Ils sont dans une situation compliquée. Néanmoins, il ne faut pas négliger l'importance des salariés dans une boîte de jeu vidéo ; si une OPA hostile est réalisée, rien n'empêche tous les salariés de démissionner et de fonder une nouvelle structure. Ils auront perdu leurs licences, c'est vrai, mais l'acquéreur se retrouvera lui avec une véritable coquille vide.
Le risque ?
Le chômage ?
La sortie de leur zone de confort ?
Le "j'm'en fous tant que je suis payé" ?
Le pouvoir des salariés c'est peanuts.
Et quand ce qui fait vendre les jeux c'est la coquille, on peut se moquer du fait qu'elle soit vide. Tu prends n'importe quelle grosse licence, si t'enlèves le nom tu peux diviser les ventes par 4 minimum, alors qu'il faut plusieurs épisodes raté d'affilée pour impacter les ventes significativement.
Vivendi c'est avant tout un gros lobby qui essaye de s'intégrer dans tous les médias.
A partir de là je vois 3 hypothèses :
- le jeu vidéo est bien plus rentable que ce qu'on veut nous faire croire à coups d'articles alarmants (qui possède les médias déjà ?), et Vivendi se fait une place rentable au chaud.
- Ce n'est pas la rentabilité directe qui les intéresse mais la possibilité de manipulation dès le plus jeune âge que le média peut engendrer.
- Un mélange des deux hypothèses précédentes.
Pour rappel, Vivendi c'est aussi ceux qui ont fait fusionner Activision et Blizzard avant d'en abandonner le contrôle.
édit@ en dessous : je ne vois pas en quoi c'est contradictoire, à moins de croire que quand je donne 3 hypothèses ça veuille dire qu'elles soient toutes les 3 justes.
Ou alors il va falloir nous expliquer pourquoi ils avaient tant d'intérêt pour Activision et Blizzard si c'est ni l'argent, ni l'influence qui les intéresse.
Dernière modification par Falith ; 22/10/2015 à 12h02.
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