l'histoire de "la rebelle nocturne"

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elle avait seize ans,seize ans lorsque sa famille fut massacrée par un groupe d'éclaireurs charrs. c'était un matin ensoleillé d'été,elle qui se faisait appelée la rebelle nocturne car elle refusait tout ordre qu'on lui donnait et qui adorait la nuit,sa soeur,sa mère et son père étaient partis pique-niquer dans la vallée du regent.

Assis autour d'un feu ils mangeait et riaient quand soudain... Son père tomba,abattu par une flèche fichée dans sa gorge,sa mère suivis le mouvement et mourut a ses cotés une hache de jet dans le dos, sa soeur voulut s'enfuir mais elle fut rattrapée et emmenée par les charrs.

Laissée pour morte le corps meurtrit et lacéré "la rebelle nocturne" eut,dans son coma,une vision nul ne sait ce qu'elle y vit,toujours est-il que lorsqu'elle se réveilla ses plaies étaient guéries. C'est alors qu'avec une soif de sang qu'elle se releva et entreprit de rattraper ceux qui lui avait enlever les êtres qui lui étaient chers.
Quelques semaine plus tard elle put enfin venger sa famille,le groupe de charrs c'était arrêter pour manger,"la rebelle nocturne" ne vit nul trace de sa soeur c'est en comprenant qu'elle était morte que sa haine qui, au fil des jours de poursuite c'était accumulée,se libéra... "la rebelle nocturne" se transforma en une véritable tempête alimentée par sa rage,elle tua tout les charrs... Une heure plus tard elle quittait le sinistre campement dont il ne reste rien, depuis ce jour elle a prouver de nombreuse fois sa valeur au combat et est allée plusieurs fois dans le lieu ou seuls les meilleurs et les plus braves osent aller: la fissure du malheur...


A ce jour elle arpente encore la fissure affrontant seule ou en groupe les monstruosité es qui s'y cachent,louant ses prières a Balthazar pour trouver la force de les vaincre et a Dwayna pour se soigner...
J'aime bien encourager les auteurs RP, tout en soulignant leurs lacunes afin qu'ils s'améliorent, mais... là, j'avoue que je vais devoir creuser pour trouver du bon à dire.

En premier lieu, l'histoire est affreusement banale. Une sombre histoire de vengeance après le massacre de sa famille sous ses yeux, c'est... vu et revu. Le pseudonyme "Rebelle Nocturne", très kitch, accentue le coté commun de l'histoire.

Les fautes d'orthographe et de grammaires font (très) mal aux yeux ; j'imagine que tu écris sous Word, n'oublie pas qu'il contient un correcteur de fautes intégré, tous mots ou groupes verbaux soulignés impliquent une faute. Utilise cet outil.

La longueur du récit n'est pas mirifique, mais ça, je ne peux pas te blâmer pour cela, tout le monde n'a pas l'inspiration d'un Dickens pour faire un pavé. Cependant, quelques "trucs" permettent d'allonger le récit, tout en le rendant plus attrayant ; l'ellipse entre le réveil du personnage et sa rencontre avec les Charrs méritent d'être un peu plus racontée.

La logique est également bancale ; je doute qu'une jeune fille ait les capacités nécessaires à assaillir et tuer un groupe de combattants aguerris, tout Charrs qu'ils sont, et s'en sortir sans une égratignures. Et même si elle en était capable, pourquoi n'a-t-elle pas aider sa famille lors de l'assaut premier des Charrs ? Et pourquoi l'ont-ils laissé en vie ?

Je ne peux que te féliciter d'avoir essayer et mis en ligne cet écrit, les auteurs RP sont, hélas, rares, et chaque nouvelle tentative est un gain. Essaye de remanier ton texte, travaille-le de nouveau, corrige les fautes, allonge-le, explique les sentiments du personnage, son passé, ses ambitions, fais-lui rencontrer d'autres personnages, bref, développe.

Bon courage, et à bientôt, j'espère.
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Zarathoustra répondit : "Qu'ai-je parlé d'amour, j'apporte aux hommes un présent !
- Ne leur donne rien, dit le saint, décharge-les plutôt de quelque chose et porte-le avec eux, c'est ce qui leur fera le plus de bien : du moins si cela t'en fait à toi-même aussi ! Et si tu veux leur donner, ne leur donnes pas plus qu'une aumône, et encore laisse-la-leur mendier !
- Non, répondit Zarathoustra, je ne fais pas d'aumônes. Je ne suis pas assez pauvre pour cela."
mouais... pour ta simple information je n'écrit pas sous Word et par consequent je ne peu pas voir mes fautes immédiatement.

et pour répondre a tes question... si tu était suffisamment intelligent tu aurais pu comprendre que lorsque sa famille a été massacrée elle n'avait pas encore eu sa vision donc Balthazar ne lui avait pas encore donner sa force -_-' et si je fait une ellipse c'est pour laisser au lecteur le loisir d'imaginer ce qu'il se passe pendant la chasse.
Je ne prendrais pas le ton insultant que tu emploies, mais je vais tout de même me permettre deux ou trois mises au points.

Tu postes ton texte ici, tu laisses donc la liberté à tout le monde de donner un avis, qu'il soit constructif ou pas, qu'il soit poli ou non. Si tu ne souhaitais pas de réponse ni de commentaires sur ce que tu écris, il fallait tout simplement renoncer à publier sur le net.

Tu n'écris pas sur Word et cela explique ton orthographe ? J'ignore ton âge et ton niveau scolaire, mais ne me fais pas croire que tu as ne serait-ce que relu ton texte ; il est bourré de fautes du début à la fin ; des fautes qu'un gamin de CM2 ne ferait pas. Ne te retranche pas derrière l'absence de Word pour justifier la médiocrité de ton écrit ; prends-en à toi.

Je viens de relire le passage en question ; rien n'indique que ce "coma" ait été une vision d'un quelconque dieu qui lui "aurait donné sa force", tu passes sous silence l'élément important, en te disant que le lecteur n'a qu'à imaginer le reste ? Revois d'urgence tes bases en littérature, si tu en as...

Enfin, je te prierais - non, j'exigerais - de m'accorder le même respect que j'ai à ton encontre. Je n'ai pas insulté ton intellect dans ma critique ni déprécié ton écrit plus que nécessaire. Alors quoi ? Tu es frustré qu'il n'y ait que moi qui répondu ? Tu t'attendais à des gerbes de fleurs devant ta prose ? C'est raté, mais ne retente pas ta chance ; ça nous ferait perdre du temps à tout les deux.
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Zarathoustra répondit : "Qu'ai-je parlé d'amour, j'apporte aux hommes un présent !
- Ne leur donne rien, dit le saint, décharge-les plutôt de quelque chose et porte-le avec eux, c'est ce qui leur fera le plus de bien : du moins si cela t'en fait à toi-même aussi ! Et si tu veux leur donner, ne leur donnes pas plus qu'une aumône, et encore laisse-la-leur mendier !
- Non, répondit Zarathoustra, je ne fais pas d'aumônes. Je ne suis pas assez pauvre pour cela."
Pour ma part, je n'avais pas répondu car je n'aime pas ce genre d'histoire que je classe ( à tord j'en suis conscient ) de présentation. Rares sont ces histoires que j'ai envie de lire et relire.

Maintenant, le genre ne me renseigne pas sur la qualité. A te lire, déjà tu ne t'embourbes pas dans une succession de clichés qui ôterait tout sens à l'histoire. Ca c'est bien.
Mais là où je rejoins Filamp, c'est la pauvreté en description d'évènements. Raconter toute l'histoire d'un bloc t'en empêchait sûrement, mais je confirme par exemple, que je ne vois moi non plus pas en quoi elle ressort plus forte de son coma. Et la seule phrase décrivant le combat me laisse sur une faim intenable, qui m'a gaché la fin de la lecture.
L'effet est que nous décrochons rapidement ta logique, qui m'a pourtant l'air cohérente, et c'est dommage.

Maintenant je ne suis pas assez bon pour aller plus loin dans ma critique, mais ton simple fait d'avoir essayé montrait quelque chose de positif et d'exploitable. Je reste aussi navré de ta réponse aux conseils dont t'as fait bénéficier Filamp.
bon d'accord je suis désolé Filamp de m'être emporté je vais te dire mon âge et donc ma classe: j'ai 14ans et je suis en 3eme je vais essayer de réécrire l'histoire de mon personnage en la modifiant complètement sa va me prendre du temps... je suis désolé j'aurais mieu fait de me taire et d'écouter tes conseils...
Si tes excuses sont sincères, je les accepte, et je te souhaite bon courage pour la ré-écriture.
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Zarathoustra répondit : "Qu'ai-je parlé d'amour, j'apporte aux hommes un présent !
- Ne leur donne rien, dit le saint, décharge-les plutôt de quelque chose et porte-le avec eux, c'est ce qui leur fera le plus de bien : du moins si cela t'en fait à toi-même aussi ! Et si tu veux leur donner, ne leur donnes pas plus qu'une aumône, et encore laisse-la-leur mendier !
- Non, répondit Zarathoustra, je ne fais pas d'aumônes. Je ne suis pas assez pauvre pour cela."
C'était le matin, Ascalon était en fête, on fêtait le solstice d'été. Dans les rues les magasins avaient étalé leurs marchandises, l'air se remplissait de différents parfums tous plus alléchants les uns que les autres. Anita,une jeune fille de 1mètre68, de 45kilos, avait le teint mat et le corps musclé par 14 années d'entraînement au maniements des armes. Sa chevelure blonde tombait en cascade sur ses épaules, elle avait les pommettes hautes, un nez élégant, mais c'est surtout ses yeux qui attiraient l'attention; elle possédait de grands yeux bleus dans lesquels on aurait pu se noyer. Elle était émerveillée: toutes ces marchandises! Certains marchands exposaient des animaux étranges venus des confins de la tyrie, cantha et elona. Un phénix était perché sur l'épaule d'un marchand, il était magnifique, son dos était vert émeraude clairsemé de taches jaunes or, son ventre était jaune or lui aussi et ses yeux ressemblaient à deux rubis qui étincelaient à la lumière du soleil. D'autres marchands exposaient des armes magnifiques, fabriquées dans des matériaux rares et précieux; une lame du phénix doré attira tout particulièrement l'attention d'Anita, qui se promit de l'acheter plus tard. Toute la matinée, elle déambula dans les rues d'Ascalon. Lorsque le soleil fût à son zénith, elle décida qu'il était temps de rentrer chez elle, car que toute sa famille l'attendait pour fêter son anniversaire, elle avait 16ans aujourd'hui et elle allait enfin pouvoir choisir son métier. Elle se mit donc à courir le long de la rivière qui coulait dans la vallée du régent, jusqu'au village qui était situé devant l'abbaye d'Ashford.

Son père l'attendait. Vétéran de la guerre des guildes, il avoisinait les deux mètres et pesait dans les 90kilos; plusieurs années de guerre avaient transformé son corps en une véritable montagne de muscles. Son visage était marqué de balafres. Bien qu'il ait 65ans, il se tenait encore fier et droit; dans ses yeux on pouvait voir une lueur de bienveillance et de lui, se dégageait une aura de puissance presque palpable.
"-Ah! Te voilà enfin Anita! Je commençais à me faire du soucis! Qu'as-tu fait ce matin? demanda-t-il avec une pointe d'amusement.
-Je me suis promenée dans Ascalon ce matin, père. Tu aurais dû voir ça! c'était beau! Il y avait beaucoup d'objets rares et précieux et des animaux fantastiques! Je...
-Assez, la coupa gentiment son père, j'y suis allé moi aussi quand j'étais jeune comme toi! Allez viens tout le monde t'attend! et mon estomac commence à grogner!"
Le repas fût très fructueux, Edwin, le frère d'Anita, avait ramené de la chasse un superbe sanglier que tout le monde dégusta accompagné de carottes et de pommes de terre.
Lorsque le repas prit fin, le père d'Anita prit la parole:
"-Aujourd'hui c'est l'anniversaire de ma fille qui a 16ans,l'âge de choisir un métier, j'ai donc envie de lui faire un cadeau très spécial, Anita, ma fille vas donc voir sur ton lit tes cadeaux y sont.
Anita courut dans sa chambre et resta stupéfaite devant son cadeau, il s'agissait en fait de l'armure de son père ainsi que de ses armes. Elle revêtit l'armure, prit les armes et descendit. Quand elle apparût dans le jardin, le soleil éclaira l'armure.
Anita était superbe, l'armure était faite dans le matériau le plus cher: l'ectoplasme. L'armure avait été teinte en noir, des pics étaient posés sur les bras, les jambes, et les épaules. Dans sa main droite, Anita tenait une magnifique épée du phénix doré et dans sa main gauche un bouclier des ténèbres.




(la suite viendra plus tard...)
Voilà qui est mieux ! Le texte est plus long, plus fourni, mieux détaillé. C'est vraiment mieux.

Tu pourras aussi continuer dans cette voie ; n'hésite pas à passer du temps pour décrire les pensées et surtout les gestes des personnages ; quand ils parlent, ils peuvent avoir un rictus sur le visage, ou bien se déplacer, se retourner vers quelqu'un, etc. C'est ce genre de détails qui rend un texte immersif.

Juste en passant :
Citation :
Le repas fût très fructueux
Copieux, pas fructueux. Fructueux s'applique pour une tâche où l'on retire quelque chose. (Mais c'est un détail)

Encore bravo, tu es sur la bonne voie, continue.
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Zarathoustra répondit : "Qu'ai-je parlé d'amour, j'apporte aux hommes un présent !
- Ne leur donne rien, dit le saint, décharge-les plutôt de quelque chose et porte-le avec eux, c'est ce qui leur fera le plus de bien : du moins si cela t'en fait à toi-même aussi ! Et si tu veux leur donner, ne leur donnes pas plus qu'une aumône, et encore laisse-la-leur mendier !
- Non, répondit Zarathoustra, je ne fais pas d'aumônes. Je ne suis pas assez pauvre pour cela."
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