La Cour des comptes...

Répondre
Partager Rechercher
... solide contre-pouvoir. A bénéficié d'un peu de pub à la mort de Philippe Seguin.

Pour combien de temps ?

Sondages, frais de représentations, emplois fictifs (sous toutes leurs formes), gestion de la grippe, gaspillage, incohérences de gestion, autant d'images qui ne donnent vraiment pas le bon exemple, et dont on parle ici, sur jol dans plusieurs topics, mais qui ne semblent pas compter suffisamment dans l'opinion publique, pour provoquer un ras le bol généralisé susceptible de délégitimer un gouvernement.

Effectuant son travail, voici les dernières trouvailles (pas forcément neuves) :
Rapport annuel de la Cour des Comptes.

Citation :
La Cour des comptes pointe à nouveau mauvaises gestions de l'Etat et anomalies

[...]la Cour des comptes pointe une nouvelle fois une série d'anomalies dans la gestion des comptes publics. La Cour dénonce notamment la mauvaise gestion de l'Etat, sa frilosité et son manque d'engagement. Elle rappelle également plusieurs fois qu'elle avait déjà dénoncé certaines mêmes anomalies dans le passé.
Les inspecteurs fantômes de l'académie de Paris.
  • La mauvaise gestion du dossier A400M (Airbus)
  • Des voitures de police utilisées à des fins privées
    Les usages privés sont généralisés", note la Cour. Elle relève aussi que 31 véhicules sont à disposition de personnes sans rapport avec la police, dont "un ancien président de la République, deux anciens premiers ministres"
  • Des contrôle fiscaux inégaux
  • Une lutte contre les fraudes à l'assurance chômage inaboutie.
  • Sécurité sociale : le papier encore privilégié à l'électronique.
  • L'endettement des ménages en augmentation.
  • Le coût disproportionné des niches fiscales.
  • Le coût des défiscalisations pour l'outre-mer
De nombreuses économies possibles. Des réformes utiles à entreprendre...
Tiens, c'est drôle, je viens de lire un article sur les inspecteurs de l'académie de Paris, un corps d'inspecteurs nommés par le pouvoir politique sans aucune nécessité de titres, ni contrôle, ni souvent même aucune mission. Au total, une trentaine de personnes payées 4500 € par mois à rien foutre, mais proches, très proches des différents cercles du pouvoir (partis politiques, syndicalistes...).

La cour des comptes a râlé, et ce corps doit être supprimé, avec intégration via concours dans les IA-IPR. ça va leur faire tout drôle : un IPR, il bosse dans les 70 heures par semaine s'il est sérieux.
Bah le principal coup porté au gouvernement et à la présidence par ce rapport (la revanche d'outre tombe de P. Seguin ?) ça reste la partie sur la fiscalité et les défiscalisation qui ruine consciencieusement l'état.

Passage de 66 à 71 milliards d'euros en une année pour les niches fiscales alors qu'on sabre au clair dans les effectifs de la fonction sous couvert (dogmatique) de 2 à 3 milliards d'économie par an.

Je suis surpris (par l'avance) que pas un seul journaliste n'envoie à la face des membres de la majorité (ceux qui proposent le budget au niveau de l'exécutif et ceux qui le votent et l'amendent au niveau du législatif) ces chiffres bêtes et simplistes qui traduisent un aveuglement dogmatique et une casse voulue du modèle social (tant vanté) à la française.
Oui il y a de très belles perles là dedans, la question après c'est surtout : est-ce que ça changera quelque chose ? En temps normal, la prise de conscience d'une situation anormale, et son exposition médiatique, devrait suffire pour susciter du mouvement. Mais là je vois pas ce que l'UMP va pouvoir faire de ce rapport, à part se torcher avec. Après tout, ce qui compte c'est ce que les journaux en disent.

