[Tribune] Influence des medias sur les femmes

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et on lâche du lest... On évite de faire tourner ce post à la guerre homme/femme, de le faire tourner vers la politique, de le faire s'enflammer, de le faire tourner en bourrique de, de , de..
Bref, calmons les esprits et reprenons le débat, qui est je vous le rappelle : l'influence des médias sur les femmes ! Pas les z'hommes ! (et toc, c'est un sujet rien que pour nous )
Citation :
Publié par Tangrim
Perso j'ai pas encore compris comment les manipuler...
alors c'est simple, tu commence par leur susurer des mots doux dans les oreilles, puis tu fait des petit caresse discrete etc etc...

c'est tres manuel en faite

ah on parlai pas de ca
Citation :
Publié par Lilith Vampyr

Bref, calmons les esprits et reprenons le débat, qui est je vous le rappelle : l'influence des médias sur les femmes ! Pas les z'hommes ! (et toc, c'est un sujet rien que pour nous )
Et si on n'est pas d'accord avec le fait que l'influence des médias sur les femmes ne sont que le fait des femmes ?

Personnellement, je pense que la définition d'un genre véhiculée dans une société est le fait des deux genres et les dépasse par un fait social. En d'autres mots, le fait que les femmes seraient influencées d'une manière ou d'une autre par les médias, n'est pas du simple fait de ces médias et des femmes, mais aussi du fait des hommes et plus généralement d'un fait social.

Plus, je pense que les genres se définissent de manière concomitante, l'un ne pouvant exister et se définir sans l'autre. Ne serait-ce pas alors une gageure de ne parler que de l'influence des médias sur les femmes sans même parler de l'influence des médias sur la façon dont les hommes se définissent, en particulier par rapport au féminin ?

En une phrase. C'est un débat tronqué donc profondément faux et malhonnête s'il se limite aux femmes.
Citation :
Publié par Tangrim
AHAHAH les femmes sont faibles et influençables ! ! !

Perso j'ai pas encore compris comment les manipuler...
Le pire c'est que c'est vrai. Le nombre d'histoire que mes ex-copines m'ont racontés sur leur ex à la "n'importe quoi", ça me fait halluciner quand j'y repense.

C'est du domaine du masochisme pour certaines.
Citation :
Publié par Terby
Pourquoi dis-tu que # Par Défaut est "inconsciente de l'influence qu'ils peuvent avoir sur [elle]et du conditionnement général qui en découle", alors que toi tu es parfaitement conscient des plis disgracieux qui gâchent le galbe de ton ventre d'Ephèbe jolien ?

Le vert du poireau est-il en bas ou haut ?
Autant de questions qui nous ravage le cerveau comme un incendie fabuleux !
Peut être parce que je ne suis pas cette personne ?
L'exemple parfait pour illustrer mes propos est celui de Ségolène Royal.
Citation :
Publié par kriskilleuse
des émissions comme Hit Forme ( http://www.m6.fr/images/emissions/hit_forme/visu2.jpg ) pour rappeler que l'homme est là pour tenir les reines et que la femme doit être belle, la fermer et bouger ses fesses

Elle déchire cette émission

Sinon je pensais pas qu'on avait autant de mormons sur JoL.

Et puis in fine je confirme, l'homme est la pour tenir les reines

(NDLR : c'est bien évidemment le mot "rênes" dont il s'agit, mais le lecteur aura rectifié de lui-même CQFD)
Citation :
Publié par superleet
Peut être parce que je ne suis pas cette personne ?
L'exemple parfait pour illustrer mes propos est celui de Ségolène Royal.
En attendant je n'ai toujours pas compris l'intérêt de votre première réponse, et j'attends toujours une petite explication.
Quelqu'un peut me traduire ?
Moi non

Par contre je up un peu avec un bouquin qui ma foi semble parfaitement opportun :

2207258416.01._PE05_OU08_SCMZZZZZZZ_V39908629_.jpg

Citation :
La presse féminine a explosé dans les années 80. Pour la première fois, des magazines parlaient autrement aux femmes, avec humour et intelligence. Ils promettaient plus d'audace, plus de liberté. «Vive moi», tonnaient les couvertures. La révolution était en marche, en talons aiguilles. Maladroite et joyeuse.

En 2006, le talon est cassé. La presse féminine se plie aux lois du marketing roi. Objectif : vendre toujours plus. Quitte à titrer : «398 façons d'être sexy à toute heure.»

Place au diktat de la bimbo post-pubère. Qui fabrique ces magazines ? Des femmes soumises à la courbe des chiffres, parfois des clones, en pire, de leurs homologues masculins. Entrez dans l'univers merveilleux de la presse féminine : ses conférences de rédaction, ses castings, ses intrigues... En treize tableaux corrosifs, Sylvie Barbier nous initie aux joies d'un monde où la femme peut être un loup pour la femme.
Déja il faut savoir à qui à quoi sont soumises les femmes:

Comme déja dit, la presse féminine est très importante et très influente alors que la presse masculine est peu lue et comporte peu de titres en comparaison des féminins qui au lieu de 4-5 titres qui se courent après, occupent des rayons entiers.
Si la presse féminine aborde quelques fois des sujets autres que la mode, le people et la beauté, elle les traite de fait d'un point vue qui se veut ostensiblement féminin. Pour d'autres populations, on parlerait de presse communautaire sauf qu'aucune presse communautaire n'a jamais été aussi omniprésente et influente.

Ce qui m'effare c'est que le phénomène "presse féminine" est transparent dans le discours sur le communautarisme alors qu'il est le premier leader d'opinion chez les femmes repliées sur des centres d'intérêts genrés, dont les pages sont truffées des morphotypes féminins que les femmes dénoncent et subventionnent massivement à la fois.

Il semble plus dans l'air du temps de continuer à considérer que le culte de la maigreur, blondeur, cosmétique est une création du machisme même si les hommes n'ont plus aucune emprise sur des modes relayées par des médias qui ne leurs sont pas destinés vantant des produits qu'ils ne choisissent et n'achètent même jamais. En gros, les hommes sont coupables de pensées que les même magazines féminines croient deviner quand on lit leurs accrochent.

Le plus hallucinant, alors que les hommes commencent à être touchés par la mode cosmétique, le métrosexuel, l'homme sensible etc. la presse féminine se demande "Où sont passés les vrais HOMMES" (madamefigaro) après avoir elle même essayé d'imposer ces modes et comportements aux hommes dès les années 90...
Citation :
Publié par Mâlefaisant
Il semble plus dans l'air du temps de continuer à considérer que le culte de la maigreur, blondeur, cosmétique est une création du machisme même si les hommes n'ont plus aucune emprise sur des modes relayées par des médias qui ne leurs sont pas destinés vantant des produits qu'ils ne choisissent et n'achètent même jamais. En gros, les hommes sont coupables de pensées que les même magazines féminines croient deviner quand on lit leurs accrochent.
Ils est vrai que les hommes n'y peuvent rien si l'AAS est une mesure universelle et intemporelle. Non les hommes n'y sont pour rien.

(Aenur, si tu me lis, n'y vois pas une vile mise au pilori de ton superbe système. Tu sais très bien que je paye bien mes royalties depuis le temps que je l'utilise. )
Ben les hommes hétéros ont leurs propres canons de beauté féminine en tenant compte d'un truc qui vient des tripes, une montée d'hormones. Ils savent ce qui les attirent par instinct.
Un média destiné aux femmes comme la presse féminine décide quasiment des modes, des morphotypes féminins du moment, donne les régimes alimentaires à suivre pour l'été, croit deviner ce que les hommes aiment et pensent, mais donne des modèles erronés et stéréotypés aux femmes.

Je parle des médias féminins ou destinés aux femmes qui sont influents mais qui auraient beaucoup de mal à imposer aux hommes un modèle de femme que tous désireraient.
On fonctionnera toujours avec nos propres critères subjectifs et passionnels quoique les médias décrètent. Enormément d'hommes détestent les seins en plastique ou les cheveux jaunes qu'au moins 3/4 des françaises auparavant brunes portent aujourd'hui pour ressembler à des scandinaves.
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