[wiki] [Economie] Causes et conséquences de la crise économique et financière

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Publié par Prootch
Donc les pme capitalisez vous ! d'ailleurs si vous voulez on vous prête du pognon qu'on a pas payé cher du tout...
Je veux bien une explication sur un prêt (donc à rembourser) qui se transformerai subitement en capital (donc appartenant à l'entreprise). Je ne comprends pas le lien que tu fais entre les deux.


Citation :
Publié par Prootch
Ouais, évite juste d'essayer de me donner des cours de compta d'entreprise
Bah du coup, explique-nous comptablement comment ça marche.

En attendant, je donne le point à Aratorn.

Dernière modification par Silgar ; 08/10/2016 à 10h56.
Je ne fais que passer, j'en profite pour poser une question @Aratorn dans la mesure où il bosse en banque :

Le BFR n'a pas vocation à être financé par les banques (les dettes financières ont pour but, comme Aratorn le disait, de financer l'actif immobilisé), mais cela dit les banques peuvent tout de même aider à financer la tréso, à court terme, via l'escompte. À quel point les banques acceptent cette opération par les temps qui courent, où les délais de paiement s'allongent ? Y a eu des changements sensibles dans les volumes d'escompte ces dernières années ?

Dernière modification par Magya ; 05/10/2016 à 18h02.
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Publié par Magya
Le BFR n'a pas vocation à être financé par les banques (les dettes financières ont pour but, comme Aratorn le disait, de financer l'actif immobilisé), mais cela dit les banques peuvent tout de même aider à financer la tréso, à court terme, via l'escompte. À quel point les banques acceptent cette opération par les temps qui courent, où les délais de paiement s'allongent ? Y a eu des changements sensibles dans les volumes d'escompte ces dernières années ?
Actuellement, il n'y a pas de freins à l'escompte.
Tout dépend tout de même, d'une part de la solvabilité de ton entreprise ( cotation BDF correcte, pas d'impayés de LCR ), et d'autre part de la qualité de la traite prise à l'escompte. L'escompte c'est quand même pas externaliser du pré-contentieux.

Maintenant, en terme de volumes, c'est un service qui est assez peu demandé et donc peu utilisé par les clients.

C'est pareil pour l'affacturage, on a finalement assez peu de demande.

Je parle dans les deux cas de la clientèle des TPE/PE/prof libs, je n'ai pas de visibilité particulière sur la clientèle des PME et ETI.

Après, il y a possibilité de financer du BFR dans des cas assez particuliers ( BPI France se porte même garant ), pour des évènements n'ayant pas directement trait à la viabilité de l'entreprise ( financement de redressement RSI/URSSAF, indemnités de licenciement, ou suite à un sinistre ).
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Egelbeth
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/201...-allemagne.php

mip, mip mip ...
Tous ces petits signes qui vont en s'accumulant ....
Chez ING aussi c'est pas rose

La banque ING prévient qu'environ 7.000 emplois sont menacés d'ici à 2021 pour réduire ses coûts
Le bancassureur néerlandais ING a prévenu lundi qu'environ 7.000 emplois seraient menacés dans les cinq prochaines années, principalement en Belgique et aux Pays-Bas, en raison d'un programme de réduction des coûts annuels d'environ 900 millions d'euros.

"En tout, environ 7.000 postes pourraient être affectés par ces effets dans les cinq prochaines années, dont 950 postes chez les fournisseurs extérieurs", annonce le groupe dans un communiqué.
Dans le détail, le groupe prévoit la réduction d'environ 3.000 emplois à temps plein en Belgique et environ 2.300 aux Pays-Bas entre 2016 et 2021.
Pour ces suppressions de personnel, ING va passer une "provision d'environ 1,1 milliard d'euros, dont 1 milliard au quatrième trimestre 2016".
Sauvé par l'Etat néerlandais au coeur de la crise financière de 2008, ING annonce qu'il va investir 800 millions d'euros d'ici à 2021 dans le cadre de sa transformation digitale pour s'adapter aux nouveaux besoins des clients qui utilisent de plus en plus les nouvelles technologies.
Cet investissement va permettre, selon le communiqué, de "continuer à élargir notre activité client et diversifier nos revenus".
Le groupe se dit confronté, comme les autres banques, "au poids des régulations bancaires et à une période prolongée de taux d'intérêt ultra-bas", qui font pression sur ses rendements financiers.
ING a quasiment multiplié par quatre son bénéfice net au deuxième trimestre 2016, à 1,30 milliard d'euros suite à la vente de son ancienne filiale néerlandaise d'assurance NN Group.
ANP/AFP/Archives TOUSSAINT KLUITERS - © 2016 AFP
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Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Skaan/Darck
"En tout, environ 7.000 postes pourraient être affectés par ces effets dans les cinq prochaines années, dont 950 postes chez les fournisseurs extérieurs",
"Pourraient" = c'est déjà décidé mais comme c'est dans plusieurs années on fait genre que c'est pas encore sûr à 100%.