Autre sujet de préoccupation, le remplacement de Philippe Séguin. On évoque le nom de Anne-Marie Idrac (ancienne présidente de la RATP et la SNCF, actuelle secrétaire d'Etat au commerce extérieur). Même si elle est du NC, ancienne UDF, et a beaucoup travaillé avec Bayrou par le passé, elle doit toute sa carrière au RPR puis à l'UMP. Et surtout, elle aurait probablement un avenir après la Cour des Comptes (contrairement à Séguin), serait-elle de ce fait plus soumise aux influences du pouvoir ?
Citation :
Publié par Robert le français
Passage de 66 à 71 milliards d'euros en une année pour les niches fiscales alors qu'on sabre au clair dans les effectifs de la fonction sous couvert (dogmatique) de 2 à 3 milliards d'économie par an.
Personnellement, que l'on sabre dans les dépenses publiques ne me gène aucunement. En revanche, c'est vrai que j'adhère moins à une politique de réduction des charges fiscales dès lors que les comptes publics affichent un déficit...

Pour revenir au rapport de la Cour des Comptes, je ne pense pas que le gouvernement soit en mesure de proposer des actions en profondeurs dans le contexte actuel : la Sécurité sociale, les aiguilleurs du ciel ou l'outre-mer, par exemple, sont des sujets trop sensibles... et trop explosifs.
Citation :
Publié par Silgar
Personnellement, que l'on sabre dans les dépenses publiques ne me gène aucunement. En revanche, c'est vrai que j'adhère moins à une politique de réduction des charges fiscales dès lors que les comptes publics affichent un déficit...

Pour revenir au rapport de la Cour des Comptes, je ne pense pas que le gouvernement soit en mesure de proposer des actions en profondeurs dans le contexte actuel : la Sécurité sociale, les aiguilleurs du ciel ou l'outre-mer, par exemple, sont des sujets trop sensibles... et trop explosifs.
Heuu rien que sur les niches fiscales et sur les contrôles fiscaux, il y a de quoi gagner énormément. Rappelles moi ce n'était pas une promesse de notre président de supprimer ces niches. Encore une qui ne traitera pas tout comme le fait de lier l'age de départ à la retraite avec une analyse complète et détaillée de la pénibilité du travail. On attend tjrs la pénibilité du travail par contre la remise en question de l'age de la retraite, la réforme de la sécurité sociale, on y a droit tous les 3 mois parce que les comptes sont dans le rouge.

Bref ca ne devait pas être le président de la rupture rappelles moi ?
Donc le président de la rupture, le président du pouvoir d'achat, le président des français qui travaillent dur, qui se lèvent tôt et il y a des sujets trop sensibles comme la disparition d'un corps dont il est le seul à nommer les gens...

Désolé, il n'a rien fait pour la France et pourtant on pouvait y croire avec sa campagne mais la c'est pire que tout.
Citation :
Publié par Silgar
Personnellement, que l'on sabre dans les dépenses publiques ne me gène aucunement.
Personnellement, que l'on supprime des budgets et des postes quand de l'autre côté on augmente les budgets communication et frais de bouche, oui, ça me gêne.

Pour en revenir au rapport de la Cour des Comptes, comme elle n'a aucun pouvoir pour contraindre le gouvernement, rien ne changera.
Citation :
Publié par Vonwen
Oui il y a de très belles perles là dedans, la question après c'est surtout : est-ce que ça changera quelque chose ? En temps normal, la prise de conscience d'une situation anormale, et son exposition médiatique, devrait suffire pour susciter du mouvement. Mais là je vois pas ce que l'UMP va pouvoir faire de ce rapport, à part se torcher avec. Après tout, ce qui compte c'est ce que les journaux en disent.

