[POGNAX] Sujets autour du racisme et des discriminations en raison d'une orientation de la personne

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Publié par Eden Paradise

Et finalement, les JO disent juste que les meilleurs noirs courent plus vite que les meilleurs blancs.
Et que les Africains ne savent pas nager, skier ou faire du tennis.

Ou alors c'est peut-être d'abord parce que courir ne coûte rien ou presque, que les populations de ces pays ont plus l'habitude de se déplacer que nous (un enfant kényan parcoure une dizaine de km par jour dès 7 ans), qu'ils ont mis en place des systèmes spécifiques pour faire émerger les talents (Jamaïque par exemple avec sélection dès le primaire) qu'il n'y a pas beaucoup d'autres sports disponibles alors que dans les pays occidentaux, il existe une multitude de sports accessibles beaucoup plus facilement.
Pour nuancer un peu il n'est pas totalement exclu que certains gènes favorisent telle ou telle activité sportive (voir ACTN3 'le gène du sprint' selon certains chercheurs) soient plus ou moins répandus dans les divers groupes ethniques.

La question est d'une part que ces gènes n'ont rien à voir avec le taux de mélanine ou les yeux bridés ou pas, s'il peut y avoir plus de familles qui les transmettent dans une région du monde ou une autre. D'autre part que l'entraînement fait bien plus de différence que le patrimoine génétique pour ce qui est du niveau de performance général (un champion olympique aura peut être peu de chances de battre un record mondial sans une configuration génétique favorable, ses rivaux ayant un entrainement égal, mais dans la population générale c'est simplement celui qui court le plus qui va le plus vite)
Citation :
Publié par Twan
Pour nuancer un peu il n'est pas totalement exclu que certains gènes favorisent telle ou telle activité sportive (voir ACTN3 'le gène du sprint' selon certains chercheurs) soient plus ou moins répandus dans les divers groupes ethniques.

La question est d'une part que ces gènes n'ont rien à voir avec le taux de mélanine ou les yeux bridés ou pas, s'il peut y avoir plus de familles qui les transmettent dans une région du monde ou une autre. D'autre part que l'entraînement fait bien plus de différence que le patrimoine génétique pour ce qui est du niveau de performance général (un champion olympique aura peut être peu de chances de battre un record mondial sans une configuration génétique favorable, ses rivaux ayant un entrainement égal, mais dans la population générale c'est simplement celui qui court le plus qui va le plus vite)
C'est même exactement ça. Avant d'en arriver à considérer l'impact génétique d'un sport, il y a 3 types de facteurs de confusion :
1) les sports où la technique, le mental, l'intelligence vont prédominer sur le physique. Exemple typique : le football. Il faut évidemment un bon physique (VO2 max) pour pouvoir atteindre le haut niveau dans ces sports, mais la différence entre les champions se fera sur des compétences non-physiques. Le football est peuplé de Léo Messi, de Philippe Lahm, de Pius N'Diefi, de Zinedine Zidane et pas que de Patrick Vieira ou autres Zlatan Ibrahimovic.
2) les sports où c'est l'outil qui va être prédominant sur la performance. Exemple typique : la course automobile . Là, bien évidemement, la différence entre les athlètes sera principalement sur la quantité d'argent qu'ils ont à leur disposition pour pouvoir mener à bien la recherche et le développement autour de leur outil de performance sportive.
3) les sports "à infrastructure" qui nécessitent des investissements lourds pour pouvoir être pratiqués. Exemples : la natation, le ski, etc.

L'aspect culturel / politique joue également, mais à bien plus faible niveau. Dans les pays industrialisés, il y a bien plus de facilité à accéder à des hauts niveaux d'entraînement à des sports pourtant considérés comme mineurs que dans le reste du monde, quand bien même le pays en question aurait fait de ce sport "mineur" son sport "majeur".

