Education Nationale : L'action du gouvernement ? (#2)

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Pour répondre à Kelem à la question, pourquoi viser un diplôme ou faire une thèse si on étudie juste pour le plaisir.

D'une part, pourquoi s'en priver, si on aime un sujet on peut toujours garder en tête l'idée qu'on se réorientera peut être niveau boulot et que ce diplôme pourrait servir.
D'autre part, derrière les diplômes y a un cadre de travail. Fac, prof, bu, maître de thèse et c'est aussi une communauté : étudiants, échanges, entre aide, etc ... et obtenir un diplôme c'est se donner un objectif. Parce que la passion ça donne pas une motivation sans faille non plus, surtout si t'as d'autres obligations à côté.
Citation :
Publié par Loe
Pour répondre à Kelem à la question, pourquoi viser un diplôme ou faire une thèse si on étudie juste pour le plaisir.

D'une part, pourquoi s'en priver, si on aime un sujet on peut toujours garder en tête l'idée qu'on se réorientera peut être niveau boulot et que ce diplôme pourrait servir.
D'autre part, derrière les diplômes y a un cadre de travail. Fac, prof, bu, maître de thèse et c'est aussi une communauté : étudiants, échanges, entre aide, etc ... et obtenir un diplôme c'est se donner un objectif. Parce que la passion ça donne pas une motivation sans faille non plus, surtout si t'as d'autres obligations à côté.
Oula, elle est lointaine cette discussion et je ne me souviens plus totalement du contexte de ce que je disais, et la flemme de tout rechercher .

Pourquoi s'en priver, certes, mais retournons la question également, pourquoi aussi s'ajouter des contraintes qui ne sont pas indispensables. Après, il faut bien sur mesurer le rapport contraintes / apports.
De plus la problématique est différente aussi entre faire une thèse juste après son Master ou bien plus tard, pour le plaisir ou pour trouver un boulot.
Ensuite le cadre de travail, pour baigner dedans depuis une vingtaine d'années, là, c'est vraiment très très variable, si l'étudiant a du bol, il tombe sur un très bon directeur de thèse, présent et prévenant, avec une équipe soudée, créatrice autant que rigoureuse, avec des moyens suffisants. Ça, c'est dans le meilleur des mondes... Si l'étudiant n'a pas de bol, cela peut se résumer à un directeur de thèse qu'il voit une fois tous les 6 mois, son cadre de travail est chez lui, seul, sur sa machine, et oui le travail en bibliothèque est de moins en moins présent de nos jours.

Bref, là, il y a de tout, je te laisse sonder quelques dizaines de thésards pour voir ce qu'ils pensent de leur cadre de travail, j'ai ma petite idée mais chut . Tiens anecdote, le bureau d'à coté, il y a un jeune qui soutient dans 2 mois, il m'a promis quelques révélations croustillantes sur sa directrice une fois sa thèse terminée, je suis impatient car je l'ai dans le collimateur depuis quelques années, elle .
Citation :
Publié par Kelem Khâl La'Ri
Oula, elle est lointaine cette discussion et je ne me souviens plus totalement du contexte de ce que je disais, et la flemme de tout rechercher .

Bref, là, il y a de tout, je te laisse sonder quelques dizaines de thésards pour voir ce qu'ils pensent de leur cadre de travail, j'ai ma petite idée mais chut . Tiens anecdote, le bureau d'à coté, il y a un jeune qui soutient dans 2 mois, il m'a promis quelques révélations croustillantes sur sa directrice une fois sa thèse terminée, je suis impatient car je l'ai dans le collimateur depuis quelques années, elle .
Pff c'est 'tet une Milf, et donc il te révélera des histoires de cul.
Sinon t'as aussi le directeur de thèse qui postule à ta place à une demande de subvention avec au besoin une signature contrefaite, donc à ton nom et dont incidemment tu apprends l'existence lors d'un remord de la secrétaire
Et dont évidemment le directeur de thèse ne te donnera pas le résultat (je penche pour un échec).
Vivi, j'en ai un peu gardé sous le coude niveau révélations sur ma thèse
Bah l'avantage quand t'as aucune obligation à valider, c'est ... que t'as aucune obligation à valider
Et si tu te lances dans une thèse qui n'est pas une nécessité pour ton projet professionnel, que ça foire au bout d'un an et que tu arrêtes (ce que tu vis d'autant moins mal sans la pression de "devoir" aller au bout), t'as au moins pas le regret de ne pas avoir essayer et ça peut valoir le coup juste pour ça de "perdre" un an je pense.
Certains parents commencent à se réveiller.