Autre sujet de préoccupation, le remplacement de Philippe Séguin. On évoque le nom de Anne-Marie Idrac (ancienne présidente de la RATP et la SNCF, actuelle secrétaire d'Etat au commerce extérieur). Même si elle est du NC, ancienne UDF, et a beaucoup travaillé avec Bayrou par le passé, elle doit toute sa carrière au RPR puis à l'UMP. Et surtout, elle aurait probablement un avenir après la Cour des Comptes (contrairement à Séguin), serait-elle de ce fait plus soumise aux influences du pouvoir ?
La cour des comptes est un organisme de contrôle de l'état qui émane du judiciaire. Dans une démocratie qui respecte la séparation des pouvoirs la nomination d'un tel poste devrait revenir à la sphère judiciaire (en bref, les magistrats devraient désigner l'un des leurs).
L'anomalie dans un système où la nomination reviens à l'exécutif, c'est l'indépendance et non l'inféodation. L'épisode Philippe Séguin, c'était inespéré.
C'est pas la Cour des comptes qui va faire peur au gouvernement. L'Elysée a déjà démentit le rapport en affirmant que la crise est l'unique cause du déficit...Ils s'en foutent que ça soit au grand jour puisque ils se cachent même pas.
La majorité de la population n'en a rien à foutre et au mieux aura oublié d'ici 2012. Ce qu'ils retiennent c'est que sarko ne veut pas augmenter les impôts parce qu'il n'a pas été élu pour ça (pourtant faudra bien le combler d'une façon ou d'une autre le déficit) du coup il passe pour un bon samaritain. L'autre avantage c'est qu'une fois que le déficit aura atteint un niveau colossal il sera trop tard pour le combler avec les hausses d'impôts. On verra alors la sécu voire même l'éducation nationale, l'enseignement supérieur et les hôpitaux se faire privatiser parce que ça coûte trop cher à l'Etat, c'est le frère de sarko qui sera content, il a bien fait d'investir dans les mutuelles en 2008... On aura alors droit à un magnifique pays où les riches pourront se payer les meilleurs soins et les meilleures écoles et les autres qui resteront à leur place : les esclaves bossant pour engraisser les actionnaires. Tout ceci évidemment jusqu'à une énième crise économique qui foutra le système en l'air définitivement.
Citation :
Publié par Colsk
Rappelles moi ce n'était pas une promesse de notre président de supprimer ces niches.
Elles ont été plafonnées dans la loi de finance 2009. Ceci évite les situations ubuesques dans lesquelles des contribuables réussissaient à ne payer aucun impôt sur le revenu par le truchement de ces niches.


Citation :
Publié par Wike l'exilé
Personnellement, que l'on supprime des budgets et des postes quand de l'autre côté on augmente les budgets communication et frais de bouche, oui, ça me gêne.

Pour en revenir au rapport de la Cour des Comptes, comme elle n'a aucun pouvoir pour contraindre le gouvernement, rien ne changera.
Comparons ce qui est comparable. L'enjeu de la Poste ce sont des centaines de millions d'euros, des dizaines de milliards d'euros si l'on prend en compte les comptes de dépôts et l'activité bancaire. Les frais de bouche, quand bien même c'est choquant, c'est quoi ? Quelques millions d'euros ?

Rien que le fait que le Monde fasse sa une sur le rapport de la Cour des Comptes montre que cette institution est un pouvoir politique... même si ce pouvoir ne dispose d'aucune contrainte.
Citation :
Publié par Silgar
Rien que le fait que le Monde fasse sa une sur le rapport de la Cour des Comptes montre que cette institution est un pouvoir politique... même si ce pouvoir ne dispose d'aucune contrainte.
J'ai rien compris.
La Cour des Comptes est une institution qui compte (), ses rapports sont lus, la presse se fait écho de ses constatations et de ses propositions... L'opinion publique est donc influencée par les avis de la Cour des Comptes.

Même si cette institution n'a pas un pouvoir politique contraignant, elle dispose quand même d'un pouvoir politique réel puisqu'elle participe au jeu politique et à la construction des idées dans notre pays.
Citation :
Publié par Silgar
La Cour des Comptes est une institution qui compte (), ses rapports sont lus, la presse se fait écho de ses constatations et de ses propositions... L'opinion publique est donc influencée par les avis de la Cour des Comptes.