Chaque sport intrique plus ou moins ces 3 niveaux. Par exemple, le cyclisme, la majorité de la performance vient de la capacité physique du coureur, mais avant de se départager entre physiques exceptionnels (aidés par le dopage), il faut un investissement initial financier très élevé : réseau routier en bon état, prix des vélos, voitures-support, etc. Concernant le tennis, on est sur un sport assez équilibré entre physique et technique, mais c'est une infrastructure publique qui est nécessaire pour en développer la pratique à l'échelle d'un pays. Pour les arts martiaux, il n'y a pas d'outils spécifiques, la technique est aussi importante que le physique et l'infrastructure ne coûte pas très cher. Ce qui explique qu'on voit des sportifs de tous les horizons dans ce sport.

La course à pied, qu'elle soit de sprint ou d'endurance, est un sport où c'est le physique qui joue une part prédominante, encore plus à haut niveau où on peut considérer à peu de choses près que tous ont la même qualité d'entraînement, où il n'y a pas d'outils autres que le corps humain, et qui nécessite relativement peu d'infrastructures. De ce fait, la course à pied est un sport quasi-universellement accessible (sous réserve qu'elle soit culturellement implantée). A très haut niveau, on peut considérer que les entraînements se valent, que les infrastructures se valent (les athlètes africains s'entraînent en Europe ou aux USA) et donc ne ressort que le physique. Physique déterminé en très grande partie par ... la génétique, si on considère les entraînements comme équivalents. Ainsi donc, de voir une finale de 100 mètres entièrement dominée par des Ouest-Africains ou des descendants directs des Ouest-Africains (endogamie +++ du fait de l'esclavage, puis de l'apartheid social dans les Caraïbes et aux USA) ou une finale du marathon entièrement dominée par les Kenyans et Ethiopiens, montrent qu'il existe certainement un pool génétique plus favorable à ce type de performances dans ces populations. Ça ne veut pas dire que tous les Kenyans savent courir longtemps (navrant cliché raciste/essentialiste du Kenyan qui doit aller à l'école en courant...), ça veut juste dire qu'à entraînement de haut niveau comparable, qu'à accès aux infrastructures d'entraînement comparables et qu'à culture du sport comparable, ils ont le privilège de posséder un patrimoine génétique légèrement plus favorable que d'autres ethnies dans le monde. Maintenant, il est évident qu'un Maori ou un Suédois qui bénéficierait d'une structure de type INSEP sera toujours meilleur qu'un Kenyan qui n'a même pas de baskets.

Alors, pourquoi ne voit-on pas plus d'Ouest-Africains (ou descendants) en sprint de natation ou en cyclisme ? Tout simplement à cause du coût d'infrastructure. Quand ce coût sera réglé, il n'y a pas de raison que sur ces sports basés essentiellement sur le physique, au même titre que l'athlétisme, ne soient pas dominés par les mêmes groupes de population que ceux qui dominent aujourd'hui l'athlétisme.
Faut pas oublié les facteurs environnementaux, avec certains pays qui sont sur des plateaux / hauteur, et donc favorise la production de globule rouge (je crois?) ce qui les "boosts" comparativement a un sportif de même niveau entraîné au niveau de la mer.

En faite, y a tellement de facteur pris en compte, que je sais pas trop ce qu'ont peut vraiment en tirer comme conclusion sur le génétique ou pas génétique... (et tous çà sans prendre en compte un potentiel dopage...)

