Vu la masse de retours positifs, je m’y suis mis (et j’en suis content \o/).
Je joue une rôdeuse avec une légère pointe de magie (enchantement, en fait).
Niveau 26, combat à deux armes, arc, furtivité, armure légère.
J’ai pris des capacités en armure légère pour améliorer ma survie, tout ce que je peux en arc (sauf stabilité, je ne sais déjà pas quoi faire de mes potions de vigueur…), un peu en 1 main pour être plus efficace en combat à deux armes (et s’il me reste des points, monter les degâts bruts).
Je suis loup-garou mais je vais me guérir parce que je ne pense jamais à m’en servir.
Style de jeu*: mode fourbasse, tout est bon dans le cochon.
Je me place si possible de façon à pouvoir reculer derrière les pièges de l’ennemi pour l’y attirer. J’essaye de repérer un faiblard et je le tue en une flèche avec mon arc elfigue amélioré, en changeant pour des flèches plus efficaces si j’estime la cible un peu plus costaud. En cas de désastre (pull de sale) je fais retraite derrière les pièges en espérant que ça marche, si pas de piège, j’ai quelques parchemins (hystérie, tempête de feu, boule de feu) histoire d’affaiblir le paquet de méchants, puis les cris (feu dans les couloirs, plutôt l’onde de choc en mêlée et je fonce dans le tas avec mes deux armes pour viander le plus vite possible (parce que Bosmer + armure légère ça tient pas super bien la mêlée). Je ne frappe presque qu’en puissance avec les deux armes pour loger les enchaînements. Je manque encore de patate au contact (il me faut deux ou trois attaques en puissance pour venir à bout d’un costaud en armure, je vais y remédier en faisant des poisons de paralysie.
Je commence à avoir assez de furtivité pour trancher la gorge de certains adversaires.
Face aux trolls, c’est flèche, recul, flèche, recul…
Face aux dragons, si je suis en terrain ouvert je cours beaucoup en zig zag en espérant ne pas me morfler un ours Oo, je lâche une flèche quand l’écailleux s’est posé et je compte beaucoup sur les potions de résistance au feu et le matos feu que je me suis fait. Une fois abîmés, je fonce dans le tas et je viande au contact. En terrain accidenté, je cours d’un abri à l’autre et je tire quand je peux, s’il se met en vol stationnaire ou au sol, je trouve un abri, je tire pendant qu’il aspire, j’évite les flammes, je tire quand il prend son essor. J’évite le plus possible le contact dans ce genre de terrain parce que le temps d’arriver, t’as pris deux souffles.
Face aux falmers, j’ai du mal parce que leur ouïe surdéveloppée leur indique ma position de tir à chaque flèche. J’ai pas essayé le cri de télékinésie avec eux, ça pourrait donner de bons résultats.
Dernière modification par Fenrhyl Wulfson ; 08/01/2012 à 12h14.
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