Même si cette institution n'a pas un pouvoir politique contraignant, elle dispose quand même d'un pouvoir politique réel puisqu'elle participe au jeu politique et à la construction des idées dans notre pays.
L'opinion publique est faiblement influencée par les avis de la Cour des comptes dans la mesure où quand un journaliste pose la question pertinente à un ministre en fonction de la justification de certaines dépense au mieux il se fait noyer le poisson dans une belle logorrhée verbale à base de langue de bois, au pire il se fait insulter ou mépriser.
Ce que retient donc le français lambda du rapport de la cours des comptes c'est que blablablablabla les dépenses sont justifiées (alors que c'est faux).

Moi même et je pense que bon nombre de jolien sont du même tonneau, le rapport en lui même ne m'intéresse pas en détail car il faut farfouiller parmi 50 pages (des rapports avec tout plein de chiffre je m'en farcie assez au boulot) mais par contre l'analyse pertinente et détaillée de quelques points clé du rapport (telle que fait par le monde) m'intéresse.

Mais comme derrière ce n'est suivit d'aucun effet (en terme de questionnement du politique) journalistique ou politique (modification de la politique des dépenses publiques) ça reste du commentaire politique suivit de rien.
Citation :
Publié par Silgar
La Cour des Comptes est une institution qui compte (), ses rapports sont lus, la presse se fait écho de ses constatations et de ses propositions... L'opinion publique est donc influencée par les avis de la Cour des Comptes.

Même si cette institution n'a pas un pouvoir politique contraignant, elle dispose quand même d'un pouvoir politique réel puisqu'elle participe au jeu politique et à la construction des idées dans notre pays.
Mouais. Donc pour toi le pouvoir d'influencer les opinions est un pouvoir politique.
C'est original mais pas le plus farfelu des concepts (j'ai des doutes à a fois sur la pertinence du propos ainsi que sa justesse). Par contre je t'invite à revoir la définition de contraintes. Le sujet ou le "propriétaire" de la contrainte en est aussi l'objet.
Je t'accorde le bénéfice du doute et considère que tu ne viens pas d'essayer d'employer la Novlangue, et vais mettre un terme immédiat à mon activité de police sémantique.
Citation :
Publié par Silgar
Comparons ce qui est comparable. L'enjeu de la Poste ce sont des centaines de millions d'euros, des dizaines de milliards d'euros si l'on prend en compte les comptes de dépôts et l'activité bancaire. Les frais de bouche, quand bien même c'est choquant, c'est quoi ? Quelques millions d'euros ?
Comparons ce qui est comparable. D'un côté il faut faire des économies et pas de l'autre. Curieusement, le côté utile, c'est le côté qu'on détruit (sciemment ?) pour faire des économies.
Citation :
Publié par Robert le français
(...)
Le pouvoir politique est plus ou moins le pouvoir d'influer sur la politique d'un ou plusieurs pays, voire communauté. Enfin, c'est plutôt comme ça que je l'entend. Après oui on peut considérer que faire basculer l'opinion d'1/2% aura un impact sur la vie politique voire effectivement sur la politique après les prochaines échéances électorales nationales dans la mesure où ce changement d'opinion est important pour le vainqueur ou fait partie de son socle de valeurs, ceci malgré sa relativisation par le poids de l'actualité politique et de sa partielle disparition dans la mémoire collective politique aux élections.
Citation :
Publié par Asthrill
A quoi ça sert de contrôler les médias?
Des medias "aux ordres" n'iraient pas fustiger a tout bout de champ le ministre de l'immigration et les derapages de son debat sur l'identite francaise, par exemple.

De toute facon, il y aura toujours de l'argent public gaspille ici et la pour raison x ou y, et tous les medias le diront quelquesoit leurs penchants... Meme JP Pernault dans sa rubrique "Argent public gaspille" dans Combien Ca Coute.

