Rangers Bangkoraï

Répondre
Partager Rechercher
Bangkorai2.png


Citation :
Alors que je n'étais qu'un enfant, mon père m'a dit un jour :

Mon fils, les temps sont difficiles et ton apprentissage ne peut pas se limiter au désert d'Alik'r.
Mais père, c'est nos traditions d'être éprouvé dans le désert ?
Oui mon fils, mais comment survivras tu dans un autre environnement que le désert ?
Tu vas devoir partir plus au nord, dans des contrées à la nature plus diversifié.
Et pour les autres peuples, comme les Brétons et les Orques ?
Tu vas devoir apprendre à les connaître et à les apprécier, ainsi que leurs cultures, car seuls, les Rougegardes ne pourront sauver Tamriel. Nos ennemis ne nous laisserons aucunes chances car eux ont fait des alliances avec d'autres peuples.

Alors un jour, je suis partis de notre village sous le regard fier de mon père et l'aventure commença dans la contrée de Bangkoraï.
Là dans cette contrée qui m'était inconnue, j'apprenais jour après jour et je rencontrais finalement un
groupe de Brétons qui cherchaient du minerai de fer.
Il y avait dans ce groupe un vieil homme qui ne me dévisageait pas comme le faisaient ses camarades.
Pour eux, je n'étais qu'une curiosité mais pas pour le vieil homme, avec qui j'appris beaucoup de choses sur son peuple.
Le vieillard m'invita à les accompagner jusqu'à leur village, où je m'installai pendant quelques temps et où j'ai rencontré les premiers Orques que je vis de ma jeune vie .
Depuis mon arrivée dans le village, les choses ont terriblement changé en Tamriel.
Peu à peu, les proches que nous croyions disparus pour toujours sont revenus d'entre les morts. Ce que nous pensions être un miracle a peu à peu pris des allures de cauchemar quand il s'est répandu aux autres villages, n'épargnant aucun de nos peuples ; Rougegardes, Orques, Brétons, c'est vite devenu une véritable déferlante qui s'est abattue inexplicablement sur l'Alliance de Daguefilante. Ce soulèvement ne peut durer, d'autant que Le Pacte de Coeurébène et Le Domaine de Aldmeri semble vouloir prendre le contrôle de la Cité Impériale.
Devant cette menace qui mettait en péril l'existence même de nos peuples, le Haut-roi Émeric décida qu'il fallait garder la tête haute. Quitte à tomber, nous tomberions avec honneur, et non pas sans résister, spectateurs aveugles de notre destin.
J'ai entendu l'appel aux armes du Haut-roi. Le sang bouillonnait dans mes veines à mesure que je sentais la détermination monter en moi.
Quand le Roi eut fini, le silence se fit, et j'entendais le silence qui hurlait à mes oreilles et me força à me lever. Je me dressais alors et sorti ma lame de son fourreau. J'admirais le travail et regardait le miroir de la lame. Mon regard croisa celui d'un jeune Rougegarde qui semblait vouloir percer la carapace de mes chairs pour tester la puissance du feu qui m'animait. Je lui rendis son regard, et alors que le soleil se couchait sur l'horizon, je sus ce que je devais faire. Un long frisson me parcouru le corps.
J'ignore de quelle manière j'allais pouvoir m'y prendre, mais il fallait que je retourne à mon village. Pour protéger mes proches pour commencer, mais également pour trouver des volontaires prêts à m'aider à répondre à l'appel du Haut-roi Émeric.
Je rendis visite au vieil homme pour lui parler de mon projet avant de partir du village. Celui-ci m'écouta pendant des heures, n'hésitant pas à m'interroger sur le moindre point.
Il me demanda de différer mon départ de quelques jours sans justifier cette demande, juste en me disant de lui faire une dernière fois confiance, comme il y a quelques années quand je l'avais rencontré lui et ses Brétons.
Il avait réuni le conseil du village, avait dépêché des messagers, dans les jours qui suivirent.
Je ne sais pas ce qu'ils se sont dit mais jour après jour, le visage de mon vieil ami semblait de plus en plus satisfait.
Quand l'heure du départ fut venue, je me dirigeais par des rues vides vers la place centrale du village, le baluchon que j'avais fait aussi léger que possible pendait à mon côté, et la lance dans mon dos pointait fièrement vers le ciel comme dans un geste de défi. Les rues désertes alourdissaient mon coeur et émoussaient quelque peu mon ardeur, mais je ne voulais pas faillir. J'avais espéré voir des gens avant de partir, pour emporter des visages amis qui m'accompagneraient dans mon périple, mais j'étais désespérément seul.