Citation :
Ils se battent pour leur école

Les cartes scolaires départementales dévoilées ces derniers jours font craindre la disparition de 1.500 à 3.000 classes de primaire et de maternelle. Pourtant, le nombre d’élèves augmente. École par école, la mobilisation s’organise.

Quatre mille neuf cents élèves de primaire et de maternelle en plus, 9.000 instits en moins, combien de classes fermées dans le premier degré à la rentrée 2011? C’est un problème de maths et de politique sur lequel planchent, en cette fin d’année scolaire, ministère de l’Éducation et syndicats enseignants.

Pour un inspecteur d’académie qui assure vivre sa pire rentrée, "2011 marquera la mort des remplaçants": "Cela ne posera pas trop de problèmes en septembre, mais il faut s’attendre à une hécatombe en hiver au moment de la grippe et ce sera encore pire au printemps! Comme de nombreuses enseignantes programment leur congé maternité à cette date, certaines classes n’auront plus de maître au tableau."

Autres variables utilisées par les recteurs et autres inspecteurs d’académie: l’augmentation du nombre d’enfants par classe, la diminution de postes d’enseignant spécialisé dans l’accueil des élèves en difficulté et la limitation de la scolarisation des moins de 3 ans.

JDD
Ca me dégoûte quand même de voir que la plupart d'entre eux se mobilisent pour sauver la classe du village. Mais ils continueront à soutenir la même politique.
En gros : Supprimez des postes, mais pas chez nous !

Citation :
(...) des parents d’élèves se mobilisent dans tout le pays pour protester contre les fermetures. À Trouville, un site Internet a été créé pour "garder" une maîtresse de maternelle. Dans le Calvados, une dizaine d’écoles ont été occupées lundi. D’importants rassemblements se sont tenus début avril dans les Hauts-de-Seine, l’Essonne et l’Hérault. D’autres sont prévus cette semaine dans le Jura, où dix villages risquent de se retrouver sans école à la rentrée. Pendant ce temps, des élus locaux, parfois issus des rangs de la majorité, font le siège des bureaux des recteurs dans l’espoir de "sauver" des classes dans leur région.
Ce qui est choquant également c'est que selon l'influence et le parti des élus locaux, la politique de suppression de postes ne sera pas appliquée de la même façon.
Citation :
Publié par Timinou
Ce qui est choquant également c'est que selon l'influence et le parti des élus locaux, la politique de suppression de postes ne sera pas appliquée de la même façon.
Ce serait d'ailleurs intéressant de voir des chiffres précis entre :
- les suppressions prévues.
- les suppressions effectives.
- les couleurs politiques locales.
En Alsace, le nombre de postes à pourvoir pour le CRPE a été diminué par 3 comparé à l'année dernière. Environ 500 candidats pour 25 places... A ce niveau là, autant tenter l'agrégation...
Citation :
Publié par Carminae
En Alsace, le nombre de postes à pouvoir pour le CRPE a été diminué par 3 comparé à l'année dernière. Environ 500 candidats pour 25 places... A ce niveau là, autant tenter l'agrégation...
C'était bien la peine d'être la seule région fidèle à l'UMP...
Citation :
Publié par Aloïsius
C'était bien la peine d'être la seule région fidèle à l'UMP...
On a les dirigeants qu'on mérite.

