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La Punition (5eme volet)

Par Yolinne le 5/2/2002 à 5:00:22 (#862911)

Sa fureur était telle que ses cauchemars venaient la hanter alors qu'elle était consciente, que le sommeil ne l'atteignait plus..Ses souvenirs brûlants ajoutaient une nouvelle vague de haine en elle. Les images défilaient, aussi précises que la réalité, encourageant sa folie à se développer..La création de l'"autre"...celle qui avait ancré en elle cette onde de violence et de cruauté indéfinissable..Cette faute qu'elle avait commise...Cette marche qui la précipita antan au fond de cette abîme de surréalité..

Elle devait être proche à ce moment là de sa douzième année. Elle avait jusqu'ici obéit par soumission à cette femme qui l'avait asservie, et les jours coulaient, monotones, sans passion aucune pour cette jeune enfant dont l'adolescence avait été avortée..

Un jour pourtant, où, comme à l'accoutumée sa maîtresse dormait, elle se prit à errer le long des couloirs sombres de l'antique maison. Elle avait appris à ne plus s'imprégner de l'ambiance morbide et n'avait jamais remis les pieds dans la cave lugubre, celle-ci étant toujours fermée avec précaution. Pourtant ses pas l'y menaient avec tranquillité, même si elle se doutait de se retrouver devant une porte close. Dans un coin plus ténébreux que les autres, son attention fut soudainement attirée par un léger éclat scintillant. Avec étonnement elle s'accroupit à côté de l'objet de sa curiosité. Elle saisit doucement la petite chose pour découvrir avec surprise une clef. Elle la passa de main en main, se demandant qu'elle en était la porte. En examinant mieux la petite clef elle décela quelques souillures anciennes empreintes dans le fer rouillé. Elle resta quelques minutes coite, osant à peine en trouver la serrure correspondante...Sûrement par impulsion se dirigea t'elle vers la petite porte du fond du couloir..Peut-être sous l'effet de la curiosité enfonça t'elle la clef dans la vieille serrure..Probablement ressentit elle une légère appréhension en découvrant avec horreur que celle-ci coulissait doucement dans le mécanisme..La porte s'ouvrit machinalement en grinçant. Une bouffée d'air moisi lui cingla la figure brusquement. De vieux souvenirs assaillirent sa mémoire : la longue descente vers l'enfer putride...La frayeur d'enfant qu'elle avait éprouvée autrefois..Ce noeud qui se reformait déjà, comme si celà avait été hier..Une profonde angoisse l'envahit alors. Qu'allait-elle trouver en ces lieux qu'elle avait visités antan ? De vieux fantômes venus hanter son esprit de leurs maux éternels ? Une seule façon de pouvoir s'en assurer..elle le savait..Et comme si ses pas n'écoutaient plus ses messages de détresse, ils l'entraînèrent dans les bas-fonds de l'antre en suffoquant...Les faibles lueurs des torches donnaient encore une fois un aspect dignement macabre à l'endroit, éclairant faiblement les marches vermoulues. Petite, elle s'en rappellait comme de marches immenses et tordues, comme quoi l'imagination infantile jouait beaucoup dans la terreur..Elle arriva au terme de l'escalier imposant assez rapidement. Toujours le même spectacle enfoui dans ses souvenirs..les hautes grilles de fer alignées sur un couloir dont l'odeur était éprouvante..Quelques gouttes suintaient du plafond, mais elle n'osait pas se demander de quel liquide il s'agissait là..Elle ferma un court instant les yeux, oppressée, des images sauvages jaillissant dans son esprit tourmenté, sondant les bruits alentours, sous l'effet de la crainte et de l'effarement. De longues minutes s'écoulèrent paraissant durer une éternité..Une voix en elle lui disait de déguerpir au plus vite..s'évader de cette prison de cauchemars..Quelques gouttes de sueur virent perler à son front, son visage pâlissant chaque seconde un peu plus..La tension était palpable..

Soudain un léger bruit lui tinta à l'oreille. Elle sursauta, sur ses gardes, cherchant des yeux un endroit propice pour se cacher ; elle se faufila derrière l'une des colonnes ornant le bas de l'escalier, et, le coeur battant d'un rythme effarant, elle tenta d'analyser ce son qui lui était parvenu..Un reniflement..Des pleurs étouffés...Elle sortit très lentement de sa cache, à la fois craintive et intriguée..une petite plainte..elle provenait d'une cellule proche d'elle...Tapie dans les ténèbres de la haute cave, elle s'approcha avec prudence, prête à fuir au quart de tour si les choses lui semblaient trop effrayantes ou horrifiantes..La voix se distinguait peu à peu..Elle jeta un bref regard vers la geôle : une petite forme recroquevillée et tremblante se tenait au coin le plus reculée de la petite aire enfermée..Ses yeux s'habituèrent progressivement à la pénombre pour découvrir une petite fille à la peau laiteuse, habillée d'habits autrefois beaux, mais devenus crasseux et poisseux. Ses cheveux tombaient en cascade sur son visage calfeutré dans ses petits poings serrés, en larges boucles rousses..Elle aurait bien ressemblé à une petite poupée de porcelaine si ce n'est les haillons dont elle était vêtue..Un petit bruit lorsque ses bottes rencontrèrent un minuscule gravillon. La petite redressa derechef la tête, dévoilant un visage accablé par les larmes et l'anxiété, les yeux rougis par les instants interminables de ses pleurs en cette sombre prison..Statufiée devant elle, Yolinne revit la petite fille qu'elle avait été sept années auparavant..Seule..délaissée...appeurée...Sclérosée par l'effroi..Une tristesse incomparable vint orner son visage, et une brusque compassion la gagna envers cette petite chose livide et amaigrie..L'enfant s'était rapidement reculée au fond, acculée au mur décomposé, terrifiée par cette apparition inattendue. Avec pitié, Yolinne passa lentement sa main à travers les épais barreaux, l'unique geste de sympathie qui lui vint à l'esprit..La fillette resta quelques instant sans réagir, retenue par la méfiance. Puis rampa tout aussi lentement vers elle, jusqu'à effleurer sa main..Celà semblait si irréel...Réalisant la petite chance qui lui restait, elle s'aggrippa désespérément à cette main tendue, implorant quelques mots inaudibles en une plainte où les larmes se mêlaient abondamment. Cette enfant..Elle ne devait pas subir le même sort..non..il fallait à tout prix la sauver des griffes de l'impitoyable démon reignant sur les lieux..Cherchant fébrilement la clef, l'adolescente effrayée la déposa dans la serrure épaisse, priant en son for intérieur que ce fût la même qui puisse l'ouvrir. Avec un sentiment de soulagement elle entendit le déclic salvateur. La porte s'entrouvrit doucement, poussée par la pauvrette. Elle se réfugia aussitôt dans les bras de sa jeune sauveuse, les pleurs parlant pour elle. Il fallait sortir..vite de cette demeure alarmante..le temps jouait hélas contre elles..Crispée, Yolinne referma une poigne solide sur la main de la petite et l'entraîna prestement vers l'escalier, ignorant le bref sursaut de surprise du petit être. Vite..courir dans les hautes marches..remonter à la surface..La petite porte franchie, elles couraient toujours. La jeune fille emporta l'enfant jusqu'à la porte d'entrée. Arrivées là, elle la regarda dans les yeux et lui murmura, implorante, de fuir rapidement, là où pouvaient la mener ses pas, mais fuir..loin..à jamais...D'un bref remerciement muet, la gamine courut vers le bois sans se retourner. Yolinne la regarda partir, le coeur explosant dans sa poitrine, le souffle court. Puis elle referma précipitemment la lourde porte, s'adossant à celle-ci tout en laissant échapper un soupir libérateur. Elle avait au moins sauvé la vie de cette enfant...Elle ouvrit des yeux horrifiés ; la porte ! elle ne devait rester ouverte vers ce gouffre d'horreur que renfermait la cave ! elle se précipita vers l'antre nauséabonde du plus vite quelle put, referma la porte d'un geste vif tournant la clef en tremblant puis jeta celle-ci dans le coin où elle l'avait trouvée par mégarde. Elle pleurait silencieusement, prise d'un tremblement excessif au niveau de tous ses membres. Quelle faute avait elle commise là..Si jamais celà se savait..elle ferma les yeux tentant de calmer la tension que provoquait sa culpabilité. Puis s'éloigna en reculant de l'endroit maudit. Elle se réfugia dans sa chambre où elle attendit la tombée de la nuit avec la plus grande appréhension, n'osant imaginer la punition qu'il lui serait infligée si tout était découvert..Elle ne put fermer l'oeil, épouvantée par ce qu'elle avait fait et des conséquences qui en découleraient...

Une voix mélodieuse..Evangile s'éveillait avec le crépuscule...La jeune fille tressauta nerveusement. Elle devait se calmer au plus vite..On ne devait déceler sa peur..Ou celà lui serait fatal..Elle se traîna lentement vers les appartements de sa maîtresse qui se languissait de son absence curieuse. La tête basse elle avançait, les pensées se bousculant en son esprit juvénile. Elle arriva encore tremblante jusqu'à la porte de la femme-vampire. Celle-ci sortit sans lui jeter un regard, pour descendre prestement dans le séjour avec ravissement. L'adolescente réprima un long soupir de soulagement et la suivit à distance, jusqu'à atteindre la haute salle illuminée. Elle s'assit lentement sur une des chaises composant le petit salon, attendant un des ordres d'Evangile, perdue dans ses pensées..

A suivre..

Le Cabinet Mystérieux..

Par Yolinne le 5/2/2002 à 6:18:30 (#862957)

Un bruit sec à la porte. Evangile se détourne brusquement de ce qu'elle faisait. Elle fronça ses fins sourcils, surprise. Elle ne se laissa pas démonter et entreprit d'aller voir ce qui se passait de si curieux à l'entrée, tandis que le bruit s'amplifiait, comme si on grattait nerveusement à la porte. Yolinne leva des yeux inquiets, mais elle ne pouvait voir l'entrée de là où elle se trouvait. Qui pouvait bien venir en cette heure si peu avancée de la nuit ? Elle redoutait que ce soit la petite, qui, mûe par une sorte d'ensorcellement d'Evangile, revenait sur ses pas. Elle entendit juste le léger bruit de la porte qui s'ouvrait, puis un silence pesant. Enfin, elle entendit le martèlement des pas de la dame agresser le parquet verni. Elle osa à peine lever les yeux vers elle, préférant fixer le sol pensivement. Une douleur lancinante l'attint : Evangile l'avait attrappée durement par la chevelure et la traînait d'une force peu commune, la faisant trébucher sur les chaises qui valsaient peu à peu sur leur passage. Puis elle fut jetée avec violence devant la porte, la figure contre le sol granuleux du palier. Le jeune fille encore sous le choc de la surprise releva lentement les yeux, la lèvre endommagée, écartant ses cheveux sans comprendre. Puis son regard se figea en s'écarquillant sur l'odieux spectacle qui se présentait à elle : un amas de chair déchiqueté était morbidement présenté à quelques centimètres d'elle, sous l'haleine pesante des Molosses de la nuit, bâvant une écume rougeâtre, des bribes de chair pendant encore aux crocs acérés. La masse informe présentait encore quelques mêches arrachées de couleur rousse, jetées pèle-mêle au beau milieu des os broyés et des entrailles répandues sur un long fil de quelques mètres suivant la dépouille..Une traînée visqueuse écarlate accompagnait le menu festin que les monstres s'étaient disputé sauvagement.Certains jouaient même avec quelques tendons élastiques, de claquements sinistres de gueules, vociférant des grognements rauques. Devant une tel spectacle sanglant, elle ne put s'empêcher d'innonder son visage d'un déluge de tristesse ; elle qui croyait avoir sauvé une âme..elle l'avait précipitée à sa plus grande perte, sûrement une fin de douleurs incommensurables et de violence accrue..Pour finir en un tas de chair difforme sous ses yeux horrifiés..

Mais Evangile ne lui laissa pas plus de répis, l'empoignant à nouveau par les cheveux. Elle hurla de désespoir, mais il était trop tard..Son râle d'agonie ne fit pas plus d'effet à celle qui détenait son corps et qui le traînait à travers les marches du haut escalier menant à l'étage. Les coups redoublés lui cognaient les côtes, déchirant ses hanches, mais l'autre n'en avait cure..Elle fut projetée au beau milieu d'une salle que la sorcière avait ouverte d'un geste violent. Elle la toisa d'un regard méprisant ; elle n'avait toujours articulé aucun mot. Elle tendit la main vers elle, et d'un coup, les vêtements de la jeune fille se déchirèrent, révélant sa peau nue et son corps prépubère, lacéré comme par des griffes puissantes, et laissant de larges écorchures sur la peau dejà couverte d'hématomes violacés. A bout de souffle, la jeune fille ouvrit des yeux tremblants, le regard empli de détresse derrière les longues mêches emmêlées de sa chevelure. Elle se trouvait dans le fameux cabinet inconnu, d'une taille assez petite comme elle se l'imaginait vu par l'extérieur de la demeure. Les murs étaient faits d'une pierre noire et sombre, et sur le sol, étaient inscrits plusieurs signes cabalistiques en lettres de sang. Sur les murs reposaient de grandes étagères où s'amoncellaient livres et fioles bizarres, luisant d'étrangeté. Un vaste bureau faisait l'angle, courbant sous le poids d'alambics sulfureux et d'éprouvettes fumantes.Tout s'illuminait sous l'imposante silhouette d'Evangile, qu'entourait une aura rougeoyante de colère. Son regard s'était assombrit et brûlait d'une haine nouvelle, haine d'avoir été trahie pour se qu'elle prenait pour une mijaurée sans cervelle. Yolinne se recroquevilla sur elle-même, implorant mille pardons qu'elle savait inutiles face à ce démon que la violence submergeait. Sans écouter les suppliques, Evangile leva son regard vers l'une des bibliothèques croûlant sous la masse de livres et grimoires vieillis par le temps. L'un deux se détacha et vint se poser devant elle, élevé dans les airs magiquement. Elle regarda ensuite d'un air hautain la frèle jeune fille.

- Je t'avais prévenue petite sotte..On ne se moque pas aussi impunément de moi..Tu apprendras à l'avenir qu'il est inutile de me désobéir...Et tu sauras que si mes ordres sont dénigrés, le châtiement n'en est que plus dur...Tu m'obliges à te dresser petite écervelée...Tu ne seras pas déçue..

Puis elle éclata d'un rire cinglant et provoquant qui fit tressaillir la pauvre enfant, déjà tremblante d'effroi. Puis les pages du livres virevoltèrent rapidement, pour se stopper tout aussi sèchement. La femme commença à remuer les lèvres et faire des gestes compliqués. Yolinne ne comprenait pas un traître mot à ce qu'elle prononçait, mais les tremblements qui envahissaient son corps se dédoublèrent, comme si elle pressentait la sentence qu'elle allait maintenant subir..Un vent glacial se propagea dans la pièce la faisant frissonner de tout son être. Elle referma les bras sur son corps, la mine inquiète, incompréhensible. Une rafale tourbillonna autour d'elle, alors que les mots de la mage se faisaient plus rapides, dans une cadence de plus en plus rythmée, et que ses gestes suivant de près ces mots étranges s'intensifiaient au fur et à mesure. Englobée dans une orbe noire, Evangile fit appraître un prisme dans un éclair aveuglant, au creux de sa main droite. Le prisme brillait d'une lumière ténébreuse, aspirant toites les ombres de la pièce en une petite tornade, ravageant ce qui se trouvait à l'intérieur de la pièce. Les signes commeçaient à briller de mille feux, donnant une touche supplémentaire au chaos régnant dans la pièce close. Yolinne s'était rabattue d'épouvante, les objets se brisant sur elle, les livres entrechoquant ses membres déjà endoloris. Elle était à la fois désappointée, terrifiée et malade sous l'effet de ce sortilège puissant qui était mis à l'oeuvre. La voix d'Evangile tonnait à présent, se répercutant à tous les coins, et à chaque nouveau mot, sa victime se rabaissait encore sous la peur. Puis le prisme se détacha de ses doigts tendus, et vogua dans les airs vers Yolinne. Il s'incrusta petit à petit à travers son bras droit, la faisant hurler de douleur, sous un spasme violent de souffrance. Il pénétra la peau et s'enfonça dans ses chairs, sous le martèlement des mots de pouvoirs qui vrillait sa tête. Enivrée de souffrance, des nausées de plus en plus profondes remontant acidement dans sa trachée, le crâne vacillant, elle perdit soudainement connaissance. Le vent se calma peu à peu, et les divers objets retombèrent soudainement à terre en un grand fracas. Evangile s'était elle aussi arrêté, semblant épuisée. Mais un long sourire sardonique étendait ses lèvres. Elle ferma le livre d'un coup sec et contempla sa proie inconsciente, avant de s'avancer calmement vers elle. Elle la leva aussi facilement qu'un bébé du bras, et l'emporta avec elle dans ses appartements...

Quelques heures plus tard, les yeux de Yolinne s'entrouvrirent lentement..Elle était dans le lit de sa maîtresse. Evangile se trouvait près d'elle, la fixant ardemment. Un fin sourire s'épancha sur les lèvres de l'adolescente, arborant un air différent..Tout dans son être semblait avoir changé..D'un geste de la main, elle caressa le visage de la femme-vampire d'un geste d'une infinie langueur. Evangile éclata d'un rire sournois.

- Bienvenue à toi. J'espère que toi au moins tu sauras me servir comme il se doit...même si tu ne seras pas tout le temps présente, j'ai grand espoir en toi..ne me deçois pas comme celle dont tu es à présent l'ombre..Et si tu en es digne et surtout compétente..je t'apprendrais les bases de mon savoir..

Puis, satisfaite, elle quitta la chambre sous l'oeil admiratif de la nouvelle créature qu'elle avait conçue.

Du brouillard...Une sensation de lourdeur...Des nausées...Les paupières battirent quelques instants, comme sous un poids déconcertant. Elle commença à distinguer peu à peu les lieux..Elle se trouvait dans sa mansarde, et le jour filtrait à peine sous la porte..Elle se releva avec peine, se tenant la tête douloureusement. Que lui était-il arrivé..? Elle n'en avait aucun souvenirs...Evangile ne l'avait elle donc pas punie..? Elle était encore en vie..? Dans un état encore comateux, elle se leva titubante et ne fit même pas attention à la légère brûlure sur son bras qui formait une petite étoile étrange..

A suivre..

Par Alanis Delyn le 5/2/2002 à 7:32:44 (#863093)

*frissonne*

Tout dans son être semblait avoir changé..

Par Deux-Âmes le 5/2/2002 à 7:37:10 (#863102)

Les images défilaient (...) encourageant sa folie à se développer..(...) au fond de cette abîme de surréalité..


http://www.carcassonne.culture.fr/culture/carcassonne/img/fe54.jpg

Par Dodgee le 5/2/2002 à 8:57:33 (#863236)

Hop hop hop:lit:

Par Azulynn le 5/2/2002 à 11:37:22 (#863825)

:lit: Joli :chut:

Par Eléah Dark le 5/2/2002 à 12:26:05 (#864029)

*S'installe et mange du pop corn caramélisé qui colle a ses bandelettes en attendant la suite avec impatience*

Par Lorme le 5/2/2002 à 12:53:07 (#864127)

*pique les pop-corn de la momie et s'intalle à ses cotés*

*hop*

Par Arken le 5/2/2002 à 13:28:40 (#864291)

prend les pop corn des mains de Lorme et attend la fin de l'entract

Par Subtil le 5/2/2002 à 15:01:37 (#865078)

:lit: :amour: :lit:

Par Yolinne le 5/2/2002 à 15:38:17 (#865355)

Je sais que la longueur peut presenter un obstacle pour bcp mais me suis un peu laissee entrainer j'avoue :( enfin bonne lecture pour ceux qui l'ont pas lu ;)

Yo*fourbue de tte cette ecriture*yo

Par Subtil le 5/2/2002 à 15:43:44 (#865395)

peut importe la longueur tant que ta plume reste aussi agreable a lire ;)

-Sub *qui se met a faire des compliments oula :doute: * til :p

Par Gabriel Thylin le 5/2/2002 à 16:38:48 (#865812)

:chut: :lit: :amour:

Par Celine Mithror le 5/2/2002 à 17:40:30 (#866371)

:amour: :amour: :amour:
du grand art comme toujours yoyo

Par Dias Tribal le 5/2/2002 à 18:29:06 (#866722)

je veux evangileeeeeeeeeeeeeeee :amour:

Par Conrad McLeod le 6/2/2002 à 7:10:46 (#870726)

La longueur, pfff... Si on s'arrête à ça, on lit pas mes messages alors... Mais pourquoi 5ème volet??

Par Yolinne le 6/2/2002 à 10:21:48 (#871460)

parce que :
un souvenir inattendu = 1er volet
le cauchemar continue = 2eme volet
la Demeure de l'horreur = 3eme
Et les annees passerent... = 4eme :p

*hop*

Par Arken le 6/2/2002 à 13:16:58 (#872485)

tant qu'a faire autant mettre les liens meme si ils sont dans la bibliotheque c'est toujours plus pratique :

un souvenir inattendu
le cauchemar continue
la Demeure de l'horreur
Et les années passèrent

Par Yolinne le 6/2/2002 à 15:34:09 (#873584)

loooooooooooooolllllllll Arken =)

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