Citation :
Publié par Aratorn
Si le fond de roulement initial est insuffisant, c'est de la responsabilité de l'actionnaire de l'apporter.
Si le fond de roulement en cours de vie est insuffisant, c'est que le résultat d'exploitation est insuffisant. C'est donc soit à l'actionnaire d'intervenir, soit d'engager le dépôt de bilan.
Je reviens pas sur le cours de compta sans rapport avec le sujet, parce que le sujet il est précisément là, dans ce quote. Un REX insuffisant un an, t'as pas l'épargne de côté pour renflouer ton entreprise, ben tu coules parce que "c'est pas le rôle de la banque". Justement, si. Et comme je le disais dans mon précédent post, il est particulièrement criant que tu trouves cette situation naturelle. Comme si un entreprise, surtout petite, ne pouvait pas connaître d'aléas financiers et avoir besoin de relais pour passer un cap difficile. Moi aussi si j'étais banquier je voudrais uniquement financer des entreprises dont les résultats sont excellents année après année, et dont la santé financières sont garantis par leur actionnaires et dirigeants millionnaires. Sauf que le financement de l'économie réelle, c'est soutenir les petites boîtes dans les moments difficiles, avec un dirigeant qui n'a pas la trésorerie derrière. De ton message on comprend que tu veux que la boîte coule parce que c'est bien fait, fallait être prévoyant. Le "c'est bien fait" ne me semble pas être un raisonnement très pertinent.

Citation :
Publié par Chernish
Si les banques acceptaient systématiquement de financer les augmentations de BFR, le BFR augmenterait exponentiellement (...)

Les PME sous-estiment les risque d'impayés. (...) Vu le nombre de PME qui échouent à cause de ça il y a probablement quelque chose à faire, mais ça devrait se passer au moment de la création de l'entreprise, pas ou moment où l'entreprise est en difficulté.
Pour le premier point, je dirais que les banques contribuent déjà à créer une chaîne de Ponzi mondiale, donc ça changerait pas grand chose, mais il est vrai que ça ne vaut pas le coup de l'empirer.

Pour le second point, c'est aussi le rôle de conseil de la banque que de prévenir le futur dirigeant d'entreprise de cela. Et j'en reviens à ce que je disais ci-dessus, si la personne n'augmente pas son emprunt et un jour est en situation difficile, laisser couler la boîte parce que "c'est bien fait fallait y penser avant" me semble douteux comme raisonnement. Est-ce qu'il faut systématiquement financer un BFR pour la 10ème fois cette année à taux 0 pour tout faire pour pas couler la boîte ? Probablement pas, mais laisser couler pour laisser couler, ça n'a pas de sens. Par ailleurs, le taux d'intérêt fixé couvre déjà le risque pris par la banque, donc peu importe le niveau de risque pris par la banque, il est toujours compensé dans le taux, donc je ne vois pas le problème à faire peser des risques sur la banque.

Dernière modification par Alleria Windrunner ; 07/10/2016 à 10h26.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Alleria Windrunner
Sauf que le financement de l'économie réelle, c'est soutenir les petites boîtes dans les moments difficiles, avec un dirigeant qui n'a pas la trésorerie derrière. De ton message on comprend que tu veux que la boîte coule parce que c'est bien fait, fallait être prévoyant. Le "c'est bien fait" ne me semble pas être un raisonnement très pertinent.
J'ai même déjà entendu de la banquière de mes boites une version encore plus cynique : "Lorsque vous avez des réserves de trésorerie, qui croyez vous qui les garde et s'en sert ...?"

Enfin, rien de nouveau sous le soleil hein. Les PME n'ont aucun moyen de se défendre face aux banques qui ne jouent leur rôle que lorsqu'il y a des excédents et aux grands groupes qui financent leur trésorerie sur notre dos en menaçant de dénoncer les contrats si on se met à râler sur les mois de retard de paiement...
Je ne comprend pas comment vous décrétez que les banques de détails ont une obligation sociale???

Vous vous rendez compte que vu le taux d'entreprises qui passent l'arme à gauche, les banques doivent, pour simplifier, soit gérer le risque en virant les trucs trop risqués ("ouin les vilains il veulent 453 garanties"), soit augmenter le taux qu'elle facture à tous ("les voleurs, ils empruntent à zéro et facturent à 20%".
Car bon, si elle prête 100 à 20 boites à 5% (même en se finançant à 0%), en simplifiant, il suffit qu'une seule boite fasse faillite totale pour que la banque ne s'y retrouve pas. Et la banque doit aussi payer ses employés, ses locaux, ses systèmes d'IT, etc...

Ca doit être la forme de certains message, car je suis persuadé qu'il y a un bon fond, mais là ça ressort plus comme un "ouin ouin la banque veut pas me filer de sous, zy va salope, file le blé, z'êtes que des pourris, vous devez bien ça à la société"
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Hellraise
Je ne comprend pas comment vous décrétez que les banques de détails ont une obligation sociale???
Pas une obligation sociale non. Un rôle sociétal par contre oui.
A l'heure actuelle, la banque se complaît dans un positionnement à cheval entre l'acteur institutionnel et l'acteur commercial : en tant que chef d'entreprise, je n'ai légalement pas le droit de me passer des banques. Pas le droit de ne pas payer pour leurs services. Pas le droit de me démerder autrement.
Par contre, lorsque la situation s'inverse et que c'est moi qui ait besoin de leurs services, là ils changent de casquette pour prendre celle de l'acteur commercial qui est régi par des lois de profitabilité commerciales.

De deux choses l'une : si la banque est un acteur commercial, je veux pouvoir être insatisfait de leur service et me barrer. Ou alors si la banque est un acteur institutionnel, je veux que le service aille dans les deux sens. Je finance son activité en laissant mon argent chez eux, et ils financent la mienne lorsque tous les ans en Septembre, j'ai les comptables de mes clients qui ont 4 mois de retard sur leurs factures à cause des grandes vacances et l'URSSAF qui lui n'a jamais de retard (pour prendre un exemple actuel )
Citation :
Publié par Hellraise
Je ne comprend pas comment vous décrétez que les banques de détails ont une obligation sociale???
Bah je sais pas, les médecins ou les avocats en ont bien une, pourquoi pas les banques ? Je veux dire, on parle pas de l'artisan du coin qui fabrique des toupies hein, on parle d'une fonction centrale de la société et dont aucune personne (physique ou morale) ne peut se passer. Après ça peut se discuter, mais le fait que les banques aient récemment demandé des montagnes d'argent publique pour se renflouer montre bien leur lien social intrinsèque. Mon artisan de toupie s'il fait faillite, l'Etat va pas venir le sauver.

On peut considérer qu'une entreprise de manière générale, et une banque en particulier, a une fonction sociale. Quand tu vas à la banque c'est pas pour lui filer tes thunes par plaisir, c'est parce qu'elle comble un besoin. Tout comme ont pu être créé les assurances pour leur mission sociale, il en va de même pour les banques.

Citation :
Publié par Hellraise
Vous vous rendez compte que vu le taux d'entreprises qui passent l'arme à gauche, les banques doivent, pour simplifier, soit gérer le risque en virant les trucs trop risqués ("ouin les vilains il veulent 453 garanties"), soit augmenter le taux qu'elle facture à tous ("les voleurs, ils empruntent à zéro et facturent à 20%".
Soit diminuer les bénéfices.

Une banque, comme tout le monde, dans son compte de résultat elle a ses produits d'exploitation vs ses charges d'exploitation (enfin c'est pas tout à fait vrai ce que je dis vu que le compte de résultat d'une banque il est particulier vu que c'est des activités financières mais passons).

Un taux d'intérêt ou le prix d'un produit financier de manière générale, tu le calcules en fonction de ton risque et de la rentabilité que tu veux derrière. Les banques étant globalement d'une rentabilité plus que fructueuse, sauf quand elles jouent au casino boursier pour lequel on les rembourse quand elles merdent, et ce malgré même les salaires qui peuvent y être délirants, ouais je pense qu'on peut dire que les banques pourraient participer d'avantage au financement des TPE. Ca veut dire soit augmenter le risque, soit diminuer les taux, et ce sans en faire porter la charge sur les gens qui payent pour elle.

Je veux dire, en plus de parasiter l'économie, de participer activement à la fraude et l'évasion fiscale internationale (coucou HSBC en Suisse), de générer des crises d'ordre mondial, d'avoir le monopole de l'argent, on pourrait pas demander aux banques de remplir un minimum leur fonction sociale ?
Message supprimé par son auteur.
Il se passera rien et rien ne sera fait, avant la prochaine crise.

2008 avait été une occasion 2010/2012 là aussi. Dans les 2 cas le service minimum a été fait.

Perso je n'imagine pas de gros changement au milieu d'une période "stable". Ca ne se fera qu'au bord du gouffre. Et encore rien ne dit que ça irait dans le sens voulu. On pourrait très bien avoir à l'inverse une prise de contrôle de la société par les gros groupes par exemple, du fait d'état totalement "anéanti" par leur dette abyssal.
La seule certitude c'est que la prochaine crise sera forcément violente vu le nombre de pays qui se retrouve dans des situations plus exposé encore qu'en 2008.
Au final je crois ça va beaucoup dépendre de qui est aux commandes, du courage politique.Et au vu du niveau de nos élites actuels, on est mal barré.
Citation :
Publié par Thesith
Il se passera rien et rien ne sera fait, avant la prochaine crise.