Beaucoup de mes collègues ex-historien qui ont fini à l'IUFM reviennent l'année prochaine en Master Recherche pour ensuite tenter l'Agreg... C'est dire.
Citation :
Publié par Victhor
'fin c'est pas du tout les mêmes métiers...
C'est aussi un concours qui mène à l'enseignement. Après oui, ce n'est pas les mêmes métiers. Mais quand t'es en Histoire, c'est soit le CRPE, soit le CAPES, soit l'agreg'.
Citation :
Publié par Carminae
C'est aussi un concours qui mène à l'enseignement. Après oui, ce n'est pas les mêmes métiers. Mais quand t'es en Histoire, c'est soit le CRPE, soit le CAPES, soit l'agreg'.
Bien entendu, mais que tu aies le CAPES ou l'Agreg', tu fais le même boulot ; alors que le CRPE permet d'obtenir un métier qui est très très différent de l'enseignement en collège ou lycée (à part en CM1 ou CM2 on peut même dire que ça n'a aucun rapport.)

Fallait pas faire Histoire! ('fin en Lettres, c'est pareil tu me diras...)
Citation :
Publié par Victhor
Bien entendu, mais que tu aies le CAPES ou l'Agreg', tu fais le même boulot ; alors que le CRPE permet d'obtenir un métier qui est très très différent de l'enseignement en collège ou lycée (à part en CM1 ou CM2 on peut même dire que ça n'a aucun rapport.)

Fallait pas faire Histoire! ('fin en Lettres, c'est pareil tu me diras...)
Tu prêches un convaincu. On ne demande pas les mêmes compétences et connaissances dans un CRPE que dans un CAPES/AGREG.

Mais je pense que la plupart des gens veulent enseigner sans forcément se rendre compte des différences entre les deux. Quand tu vois qu'il est plus dur d'avoir un CRPE que d'avoir un CAPES voir une agrégation, autant tenter celui qui procure le meilleur salaire et la meilleure reconnaissance sociale.

Si, il faut faire Histoire ! Mais il faut savoir développer ses compétences et savoir monter un projet professionnel qui tienne la route. Il ne faut pas faire comme 80% des étudiants qui se posent la question en avril de leur L3 : "Qu'est-ce que je fais ensuite ?"

Tu serai étonné du nombre d'étudiants allant en "Master Recherche" par défaut.

Les facultés de sciences humaines développent de sérieuses compétences (réflexion, rédaction, le sens de la recherche, culture général, etc...) mais les étudiants sont trop enfermés dans cette idée que formation = emploi. Il faut considérer ses études comme des clés, un moyen et non une fin. A partir de ce postulat, ce qui est mon cas, je m'éclate en cours et je sais que je monte un projet professionnel viable.

Après, on en revient au problème de l'orientation. Il existe plein de Masters accessibles par les Historiens, comme les masters du patrimoine, de la culture, IHEE, les sciences politiques, etc... Il faut savoir se renseigner et c'est là que le bas blesse.
Citation :
Publié par Victhor
mais que tu aies le CAPES ou l'Agreg', tu fais le même boulot
Même après quatre ans d'enseignement, j'ai toujours du mal avec cela. Pourquoi deux statuts différents pour la même chose?

Citation :
Publié par Carminae
Il faut savoir se renseigner et c'est là que le bas blesse.
C'est clair. Pourtant maintenant dans le secondaire, je vois plein d'interventions d'intervenants extérieurs pour aider les élèves dans leurs choix futurs, chose qui n'existait pas du temps où j'étais lycéen. Mais force est de constater que ça n'amène pas grand chose. Une question qui m'a toujours intrigué: quelles études faut-il faire pour être conseiller d'orientation? Non pas que je stigmatise cette profession mais pour ceux que j'ai rencontré, ça ne volait pas très haut et le discours se résumait à: "regardez dans les brochures." Du coup, je vois toujours le même schéma qui se répète, on fait des études plus ou moins par hasard. J'ai l'impression que rien n'a vraiment changé de ce point de vue là en 15 ans. Au mieux comme dans mon cas, on étudie dans une branche bien particulière par passion et bout du chemin, on se pose la question: "bon alors quel job?" et on survit ensuite.

