun moment je n'ai parlé d'exception. J'ai dis très exactement "ce n'est ni la norme ni la bonne manière de faire".
Et non, ce n'est pas la norme en 2018. C'était la norme y a 10-20 ans.

T'as plusieurs raisons à cela:

1°) Plus la boite est grosse (et ancienne/institutionnelle) et plus il y a une inertie sur les changements de process.
2°) Effet culturel en France qui rajoute encore plus d'inertie (les boites françaises ont généralement 5 ans de retard sur les derniers process/méthodologies).
3°) Comme l'a dit Xoloth, gros turn-over dans ce genre de boite, ce qui fait qu'il y a très rarement des vrais experts-metiers qui pourraient pousser et accompagner le changement.
4°) Les vrais bons experts-métiers fuient ce genre de boite comme la peste et n'iraient pas y postuler. Vouloir bosser dans ce genre de boite c'est vraiment parce qu'on peut pas trouver autre chose ou qu'on débute sa carrière.
5°) Plus spécifique aux BPO : Ils n'ont strictement aucun intérêt à garder la majorité des agents sur le long terme. Les boites passent par des BPO pour leur flexibilité. Pour la possibilité, d'un mois sur l'autre (ou d'un trimestre sur l'autre) de pouvoir changer le nombre d'agents assignés sur un projet. Pour le coup, les BPOs c'est VRAIMENT un univers super dur voire inhumain. J'y ai bossé, plus jamais ça.

Tout cela fait que ces boites fonctionnent majoritairement en cercle fermé où le status-quo n'est jamais discuté. Et pendant ce temps, le monde avance sans eux.
Citation :
Publié par Gratiano
J'ai entendu ça hier alors j'ai pas de source mais à Frence Info hier, ils précisaient qu'en cas de maladie professionnel reconnu, c'était les cotisations de l'employeur qui flambaient et que cela ne dépendait plus tellement justement de la sécurité sociale d'où la levée de bouclier.
Juste là dessus, c'est en fait l'inverse. Si une boîte est repéré lors de visite (souvent due a des taux d'accidents du travail ou de maladies professionnelles plus élevés que la norme) et n'applique pas les conseils donnés par les ingénieurs de la sécu en termes de prévention, ils ont des hausses très importantes de leurs cotisations sans interventions de juges ou autres. C'est un des rares cas où la sécurité sociale a des possibilités coercitives sur la prévention en fait.

Dernière modification par Cyberia ; 12/02/2018 à 00h04.
Message supprimé par son auteur.
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