[cinéma]Marie-Antoinette

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Bon, je viens de sortir de la séance. Je suis un peu déçu par le film -sans doute avais-je trop d'attentes, vu que j'ai beaucoup apprécié les deux premiers films de Sofia- : je le trouve un peu longuet, ce qui va de pair avec une impression que c'est creux. Comme si Sofia avait tout misé sur l'image, au détriment d'un scénario un peu plus élaboré. De plus, j'en suis sorti avec une vague impression de déjà-vu : je crains que le thème si cher à Coppola de la "personne désaxée" qui se construit (s'est construit) une vie avec des leurres commence à me lasser.

Les points forts restent quand même la richesse des décors, l'ambiance versaillaise vraiment très bien rendue et qui s'institue comme une sorte d'univers ; la bande-originale, hors-temps comme un rêve, donne du dynamisme à certaines scènes ; Kirsten Dunst campe un bon personnage de Marie-Antoinette dont la simplicité est le rêve mais qui finit par se laisser porter par les tourbillons du luxe. Je ne sais pas si c'est une "revanche", mais ici c'est l'homme (Louis XVI) qui sert de faire-valoir. Sofia a opté pour pour une ambiance très feutrée, d'alcôves qui dévoilent des individus enfermés dans leur mode de vie, totalement aveugles.

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A vrai dire, je ne me suis pas du tout ennuyé jusqu'au moment où le Roi décide de la sauter l'honorer... Mais quelle déception quoi, j'aurai voulu que leurs relations soient plus travaillées. J'aurai voulu aussi que l'atmosphère 'perfide', très 'langue de serpent' soit mieux rendue.
A partir du moment où elle pond son premier marmot, le film perd de son intérêt ; son adultère avec le comte Fersen est une sorte "d'épisode" auquel je n'ai pas trouvé de sens. Ensuite, sur la fin, le film devient mauvais : ça s'emballe, c'est précipité, comme si Sofia voulait tout faire tenir dans un temps imparti. Le tempo lent, très agréable et très Sofia Coppola, s'en trouve bousculé.
Jason Schwartzmann joue très bien le Roi sans charisme, hésitant, un gars ordinaire et paumé jusqu'au bout. J'en viendrais presque à regretter qu'il n'ait pas été plus développé. (oui oui, le film s'appelle Marie Antoinette, pas Louis XVI... :') )

Ah et Marianne Faithfull est méconnaissable en Impératrice autrichienne. On va bientôt la voir jouer la Reine Victoria avec son buste pigeonnant et ses roploplos débordants ?


Ceux qui s'attendent à un film historique, ce n'est clairement pas pour vous : il est intemporel, comme une sorte de miroir de l'actualité. Ce que j'en ai retiré du film me conforte dans mon analyse faite plus haut :

Citation :
Du peu que j'en ai vu (la bande annonce), c'était une allégorie sur l'actualité : la jeunesse toujours davantage en quête de plaisirs, de matérialité ; l'égoïsme et l'enfermement dans des univers individuels où on accepte mal l'intrusion des autres ; le tout sur le fond d'un monde violent agité par des soubresauts, traversé par les inégalités et le manque de libertés.
Pourquoi avoir choisi cette période ? Sans doute parce que c'est le paroxysme, le grand écart entre les aspirations d'une minorité (noblesse) et les rêves d'une autre (le peuple qui finit par surgir, alors qu'il était ignoré). En philosophie, ça équivaudrait aux moments précédant la sursomption dans la dialectique du maître et de l'esclave.

J'en retire beaucoup moins de ce film que les précédents, mais ça vaut le coup d'aller le voir, sans penser aux deux premiers bijoux.
Thumbs down
Personnellement j'ai été assez déçu par ce film. Peut être était ce parce que je m'attendais à beaucoup mieux.
J'ai trouvé que le film traînait trop en longueur. D'ailleurs le film se résume pratiquement à montrer Marie Antoinette en train de faire la fête avec ses amis ou coincée par l'étiquette et les obligations (royales, envers sa famille etc...).

Sans parler du fait qu'il s'arrête à une époque où sa vie commence à prendre une tournure un peu plus tragique.

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Oubliez Tuileries, Varennes, Temple, Conciergerie et décapitation... tout ça n'y est pas. Et je dois dire qu'à mon goût le personnage de Marie Antoinette y perd beaucoup, puisque dans le film elle se résume à une femme qui cherche à faire la fête sans se préoccuper réellement de ce qui l'environne (à savoir le royaume de France). Du coup je dois dire qu'on a un peu de mal à avoir de pitié d'une femme trop gâtée qui a été jusqu'à "parodier" la manière de vivre des paysans pour y retrouver un peu de simplicité...


