Dieu / Déesse créateur/trice
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Dans Pascal Le grand Frère on voit bien qu'il y a que l'autorité et la poigne qui marche et c'est des cas de REP++ qu'il matte.
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23/12/2016, 09h25 |
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L'enseignement en France et à l'étranger
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Citation :
C'est assez passionnant ce qu'on y lit d'ailleurs. Citation :
Dernière modification par Xotraz ; 23/12/2016 à 15h56. |
23/12/2016, 15h48 |
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Tu penses que la situation que tu cites est forcément inventée ou déformée ? Si oui, j'ai de mauvaises nouvelles
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23/12/2016, 18h56 |
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Citation :
Et comme le rappel un commentaire, l'inspectrice en chef Nora Bussigny peut heureusement compter sur le fait que personne ne lit le point, heureusement sinon sa couverture serait percé à jour. Citation :
Le nombre de gosse à qui elle arrive à soutirer des informations quel talent. Dernière modification par Xotraz ; 23/12/2016 à 19h54. |
23/12/2016, 19h37 |
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Edit : .
Dernière modification par MelkyWay ; 24/12/2016 à 06h30. |
24/12/2016, 06h10 |
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Zangdar MortPartout |
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24/12/2016, 09h45 |
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Quitter son métier pour devenir enseignant
http://www.lemonde.fr/education/arti...8_1473685.html Le mot « vocation » les fait tiquer – ils ne se reconnaissent pas dans sa dimension un peu mystique. C’est une « quête de sens », un besoin de « s’engager » que mettent en avant les enseignants qui ont embrassé la carrière sur le tard. La trentaine bien tassée, voire à 40 ans passés. A l’heure où des pans entiers du territoire – les académies de Créteil, de Versailles… – cherchent leurs profs, ils ont fait le choix, assumé, de reprendre le chemin de l’école. Ils sont même de plus en plus nombreux à le faire : en 2015, 25 % des admis au concours de professeur des écoles étaient salariés du public et du privé ou demandeurs d’emploi, peut-on lire dans un rapport remis par le Conseil national d’évaluation du système scolaire (Cnesco) en novembre. Hors demandeurs d’emploi, le ratio frôle les 15 %, contre 8,4 % il y a dix ans. Dans le second degré, il atteint 16 %. Le syndicat SNUipp-FSU, majoritaire dans le primaire, se fait lui aussi l’écho du phénomène : « Les enseignants qui affirment avoir choisi ce métier après une première expérience professionnelle sont toujours plus nombreux au fil des ans », analyse-t-il dans son Observatoire des professeurs débutants, communiqué le 7 novembre. Soit 32 % aujourd’hui, contre 25 % en 2010 et 15 % en 2001. Lire aussi : Sept enseignants racontent leur reconversion sur le tard ++ lien vers les témoignages http://www.lemonde.fr/education/arti...7_1473685.html Dernière modification par znog ; 26/12/2016 à 19h24. |
26/12/2016, 14h38 |
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Dans cette veine ncore un témoignage creusé d'un contractuel, qui a un regard neuf et a pu comparer les écoles /équipes dans la Seine-Saint-Denis.
En quelques mois, au fil de mes remplacements, j’ai rencontré des gens vraiment chouettes. Partout où j’ai vu une bonne direction d’école, j’ai constaté une bonne cohérence du corps enseignant. Au début, je n’y croyais pas. Mais j’ai fait des écoles pourries avec des *super-directrices, présentes, investies. C’était agréable d’y travailler. Je rencontre aussi des profs très motivés. Mais ceux qui m’impressionnent le plus ne répondent pas forcément au triptyque : compétences, gestion de classe et approche de l’enfant. J’ai aussi croisé de très bons profs qui ne sont pas d’excellents pédagogues mais qui ont le feeling avec les élèves. Il y a aussi beaucoup de lassitude et de résignation. Une forme de fatalisme dans leur discours : « On fait avec ce que l’on a. » Même s’ils reconnaissent que beaucoup d’efforts ont été faits en Seine-Saint-Denis, que les classes restent rarement sans professeur «*Je me suis retrouvé enseignant en 30 minutes*» http://www.lemonde.fr/m-perso/articl...7_4497916.html |
15/01/2017, 11h01 |
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Citation :
Bravo Niel, sur ce coup là, chapeau. Et trololol l'état français qui ne reconnaît aucun diplôme de l'E42. On en parle ? |
15/01/2017, 11h31 |
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Citation :
Citation :
Ça reste une bonne nouvelle, et pour avoir cotoyé des gens sortant de l'E42, ils s'en sortent très bien. Mais il me fallait relativiser ce que tu disais. Quant à la reconnaissance par l'Etat, ça prendra comme d'habitude une plombe (si jamais il est reconnu, car ça m'étonnerait que certains des critères absurdes nécessaires pour la validation soient effectifs). De toute façon, si la réputation de l'école continue à grandir, les élève n'auront pas besoin de ça. |
15/01/2017, 12h08 |
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Trop drôle le classement coding game.
C'est un jeu vidéo où plus tu passes du temps dessus plus tu montes. Et l'inactivité te fais par défaut descendre. |
15/01/2017, 12h25 |
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15/01/2017, 12h54 |
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CharlesMauriceKaleos |
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Citation :
la réalité c'est un pigiste juste sorti de l'école de journalisme qui ne connait rien mais alors rien au monde aux USA, à l'Inde à la Russie.. on t'a pas expliqué ce qu'est une fake news ? |
15/01/2017, 14h41 |
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Citation :
Donc grosso merdo, c'est un leaderboard des mecs qui participent le plus à CodinGame. Sans douter de la qualité des mecs qui sortent de 42, ça serait comme dire que X est le meilleur tacticien du monde parce que sa team est n°1 sur Call of Counter Warfare Go. J'exagère un peu le trait mais utiliser CodinGame comme référence c'est p'tet un peu osé. Ca pourrait aussi vouloir dire que les mecs de 42 ont plus de temps pour glander et doivent utiliser des moyens alternatifs pour apprendre (j'en sais rien hein). |
15/01/2017, 19h21 |
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