Une petite question concernant les nouveaux donjons pour obtenir les "Certificats de dragons" quelqu'un sait à partir de quel chapitre les journalières de donjons se débloque ? Mes rerolls ont un bon nombre d'haricots shenzu, mais impossible de les échanger. J'ai essayé d'avancer un peu dans les quêtes, mais toujours pas débloquer.
Après avoir avancé jusqu'au Chapitre 10 (ce qui m'a quand même pris pas mal de temps, pour un reroll normalement destiné au pvp), j'ai débloqué les journalières des donjons violets lvl 50. Sauf que ce personnage est loin d'être équipé pour ce genre de donjons alors je me suis fait insulter de tous les sens et j'ai moi-même remarquer qu'avec ce reroll je ne pourrais pas finir le donjon sans handicaper les autres joueurs qui eux n'y sont pour rien dans les décisions prisent par l'éditeur.
J'ai lu sur le net qu'il fallait monter lvl 49 pour débloquer les journalières des donjons bleus qui donnent les certificat de dragons, mais je ne comprends vraiment pas l'utilité ni la nécessité de forcer les joueurs à devoir monter lvl 49 pour pouvoir échanger les haricots shenzu. Surtout qu'il y a strictement aucune communication qui a été faite à ce sujet, ce n'était pas annoncé et ça n'a pas non plus été inclus dans le patch note.
Certains diront que c'est pour contrer les bots, mais clairement ce système pénalise davantage les nouveaux joueurs, les casual et les rerolls que les bots. Les bots en question ils vont rush le contenu pour up lvl 49/50 puis continuer d'afk en arène et en donjon bleu ou même violet. Passer de 45 à 50 en soit c'est vraiment facile, mais ça demande quand même du temps pour un joueur normal là ou le bot aura tout d'automatiser. Alors, sincèrement, je ne sais pas qui s'occupe de la prise de décision du coter de l'éditeur, mais ça devrait être revu.
Après le retrait de l'abonnement prépayé on a droit à ça et je trouve que ça fait beaucoup. A mon avis ils devraient lier les certificats au compte ou les remettre dans les donjons ondins. En cherchant un peu sur les forums officiels on peut constater que je ne suis pas un cas isolé et que je ne suis pas le seul à me plaindre.
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