Je fus stupéfié lorsque j'atteignis enfin la place principale du village car les rues désertes avaient fait place à une véritable marée humaine. J'avais peine à traverser la foule et les visages se mêlaient, les femmes me touchaient, les enfants me souriaient, les hommes me félicitaient, avec un peu de jalousie dans les yeux, heureux certainement que ce ne soient pas eux qui se sacrifient tout autant qu'envieux de n'être ceux que les légendes chanteront si l'issue de mon combat est victorieuse. Je ne pouvais dénombrer la foule, mais j'étais certain qu'il y avait ce jour-là plus de curieux que le village ne comptait habituellement d'habitants. Je pense que le mot avait dû se propager, et les gens venir de partout pour voir quel était le fou qui se lançait dans une telle entreprise.
Quand j'arrivai enfin devant le vieil homme, je devinai à son sourire qu'il me réservait une surprise. Il m'emmena vers la sortie du village, où une foule immense nous suivit, et lorsque nous atteignîmes enfin les portes, il s'arrêta et en me désignant quelque chose face à lui me dit :
"Ils t'accompagneront. Ce ne sont peut-être pas les meilleurs combattants, mais ce sont certainement les plus courageux. Entraîne-les, forme-les, organise-les, tu n'auras jamais à le regretter, et jamais ils ne te feront faux bond".
Je regardais ce qu'il me montrait, et j'en restait bouche bée. J'avais devant moi une petite poignée d'hommes et même de femmes prêts à prendre la route. Ce n'étaient pas des guerriers, mais je voyais le feu de la détermination briller au fond de leurs yeux. Ils étaient tous différents : Rougegardes, Orques et Brétons, mais pourtant tous vibraient à l'unisson dans un grand élan de fraternité que le désespoir de notre cause rendait magnifique. Je me retournais pour remercier le vieil homme, mais je vis qu'il s'était déjà éloigné et que les portes du villages se refermaient. Personne ne voulait avoir à supporter la corvée des adieux. Je me retournais vers mes hommes. Mes hommes, mes compagnons. Je devais à présent retourner à mon village recruter d'autres combattants.
En chemin, je commençais à former mes compagnons, apprenant à les connaître et à utiliser leurs capacités. Ce n'était définitivement pas des guerriers, pas encore du moins, aussi serait-il difficile de mener des combats en terrain découvert. C'étaient des paysans, des bergers, des éleveurs, quelques gardes pour les plus aguerris. Je commençais donc à les organiser et à les former au mieux de leur compétences : rôder, se camoufler, surgir pour frapper de l'ombre avant de disparaître. Je leur appris la guérilla. C'était la première étape de notre parcours.
Nous arrivâmes enfin à mon ancien village. Rien ne semblait avoir changé, il était tel que dans mes souvenirs les plus chers. Je notai néanmoins qu'il semblait moins animé qu'auparavant, mais je mis cette idée sur la compte du temps qui transforme les souvenirs. Je suggérai alors à mes compagnons d'aller se détendre à l'auberge du village pendant que j'allais voir mes parents. J'espérais qu'ils seraient fiers en voyant l'homme que j'étais devenu, et surtout qu'ils m'aideraient à recruter des compagnons supplémentaires pour les combats qui s'annonçaient.
En arrivant à mon ancienne maison, quelque chose semblait avoir changé. Elle paraissait sombre et glacée. Les volets étaient fermés, alors que le soleil brillait encore dans le ciel. Un frisson glacé me traversa, mais je ne voulu y prêter attention.
"Plus personne ne vit ici, mon gars, dit une voix derrière moi
- Comment ça? répondis-je en me retournant, que s'est-il passé ici?
- La maladie. Une maladie inconnue a emporté les habitants, comme elle a emporté une partie du village.
- Ce n'est pas possible, quand est-ce arrivé ? Je reconnus l'homme comme étant mon ancien voisin.
- Ah... t'es le gamin. Je suis désolé. C'était il y a environ six lunes, les habitants sont morts les uns après les autres. Bizarrement, ce sont essentiellement les hommes dans la force de l'âge qui ont été emportés. Peu de vieux et peu de gamins. Enfin... sauf ici. Tes parents sont morts, tout comme ta sœur.