2008 avait été une occasion 2010/2012 là aussi. Dans les 2 cas le service minimum a été fait.

Perso je n'imagine pas de gros changement au milieu d'une période "stable". Ca ne se fera qu'au bord du gouffre. Et encore rien ne dit que ça irait dans le sens voulu. On pourrait très bien avoir à l'inverse une prise de contrôle de la société par les gros groupes par exemple, du fait d'état totalement "anéanti" par leur dette abyssal.
La seule certitude c'est que la prochaine crise sera forcément violente vu le nombre de pays qui se retrouve dans des situations plus exposé encore qu'en 2008.
Au final je crois ça va beaucoup dépendre de qui est aux commandes, du courage politique.Et au vu du niveau de nos élites actuels, on est mal barré.
Comme dans Continuum
J'avoue en disant ça je pensais à cette série.
Mais c'est un scénario tout à fait possible.

Quand tu regardes un groupe comme Apple et vu l'état des finances de certains pays, et l'état de faiblesse du politique, sans parler que certains des groupes comme Google on sent bien derrière qu'il ya un certain "projet" de société, tu te dis qu'après tout, ce qui semble farfelu, pourrait bien se produire.

Bon après, il est plus probable de voir une dictature prendre le relais qu'un conglomérat de société.
Message supprimé par son auteur.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Hellraise
Je ne comprend pas comment vous décrétez que les banques de détails ont une obligation sociale???

Vous vous rendez compte que vu le taux d'entreprises qui passent l'arme à gauche, les banques doivent, pour simplifier, soit gérer le risque en virant les trucs trop risqués ("ouin les vilains il veulent 453 garanties"), soit augmenter le taux qu'elle facture à tous ("les voleurs, ils empruntent à zéro et facturent à 20%".
Car bon, si elle prête 100 à 20 boites à 5% (même en se finançant à 0%), en simplifiant, il suffit qu'une seule boite fasse faillite totale pour que la banque ne s'y retrouve pas. Et la banque doit aussi payer ses employés, ses locaux, ses systèmes d'IT, etc...

Ca doit être la forme de certains message, car je suis persuadé qu'il y a un bon fond, mais là ça ressort plus comme un "ouin ouin la banque veut pas me filer de sous, zy va salope, file le blé, z'êtes que des pourris, vous devez bien ça à la société"
C'est tellement faux...
Tu es du genre à penser que quand le taux de ton prêt immobilier de 500k sur 20 ans est à 1.6%, tu vas payer 8000€ d'intérêt ?
Sérieux...
Citation :
Publié par Ex-voto
C'est tellement faux...
Tu es du genre à penser que quand le taux de ton prêt immobilier de 500k sur 20 ans est à 1.6%, tu vas payer 8000€ d'intérêt ?
Sérieux...
Si personne n'est foutu de comprendre une simplification pour illustrer qu'une banque de détail (je ne parle pas de la banque d'investissement hein, je suis partisan d'une séparation nette des 2)... Oui on pourrait étendre cela à 5, 10 ou 15 ans pour voir les intérêts cumulés. Et on pourrait prendre en compte que, selon l'INSEE, "sept sur dix sont encore actives trois ans après leur création " ce qui fait quand même 30% où une banque ne récupérerait qu'une fraction de son prêt.

Je suis aussi partisan pour chaque secteur vitale de la présence d'un acteur sous contrôle de l'état, pour servir de barème vis à vis du privé. Bref, que les banques peuvent sans doute prêter plus, oui, mais que chaque intervenant croit que son entreprise de bilboquet automatisé est révolutionnaire et que les banques c'est des méchants qui veulent pas lui financer son BFR pour faire un stock de 50 milliards de bilboquets, ça saoule aussi. La nuance existe hein, je veux bien parler de bankster pour les banques d'investissements, et je conchie les banques de détails qui osent nommer leurs vendeurs "conseillers". Mais bon, une banque a des coûts, et des risques. Et plus l'économie va mal, plus ses risques augmentent. Le fait que certaines banques aient foutu le système à genou ne dispense pas d'avoir une logique à maintenir: si les banques étaient détenues par l'état, ou si la crise n'avait jamais eu lieu, est ce que le volume de prêts consentis est logique dans le contexte économique présent?
C'est la seule question à se poser, et imho (sans justification aucune de ma part), je pense qu'elles pourraient faire un tout petit peu mieux. Mais si j'étais à leur place, hors de question de prendre des risques dans une situation de marasme comme aujourd'hui. Pour les investisseurs qui veulent plus de risque, il existe les solutions type Lending Club, qui serait l'équivalent d'une banque qui fait subir au déposant les risques et récompenses de ses prêts.
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