Pour pouvoir comparer "génétiquement" 2 sportifs similaire, il faudrait les entraîner au même endroit pendant 2/3 ans dans les mêmes conditions (durée, type d'entrainement, alimentation etc) puis les faire courir avec le même matériel dans les même condition. Chose qui arrive jamais...
Citation :
Publié par Gardien
Pour pouvoir comparer "génétiquement" 2 sportifs similaire, il faudrait les entraîner au même endroit pendant 2/3 ans dans les mêmes conditions (durée, type d'entrainement, alimentation etc) puis les faire courir avec le même matériel dans les même condition. Chose qui arrive jamais...
Justement si, c'est tout l'intérêt de comparer des sportifs de très haut niveau. Ils ont tous les mêmes conditions d'entraînement, à très peu de choses près, le même matériel, et par définition s'affrontent au même endroit dans les mêmes conditions atmosphériques. Ils se refilent même les entraîneurs entre eux. A très haut niveau, dans les sports peu ou pas instrumentaux, et si on exclut le dopage de la problématique, ce qui va faire la différence entre 2 athlètes sera le physique, le mental, l'ultra-technicité selon le sport, bref des caractéristiques individuelles propres. A niveau amateur ou semi-pro, les performances entre deux athlètes sont beaucoup moins directement comparables.
Je ne sais pas ce que vaut cet article, mais il explique que l'entraînement n'est pas le même selon les populations :
Citation :
L’éducation. L’apprentissage de la course à pied ressemble à celui des langues: on réussit d’autant mieux que l’on commence tôt. L’imprégnation dès le plus jeune âge revêt une importance capitale. Un célèbre critique gastronome fit observer un jour qu’il n’avait jamais rencontré de grand cuisinier qui n’ait été initié dans son enfance par une personne de sa famille. Au Kenya, la course à pied se transmet de génération en génération.

Selon Bengt Saltin, les Kenyans parcourent une dizaine de kilomètres par jour, dès l’âge de 7 ans. A partir de 15 ans, le kilométrage hebdomadaire passe à 100 pour ceux qui se des- tinent à la compétition. «Ce n’est pas la distance qui est impressionnante, mais l’intensité de l’allure d’entraînement», note Bengt Saltin. «Forcer est considéré comme naturel»
Citation :
L’entraînement. Selon Tim Noakes [6], les Noirs d’Afrique du Sud accomplissent 36% de leur entraînement à une intensité supérieure à 87% de leur FCM ou fréquence cardiaque maxi- male, tandis que leurs compatriotes blancs effectuent seulement 14% de leur kilométrage à cette intensité. Les fameux «camps d’entraînement» de la région de l’Eldoret témoignent de cette rigueur spartiate à laquelle seuls les Africains savent se sou mettre. Le marathonien français Benoît Zwierchelwski y est allé: en voyant l’état désastreux des terrains d’entraînement, il a bien cru ne pas pouvoir s’adapter. De son propre aveu, «ce sont à la fois les pires et les meilleures conditions». L’Allemand Nils Schuman, médaillé d’or du 800 m à Sydney, est également parti se préparer au Kenya: «Là-bas, je me suis entraîné jusqu’à 160 km par semaine, mon record! Les Kenyans s’entraînent quoi qu’il en soit beaucoup plus»
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Publié par Borh
On peut en tirer des conclusions, mais les champions olympiques, c'est peut-être une personne sur 100 millions à la louche, ça ne veut pas dire que les africains en général courent plus vite.
Si on regarde les basketteurs, on en déduira que la taille des personnes d'origine africaine est plus grande, mais en réalité, quand on fait la moyenne, c'est pas le cas du tout.
Si on prend les pays africains où la taille moyenne est disponible, genre la Gambie ou le Ghana, les gens sont en moyenne plus petits qu'en France.
https://www.disabled-world.com/artma...ht-chart.shtml
Je pense aussi, puisque tu parles des basketteurs, qu'aux US pendant très longtemps la meilleure façon pour un noir de s'en sortir c'était via les filières sportives.

Et je pense que le climat et la culture qui y est associée. Y est aussi pour quelque chose, ce n'est pas surprenant que les athlètes québecois soient meilleurs en sports d'hiver qu'au tour de France, et ce n'est pas pour rien que Rasta Rocket a fait rire tout le monde par son côté totalement décalé.

Il y a surement une part de génétique dans tout ça mais ça ne fait pas tout.
Message supprimé par son auteur.
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Publié par Palette
Plus sérieusement ca doit probablement être un mélange de plein de facteurs complexes.Il y a pas que de la génétique évidemment.
Mais dire que la génétique à aucune influence sur les capacités sportives ça me paraît gros.