J'ai quand même la désagréable sensation qu'il y a des choses qui ne tournent pas rond.
Citation :
Publié par Carminae
Mais je pense que la plupart des gens veulent enseigner sans forcément se rendre compte des différences entre les deux. Quand tu vois qu'il est plus dur d'avoir un CRPE que d'avoir un CAPES voir une agrégation, autant tenter celui qui procure le meilleur salaire et la meilleure reconnaissance sociale.
Oui... enfin... on ne parle pas tout à fait du même concours non plus.
C'est juste une statistique, la sélectivité du concours ne se mesurant pas que sur ce seul critère.
Citation :
Publié par toutouyoutou
Oui... enfin... on ne parle pas tout à fait du même concours non plus.
C'est juste une statistique, la sélectivité du concours ne se mesurant pas que sur ce seul critère.
Non mais cela reste un critère important. Mais je suis d'accord qu'il est biaisé. J'ai jamais défendu la pertinence des réflexions de mes collègues

L'avantage du CRPE c'est que la formation est la même pour tout le monde. A l'agrégation, tu dois lutter contre des normaliens, des étudiants de la prépa sciences-po Paris, etc... La formation au concours n'est pas la même.

Quelqu'un sait dans quelle proportion les étudiants des ENS deviennent agrégés par rapport au nombre d'agrégés total ?
Citation :
Publié par Carminae
L'avantage du CRPE c'est que la formation est la même pour tout le monde. A l'agrégation, tu dois lutter contre des normaliens, des étudiants de la prépa sciences-po Paris, etc... La formation au concours n'est pas la même.
Note que pour les normaliens (je parle de ce que je connais, en sciences), la question n'est pas spécifiquement une question de formation : dans ma promo, il y avait à peu près moitié de normaliens, moitié d'auditeurs libres, qui suivions exactement la même formation, et dont une bonne partie ont également fait la prépa agreg avec les normaliens : en physique, pour l'ens lyon, il y avait à peu près autant de normaliens que d'auditeurs libres à avoir suivi la même formation entre l'entrée à l'ens et la fin de la prépa agrég.
Le truc, c'est plutôt une question de sélection drastique que de formation pour devenir normalien : si tu sélectionne fortement à bac +2, il y a de bonnes chances que ta sélection soit toujours globalement meilleure 2/3 ans après.