- Ma sœur? m'étonnai-je? mais je n'ai pas de sœur !
- Tu en avais une. Elle est née quelques lunes après ton départ du village. Elle était magnifique. C'est elle qui a été emportée en premier, tes parents sont morts quelques jours après.
- Comment... comment s'appelait-elle? Et mon père... a-t-il laissé un message pour moi?
- Elle s'appelait Aube. Parce que ton père était convaincu qu'un nouveau monde allait arriver. Et le seul message qu'il t'ait laissé, c'est qu'il voulait que tu saches qu'il était fier de toi, quoi que tu fasses.
- Alors, je n'ai plus rien à faire ici, adieu vieil homme.
- Adieu gamin"
Je rejoignis mes compagnons à l'auberge. A ma mine, ils comprirent qu'un grand malheur s'était abattu sur moi, mais je leur fus reconnaissant de n'en rien montrer. J'appréciais leur empathie et leur discrétion. Nous résolûmes de partir à l'aube. C'était important pour moi. Cela signifiait que j'emmenai cette sœur que je n'avais jamais connu avec moi, je la mènerai vers ce nouveau monde que mon père désirait pour elle.
Au milieu de la nuit, une vive agitation semblait gagner le village. Des pas d'abord étouffés, puis rapides se firent entendre dans les couloirs de l'auberge. Je bondis de mon lit et attrapai mon arme avant de sortir et de me diriger vers l'extérieur, rapidement rejoint par mes compagnons. La cloche d'alarme retentit.
"Les morts attaquent ! Aux armes !"
Je fis signes à ceux de mes compagnons qui avaient un arc de prendre position sur les hauteurs, d'occuper les balcons et les toits afin d'avoir la ligne de visée la plus dégagée possible. Je commandais aux autres de se séparer et leur fit comprendre que nous nous retrouvions sur la place centrale du village quand ce serait fini. C'était notre premier vrai combat. Je les avait emmené pour cela, le moment de vérité était sur nous.
Alors que mes compagnons s'éloignèrent dans des directions opposés, longeant les façades afin de rester le plus discrets possibles, je me dirigeai lentement vers le centre de la rue. Les villageois paniqués ne savaient quoi faire et nous empêchaient de distinguer quoi que ce soit? Nous ne pouvions combattre ainsi.
"Tous à l'auberge, barricadez-vous, Que les combattants se préparent, les morts attaquent !" hurla la voix de celui qui continuait toujours à faire retentir la cloche.
Les rues se vidèrent à mesure que les villageois se barricadaient dans l'auberge? Bientôt, nous ne fûmes qu'une poignée d'hommes encore dans les rues, seuls, attendant avec un peu d'anxiété. Je jetai un œil alentours pour estimer nos forces, et je fus à peine surpris de voir qu'ici aussi, tout ce qui était à même de combattre n'était guère armé mieux qu'avec des pics ou des fourches à foin. Ils tremblaient en se demandant ce qu'ils faisaient ici, et devaient maudire intérieurement le destin funeste qui les avait fait naître à cette époque sordide.
La cloche se tut. Du coin de l'œil, je remarquai que l'homme était descendu et nous avait rejoint. il portait un impressionnant marteau. Il me retourna mon regard.
"Nous allons mourir ici, mais nous ne mourrons pas seuls, me dit-il avec un sourire carnassier.
- Nous ne mourrons pas, lui rétorquai-je. Restez groupés, n'avancez pas seuls ! Si vous voulez vivre, vous ne devez pas quitter la lumière. Dans l'obscurité, vous mourrez !" essayai-je de motiver mes compagnons d'arme de circonstance.
Des bruits provenant de l'obscurité que n'éclairaient pas les torches de la place m'interrompirent. La sueur perlait aux fronts des hommes à côté de moi. L'un d'eux fit tomber son pic et le ramassa en tremblant.
Soudain, les premiers adversaires avancèrent dans la lumière. C'étaient bien des morts. Leur état de décomposition plus ou moins avancée, ainsi que la terre qui recouvraient encore certaines parties de leur corps ne trompaient pas. Je levai mon épée. J'espérai qu'aucun homme ne se précipiterai au combat.
Ils avancèrent encore. Une volée de flèche fendit l'air. Personne ne bougea. La première vague de morts était à peine tombée qu'une autre arrivait. Une seconde volée de flèche s'abattit sur eux, mais les archers n'eurent pas le temps d'en armer une troisième que les morts fondirent sur nous. Ma mémoire est incapable de retranscrire ce qui me traversa alors l'esprit pour ce baptême du feu. Tout est flou. Chacun luttait pour sa survie. Le chaos s'abattait sur nous. Quelques hommes autour de moi tombèrent. Quand enfin, après un long combat, nous semblions prendre le dessus et que les morts semblaient refluer vers les ténèbres, certains de nous se lancèrent à leur poursuite.