En gros on a droit aux émois d'une midinette qui ne sait pas quoi faire de son temps pendant deux heures. Et je dois dire que le générique de fin finissait par être très désiré lui aussi. Le film est tellement creux à mon goût, il ne s'y passe rien ou presque, que si Sofia Coppola n'avait pas choisi pour héroïne une célébrité comme Marie Antoinette dans un cadre aussi prestigieux que Versailles, et nous avait sorti exactement le même film, mais avec une inconnue à la place dans quelque chose d'un peu moins grandiose, peu de monde se serait bousculé dans les salles.

Cela dit si vous désirez buller pendant deux heures en écoutant des musiques sympas et avec de beaux costumes et décors devant les yeux, allez y, vous serez ravis.
Perso, finalement, vu que j'ai aime Lost in Translation (mais surtout a cause de Bill Murray) je pense que je materait marie antoinette sur DVD



Pour te réponde Toutouyoutou, je n'ai pas assez approfondi ce sujet (mes exams ne portant pas sur cette question ) mais j'avais compris que pour ces dit historien la Révolution française continuait dans le sens où les régimes politiques français se sont succédaient depuis, et que d'ailleurs le Ve république est toute toute récente. Mais personnellement je suis pas d'accord avec eux parceque la IIIe Republique a connut un échec non pas a cause de sa forme, mais de la guerre. Si, je me souviens, c'était bien ca, le prof avait rajouté que la guerre montrait l'une des limites de ce régime (et j'était pas d'accord parceque pour moi o n était en gros juste tombé sur plus fort). Mais tout ça c'était pour dire que la révolution française était un concept plus large que les simples événement de 1789. J'ai pris exprès la théorie qui allait le plus loin pour montrer ça

Après sur la démocratie, de toute façon a ce moment là aucun régime n'aurait finit sa révolution, puisque la question de la démocratie sociale reste entière dans la majorité des pays. Et de plus la Démaocratie, avec un D, en tant qu'absolu, je doute qu'elle existe quelque part. On peut toujours la perfectionner.
Citation :
Publié par Enthy
En philosophie, ça équivaudrait aux moments précédant la sursomption dans la dialectique du maître et de l'esclave.
C'est pour parfois lire ce genre de choses que je passe des heures sur JOL


(je le note ça fera tres bien dans les conversations de salon, et je suis sure que personne n'osera me demander ce que ça veut dire)
Ah ça ! ça marche bien pour épater 2 - 3 secondes. Par contre, après, tu passes pour un plouc intégral, spécialiste des récoltes de et de réplique "t'as bu ?", "t'as fumé ?".
J'ai été le voir hier, c'était pas mal du tout!
Ca a été dit 100 fois plus haut, mais c'est vrai que c'est frais! Je ne me suis pas ennuyé une seconde, je suis content d'y être allé.

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Et puis voir un bal masqué du 18° se dérouler sur du Siouxsie, ça c'est drôle :O
Citation :
Publié par Keet
Sobert imaginait Marie-Antoinette se faisant tringler sur du Placebo. Avait-il vu juste ?
Vu que tu me cites, je te cite.
Bon, alors déjà, j'ai vu dans les Cahiers du cinéma (oui, je lis du bobo), j'ai vu Sofia dire "oui, on a essayer de mettre des voitures, mais ça a pas marché". Ca en dit long sur le coté "esthète" de celle-ci.
Sinon, j'ai vu le film avant d'avoir relevé cette phrase : je suis plutôt de l'avis de Sorgoth. La fin est vraiment naze. La révolution on a l'impression de voir 10 mecs avec des fourches dirent qu'ils sont pas content. Le film a 30 minutes de trop à mon avis. Le rythme est perdu à partir du premier enfant.
J'ai enfin vu le film, et je ne me suis pas ennuyé une seconde ! On reste un peu sur sa faim, car il n'y a pas vraiment d'intrigue ou d'histoire, juste des moments de la vie quotidienne, mais ils sont vraiment très agréables à suivre La musique rehausse certaines scènes sans jamais choquer.

On voit bien quand même que le roi et la reine vivaient dans un monde totalement à part, loin des réalités du peuple et on peut comprendre que Marie-Antoinette n'y a jamais songé.

J'ai hâte de mettre la main sur la BO car à part Siouxsie, Cure et New Order, j'ai rien reconnu.
J'ai beaucoup aimé le film, deja car je trouve Kirsten Dunst magnifique dedans.
Les décors sont également magnifique,surtout certaines scenes dans le jardin de Versaille. Par ailleur je trouve que le rythme du film se prete tout a fait au contexte comme dans Lost in Translation a savoir se retrouver face au personnage, et pas enchainer des petits evenements historiques notament apres sa fuite, ca aurait totalement cassé le coté magique de l'univers, et donc aurait été en contradiction avec les personnages (maintenant je comprends qu'on soit déçu si on voulait voir un film sur le regene de Louis XVI, mais ce n'est aps comme ca qu'il faut aborder le film selon moi)
Film écoeurant à souhait, on y bouffe comme des porcs, constamment, on y claque un temps monstre sur les détails de fringues, de tissus, de coiffes, on y palabre dans le vide, on s'y pomponne, on y gaspille foutrement... On y regarde son nombril avec un esthétisme sucré et frivole. On croirait une pub pour des serviettes hygiéniques ou une marque de soda.
On sort du cinéma et on retrouve le quotidien, aussi sale et colérique que ces gens qu'on imagine autour du château, prêts à empaler la reine sans pitié - je ne mets pas de spoiler ici, tout le monde sait qu'elle va mal finir la pauvre greluche n'est-ce pas ?
Là on se dit que c'est pas fait pour, mais c'est ce à quoi on songe assez rapidement, après le visionnage. Les élites, leur cocon douillet, l'opulence réservée aux bien nés, le monde qui ne tourne pas à la même vitesse pour tous. C'est mon côté coco qui est remonté après deux heures de trop-rose, trop pastel, trop-joli-trop-net, de Marie-Antoinette filmé par une rédactrice frustrée de mode. Je crois que c'est fait exprès tout ça.
Rassurez-moi.
@ Des equilibres : Au moins ça ne t'as pas laissé indifferent, c'est deja pas mal. Et le malaise que tu as ressenti etait peut-etre un effet voulu par la réalisatrice. (je sais pas je l'ai pas encore vu).

Sinon je ne sais pas ce qui est le pire : une redactrice frustrée de mode ou une redactrice de mode frustrée
Citation :
Publié par [diamk]
D'ailleurs quelqu'un m'a dit que les 4 mecs qui jouent de la guitare pour la Reine dans son pavillon du Trianon, c'est le groupe Phoenix.

Sinon voilà la track liste du film par ordre, http://www.imdb.com/title/tt0422720/soundtrack
Merci !

Il y avait aussi les mecs d'Air qui jouaient du clavecin dans une autre scène.

@Des équilibres
Je pense que la réalisatrice a effectivement voulu montré la différence entre la réalité du peuple et la réalité de la cour. Il est totalement absent du film à part pour les scènes finales, ça choque mais explique aussi bien des choses sur la vie à Versailles.

C'est aussi visible lors du retour à la nature de la reine : encore une bulle qui la protège de la bulle de la cour... mais même la nature n'est pas véritable, y'a des serviteurs qui passent avant pour nettoyer la merde.
Citation :
Publié par Des équilibres
C'est mon côté coco qui est remonté après deux heures de trop-rose, trop pastel, trop-joli-trop-net,
Versailles, c'était un cloaque, on chiait derrière les escaliers. Est-ce que le film le montre ?
Citation :
Publié par Aloïsius
Versailles, c'était un cloaque, on chiait derrière les escaliers. Est-ce que le film le montre ?
Je ne sais pas si c'est avéré, en tout cas ce n'est absolument pas montré dans le film (évidemment j'ai presque envie d'ajouter). Ce film est un modernisme, et parfois ça tourne presque au nombrilisme puisque Marie-Antoinette est choquée de la vie protocolaire de Versailles comme le serait un quidam du XXI ème, et comme l'est le spectateur.

La lenteur n'est pas un défaut dans les autres films de Coppola's daughter mais là il y a clairement un problème de rythme global. En particulier le passage dans sa retraite à la campagne, c'est mignon, mais ça n'apporte pas grand chose. Alors que justement dans Lost in Translation toutes les pérégrinations des personnages servent une ambiance générale et donnent du sens, par petites touches. Ici c'est plus hésitant, comme si SC n'était pas très à l'aise dans l'univers. Et il y a véritablement des cassures trop net dans l'ensemble.

Cependant il persiste une ambiance, une mélancolie imperceptible qui émane de tout même du rose bonbon qui devient écoeurant. Les choses perdent leur sens aux yeux de Marie-Antoinette sans que l'on sache pourquoi, et sans que cela soit trop "caprice de petite fille gâtée". Un film à revoir plus en détail peut-être, mais clairement un cran en dessous des deux autres.
Citation :
Publié par Aloïsius
Versailles, c'était un cloaque, on chiait derrière les escaliers. Est-ce que le film le montre ?
Tu parles. C'est pas assez glamour... tout est propre, on imagine les gens se laver chaque jours avec de l'eau pure et claire, les femmes ne dissimulent pas leurs pustules sous des mouches, nulle traces de cicatrices de la vérole, tout est beau, net, parfumé, nickel. Les dents étincelantes, les cheveux brillants, les parquets luisants.
Ce n'est pas historique, on l'a dit.
Citation :
Publié par Aloïsius
Versailles, c'était un cloaque, on chiait derrière les escaliers. Est-ce que le film le montre ?
Ca c'est un gros mythe, tout comme le coup du 'on ne se lavait pas à Versailles'. Tu crois vraiment que la crotte qui pue est compatible avec le faste et les dorures ?
J'ai trouvé le film un peu longuet et pas complet. Je pense en effet que sofia aurait pu aller jusqu'à la décapitation de la dame et éviter de se perdre dans certaines longueurs ce qui n'aurait au final rien enlever à l'atmosphère et à l'esprit de ce dernier.
Néanmoins, je l'ai aprécié quand même (Le fait qu'elle soit dans une cage dorée est bien retranscrit). C'est Versailles du point de vue d'une femme et ça change du point de vue historique même si c'est juste un point de vue comptemporain.
Au final, ce film apparaît comme la face cachée du miroir, une sorte de plaidoyer en faveur de cette victime de la Révolution qui semble bien impuissante devant la situation comme son mari semble l'être dans le lit conjugal
Et puis Kirsten je t'aime
Citation :
Ca c'est un gros mythe, tout comme le coup du 'on ne se lavait pas à Versailles'. Tu crois vraiment que la crotte qui pue est compatible avec le faste et les dorures ?
les escaliers je sais pas... Ca m'étonne quand même... mais pour ce qui est des bains, l'omniprésence et l'abu de parfum était bien là pour cacher l'absence de bain


Je n'ai pas vu le film, mais Louis XVI est il encore présenté comme un gros blaireau inculte et benêt (alors qu'il est tout sauf ça... il n'a pas été formé à la politique, certes mais dans d'autres domaines il déchirait, il est même réputé chez les historiens pour être un personnage d'une finesse aussi incroyable que son absence d'interêt et de compétence pour la politique intérieure) ?
Citation :
Publié par Kronem
Je n'ai pas vu le film, mais Louis XVI est il encore présenté comme un gros blaireau inculte et benêt (alors qu'il est tout sauf ça... il n'a pas été formé à la politique, certes mais dans d'autres domaines il déchirait, il est même réputé chez les historiens pour être un personnage d'une finesse aussi incroyable que son absence d'interêt et de compétence pour la politique intérieure) ?
Il est présenté comme un serrurier chasseur impuissant (Je pense que c'est là la meilleure définition qu'on puisse donner de lui en ayant vu le film )
On peut rajouter sociopathe ou asocial à ses "qualités" !

En fait, il ressemble à un geek avant l'heure. Sauf qu'au lieu de passer ses journées sur l'ordi, il les passe à chasser. Comme il est asocial, impuissant et fan de clefs (USB ?), ça cadre. Sans doute une dimension moderniste du film qui m'avait totalement échappé ?
Autant j'aimais bien aimé Virgin Suicide, sans plus. Autant j'avais adoré Lost in Translation, avec son ambiance délicate, son ton feutré, Bill Murray, toussa.

Autant je me grave fait chier pendant la séance, mais alors grave. Y'a juste la scène où on entend un morceau de l'album Room of Fire des Strokes où je suis sorti de mon occupation, essayer de lire le Joystick HS3 WoW dans le noir.

Le début est pas trop mal, mais après il se passe ... rien. C'est juste une jolie expo, avec le seul discours de la jeune fille enfermée dans un monde inconnue, discours qu'on a pigé dès le début, et qui marche pas très bien ici. Des scènes inutiles en veux-tu en voilà, une fin douce, toute chiante.

Enfin, c'est pas mauvais, c'est juste un peu vide.
Film fabuleux, portrait de femme magnifique, des scènes, des images, un peu de décalages, de la vie.

L'Histoire avec un grand H? Mais on s'en branle la nouille, ce n'est absolument pas le sujet du film.

C'est Coppola/Dunst, pas du Berstein-Milza.
Comme d'autres l'ont dit: j'ai trouvé que le film traînait beaucoup trop en longueur, dommage car il est intéressant mais quand ça traîne trop ça m'énerve et je ne suis plus objectif sur le film

Des scènes qui durent beaucoup trop longtemps sans raison...
Exemple bête: A un moment on voit Marie-Antoinette monter un escalier... la scène dure bien 20secondes... avec une impression qu'elle dure plusieurs minutes.
marie-Antoinette marche dans un couloir. ça dure troooop...
marie-Antoinette, sur son lit, a l'air heureuse. gros plan sur son visage. elle sourit. gros plan sur le visage. elle bouge. gros plan sur le visage. elle rebouge, re re gros plan sur son visage. k merssi a+++ -_-

Son problème de couple qui met les 3/4 du film à se régler...

Bref... Dommage. J'ai apprécié pas mal de trucs dans le film, mais le fait que ça traîne a tout gaché.


Citation :
Il est présenté comme un serrurier chasseur impuissant
Faux. Pas impuissant. Mais apparemment, personne ne lui a appris comment mettre la clé dans la serrure, et ça le gène beaucoup
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