Après, la formation est effectivement privilégiée, en termes de moyens et autres, mais il est tout de même possible pour des non normaliens de suivre exactement la même formation (dans ma promo, à part une poignée d'amis proches, je n'ai jamais su qui était normalien ou non).
Citation :
Publié par Carminae
Quelqu'un sait dans quelle proportion les étudiants des ENS deviennent agrégés par rapport au nombre d'agrégés total ?
Du temps où je l'ai passé, les stats étaient à peu prés stables depuis des années, et ça donnait un truc dans le genre (chiffres arrondis) :
- 45 inscrits ENS (Ulm + Fontenay, puis Lyon / normaliens + auditeurs ENS).
- 30- 35 admissibles (en gros, il y avait toujours entre 1/4 et 1/3 des inscrits qui ne passaient pas la barre des écrits, disons entre 20 et 30% pour faire large, selon les années).
- en revanche, la quasi totalité des admissibles étaient admis (sauf un ou deux malchanceux structurels). Pour avoir assisté à des oraux de géographie de normaliens, oui, la différence était plus qu'évidente entre eux et les autres candidats (et je pense que c'est vraiment en géo qu'ils creusaient les écarts et remontaient dans le classement, parce que dans les épreuves d'histoire, les différences étaient franchement moins nettes, même si, globalement, on reconnaît le candidat normalien à son calme général, issu de ses entraînements et de sa maîtrise de l'exercice : j'ai analysé ça ainsi, et je pense que dans le fond, ça ne doit pas être totalement faux).
- au total, quand je l'ai eu, il y avait une trentaine de normalien pour un peu moins de 120 postes, soit globalement un quart des admis. Aujourd'hui, étant donné la baisse drastique des postes (à peine 80), leur proportion a augmenté.
- Beaucoup de choses se disent sur les normaliens, qui sont à la fois vraies et fausses. Mais il n'en demeure pas moins l'essentiel : même si le système des grandes écoles les forme bien mieux que les autres candidats, ou leur offre une préparation plus privilégiée que le candidat lambda, ils doivent quand même, à deux reprises (écrit + oral), faire leurs preuves comme les autres. Et la part des candidats qui échouent pourrait passer pour la plus faible de France, certes, mais, si on considère la sélection sévère à Bac+2 qui est la leur (concours d'entrée à l'ENS) et la préparation privilégiée dont ils disposent, ça met d'autant en plus en relief la sélectivité et la difficulté du concours selon moi.
- La majorité des profs / maîtres de conf que j'ai pu avoir à Paris IV sortait d'une ENS : je n'ai jamais eu de profs aussi calés et aussi passionnants, et surtout, aussi pédagogues et aptes à faire comprendre ce qu'ils appelaient "l'intelligence du concours" (la maîtrise des exercices demandés, sur un fond théorique généraliste et très solide). Comme quoi, l'élitisme à la française peut tout de même avoir du bon.
Pour aller moi aussi sur le terrain de l'anecdote personnelle, les normaliens que j'ai eu comme prof au lycée était des catastrophes ambulantes... des coups de pelle dans les rotules du dernier espoir qu'on pouvait entretenir à propos de l'humanité.
(par contre, ceux que j'ai eu à la fac était normaux, voir passionnant de temps en temps, effectivement);
J'ai eu des profs agrégés géniaux, des profs agrégés nullissimes (dont un absent 6 mois par an pour causes psychiatriques...3 ans de suite), autant l'agreg montre une certaine capacité du reçu, autant encore une fois 30 ans après c'est pas nécéssairement ce qui a façonné l'individu de la façon la plus marquante dans sa manière de travailler. L'agreg' dans sa version primaire c'est un concours d'embauche dans la fonction publique, rien d'autre.
Citation :
Publié par Cercle
Une question qui m'a toujours intrigué: quelles études faut-il faire pour être conseiller d'orientation?
Bac +5


  • Licence de Psycho (+3)
  • Ensuite passer un concours d'admission à la préparation du diplôme d'état ci-dessous puisqu'ils sont fonctionnaires
  • 2 ans de formation "rémunérée" pour obtenir un DECOP (Diplôme d'État de Conseiller d'Orientation Psychologue).
Citation :
Publié par DarkJP
Pour aller moi aussi sur le terrain de l'anecdote personnelle, les normaliens que j'ai eu comme prof au lycée était des catastrophes ambulantes...
C'est juste une aberration totale de prendre des normaliens qui sont, quoi qu'on en dise, des personnes souvent brillantes, pour en faire des profs de lycée et parfois même de collège.
Citation :
Publié par Soumettateur
C'est juste une aberration totale de prendre des normaliens qui sont, quoi qu'on en dise, des personnes souvent brillantes, pour en faire des profs de lycée et parfois même de collège.
C'est magnifique de mépris pour les PCL, chapeau...
C'est marrant j'ai plein d'amis profs qui pensent la même chose, faut juste faire preuve d'honnêteté.
Pour enseigner dans le secondaire, pas besoin d'être un génie dans son domaine, par contre il faut savoir faire preuve de beaucoup de pédagogie. C'est juste une évidence.
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