Je n'eus pas le temps de leur rappeler de rester dans la lumière des torches, que nous les entendions hurler. C'était un hurlement horrible, comme si tout les démons de l'enfer s'étaient abattus sur eux pour se venger des cadavres morts deux fois qui gisaient à nos pieds. Un silence glacial se fit alors. Une main se posa sur mon épaule.
En me retournant, je fus pétrifié. Mon père se tenait devant moi. Il portait encore le collier traditionnel de ma famille. Ou plutôt ce qu'il en restait me faisait face. Bizarrement, il n'avait pas cherché à attaquer dans mon dos, en profitant de l'effet de surprise. L'espace d'un instant, je crus qu'il m'avait reconnu, et je baissais mon arme.
Grand tort me pris, car ce qui avait été un jour les yeux de mon père semblèrent s'embraser, et il se jeta sur moi en hurlant des sons horribles.
J'étais pétrifié. Mes compagnons étaient trop loin de moi pour m'aider, et je ne parvenais pas à me convaincre de me défendre. Je ne pouvais attaquer ce père que je venais de retrouver. Je ne pouvais pas tuer mon propre père. J'étais à la merci de mon propre père.
il me jeta au sol et m'arracha mon arme des mains. il me cloua la tête au sol, de la terre tomba sur mon visage, me prouvant que sa seconde naissance était récente. J'étais incapable de me défendre, incapable de quitter le feu surnaturel qui brillait dans ces orbites désormais vides.
Je me fit à l'idée que mon combat aura été bref. Je n'avais pas été à la hauteur des attentes du Haut-roi, je n'avais pas été à la hauteur de l'espoir que mon père avait placé en moi. J'avais trahi mes compagnons et je mourrai simplement ici, sur cette place où jadis je jouais avec les autres gamins du village. J'étais prêt à rejoindre ma famille. une larme coula sur ma joue. Je me laissais aller.
un sifflement se fit entendre, et je vis une flèche traverser le crâne de mon père qui s'affala sur moi. Le feu surnaturel me fixait. il réduisait lentement, et je cru retrouver ce regard bleu d'acier qui avait été jadis le regard de mon père. Je cru y discerner de la fierté. Cela n'avait duré qu'une fraction de seconde, je pense que j'ai dû rêver car je perdis connaissance au même instant, terrassé par l'émotion.
Lorsque je repris connaissance, j'étais entouré par mes compagnons. L'un d'eux m'aida à me relever. Je ne quittait pas mon père des yeux.
"C'était mon père", tentai-je d'expliquer à mes compagnons en me baissant pour ramasser le précieux collier familial que je passais autour de mon cou.
Cinq villageois seulement avaient été tués. Ceux qui s'étaient barricadés dans l'auberge sortirent et chantèrent nos louanges. Mon ancien voisin était parmis eux et me fit un signe de tête, un sourire au coin des lèvre. Peut-être voulait-il me faire comprendre que mon père devait être fier de moi malgré tout.
Je décidai d'en profiter pour recruter des compagnons d'arme supplémentaires. Notre groupe doubla presque alors que j'essayais de les convaincre qu'il fallait partir au plus vite, qu'il fallait pourchasser les morts pour en trouver l'origine et mettre le village en sécurité. Nous devions partir sur le champ.
Lorsque nous avons franchi la colline derrière laquelle se cacherait définitivement mon village, je me retournai. Je lançai un dernier regard à ma jeunesse, à ma famille, conscient que je n'aurai certainement plus l'occasion de le revoir un jour. J'emportai à jamais son souvenir avec moi, comme une motivation supplémentaire pour mon combat qui s'annonçait difficile. Je rejoignis alors mes compagnons qui gardaient le silence, et je les emmenais vers leur destin.
Ainsi naquirent les Rangers Bangkoraï.
Depuis la confiance, le respect, l'entraide, et la bonne humeur règnent sur nos destinées, malgré le peu d'espoir que nous avons d'en sortir vivants.
Après cette longue lecture, vous devez vous demander qui a bien pu pondre un truc aussi long et surtout qui sont Rangers Bangkoraï ?
En voici une partie de réponse. Et oui vous avez encore un peu de lecture à effectuer !