Enfin je comprendrais jamais pourquoi ca parle a tout bout de champ de destruction des services publics, alors qu'ils existent encore dans leur integralite, juste qu'ils ne sont plus que partiellement publics.
Citation :
Publié par Jeska
Enfin je comprendrais jamais pourquoi ca parle a tout bout de champ de destruction des services publics, alors qu'ils existent encore dans leur integralite, juste qu'ils ne sont plus que partiellement publics.
Cette phrase est collector
Non mais on est d'accord qu'ils existent encore les services en question, qu'ils soient publics ou non apres... Parler de demolition, demantelement et autres adjectifs du genre c'est un peu tire par les cheveux. Apres, s'il y avait une baisse perceptible dans la qualite et le prix du service rendu, j'aurais pas dit, mais c'est pas le cas, non ?
Un service public n'a pas à obéir à des objectifs de rentabilité, si objectif il y a, il doit simplement être de l'équilibre. Une fois privatisé, chaque service proposé devient à but lucratif. C'est ça la différence fondamentale.
Le service public, il faut surtout en parler aux habitants des zones rurales, dont les postes, les perceptions, les tribunaux, les maternités, les écoles, les hôpitaux (...) ferment les uns après les autres "par soucis de rationalité".

On peut aussi en parler aux habitants de Seine-saint-Denis, avec leurs tribunaux miséreux tellement bien sécurisés que des ado ont été victimes de viols collectifs dans les toilettes même du tribunal...

Les services public, c'est mon bahut en zone sensible qui va perdre deux classes l'année prochaine (mon demi-poste est supprimé...) alors même que tout indique qu'il accueillera plus d'élèves (des programmes immobiliers nombreux arrivent à livraison dans le quartier, la population va fortement augmenter). Ce sont les ZEP qui ont été dépouillées de leurs moyens (en profs, en surveillants) et qui se retrouvent avec des effectifs de 27 ou 28 (ce qui est délirant vu le public), et pas assez de surveillants pour organiser des permanences. Le bahut en "grève" dont on parle beaucoup se voit à la place proposer des précaires engagés pour 6 mois (lol) censés aller chercher les élèves absentéistes : cette bande de cons du ministère ne sait visiblement pas que la seule chose qui permet de sauver encore certaines classes (et certains élèves), c'est justement l'absentéisme des cas les plus lourds, tant les moyens d'encadrement manquent. C'est la disparition des options, des langues autres que "anglais-espagnol".

La casse est évidente. Dans le même temps, les collectivités locales embauchent à tour de bras, en partie pour compenser les défaillances de l'Etat, en partie pour assurer un socle clientéliste (cf Marseille et JC Gaudin, recordman de France des embauches injustifiées). Sauf que, bien sur, 1 millions de demi-précaires bossant plus ou moins dans des structures départementales ou communales, ça va certainement pas remplacer les dizaines de milliers d'infirmières, de médecins, de policiers, de profs dont les postes ont été supprimés.

Petite devinette : qu'est-ce qui vieillit à toute vitesse, qui augmente de 500 000 chaque année, et qui a des besoins divers de plus en plus importants ? la population française
Question subsidiaire : qui va détruire 4500 emplois en plein Paris l'année prochaine, en pleine crise économique ? les hôpitaux publics parisiens
Citation :
Publié par Vonwen
Un service public n'a pas à obéir à des objectifs de rentabilité, si objectif il y a, il doit simplement être de l'équilibre. Une fois privatisé, chaque service proposé devient à but lucratif. C'est ça la différence fondamentale.
On est d'accord la dessus - quoique en ce qui concerne les contraventions routieres par exemple j'ai comme un doute sur l'absence de but lucratif... - ce dont je parle c'est plus du service en lui meme et de son prix.

Apres, tout ce qui est suppression de postes dans les hopitaux et l'education, ca date pas d'hier de toute facon... Mais il y a erreur a rejeter la faute a ces privatisations partielles, alors que ca provient plutot d'une mauvaise gestion globale des effectifs post non-remplacement d'un depart a la retraite sur deux decidee par le gouvernement precedent et non remise en cause par l'actuel AFAIK.
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés