*s'asseoit et prend place au sein du débat*
Mes confrêres ( mes consoeurs ?
),
Il est important de soulever ce débat, sur ce posons nous cette question existentielle :
Qui etait là le premier, la corne ou le bouftou ?
A cette question nous cherchons des réponses, réponses qui bien sûr soulèvent pas mal de questions. Plusieurs théorie interressantes sont soulevées, la première qui remet en question les lien génétiques de la faune d'Amakna et l'impact du climat sur celle-ci. La corne semble faire partie intégrante de la nature, alors, mutation bio-génétique ou adaptation physiologique ? Pourquoi les cornes du chef de guerre bouftou tournoient, et qui plus est dans le sens des aiguilles d'une montre ? Les bouftou utilisent-ils un système de chronomètrage a variable réelle ? Pourquoi les cornes du Minotoror prennents une forme longue et éffilée alors que les corne du chef de guerre sont robustes et tournoiyante ? Mais là, nous nous égarons déja dans ce raisonnement
La célèbre maxime "qui était là le premier, le tofu ou l'oeuf de tofu ?" peux très bien s'appliquer au vorace et non moins ruminant bouftou. Un bouftou sans corne a-t-il la moindre chance de survie ? Ces cornes ont-elles un réel impact sur l'existence non moins inutile du bétail odorant ? Il semblerais que non, en effet ses cornes gardents une tempêrature constamment élevée ( duent au nombreux vaisseaux sanguins la parcourant ) qui vaporise la transpiration du bouftou, laissant derrière lui un délicat fumet tendant légèrement entre goujon avarié, et du vieux calecon du chouque. Pourquoi donc ? Nous savons que les yeux du bouftou ne distingue principalement que deux couleurs : le vert et le turquoise ( le vert sert a reperer le gaz-on, le turquoise reste encore un mystère, qui probablement ne sera jamais résolu ). De ce fait, les bouftou se repère a l'odeur, mais un problème se pose : l'absence d'odorat.
Les bouftous ne sentent pas, ou plutot ils n'hûment pas. Alors comment le système d'auto-évapotranspiration est-il mit a contribution ? Encore une fois, les corne jouent un grand rôle. En effet, les extrémités des cornes sont recouvertes par une algue parasite, proche du chanvre, qui se développe en se nourrissant des raclures de gaz-on laissées en suspend lors du repas du bouftou. Ces parasites donc sont en étroite symbiose avec le bouftou, en effet, le bouftou procure sa nourrite et elle, elle procure son
odorat.
Comment cela est-il possible ? Grâce a un phénomène presque unique dans le faune Amaknienne : lorsque le bouftou transpire, que cette sueur est vaporisée,
la Vahpe Orisée ( la plante parasite ) détecte ce fumet et émet des spores, spores qui ont un effet euphorisant sur les
mhouch ( célèbre parasite volant ). Ces même mhouchs vont a leur tour libêrer, dans leurs stade excitatif, des quantités de phéromones qui peuvent être détectée par la Vahpe Orisée. Via un système de transfert neurale basé sur l'inclinaison de l'axe terrestre et des dérivées de fonction polygonale, le bouftou arrive a sentir. Cela bien sûr ne serais pas possible sans ses cornes, et ces parasites.
Une symbiose s'établi autour du bouftou, les cornes étant le relais.
Les bouftous peuvent donc se recconaitre, et se dire ( même s'ils en sont inccapable ) "héhé c'est un autre bouftou". Cela par contre ne leur permet pas de distinguer si cet être est du genre masculin, ou féminin. Il est en effet fréquent pendant la saison des amours, de voir fleurir de nombreux couple bouftogay.
La bouftogaytophilie est un phénomène naturel, quoique inutile.
Nous nous égarons loin du sujet, et je vous repose cette question : la corne est-elle le résultat d'une mutation génétique visant a établir cette symbiose, soit ces cornes ont-elles favorisé cette symbiose ?
Sur ce, je vous laisse pour aujourd'hui, vous laissant méditer sur ces quelques paroles qui je l'espere prendant part au débat.
xelord-nexus, le zoobouftoulogue endurci