L'explication de Bohr me paraît crédible du coup.
Mdr vas y retombe sur tes pates comme tu peux.

On est en 2017 et des fois j'ai l'impression d'entendre un écho du père Le Pen de 97, "les noirs sont meilleurs au sprint", lol sérieusement, je t'inviterais bien à dîner mais à 20% de la population qui pense comme toi ça manquera d'originalité. Et puis on a déjà tous un oncle comme ça à la maison qu'on doit supporter une fois l'an à Noël, le mec qui va aussi te sortir le discours sur les assistés (eux aussi, noirs, ou arabes, ou roms).
Citation :
Publié par Alleria Windrunner
Mdr vas y retombe sur tes pates comme tu peux.

On est en 2017 et des fois j'ai l'impression d'entendre un écho du père Le Pen de 97, "les noirs sont meilleurs au sprint", lol sérieusement, je t'inviterais bien à dîner mais à 20% de la population qui pense comme toi ça manquera d'originalité. Et puis on a déjà tous un oncle comme ça à la maison qu'on doit supporter une fois l'an à Noël, le mec qui va aussi te sortir le discours sur les assistés (eux aussi, noirs, ou arabes, ou roms).
Oui Les prédispositions ne font pas tout comme d'autres l'ont dit

Les gens confondent les noirs avec des monstres de foires et des bestioles a la c... qui n'ont besoin d'aucun effort pour gagner des compètes vu que l'africain est paresseux et ne sait donc pas nager , ni rien faire.
Un usain bolt a du sur-bosser pour sortir de la masse masse (en tout cas au début ) , se remettre en question après les défaites , sinon Gay/powell/Blake ou d'autres l'auraient battu de temps a autre dans les moments importants.(JO finals )

Pour les roms qui servent a rien je conseille la série Shut eye
Impressionnant le déni qui existe ici, vous avez un portrait de Najat belkacem dans votre chambre pour cultiver cette culture naïve de l'égalité parfaite entre toutes personnes et races?

Si certaines populations n'étaient pas mieux dotées génétiquement dans certains domaines, personne ne s’embêterait à aller débaucher les jeunes kényans pour en faire des marathoniens. Après rien ne garantit que les individus de cette population soient tous des génies dans ce domaine mais il est indéniable qu'il existe une certaine prédisposition génétique.

Pour l'argument sur la taille des africains, la taille est très fortement corrélée à la nutrition, ce qui explique notamment que les français ont grandi en moyenne de 15 cm en l'espace de 100 ans, étant donné la situation de beaucoup de pays africains je doute que le parallèle soit pertinent.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Mangemouton
C'est quoi la prédisposition génétique pour la course de fond, la course de vitesse et le basket qui te rend totalement nul en natation ?

Je veut dire à l’exception de la peau noir...
La corrélation négative entre performance à la course et en natation, tu es le seul à la faire. Du coup, ce serait à toi d'y répondre.

Le fait que la génétique influence les performances sportives, ça ne fait pas trop débat. Certains facteurs génétiques sont identifiés, d'autres non (ça va pas être un sujet porteur comme le cancer ou le vieillissement).
Après, ça reste évident que celui qui a les bonnes prédispositions et qui passe sa vie sur son fauteuil, il finira pas médaillé olympique, tout comme je sais très bien que personnellement, j'aurais pu m’entraîner comme un dingue à la course, j'aurais pas fini médaillé non plus.

Après faut comprendre certaines choses quand on passe d'une population à un individu : ce n'est pas parce qu'on trouve les meilleurs athlètes dans une population donnée, que tous les individus de cette population auront ces prédispositions, ou même que la population en moyenne sera mieux prédisposée. Les athlètes d'élite, ça reste une personne sur un million, même chez les Kenyans.

Dernière modification par Borh ; 03/01/2017 à 22h16.
Citation :
Publié par Alleria Windrunner
je t'inviterais bien à dîner mais à 20% de la population qui pense comme toi ça manquera d'originalité.
Ben merde c'est bien dommage on aurait pu passer un bon moment. T'aurais pu te faire du bien en cassant du facho toute la soirée.

Dernière modification par Palette ; 03/01/2017 à 22h08.
Message supprimé par son auteur.
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Publié par Mangemouton
Il paraît que le fait de voir beaucoup de personnes à la peau noir dans la course à pied indique quelque chose sur leurs facteurs génétiques. Et j'aimerais bien savoir quels sont ces facteurs génétiques si magiques qui font que les personnes à la peau noirs ont une capacité de fond monstrueuse mais sont totalement absentes des épreuves d'endurances qui ne sont pas de la course à pied.

Je parle de la natation car c'est quelque chose qui demande un investissement matériel assez lourd mais c'est pareil pour le vélo...

J'ai l'impression que certains ici surestiment grandement le facteur génétique par rapport aux autres facteurs.
Ca serait interessant de voir les performances d'enfant d'athletes adoptes, mais j'ai aucune idee de ou chercher ce genre d'info.
Oui mais bon c'est un topic sur les asiatiques et vous êtes lancés sur les noirs.
Ça montre bien que vous dénigrez les Asiatiques hin bande de coquins
Citation :
Publié par Mangemouton
Il paraît que le fait de voir beaucoup de personnes à la peau noir dans la course à pied indique quelque chose sur leurs facteurs génétiques. Et j'aimerais bien savoir quels sont ces facteurs génétiques si magiques qui font que les personnes à la peau noirs ont une capacité de fond monstrueuse mais sont totalement absentes des épreuves d'endurances qui ne sont pas de la course à pied.
La distance génétique qui sépare les individus et les populations a généralement beaucoup plus à voir avec la géographie qu'avec la couleur de la peau. Un pygmée (noir) sera rarement médaillé olympique à la course. Ca veut pas dire qu'il n'y a pas une prédisposition génétique à la course chez certaines populations (qui ont aussi la peau noire).
A noter d'ailleurs que les champions d'endurance et les champions de vitesse ne proviennent absolument pas des mêmes populations.

Enfin comme je l'ai dit, il faut à la fois des prédispositions génétiques et beaucoup d'entrainement pour devenir un athlète d'élite. La prédisposition seule et l'entrainement seul ne suffiront pas.
Par contre nul besoin d'une prédisposition à la nullité pour être nul, il suffit de pas s’entraîner.

Dernière modification par Borh ; 03/01/2017 à 22h29.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Mangemouton
Je sais pas trop. Je nie pas qu'il y a une prédisposition génétique mais j'ai des doutes sur le fait que ça s'applique à toute une population.
Cette prédisposition peut être plus fréquente dans une population que dans une autre, ça ne veut absolument pas dire que ça s'applique à tous les individus de cette population. Il est évident que tous les Kenyans ne sont pas des marathoniens de niveau olympique en puissance.
S'intéresser à des cas extrêmes comme les champions olympiques ne donnent pas forcément d'indication sur les performances moyennes d'une population.

C'est également vrai pour à l'inverse, le pathologique. Certaines maladies génétiques sont beaucoup plus fréquentes dans certaines populations que dans d'autres (genre maladie de Tay Sachs rare chez les juifs ashkénazes mais rarissime dans les autres populations). Qu'en déduire pour un individu moyen de cette population pris au hasard : pas grand chose.

Dernière modification par Borh ; 03/01/2017 à 22h57.
Message supprimé par son auteur.
Message supprimé par son auteur.
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Publié par Mangemouton
Oui mais même en terme de fréquence j'ai des doutes sur cette affirmation, surtout à l'échelle d'un pays qui est composé d'ethnies diverses comme le sont les pays africains.

A la limite, je penses qu'on pourrait me convaincre si on me montrait que parmi les meilleurs coureurs de fond Kenyan, une ethnie prédominait particulièrement par rapport à sa répartition dans la population.
Ca c'est démontré. 75% des athlètes Kenyans de niveau international sont de l'ethnie Kalenjin alors qu'ils ne sont que 8% de la population Kenyane
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16492605
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