Bienvenue chez les Rangers !


Vous cherchez une guilde familiale et multi-jeux qui aime la rigolade, tout autant que relever les défis en groupe? Vous avez poussé la bonne porte, celle des MMO Rangers.

Bien que re-fondée en 2011, la guilde a une histoire relativement longue, et tire ses racines de SWG où la guilde An Atur sévissait sur Kauri. Pendant toutes ces années, nous ne sommes pas demeurés inactifs : sous l'étiquette Fondation MMO,nous avons pris une part importante dans les aventures de plusieurs guildes.
En marge de cela, le noyau fondateur a traîné ses guêtres sur un certain nombre de MMOs (EQII, DDO, APB, AoC, NFS:W,CO, CoX, LotrO, TSW et j'en passe), ce qui lui confère ainsi une très longue expérience, mais aussi une certaine maturité. Depuis la sortie de SW:ToR et de TSW, l'An Atur reprend sa route indépendemment dans cette galaxie lointaine, très lointaine, là où elle s'était arrêté sur SWG avec la fermeture de Kauri, sous le nom de MMO Rangers pour rappeler que notre communauté arpente les mondes virtuels sous toutes leurs formes.

Les Rangers, en bref :

Les Rangers sont une guilde multi-jeux francophone PvE-RP. Si nous adaptons nos guildes en fonctions des jeux sur lesquels nous nous posons, nous gardons toujours des concepts récurrents (PvE, craft notamment) communs à l'ensemble des jeux afin que chaque membre de notre communauté se retrouve partout à l'aise. Les Rangers s'attaqueront ainsi à tous les défis que les jeux nous proposeront, sans pour autant plonger dans le hardcoregaming, puisque nous avons tous une vie bien réelle, un travail prenant ou une famille. Les Rangers se veulent avant tout une guilde familiale qui évolue à son rythme, en intégrant un maximum de monde dans son projet.

Pourquoi rejoindre les Rangers?

- Parce que notre aventure est née sur SWG il y a bien longtemps. Nous adorons l'univers Star Wars et essaierons toujours de favoriser l'immersion RP
- Parce qu'être membre chez nous, ce n'est pas simplement être membre, mais réellement faire partie d'un groupe soudé. Pas question de rester seul dans son coin, s'il y a besoin d'apporter de l'aide, nous serons toujours là.
- Parce que nous ne voulons pas faire la course à un contenu qui s'épuise toujours bien plus vite que les développeurs ne peuvent produire. Nous voulons évoluer au rythme de chacun. Pas question de se lancer dans une course au stuff, au niveau ou au FirstDown, mais plutôt de relever les challenge ensemble.
- Parce que nous essaierons toujours de proposer du contenu, que ce soit de simples sorties PvE ou des events RP. Le calendrier et le forum sont là pour nous y aider.

Comment rejoindre les Rangers?

Inscrivez-vous sur notre site et postez un message de présentation dans la section recrutement, le reste avancera tout seul !

Les adresses utiles :
le site : http://www.mmorangers.com/index.php
le wikia TESO : http://fr.mmorangers.wikia.com/wiki/...Scrolls_Online ( en cours de création et surtout de remplissage )

Pour tout renseignement complémentaire, n'hésitez pas à me contacter par MP, sur ce même post ( ça le fera vivre :P ) et sur notre site.
Cordialement,
Ingo
Nous continuons d'arpenter les terres de Tamriel ce week-end en attendant le lancement du jeu, aussi si vous voulez nous contacter pour des renseignements complémentaires n'hésitez pas à me joindre IG : @IngoTeal

Bon test ou sinon à bientôt !
Nous vous informons que la partie Alchimiste de notre wikia est quasiment terminé, n'hésitez pas à la consulter ( il n'y a pas besoin de s'inscrire, l'accès est totalement libre !! ) ---> http://fr.mmorangers.wikia.com/wiki/Alchimiste

Nous recherchons également des membres pour la guilde au vue du lancement de TESO qui approche !!

Cordialement,
IngoTeal

http://www.mmorangers.com/index.php
Nous sommes désormais 8 membres et ambitionnons d'ouvrir notre banque de guilde !
Pour y arriver nous avons besoin d'un minimum de 2 membres supplémentaires voir plus si affinités

N'hésitez pas nous contacter sur canal Français ou en me tell IG => Ingo Teal

A bientôt en Tamriel
Petite guilde sympa et familiale, nous recherchons toujours de nouveaux membres pour nous étoffer un petit peu !

Pas de restriction de niveau, pas de restriction d'assiduité, nous sommes 10 joueurs et possédons donc notre banque de guilde.

Si vous vous sentez un peu seul, ou si vous recherchez une petite guilde, n'hésitez pas à me contacter en jeu.
Toujours présent à Tamriel, avec à l'occasion des petites sorties en Cyrodiil histoire de varier les plaisirs !!

N'hésitez pas à venir nous rejoindre en jeu si l'envie vous en dit !!
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés